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(17/10/2008 15:29:16)

Le commissariat virtuel entre en phase de test

Le projet de commissariat virtuel lancé il y a un peu plus d'un an par Michèle Alliot-Marie sera expérimenté à partir du 1er novembre prochain dans deux départements, la Charente-Maritime (17) et les Yvelines (78). La ministre de l'Intérieur ainsi que les directeurs de la police, Frédéric Péchenard, et de la gendarmerie, Roland Gilles, en ont présenté les grandes lignes mercredi 15 octobre. Il s'agit en réalité de la possibilité de déposer une pré-plainte par Internet. La victime doit, dans un premier temps, remplir un formulaire (identité, motif de la plainte, horaires auxquelles elle est disponible). Elle reçoit ensuite un accusé de réception puis est recontactée (par téléphone ou par mail) pour signer sa déclaration. Les données saisies par le plaignant sont effacées dès la signature ou trente jours après le dépôt de la plainte. Ce dispositif ne s'applique qu'aux délits mineurs (vols, dégradations...) dont on ne connaît pas l'auteur, afin de contourner les risques de délation. Le site a pour vocation de désengorger les commissariats, d'éviter les files d'attente et de permettre à des personnes pouvant difficilement se déplacer de porter plainte (un enquêteur peut se rendre à leur domicile). Le test durera six mois et, s'il s'avère positif, sera étendu à d'autres départements. Ce système existe déjà en Belgique, en Espagne et en Italie. (...)

(17/10/2008 14:44:11)

Wipro nomme un directeur général France pour accroître sa visibilité dans l'Hexagone

Depuis le 1er octobre dernier, Christophe Martinoli est directeur général de la SSII indienne Wipro en France. C'est une création de poste. Jusqu'alors, Ayan Mukerji le directeur Europe, pilotait la France et tous les autres pays du continent en direct. Mais l'essentiel de l'organisation se faisait par métier et depuis le siège en Inde. Wipro était donc très centralisée et n'était visible que par ses filières : industrie, retail, banque/assurance. La société s'est rendu compte des limites de son modèle, l'Europe étant plus compliquée que les pays dont elle avait l'habitude. C'est la raison de la création d'une direction générale par pays. Le développement et les ambitions de la SSII en Europe nécessitent une autre organisation pour mieux s'adapter aux clients. La France donne le coup d'envoi, l'Allemagne devrait suivre. C'est ainsi que Christophe Martinoli est devenu directeur général pour l'Hexagone. Il a passé dix huit ans dans les technologies essentiellement dans les services, par exemple chez Atos, et chez des constructeurs tels que Sun et Alcatel. Depuis trois ans et demi, il était responsable du secteur industriel de Wipro France. Trois centres de services créés en France [[page]] Désormais, il va devoir rendre Wipro plus visible en France. La filiale française a été créée en 2001. Depuis deux ans, plusieurs succès commerciaux l'ont médiatisée : Michelin, et selon notre confrère Les Echos, SFR . « Wipro va s'engager dans un deuxième palier d'organisation avec plus de maturité » nous explique Christophe Martinoli. Un centre de services est créé en Bretagne pour le secteur télécoms. Wipro compte deux autres centres, un à Clermont-Ferrand pour le compte Michelin, un à Sophia Antipolis en R&D sur la téléphonie sans fil et design semi conducteurs. « En terme d'offres, nous sommes au même niveau que nos grands confrères, précise Christophe Martinoli. En France, nous avons sélectionné quatre activités que nous mettons en avant : la maintenance applicative, les téléservices, les nouvelles technologies, le testing. » Christophe Martinoli veut encore renforcer les capacités de Wipro France en matière de consulting. Il compte aussi sur le concept de « global delivery model » de Wipro que ses confrères, selon lui, sont en train d'apprendre. Il s'agit de profiter de la couverture mondiale de Wipro en centres de services pour pouvoir accompagner un client à l'international ou au plus près de ses besoins en local. La SSII dispose de tels centres de services partout dans le monde, en Inde et en Chine principalement, mais aussi en nearshore comme les trois qui sont en France. D'autres existent au Caire, au Mexique, à Budapest. Ils regroupent chacun des managers, des directeurs de projet, des experts. A terme, Wipro aura aussi recours en France à la croissance externe. Pour l'heure, après la période d'apprentissage, elle entame le deuxième palier de structuration avec des centres de services et un directeur général. (...)

(17/10/2008 10:53:45)

L'April déplore l'absence du Libre du plan Besson

Même si le rapport France Numérique 2010 n'est pas encore officiellement dévoilé, l'April reproche au texte d'occulter le chapitre du logiciel libre. Préparé par Eric Besson, le secrétaire d'Etat chargé du Développement numérique, le texte n'est qu'un « plan timoré, édulcoré des propositions qu'il avait initialement faites en faveur du logiciel libre », estime l'association. Les 27 pistes de travail des Assises du numérique, présentées au mois de mai, prévoyaient pourtant une réflexion sur le Libre. Parmi les premières mesures soumises au débat, Eric Besson proposait de fixer un objectif de 20% des marchés publics 'logiciels' en Open Source et de considérer l'aide au Libre comme du mécénat. Deux idées issues du rapport Attali, sur la « libération de la croissance française », qui avaient d'ailleurs provoqué l'ire de l'Afdel. Le Libre « effacé du paysage de l'économie numérique » Cet été, le secrétaire d'Etat prêtait même une oreille à l'April en recevant deux de ses représentants venus lui réitérer les revendications de l'association. Peine perdue, semble-t-il, puisque le document final reste vierge de toute initiative relative au Libre. « A la lecture de son rapport, on a tout simplement l'impression qu'il a effacé le logiciel libre du paysage de l'économie numérique », regrette l'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre. Le rapport France Numérique 2012 sera présenté le 20 octobre, une semaine après la date initialement prévue , un retard dû à la priorité donnée à la lutte contre la crise économique. (...)

(16/10/2008 16:59:22)

Riposte graduée : L'UFC Que Choisir se tourne à son tour vers la Commission européenne

La décision du gouvernement d'inscrire le projet de loi Création et Internet sur l'agenda du Sénat - la Chambre haute devant examiner le texte le 29 octobre - suscite la colère de l'UFC Que Choisir. L'association de consommateurs fustige ainsi la volonté du pouvoir exécutif d'imposer la riposte graduée, alors que les eurodéputés se sont prononcés contre son principe. « Non seulement liberticide, techniquement irréalisable, économiquement contre-productive, la riposte graduée est donc également contraire au droit communautaire », précise Que Choisir. Le texte français contraire au droit européen ? L'association s'est donc fendue d'une missive adressée à José Manuel Barroso, dans laquelle elle l'encourage à intervenir pour rendre impossible le vote, par les institutions françaises, de la loi Création et Internet. Pour cela, l'UFC s'appuie sur une directive européenne disposant qu'un Etat membre doit reporter l'adoption d'un texte si celui-ci fait l'objet d'un projet de norme européenne. Par ailleurs, le patron de l'exécutif européen doit, avec les membres de la Commission, se prononcer le 23 octobre sur la compatibilité au droit communautaire de la riposte graduée à la française. L'UFC profite de sa lettre pour encourager José Manuel Barroso à « inviter la France à privilégier à la logique du 'tout répressif du projet de loi', le juste équilibre entre rémunération des artistes et intérêt des consommateurs promu par l'Union européenne. » (...)

(16/10/2008 16:57:27)

Etude Mobicadres 2008 : les décideurs informatiques sont professionnellement peu mobiles

Les décideurs des directions des systèmes d'information (DSI) font partie des populations les plus sédentaires. Tel est l'un des enseignements de l'étude 2008 MobiCadres sur la mobilité professionnelle des cadres présentée aujourd'hui, jeudi 16 octobre, par le cabinet de conseil Oasys Consultants, filiale de Demos. Les résultats montrent en effet que chez les DSI seulement 20% des cadres supérieurs ont été mobiles en 2008. Sur ces 20%, 54% ont évolué en interne, et 46% ont pu profiter d'une d'un changement de poste en externe. Si l'on prend en compte l'ensemble du secteur des technologies, le taux de mobilité des décideurs a toutefois augmenté : gagnant 11 points par rapport à l'édition précédente, il est passé de 25,5% en 2007 à 36,7%, cette année. Déception des DSI par rapport à leur fonction actuelle Si globalement les décideurs (mobiles ou non) font un bilan positif de leur poste actuel, les DSI restent les grands déçus de cette question, avec une note de satisfaction de 12,7 sur 20 et seulement 17% d'opinions très positives. Plus de 20% des DSI estiment même que leur carrière est moins réussie que ce qu'ils en attendaient. « Dans l'informatique, les décideurs sont moins enclins à bouger, car ils peinent à entrer dans une logique qui leur permettrait d'augmenter leur employabilité, signale Eric Darras, directeur des formations informatiques chez Demos. Des outils d'accompagnement, comme les bilans de compétences ou des conseils RH, les aideraient à évoluer en élargissant leurs domaines de compétences. Mais dans l'informatique, ce type d'outils est utilisé de façon très marginale. » (...)

(16/10/2008 12:35:04)

Trimestriels : eBay renoue avec les bénéfices, mais s'inquiète pour le reste de l'année

Ebay a publié des résultats trimestriels dans le vert. Le chiffre d'affaires grimpe de 12 points, à 2,12 Md$, et le bénéfice net s'établit à 492 M$, alors qu'un an plus tôt, le site de vente aux enchères avait essuyé une perte de 936 M$. Paypal, la filiale de paiement en ligne d'eBay, engrange 597 M$ (+27%). EBay compte par ailleurs renforcer cette partie de son activité, grâce au récent rachat de Bill Me Later, un autre service de paiement sécurisé, pour 600 M€. Plus surprenant, Skype, rachetée en septembre 2005 par eBay, enregistre un chiffre d'affaires de 143 M$, en hausse de 46%, alors que la société de téléphonie par Internet avait littéralement plombé les résultats d'Ebay au troisième trimestre de l'année dernière. Ebay avait même envisagé de se délester de ce fardeau il y a quelques mois. Skype a séduit 32 millions d'internautes supplémentaires ce trimestre, ce qui porte son nombre d'abonnés à 370 millions dans le monde. Prévisions annuelles revues à la baisse [[page]] Si eBay se déclare « globalement satisfait des performances réalisées au courant du trimestre », la société reste prudente pour le reste de l'année. Comme la plupart des sociétés IT, eBay affiche une méfiance de circonstance face à l'incertitude qui plane depuis quelques semaines sur les places boursières. Ebay devra en outre faire face à des frais de restructuration (estimés entre 70 et 80 M$) suite à plusieurs rachats. Ebay a annoncé le licenciement de plus de 1000 personnes, soit 10% de ses effectifs. En prenant en compte ces différents facteurs, eBay revoit donc ses prévisions annuelles à la baisse. Le chiffre d'affaires devrait être compris entre 8,53 et 8,68 Md$, alors que le site prévoyait de réaliser jusqu'à 9,05 Md$. La réponse de la bourse ne s'est pas fait attendre, le titre d'eBay a immédiatement perdu plus de 13% à la séance de mardi. (...)

(15/10/2008 14:22:45)

A peine nommée, la directrice générale de Télindus France est licenciée

« C'est ce qu'on appelle un bug » nous confirme un porte-parole de Télindus France. La directrice générale de cette filiale de Belgacom, Victoria Hernandez, est en effet partie il y a une semaine moins de quinze jours après sa nomination. Elle était depuis deux ans dans ce groupe comme vice-présidente Europe du sud. Elle avait auparavant passé 7 ans chez BT et évolué dans des entreprises IT comme ICL Fujitsu ou France Télécom. C'est le CEO de Telindus en personne, William Mosseray qui prend en main la filiale française de l'intégrateur, lui-même filiale de l'opérateur belge de télécommunications, Belgacom. (...)

(15/10/2008 14:08:28)

L'emploi informatique progresse et fait fi de la crise financière

Le ralentissement marqué de l'économie française n'a pas de conséquence sur l'emploi informatique. Les indicateurs de l'emploi relèvent une bonne résistance de l'activité de recrutement en ligne dans l'IT pour le mois de septembre. Ainsi, dans sa dernière note, l'Apec place une nouvelle fois l'informatique en tête des filières en termes de volume : dans l'IT, le nombre de postes à pourvoir a progressé de 32% sur la période d'octobre 2007 à septembre 2008, par rapport à la période d'octobre 2006 à septembre 2007. Près de 8 500 nouvelles offres ont été déposées dans l'informatique au cours du mois dernier, dont la moitié en informatique de gestion. Au final, le secteur IT totalise plus de 93 000 offres en cumul sur douze mois. C'est la fonction exploitation-maintenance qui enregistre la plus forte augmentation (+ 81%), avec 510 nouvelles offres déposées. Le nombre de postes à pourvoir dans la filière recherche et développement (16% de l'ensemble des offres) s'accélère en parallèle, avec un volume en hausse de 70% sur les douze derniers mois de l'année : dans ce secteur, le dynamisme est porté par la demande des recruteurs en projets et études techniques qui augmentent respectivement de 78% et 69 %. Hausse de la demande en Ile-de-France, Rhône-Alpes et Paca Cette bonne santé de l'emploi IT est également relevée par Monster, autre spécialiste de la gestion de carrière en ligne. Ce dernier confirme qu'en septembre dernier, l'activité de recrutement en ligne a progressé dans le secteur de l'ingénierie, affichant même la plus forte hausse parmi tous les secteurs observés. D'un point de vue local, les régions Ile-de-France, Rhône-Alpes et Paca ressortent à la hausse dans ce secteur. Sur les douze derniers mois, l'index de l'emploi informatique a progressé de 35 points, soit 21%, le taux de croissance annuelle le plus élevé parmi tous les secteurs d'activité observés. Monster estime même que la France se comporte relativement bien comparativement aux autres pays de l'Union européenne. (...)

(15/10/2008 12:20:22)

Les Etats-Unis durcissent leur législation sur les atteintes au droit d'auteur

Le Président américain, Georges W. Bush, vient de promulguer une loi renforçant les sanctions civiles et pénales infligées aux auteurs d'atteintes à la propriété intellectuelle. Alors que le projet de loi français Internet et Création suscite de nombreuses critiques, les Etats-Unis se rangent clairement du côté des industries culturelles. La loi dite PRO-IP (Prioritizing resources and organization for intellectual property) crée un poste de haut responsable à la protection de la propriété intellectuelle, nommé par le Sénat et placé sous l'autorité du Président. Il proposera à la Maison Blanche toutes les mesures qu'il juge appropriées pour lutter contre la violation du copyright, que ce soit sur le sol américain ou à l'étranger. Le pouvoir d'initiative attribué à cette nouvelle autorité mécontente le DoJ (équivalent américain du ministère de la Justice), qui craint de voir les pouvoirs des juridictions judiciaires amputés au profit de l'autorité exécutive nouvellement créée. Saisies et amendes alourdies Les auteurs d'atteintes à la propriété intellectuelle voient par ailleurs les sanctions qu'ils encourent alourdies. Notamment par le biais d'une modification de la façon dont sont calculées les pénalités. Alors que, jusqu'à présent, une amende forfaitaire s'appliquait, la répression est désormais strictement proportionnelle au nombre d'infractions. Ainsi, si un internaute ayant téléchargé un album de musique est poursuivi, il risque de devoir payer autant d'amendes que l'album compte de morceaux. De même, la justice pourra saisir tout matériel qui aurait servi à enfreindre le droit d'auteur. « Le texte se contente d'ajouter du déséquilibre à une législation déjà favorable aux grandes entreprises (...). Il va totalement dans le mauvais sens. Il aurait été bien d'avoir quelque chose qui bénéficie au public et aux artistes plutôt qu'aux grandes entreprises », s'était indigné Gigi B. Sohn, le président de Public Knowledge, un groupement de défense des libertés individuelles, lorsque la loi avait été examinée par le Sénat en septembre. Le son de cloche est évidemment différent du côté des industriels. Les représentants des entreprises du logiciel, du cinéma et de la musique se félicitent de l'adoption de la loi qui permettra, selon eux, de doper l'innovation américaine. (...)

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