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Société
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(31/07/2008 14:58:57)
Le Conseil d'Etat réaffirme le droit à la décompilation
Même s'il a rejeté la requête de l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre), le Conseil d'Etat précise dans ses considérants que l'exception de décompilation n'est pas menacée par le décret n° 2006-1763 « relatif à la répression pénale de certaines atteintes portées au droit d'auteur et aux droits voisins ». Ce décret traduit dans le droit positif les dispositions théoriques de la loi Dadvsi du 1er août 2006 (droits d'auteur et droits voisins dans la société de l'information). Il avait été écrit dans le même esprit que la loi Dadvsi, dont on se souvient du vote sous le coup de manoeuvres et de pressions pour en faire un texte tout répressif. En particulier, le texte du décret passait sous silence l'exception de décompilation en vue d'interopérabilité. Cet oubli laissait planer un doute sur le maintien de cette liberté prévue en particulier par l'article L122-6-1 du Code de la propriété intellectuelle. La lecture du décret par les conseillers d'Etat réaffirme l'existence de cette exception de décompilation. Elle s'applique même aux logiciels libres qui liront les données protégées par une MTP (mesure technique de protection, alias DRM). Il n'en reste pas moins que les amendements dits "Vivendi Universal", qui sanctionnent les logiciels pairs à pairs (peer to peer), restent toujours valables. (...)
(24/07/2008 16:45:42)La quête de l'iPhone, chemin de croix des technophiles
Les jours se suivent et se ressemblent pour qui veut acquérir un iPhone. Les geeks de tout poil et autres technophiles impatients, à force de courir les points de vente, avaient fini par reporter leurs espoirs sur l'approvisionnement dont devait faire l'objet la boutique Orange des Champs Elysées. A 13h45, soit 15 minutes avant le début de la mise en rayon d'après les commerciaux de plusieurs agences, une file d'attente d'environ 250 personnes s'étire sur les trottoirs de l'avenue. Et ne cesse de s'allonger, sous les regards amusés des touristes. Comme dans un jeu de piste Une demi-heure plus tard, l'espoir de repartir avec le Précieux céde la place à une nouvelle déception : les stocks d'iPhone 16 Go sont vides. Seuls restent 200 modèles 8 Go. Et, une nouvelle fois, comme dans un jeu de piste, rendez-vous est donné dans d'autres lieux. Les agences de la rue de Rennes, Boulogne, République et Italie 2 devraient en effet recevoir le smartphone demain, à la mi-journée. D'ici là, pas question de se rabattre sur la boutique en ligne, qui affiche invariablement une rupture de stock sur tous les modèles. Contacté par la rédaction, le service de presse d'Orange s'avère incapable de communiquer le moindre renseignement sur les prochains approvisionnements, ni sur le nombre d'exemplaires déjà vendus. Et pour compliquer encore un peu plus les choses, le micro-site mis en ligne par l'opérateur pour suivre l'état des stocks de tous les points de vente n'affiche plus aucun renseignement. Certainement parce que les informations qui y apparaissaient ne reflétaient pas la réalité. (...)
(23/07/2008 16:24:50)La France à la traîne de l'Europe en matière d'utilisation des TIC
La France utilise moins l'informatique et Internet que les allemands, les anglais et les habitants des pays nordiques. Tel est le tableau en demi-teinte de la numérisation de l'économie et de la société française que dresse le Sessi (Service d'études et de statistiques industrielles), en charge de statistiques au Ministère de l'Économie et des Finances. Certes, le taux d'équipement en ordinateurs des entreprises frôle les 100%, En revanche, si l'on s'intéresse à la fréquence de l'usage de l'informatique par leurs salariés, la France se place en dessous de la moyenne de l'Europe (Europe des 15) qui s'établit à 53%. A titre indicatif, les pays où les salariés utilisent le plus l'ordinateur sont la Finlande (70%), l'Allemagne (61%) et les Pays-Bas (59%). Les français utilisent moins Internet au travail que leurs voisins Même constat pour la part des salariés utilisant au moins une fois par semaine Internet dans le cadre de leur travail. Cette part n'atteint que 38% en France. Elle est inférieure à la moyenne européenne (41%) et loin derrière celle des deux premiers pays, la Finlande (62%) et le Danemark (60%), mais aussi derrière celle de nos deux grands voisins, l'Allemagne (47%) et le Royaume-Uni (44%). Les entreprises françaises sont aussi à la traîne à l'aune de l'indicateur de l'équipement en réseau local. Là encore, le taux d'équipement en France est inférieur à la moyenne européenne qui se situe à 75%. Même constat pour la proportion d'entreprises qui on mis en place un site Internet. Elles sont 62% dans ce cas, soit un taux encore une fois inférieur à la moyenne européenne. Le nombre de serveurs sécurisés pour 100 000 habitants permet, quant à lui, d'apprécier la propension d'une population à effectuer des transactions sur Internet. La moyenne des pays membres de l'OCDE s'établit à 37 serveurs sécurisés pour 100 000 habitants. La France est nettement en queue de liste avec moins de 10 serveurs. A titre indicatif, le Royaume-Uni, troisième pays au monde, en compte 55. L'équipement à la maison n'est pas plus satisfaisant [[page]]Le train de vie numérique des ménages français ne permet pas de redorer le blason national. A données comparables, le taux d'équipement en micro des ménages français atteint 62%, soit en dessous de la moyenne de l'UE des quinze (68%) et loin derrière Le Danemark, la Suède et les Pays-Bas avec chacun 83 % des ménages, l'Allemagne (79 %), le Royaume-Uni (75 %) et la Finlande (74 %). Pour l'accès Internet, les données comptabilisées par Eurostat donnent un taux d'équipement des ménages français de 49%. Un taux bien faible comparé à celui constaté en moyenne dans l'UE à 27 (54%) et surtout par rapport à celui des Pays-Bas, de la Suède et du Danemark (tous autour de 80%), de l'Allemagne (71%), de la Finlande (69%) et du Royaume-Uni (67 %). (...)
(23/07/2008 15:56:50)Trimestriels : Yahoo déçoit avec un bénéfice net en chute de 18%
A quelques jours de son assemblée générale (le 1er août), les résultats du deuxième trimestre publiés hier par Yahoo sont mitigés. Le chiffre d'affaires affiche 6 petits points de plus que l'an dernier, le bénéfice net est en perte de vitesse (-18%) et le bénéfice opérationnel (-45%) est plombé par les efforts déployés par Yahoo pour échapper à l'étreinte de Microsoft (22 M$ de frais juridiques), ainsi que par les investissement consentis pour améliorer la plateforme publicitaire du portail. C'est un ouf de soulagement que pourrait néanmoins pousser Jerry Yang - du moins temporairement. Malmené depuis l'OPA hostile lancée par Microsoft, Yahoo vient en effet de retrouver un semblant de quiétude, en signant un accord avec Carl Icahn, l'actionnaire milliardaire mécontent de l'obstination du PDG de Yahoo à refuser les avances de Microsoft. Au vu des résultats décevants diffusés hier, il vaut mieux pour Yahoo affronter la prochaine assemblée générale avec Icahn dans la poche. Reste à savoir si cet arrangement à l'amiable suffira à convaincre les autres actionnaires de faire confiance au conseil administratif actuel. A l'instar de son prédécesseur, Terry Semel, Jerry Yang pourrait y perdre la tête. (...)
(18/07/2008 15:26:01)Reportage vidéo : au coeur de la filière des DEEE
Retrouvez notre reportage vidéo sur la filière DEEE. Depuis 2005, les conditions de collecte et de valorisation des déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) font l'objet d'une directive européenne. Parmi ces déchets, on trouve entre autres l'informatique (UC, écrans, imprimantes, téléphones, etc.) Transposée en France fin 2006, la directive conduit les entreprises à s'organiser pour que leurs appareils électriques et électroniques hors d'usage soient recyclés ou réhabilités. Le grand public, lui, s'acquitte d'une écotaxe chaque fois qu'il achète un appareil. Celle-ci finance en partie la récolte et l'acheminement des déchets vers le retraitement. Ce sont les producteurs des déchets, rassemblés au sein de quatre éco-organismes en France agréés par l'Etat, qui s'occupent de la filière. C'est avec l'un de ces éco-organismes, Eco-Systèmes, que nous avons pu suivre avec notre caméra les diverses étapes suivies par ces déchets et ce, dans l'agglomération d'Angers. Cette dernière accueille en effet sur son territoire huit déchetteries, une usine de retraitement des DEEE, mais aussi un centre Emmaüs et l'entreprise Envie49 qui récupèrent les appareils pour les trier et les recycler. (...)
(16/07/2008 14:06:52)Renaissance numérique remplit la boîte à idées d'Eric Besson
Douze mesures de plus dans la boîte à idées d'Eric Besson. Le secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique a reçu hier, 15 juillet, les propositions de l'association Renaissance numérique. Ces suggestions viennent enrichir les pistes de réflexion débattues lors des Assises du numérique et peuvent être commentées en ligne. Le but de Renaissance numérique - et des propositions soumises à Eric Besson - est « de développer l'économie d'Internet pour en faire profiter le plus grand nombre », explique le président de l'association, François-Xavier Hussherr. De fait, si le groupement est composé d'universitaires et de nombreux représentants des grands acteurs du Web (les PDG de Dailymotion, Seloger, Expedia ; les DG de la Fevad, Yahoo France, eBay France, etc.), il se défend d'agir comme un lobby défendant ses propres intérêts. Au contraire, souligne François-Xavier Hussherr, il faut y voir « la contribution citoyenne de gens qui passent leur vie dans le numérique ». Les mesures avancées par Renaissance numérique partent d'un constat : « seuls 52% des foyers français sont connectés à Internet. Ceux qui ne le sont pas induisent une perte de compétitivité forte pour le pays. Il faut rattraper ce retard », indique le président de l'association. Les 12 propositions tournent autour de trois axes : l'équipement, les réseaux et la formation. Citons ainsi la mise en place d'une plateforme visant à faciliter le reconditionnement du matériel informatique, le développement de la donation par les entreprises, la formation des enseignants aux TIC, la création d'émissions de télévisions consacrées au Web et aux TIC ou les nécessaires efforts à faire sur l'accessibilité des sites Internet. (...)
(11/07/2008 15:37:15)Eric Besson veut relancer la commission de la copie privée (MàJ)
Sauver la commission de la copie privée. C'est l'objectif des propositions dévoilées par Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, et visant à réformer la commission dite d'Albis, chargée d'établir les montants des taxes pour copie privée s'appliquant aux ventes de médias vierges et de matériel électronique. La commission, composée de représentants des industriels, des ayants droit et des consommateurs, fonctionne, il est vrai, de façon chaotique et contestée. Ainsi, les industriels ont-ils claqué la porte en début d'année en reprochant « le mauvais fonctionnement de cette instance ». De même, plusieurs actions devant le Conseil d'Etat ont été entreprises par des associations de consommateurs désireuses de voir annulée la décision établissant une taxe sur les disques durs et médias vierges. Le premier ministre lui-même avait laissé entendre que la commission avait bien besoin d'une remise à plat afin que ses décisions découlent enfin d'une « procédure objective et transparente ». Objectif d'Eric Besson : éduquer les consommateurs Les propositions avancées par Eric Besson prévoient d'améliorer la transparence des mesures touchant les consommateurs, et de modifier la façon dont sont prises les décisions au sein de la commission. Sur le premier volet, le secrétaire d'Etat envisage d'imposer l'affichage du montant de la taxe et d'un message explicatif justifiant son existence sur les produits qui y sont soumis. Une disposition censée permettre aux consommateurs de comprendre l'intérêt de ce prélèvement. « C'est une vieille demande, explique Frédérique Pfrunder, chargée de mission à la CLCV. Il est intéressant de donner une information, se sensibiliser le consommateur sur ce qu'est la copie privée et sur sa justification. » [[page]] Eric Besson suggère également d'augmenter les moyens de la commission d'Albis afin de lui permettre de commander des études indépendantes. Un changement d'envergure puisque, jusqu'à présent, ce sont les différents collèges qui diligentent les études servant de base aux réflexions de la commission. L'objectivité des conclusions n'est donc pas garantie et, si les industriels et les ayants droit disposent des moyens suffisants à l'organisation de telles enquêtes, ce n'est pas le cas des représentants des consommateurs. Enfin, le secrétaire d'Etat souhaite doter les décisions de la commission de la copie privée de davantage de légitimité. Pour cela, il propose de donner à son président le pouvoir de demander une seconde délibération d'une décision, qui devrait être prise à la majorité qualifiée. Une mesure qui laisse Frédérique Pfrunder sceptique : « Ca ne changerait rien. Aujourd'hui, toutes les décisions sont prises avec l'accord du président. Il faudrait plutôt donner à tous les collèges la possibilité de demander une double délibération. Ou imaginer un nombre égal de représentants des différentes parties.» Aujourd'hui, la commission de la copie privée est composée de 12 représentants des ayants droit, 6 représentants des consommateurs et 6 représentants des industriels. Dans le même souci d'apporter du crédit aux travaux de la commission, Eric Besson entend renforcer la représentativité de ses membres en impliquant, pour leur désignation, le ministère de l'Industrie et le secrétariat d'Etat à la Consommation aux côté du ministère de la Culture, aujourd'hui seul décisionnaire. Rien sur le calcul de l'assiette En revanche, Eric Besson n'évoque pas la façon dont doit être évaluée la taxe à l'avenir. En particulier, nulle mention n'est faite du problème crucial de la contrefaçon : l'assiette de la redevance doit-elle continuer à prendre en compte le manque à gagner des ayants droit dû au téléchargement illégal ? A cette question, les industriels et les consommateurs apportent une réponse négative ne souffrant aucune contestation. « C'est le vrai problème de fond, estime Frédérique Pfrunder. Certes, il est appréciable de constater qu'Eric Besson s'intéresse à la copie privée. Mais ce qu'il propose ne va pas assez loin, tout cela est en demi-teinte. » Les industriels, marris depuis le mois de février, font même de la suppression de la prise en compte de la contrefaçon la condition sine qua non de leur retour aux réunions de la commission. Leur politique de la chaise vide pourrait toutefois avoir courroucé Eric Besson, qui prévoit de sanctionner l'absentéisme. Au-delà de trois absences consécutives non justifiées, le mandat du représentant pourrait ainsi lui être retiré. Et les râleurs, écartés. Dernière minute : la commission retoquée par le Conseil d'état Dernière minute : nous apprenons à l'heure où nous publions ces lignes, que le Conseil d'Etat a finalement retoqué la commission d'Albis en annulant, comme le demandait le Simavelec (Syndicat de l'industrie de matériels audiovisuels électroniques), la décision de 2006 fixant le montant de la taxe pour copie privée pour un certain nombre de support. Motif invoqué par le juge administratif : « la détermination de la rémunération pour copie privée ne peut prendre en considération que les copies licites ». Une position conforme aux doléances des industriels et des consommateurs. Nous reviendrons sur cette information la semaine prochaine. (...)
(11/07/2008 13:35:08)Cegid et HP s'allient pour offrir une solution clé en main aux TPE
Partenaires depuis 15 ans, Cegid et HP proposent un package clé en main aux TPE qui souhaitent s'équiper en ordinateurs et en progiciel de gestion intégrée, et qui n'arrivent pas à s'y retrouver parmi la multiplicité des options et des interlocuteurs. Cette offre comprend le matériel (un ordinateur portable HP 6710b ou un PC de bureau HP dc5800) et des logiciels (le Pack Microsoft Office PME ainsi que le progiciel de gestion de Cegid, Business Line). L'ERP se décline en trois versions, Premium, Optimum et Millenium, et les prix démarrent à partir de 797 € pour un pack comptabilité, 887 € si on rajoute la gestion commerciale - ces tarifs prenant en compte un remboursement si le client passe directement par HP ou Cegid. « Avec cette offre, nous allons directement adresser notre clientèle TPE, et développer un canal de distribution complémentaire de notre voie traditionnelle, à savoir la préconisation par des cabinets d'experts comptables », explique Bertrand Gall, directeur marketing opérationnel chez Cegid. L'offre est disponible en mode SaaS (hébergée) ou sur poste de travail. Pour le moment, l'offre d'HP et de Cegid est générique, mais les deux partenaires devraient développer des solutions verticales avant la fin de l'année, afin de répondre aux besoins spécifiques de certains marchés, comme le BTP, l'hôtellerie-restauration ou la mode. (...)
(11/07/2008 10:46:32)Le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques récompense 60 projets informatiques
Cette année, pour sa dixième édition, le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques innovantes a récompensé près de 200 projets sur 1 174 dossiers reçus. Sur 175 lauréats, une soixantaine de projets informatique ont été sélectionnés. Dans la catégorie projets en cours de création ou de développement, l'éditeur Lemonway a été retenu pour sa capacité à innover dans la banque 2.0 et le guichet virtuel. Il s'agit en effet de mettre en oeuvre une plateforme mobile de paiement sécurisée multi-banques, destinée aux institutions financières. Une solution construite autour d'une boîte noire de sécurité permettant le cryptage et la compression des flux de données financières échangées directement entre les téléphones mobiles et les systèmes bancaires sécurisés. 230 000 € obtenus grâce aux subventions perçues à l'issue du concours Mais le projet nécessitait un budget important pour que les transactions puissent se faire directement par téléphone, sans passer par les banques. Dans certains pays, en Afrique par exemple, les établissements financiers ne sont pas toujours présents. « L'application nécessitait 230 000 € supplémentaires, que nous avons pu obtenir grâce aux subventions perçues à l'issue du concours », expose Sébastien Burleat, PDG de Lemonway. Désormais, ce programme innovant pourra compter sur les 400 000 euros de subventions offertes dans le cadre du concours. [[page]] Un label précieux pour attirer les investisseurs Le fait d'avoir été sélectionné à l'issue d'une compétition nationale permettra également au jeune entrepreneur d'augmenter ses chances auprès des investisseurs. « La rigueur des critères de sélection et la réputation d'excellence du concours crédibilisent le projet et lui confèrent un label précieux pour la recherche de financements complémentaires », précise le créateur de projet. Laurent Bourmault, concourait, lui, pour la seconde fois dans la catégorie projets en émergence. Cette fois, la récompense tant espérée a été attribuée à ShareNews Services, sa régie publicitaire en ligne à vocation culturelle destinée à valoriser le rôle des entreprises privées dans le financement de la culture. « L'an dernier, le projet avait pourtant retenu l'attention des organisateurs, se souvient-il. Mais il manquait de maturité et exigeait le renforcement des équipes qui travaillaient à son développement. » Cette année, il a su convaincre le jury. Du coup, Laurent Bourmault se prépare à participer de nouveau l'année prochaine, dans la catégorie création et développement. Ce type de concours est un moyen pour lui d'attirer investisseurs et business angels. Une priorité pour tout porteur de projet, selon lui. (...)
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