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Société
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(21/10/2008 16:18:05)
Encore une vague de licenciements chez Yahoo
Quelques heures avant de publier ses résultats trimestriels, le spectre d'un nouveau plan de restructuration plane de nouveau sur Yahoo, selon le Wall Street Journal. Le moteur de recherche californien avait déjà supprimé 20% de ses effectifs en janvier dernier. Cette fois, ce sont entre 1000 et 3000 postes qui seraient menacés (sur un effectif total de 14 300 personnes), essentiellement dans les sites américains de Sunnyvale et de Santa Clara. Yahoo aurait également demandé aux équipes financières d'identifier les moyens de réduire les coûts de 15%. Une boulette côté utilisateurs Yahoo doit par ailleurs affronter la colère de certains utilisateurs qui affirment que le site n'a pas clairement expliqué ce que la mise à jour des profils créés sur Yahoo 360 allait entraîner. Certains d'entre eux affirment que leur profil (messages et historique compris) a purement et simplement été effacé. Yahoo s'est platement excusé vendredi dernier de ne pas avoir été « plus proactif » et transparent en annonçant à l'avance les changements concrets qui attendaient les profils utilisateurs. « Beaucoup d'entre vous ont exprimé leur inquiétude par rapport à la nouvelle version, nous sommes attentifs à vos commentaires, écrit Melissa Daniels (chargée de gérer la communauté de Yahoo) sur son blog. Nous savons que vous avez travaillé dur sur vos anciens profils et que vous voulez récupérer vos données." (...)
(21/10/2008 15:43:23)Viviane Reding excédée par la riposte graduée
Viviane Reding, la Commissaire européenne à la Société de l'information, montre peu de bienveillance envers Paris. Interrogée par Lemondeinformatique.fr, elle a la dent dure contre les démarches entreprises par Nicolas Sarkozy pour faire annuler un amendement adopté par les eurodéputés. Le chef de l'Etat s'était en effet tourné vers la Commission européenne pour qu'elle rejette le texte, qui condamnait le principe de riposte graduée tel qu'envisagé par le projet de loi français. Si, dans un premier temps, des sources avaient rapporté que Viviane Reding comptait combattre cet amendement, la Commissaire s'était rapidement rangée derrière la position défendue par José Manuel Barroso, le président de l'exécutif européen : la Commission n'interviendra pas et la demande de Nicolas Sarkozy est déplacée. « Je ne veux plus en entendre parler » [[page]] Viviane Reding se défend maintenant d'avoir abordé le sujet : « C'est très simple, je n'ai jamais parlé de la riposte graduée, explique-t-elle au Mondeinformatique.fr. J'ai parlé de la réforme du cadre télécoms. » Pourtant, elle n'hésite pas à désigner l'amendement combattu par Paris, comme « un amendement de compromis ». Gageons que Nicolas Sarkozy aurait choisi un autre adjectif pour qualifier le texte. Quant à une éventuelle intervention de la Commission pour rejeter l'amendement, comme l'avait demandé le président de la République, il n'en est toujours pas question : « la Commission doit respecter le Parlement. Elle transfère donc cet amendement du Parlement à l'autre institution, le Conseil des ministres. Elle attend ensuite ce que le Conseil en fait. Puis, les trois institutions commenceront à discuter ensemble. » Est-ce le sujet de la riposte graduée lui-même ou la multitude de questions auxquelles la Commissaire a dû répondre depuis quelques semaines, toujours est-il que Viviane Reding semble lassée par ce sujet : « D'ici là, je ne veux plus en entendre parler, lâche-t-elle. Maintenant, c'est au Conseil des ministres européens de décider ce qu'il veut faire. » Et, dans une dernière salve adressée à Paris : « Que les Français fassent leur projet de loi dans l'indépendance et sans instrumentaliser les uns et les autres. » (...)
(21/10/2008 14:04:50)Sun lance un avertissement sur ses résultats trimestriels
Après SAP, c'est au tour de Sun Microsystems de prévenir que ses pertes trimestrielles seront plus importantes que prévu. Le chiffre d'affaires pour le premier trimestre 2009 ne devrait pas dépasser 3,05 Md$, contre 3,22 Md$ pour la même période un an plus tôt. « Sun et ses clients ressentent l'impact d'une économie en pleine mutation », a déclaré Jonathan Schwartz, PDG de la société. Sun est en effet un fournisseur informatique qui compte une importante clientèle dans la finance, un secteur fortement malmené depuis quelques semaines par la crise boursière qui a sévi Outre-Atlantique avant de s'abattre sur l'Europe. Schwartz n'exclue pas de privilégier davantage le logiciel Les résultats n'étaient déjà pas très reluisants à la fin du mois de mars (34 M$ de pertes, associées à l'annonce de la suppression de 7,5% de la masse salariale). Sun doit faire face à des frais de restructuration d'un montant de 60 M$ (notamment en raison du rachat de MySQL en janvier dernier, pour un montant de 1 Md$) ainsi qu'aux départs successifs des co-fondateurs de MySQL. Sun publiera l'ensemble de ses résultats le 30 octobre prochain. (...)
(21/10/2008 10:43:27)Deux mesures « vertes » dans le plan France numérique 2012
Si le Grenelle de l'environnement a laissé de côté les TIC, le plan France numérique 2012, lui, n'oublie pas le développement durable. Bien sûr, il appuie sur l'angle sociétal avec une volonté évidente de réduire la fracture numérique et de désenclaver les territoires en généralisant l'accès au haut débit. Le télétravail est également évoqué. Une des conséquences d'une telle démarche serait évidemment une réduction des émissions de gaz à effet de serre liés aux déplacements des employés. Mais le rapport consacre aussi deux mesures sur 154 aux liens directs entre TIC et environnement. Les deux aspects du green IT y sont abordés : l'impact des technologies sur l'environnement d'une part, leur utilisation pour ralentir le réchauffement climatique, de l'autre. On pourra bien sûr regretter, mais comme pour le reste du rapport, que peu de mesures concrètes et aucun élément de budget n'apparaissent. Réduire la consommation des datacenters, à commencer par ceux de l'Etat [[page]]Ainsi, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) est-elle chargée de piloter un programme de recherche et d'expérimentation sur l'optimisation de la consommation énergétique des datacenters et de la réutilisation de l'énergie produite. Et en toute logique, l'Etat s'applique la démarche à lui-même en lançant une étude de ses propres centres serveurs pour en réduire l'impact. L'écoconception et le recyclage sont, quant à eux, au programme d'un groupe de travail réunissant, sur la base du volontariat, les « filières des secteurs producteurs de composants et de services [...] en collaboration avec l'Etat. » Le rapport Besson souhaite aussi sensibiliser les utilisateurs aux bons usages à travers des « campagnes de communication communes regroupant pouvoirs publics, secteur privé et associations environnementales de consommateurs. » Le rapport se préoccupe de ces mêmes utilisateurs souvent inquiets des effets possibles sur la santé des connexions sans fil, GSM ou WiFi par exemple. En effet, la protection de l'environnement et de la santé de la population devient désormais un objectif pour l'Arcep, dans le cadre du Grenelle de l'environnement. Des prix décernés aux entreprises utilisant les TIC pour réduire la consommation énergétique et les émissions de CO2 [[page]]Enfin, le gouvernement crée deux prix. Un prix « green IT » pour le secteur des TIC, et le prix des « TIC au service des cleantech » dans le cadre du Comité d'orientation stratégique des éco-industries (Cosei), créé en juillet à la suite du Grenelle de l'environnement. Les deux prix récompenseront des entreprises utilisant les TIC pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2. Co-présidé par « le ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, du secrétariat d'Etat de l'Industrie et de la Consommation, et du secrétariat d'Etat chargé de la Prospective de l'Evaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, le jury est composé de capitaux-risqueurs, chercheurs, entrepreneurs, dirigeants de grands groupes. » (...)
(20/10/2008 17:46:36)Plan Besson : le haut débit universel en 2010
Ce devait être Nicolas Sarkozy puis Eric Besson. Finalement, ce ne fut qu'Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economique numérique qui a présenté seul, lundi 20 octobre, le plan de développement de l'économie numérique. Le président de la République, rattrapé par la crise financière et la préparation d'un conseil européen, avait donc confié au plus spécialisé de ses ministres la tâche de décrypter un plan qui doit « replacer la France au sein des grandes nations du numérique d'ici à 2012 ». « L'Economie numérique représente le secteur le plus dynamique de l'industrie mondiale mais ce gisement est insuffisamment exploité en France. En investissant davantage sur ce secteur, nous pouvons gagner un point de croissance » a expliqué, en préambule, Eric Besson. Un constat partagé par toute l'assistance qui attendait surtout de savoir comment le gouvernement allait mettre cela en oeuvre. Un inventaire à la Prévert Les idées en tout cas ne manquent pas puisque le plan présenté par le secrétaire d'Etat comporte 154 mesures qui brassent très large : équipement du grand public, fracture numérique, aide aux PME pour s'équiper, développement de l'industrie des logiciels... Personne n'est oublié dans cet inventaire à la Prévert où l'on retiendra cependant quelques idées fortes : le lancement d'un appel d'offres en 2009 pour un haut débit universel dans les zones blanches afin que tous les Français puissent accéder à cette technologie d'ici à 2010 pour moins de 35 euros par mois « matériel compris » ; la création « d'ambassadeurs du numérique » qui rencontreront personnellement les personnes de plus de 70 ans pour les familiariser aux nouvelles technologiques et surtout leur expliquer la fin du basculement de la télévision analogique en 2011 (qui nécessite une adaptation du matériel). A cette occasion, Eric Besson a confirmé que le basculement vers le numérique se fera bien à la date prévue (malgré le scepticisme de tous les acteurs du secteur). Toutes les options ouvertes pour la 4e licence mobile [[page]] Le secrétaire d'Etat a également confirmé qu'une partie des fréquences numériques libérées par la fin de la télévision analogique (la bande 790-862 MHz) sera bien affectée aux télécoms. Revenant sur la 4e licence de téléphonie mobile, Eric Besson a expliqué que « toutes les options sont ouvertes » et qu'un nouvel appel d'offres sera lancé au début 2009. Néanmoins, le gouvernement est resté plutôt flou sur les conditions d'attribution, ne précisant pas si les 15 MHZ disponibles seront découpées par lot ou vendus en bloc. Les entreprises qui concourront devront s'engager « à valoriser le patrimoine numérique, à assurer une couverture minimum et à rentrer dans un processus de concurrence (une référence au délit d'entente pour lequel les trois opérateurs ont été condamnés). Mais il faudra faire également une place pour les MVNO dont la situation « les empêche aujourd'hui d'être concurrentiels ». Interrogé à l'issue de la conférence, Xavier Niel, le fondateur de Free recalé lors du premier appel d'offres, s'est dit plutôt satisfait des propositions soulignant « que tout le monde peut être candidat et qu'apparemment il n'y aura pas un prix fixe comme la première fois mais plutôt un système d'enchères. » (...)
(20/10/2008 15:52:12)Capgemini, IBM et Accenture au coude à coude pour remporter deux gros contrats Total
Selon nos confrères des Echos, Total devrait dévoiler cette semaine à quels prestataires il confiera deux contrats de grande envergure, concernant sa branche de raffinage et de marketing, qui compte plus de 34 000 salariés (sur 96 400). Le premier chantier consiste au renouvellement des équipements informatiques du groupe pétrolier. Parmi les candidats, on retrouve IBM et Capgemini. Le deuxième volet concerne la maintenance des applications SAP, toujours selon le quotidien. Capgemini est encore une fois de la partie, face à Accenture. Ces deux projets représentent un chiffre d'affaires de 30 à 50 M€ chacun. Contacté par la rédaction, Capgemini n'a pas souhaité confirmer cette information. (...)
(20/10/2008 15:42:20)Les entreprises IT et le green, « peut mieux faire » selon Capgemini
Dans une étude intitulée le « Green IT rapport 2008 », Capgemini a enquêté sur les pratiques vertes de six de ses partenaires (EMC, HP, IBM, Intel, Sun et Google). Capgemini a évalué leur attachement au respect de l'environnement. Le rapport souligne que si ces entreprises ont adopté un large éventail de solutions vertes, comme le recyclage ou les énergies renouvelables, il reste beaucoup de choses à faire, notamment au niveau du contrôle du cycle de vie des produits. « Malgré leurs bonnes intentions, la plupart des partenaires interrogés ont souligné la difficulté d'étendre leur politique verte à l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement, en raison de sa complexité », remarque Brian Doherty, consultant chez Capgemini. Dans les bonnes nouvelles, Capgemini salue des initiatives comme l'usine irlandaise d'HP, alimentée pour 90% en énergie éolienne, ce qui permet de réduire l'émission de CO2 dans l'air de 40 000 tonnes par an. Chez Google ce sont des milliers de panneaux solaires qui alimentent une partie de la société à Mountain View, et IBM a fait passer son taux d'utilisation des énergies renouvelables de 2,7% à 7,3% entre 2005 et 2008. Dans son rapport de 104 pages, Capgemini liste une série de recommandations et de points à optimiser, comme le recyclage de l'eau, de plus lourds investissements en R&D pour développer des technologies permettant de limiter les émissions de chaleur ou encore des améliorations concernant la chaîne logistique. (...)
(20/10/2008 13:42:14)L'UTC crée une Fondation de soutien à l'innovation et la recherche
L'université de technologie de Compiègne (UTC) vient d'annoncer la création d'un dispositif qui devrait stimuler l'innovation et favoriser la recherche technologique dans l'enseignement supérieur. Baptisée « Fondation UTC pour l'innovation », la structure mise en place par l'école d'ingénieurs assurera le financement de chaires d'enseignement et de recherche qui couvriront des expertises métiers et des thématiques émergentes nécessitant des qualifications nouvelles. Un fonds de maturation soutiendra les expertises et les études de faisabilité nécessaires à la validation d'un concept (comme la fabrication de prototypes, ou l'élaboration de pré-business plans). Il participera au pré-amorçage de projets embryonnaires, à la phase de pré-incubation pour aider des porteurs de projet ainsi qu'au financement de bourses étudiantes conduisant à la création d'entreprises innovantes. De plus, et pour attirer les meilleurs talents situés à l'international, l'accueil et le séjour d'enseignants-chercheurs étrangers seront pris en charge par la Fondation. 5 M€ d'investissements pour la phase de démarrage L'organisme assurera également le financement d'autres axes de recherche, comme les systèmes de transports innovants, les technologies vertes pour des produits et procédés durables conformément à la réglementation européenne, les plateformes scientifiques et technologiques et la construction de laboratoires HQE (Haute qualité environnementale) dédiés à ces thématiques., La Fondation UTC pour l'innovation a déjà séduit plusieurs acteurs privés et publics : l'Ineris (Institut National de l'Environnement Industriel et des Risques), le Crédit Agricole et le Conseil Régional de Picardie, notamment, lui ont d'ores et déjà octroyé un capital avoisinant les 5 M€. (...)
(20/10/2008 12:36:29)Plan Besson : premier tour d'horizon des principales mesures
Mise à jour : Nicolas Sarkozy renonce finalement à présenter le plan Numérique 2012. Comme la semaine dernière - le dévoilement du rapport avait alors été ajourné - le chef de l'Etat préfère se concentrer sur les solutions à apporter à la crise économique. La présentation du plan est donc assurée par le seul Eric Besson. C'est aujourd'hui que Nicolas Sarkozy, puis Eric Besson, présentent le contenu du plan France Numérique 2012, compilant quelque 150 mesures destinées à doper la croissance par l'usage des TIC. Avant de revenir en détail sur les propositions du plan concocté par le secrétaire d'Etat chargé du Développement de l'économie numérique, en voici les principales dispositions. Nous vous l'indiquions la semaine dernière, le plan fait l'impasse sur le sujet du Libre. Furieuse, l'April n'a pas tardé à se fendre d'un communiqué pour déplorer cette absence. Comme Nicolas Sarkozy l'a répété à de maintes reprises, le plan Besson prévoit l'accès de 100% des ménages au haut débit d'ici à 2012, soit à la fin du quinquennat en cours. Pour cela, une fourniture d'accès universel devrait être lancée en 2010, suite à un appel d'offres auquel pourront participer les collectivités territoriales. Dans le même but, le gouvernement pourrait inciter à la création d'une offre à 1 € par jour, comprenant un PC, l'abonnement à Internet et des sessions de formation. Le plan prévoit en outre le basculement de la télévision analogique vers son pendant numérique avant la fin 2011. Les fréquences ainsi libérées - elles composent le dividende numérique - seront mises en ventes dès 2009 et devraient rapporter près d'1,5 Md€ à l'Etat. Terminons ce rapide tour d'horizon par l'attribution de nouvelles fréquences pour la téléphonie mobile. Un appel d'offres devrait être lancé au début de l'année prochaine et pourrait bénéficier aux opérateurs déjà en place et aux MVNO (opérateurs virtuels). En revanche, l'attribution d'une quatrième licence 3G - longtemps espérée par Iliad - semble être enterrée. (...)
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