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Société
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(12/07/2011 11:07:34)
Le nouvelles technologies sources d'anxiété et de stress
L'université de Cambridge a étudié 1 300 Britanniques pour découvrir que le sentiment de stress causé par les nouvelles technologies pouvait entraîner dans la vie des sujets un sentiment d'insatisfaction générale.
Les jeunes utilisateurs ressentent ce stress au même titre que leurs aînés: 38% des 10-18 ans interrogés ont déclaré se sentir accablés par la technologie omniprésente - 34% des 25-34 ans ont le même sentiment.
Les réseaux sociaux aussi touchés
Cette année, une équipe de chercheurs de Stanford University affirmait que l'utilisation de réseaux sociaux comme Facebook pouvait être facteur de dépression chez certains.
Les utilisateurs ayant tendance à ne publier que des informations concernant les aspects positifs de leur vie, ceux qui prennent connaissance de ces informations pourraient se sentir mal en comparant leur propre vie à celles de leurs amis.
Les Français restent prudents sur le m-commerce
Le m-commerce n'en est encore qu'à ses début en France. Les Français utilisent encore peu leur téléphone portable pour faire des achats. Ils sont sensibles aux problématiques de sécurité et sont méfiants face à la géolocalisation. C'est ce qui ressort d'une étude CSA pour Orange et Terrafemina.
Utiliser son téléphone portable pour effectuer des achats reste une pratique encore marginale en France. Seulement un Français sur dix (9%) déclare avoir déjà effectué une opération de m-commerce. Parmi les pratiquants, la liste de leurs achats les plus fréquents concerne des produits numériques : l'achat d'une application pour Smartphone (74%), vient ensuite l'achat de jeux pour téléphone (46%), la musique (39%), une sonnerie de téléphone portable (32%).
L'achat de biens réels est plus difficile
Paradoxalement, les Français pensent que le m-commerce est amené à se développer même s'ils ne sont majoritairement pas intéressés par l'achat de produits via leurs terminaux mobiles ! Certains produits ou services recueillent alors un intérêt notable quoique minoritaire : les titres de transport en commun (28%), les places de cinéma (22%), les billets de train ou d'avion (21%) et les places de musées (21%). Seuls 8% des Français pensent que le m-commerce ne va pas se développer.
Au titre des inquiétudes vis à vis du m-commerce, on note la géolocalisation et la sécurité des transactions. Les Français sont ainsi majoritairement méfiants face à la géolocalisation. Trois quarts d'entre eux considèrent cette fonctionnalité comme trop intrusive et dangereuse. Ils estiment que le lieu où ils se trouvent relève de leur vie privée.
Reste qu'une minorité (23% des Français) voit dans la géolocalisation une opportunité pour les consommateurs de bénéficier d'offres personnalisées et avantageuses. Les Français qui sont le plus favorables à cette fonctionnalité sont des hommes de 18-34 ans et les possesseurs de smartphone.
La sécurité reste un frein
La sécurité des moyens de paiement est le critère le plus important pour se mettre au m-commerce aux yeux des français : pour 42 % d'entre eux, c'est le premier critère nécessaire. Les critère les plus cités sont ensuite : la simplicité d'utilisation (19%), la garantie de ne pas recevoir de nombreux messages de publicité (15%), les prix pratiqués (11%), les offres supplémentaires et les produits disponibles.
Les Français qui utilisent le plus le m-commerce sont les possesseurs de smartphone (25% d'entre eux ont déjà effectué un achat avec leur mobile), suivi par les CSP + (15%) et les jeunes. Un quart des hommes de 18-24 ans (25%) ont ainsi déjà pratiqué le m-commerce, tout comme 16% des femmes du même âge.
(...)(11/07/2011 10:27:44)
La manifestation Futur en Seine devient annuelle
Cap Digital, qui gère l'organisation de Futur en Seine, a annoncé avoir décidé de transformer sa biennale en événement annuel. Le festival va donc désormais se tenir tous les ans, toujours en Ile-de-France, pour une prochaine édition prévue en juin 2012.
Fort d'une seconde édition (du 17 au 26 juin 2011) qui a rassemblé 80 000 participants sur plus de 70 lieux, Futur en Seine s'affirme désormais comme un grand rassemblement populaire autour de la création numérique en Ile-de-France.
Futur en Seine célèbre la création numérique à travers des conférences, des démonstrations et des performances diverses. Le public peut ainsi découvrir les technologies de demain rassemblées autours de cinq grands thèmes : la vie, la musique et l'image, la création, les communications et la ville.
Illustration : Futur en Seine
Crédit Photo: Benjamin Boccas
Les nouvelles technologies se jouent des bonnes manières
61% des personnes interrogées estiment qu'il devrait exister un ensemble de règles pour régir l'utilisation des terminaux mobiles en public. Par exemple, un tiers serait pour l'interdiction des objets nomades dans les lieux publics.
Pourtant, l'utilisation des mobiles et l'addiction aux réseaux sociaux sont entrés dans les moeurs et ne surprennent plus. Il ressort d'une étude sur "Les nouvelles habitudes liées à l'usage des nouvelles technologies" que consulter sa page Facebook devant ses amis ou ses collègues ne choque plus que 7% des gens, qu'emporter son ordinateur portable en week-end n'en émeut que 9% et que les objets nomades ont désormais leur place dans la chambre (seuls 7% s'y opposent formellement).
Dès le réveil
Cette étude confirme également l'addiction des mobinautes à leur smartphone ou leur tablette, puisque 67% des personnes interrogées indiquent qu'elles les consultent avant de partir travailler le matin et que près d'un quart (23 %) le fait avant même être sorti du lit.
Ce sondage indépendant a été réalisé en mai 2011 par Redshift Research auprès de 12.761 personnes interrogées dans seize pays d'Europe, du Moyen Orient et de l'Afrique (Royaume-Uni, France, Italie, Allemagne, Espagne, Roumanie, Pays-Bas, Afrique du Sud, République tchèque, Suède, Belgique, Pologne, Turquie, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis et Egypte). (...)
Les nouvelles technologies sont devenues une addiction
Une étude menée au Royaume-Uni démontre qu'un tiers des personnes interrogées se considère comme littéralement submergé par les nouvelles technologies. Une proportion qui atteint même 43% chez les 10/18 ans. Cela conduit les chercheurs de l'Université de Cambridge, qui ont réalisé cette enquête, à considérer les nouvelles technologies comme un réel problème de santé publique.
Pour ces chercheurs, les parents, comme leurs enfants, doivent trouver un moyen de limiter l'impact de la high-tech (en termes d'appareils, mais aussi de dépendance aux réseaux sociaux ou aux e-mails) sur leurs vies, un peu à la manière d'un régime. Aux parents donc d'installer des barrières, de poser des règles et surtout de montrer l'exemple. Ils ne sont pas moins de 20% à déclarer être confronté aux nouvelles technologies plus de sept heures par jour.
"Ces recherches nous montrent que les nouveaux moyens de communication sont considérés par beaucoup comme des outils positifs, mais il existe des exemples où les gens ne gèrent pas leurs usages aussi bien qu'ils le devraient" explique John Clarkson, professeur à Cambridge. Il note aussi que ce stress augmente en même temps que le temps d'exposition, jusqu'à en devenir maladif.
Etude réalisée auprès de 1 200 personnes au Royaume-Uni.
Paypal voit la disparition du portefeuille en 2015 aux Etats-Unis
« Les consommateurs délaissent de plus en plus les méthodes traditionnelles de paiement, comme les espèces et les chèques, au profit de moyens plus modernes qui peuvent être employés n'importe quand et n'importe où », indique le président de PayPal Scott Thompson dans un billet publié sur le blog de la société.
« Nous pensons que d'ici 2015, les paiement numériques seront acceptés partout aux Etats-Unis, chez l'épicier du coin comme chez Walmart. Nous n'aurons plus besoin de nous balader avec un portefeuille », ajoute-t-il.
Un test sous forme de pub
L'entreprise est tellement sûre de ce qu'elle avance qu'elle a demandé à cinq de ses employés résidant dans la région de San Francisco d'utiliser uniquement des paiements numériques pour tous leurs achats, dans le cadre d'un pseudo-concours (c'est-à-dire une vraie stratégie de marketing viral).
Pendant le discours d'ouverture du colloque GSMA Mobile Money Summit à Singapour, le directeur du département innovations mobiles de Visa, Bill Gajda, a présenté le projet de Visa visant à convertir les appareils mobiles en « véritables portefeuilles numériques ». Il a ajouté : « nous sommes à l'aube de la prochaine génération d'argent mobile en version 2.0 ».
(...)(22/06/2011 10:40:21)Google et Microsoft marques préférées des Français
Lorsqu'il s'agit d'évoquer les marques qu'ils aiment, les Français donnent des places de choix aux spécialistes d'Internet. Si dans le classement général Google arrive en tête, d'autres opérateurs en ligne parviennent à se hisser aux premières places des classements par catégorie. C'est le cas de YouTube (deuxième) pour les « médias », mais aussi d'Amazon.com (troisième) et Vente-privée.com (quatrième) pour la « distribution ».
Autre enseignement de cette étude : les marques dans le coeur des Français ne sont pas forcément les plus attendues. Si bon nombre de Français sont des aficionados de l'iPhone d'Apple, Microsoft supplante la marque à la pomme et obtient la première place du podium « télécoms, high-tech ». Du côté des opérateurs de téléphonie, Free (sixième) peut se targuer d'être préféré à SFR (septième), Bouygues Telecom (huitième) et Orange (neuvième).
Ce classement s'est appuyé sur une sélection de 101 marques, chacune notée sur 200 en fonction des réponses apportées à 11 questions. Un échantillon de 4.179 personnes représentatif de la population française de 15 ans et plus a été interrogé.
Les Français jugent l'e-administration pratique mais regrettent le contact direct
De nombreux Français regrettent que la e-administration soit le prétexte de supprimer des contacts directs avec les membres des services publics : 47% sont de cet avis contre 25% de satisfaits et 25% souhaitant un accroissement de la dématérialisation. L'hostilité est un peu plus marquée chez les femmes (50%) que chez les hommes (44%). Elle l'est davantage chez les personnes de 50 ans et plus (entre 57% et 59%) et parmi les répondants qui sont peu diplômés (63%). C'est le premier enseignement de l'étude menée par l'institut de sondage Harris Interactive à la demande de l'éditeur Berger Levrault.
Le principal regret des personnes interrogées est l'inadaptation d'Internet à toute la population (73% des répondants), ce qui est cohérent avec les différences notables de perception de la e-administration selon les catégories, même si la conscience d'un tel problème est assez largement partagée.
58% apprécient le côté pratique
Par contre, le côté pratique de la e-administration est bien souligné (58% des répondants), surtout par la catégorie des 18-34 ans (de 74 à 75% d'entre eux le soulignent) et par les diplômés du supérieur (64 à 65%). Il reste malgré tout une importante minorité à estimer les services actuels comme peu pratiques : 47% contre 49% d'un avis contraire.
L'usage d'Internet permet de couvrir des besoins courants. 62% des répondants regrettent qu'il soit plus compliqué de poser des questions précises. 57% estiment que la e-administration ne délivre pas un meilleur service que l'administration classique. Les Français sont donc certes séduits par la e-administration qui permet de faire aisément ses démarches de chez soi n'importe quand mais restent attachés à la qualité d'un service humain disponible en cas de difficulté. (...)
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