Flux RSS

Société

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1898 documents trouvés, affichage des résultats 931 à 940.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(14/05/2008 16:57:43)

Le Cell d'IBM s'offre un nouveau serveur lame

IBM lance un nouveau serveur lame à base de processeurs Cell, le BladeCenter QS22. Celui-ci intègre une nouvelle version compatible avec l'architecture Cell Broadband Engine (Cell/B.E.), le PowerXCell 8i. La puce est cinq fois plus rapide que le Cell/B.E. d'origine, et comprend 16 fois plus de mémoire (jusqu'à 32 Go). Le serveur est équipé de Red Hat Enterprise Linux et de Eclipse pour le développement. Big Blue estime que son nouveau serveur pourrait par exemple servir, dans certaines configurations, à diagnostiquer une tumeur en quelques secondes plutôt que quelques heures. Vingt partenaires et trente-cinq universités participeront au développement de l'écosystème HPC (high performance computing) de ce nouveau serveur, en développant des applications capables d'exploiter au mieux ses capacités. Une nouvelle version du kit de développement parallèle Le Cell est en effet un multi-processeur très spécifique, destiné au calcul intensif, qui comprend un processeur principal de type Power PC qui se décharge de certaines tâches gourmandes sur huit autres processeurs connexes. Un système qui exige donc une parallélisation particulière des applications. C'est pourquoi en même temps que son nouveau serveur, IBM rend disponible une mise à jour de son SDK (Software Development Kit) For Multicore Acceleration v3. Selon IBM, la finance, les media numériques et l'imagerie médicale ont désormais besoin de ce type de serveurs conçus pour le calcul intensif. C'est donc logiquement que parmi les 50 premiers clients se trouve le studio d'animation Threshold Animation Studio. Les éditeurs de grid Platform Computing et de simulation immersive Simudyne font également partie des utilisateurs. (...)

(14/05/2008 16:14:24)

Exclusif : les dessous du scandale du Référentiel général d'interopérabilité

Avant d'entrer dans le vif du sujet, nos confrères de CIO tiennent à préciser : « le texte qui nous est parvenu est, pour nous, crédible, notamment à cause des voies empruntées, raison pour laquelle notre rédaction a décidé de publier cet article. Il convient toutefois de rester prudent. » A l'automne dernier, la direction de Microsoft aurait rencontré les plus hautes instances de la République Française . L'éditeur voulait à tout prix bloquer la publication du Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI), consacrant le format OpenDocument, normalisé ISO, comme seul format bureautique de l'administration française. Ce format est en effet soutenu par tous les concurrents du géant de Redmond, empêtré à l'époque dans le refus de voir son propre format, Office OpenXML, confié au consortium ECMA, et dont la standardisation avait été rejetée dans un premier temps par les membres de l'ISO. Depuis, Open XML a obtenu sa normalisation (à noter que la France s'est abstenue de voter). [[page]] Par ailleurs, Microsoft Office 2007 a été conçu autour et pour le seul format Open XML. D'où les craintes de l'adoption d'ODF comme format unique. Ce choix exclusif aurait pu donner un coup fatal à la suite bureautique d'Office 2007, et mettre à mal la domination de Microsoft. L'éditeur aurait donc remis aux dirigeants français une note de six pages sur le Référentiel Général d'Interopérabilité. Il en aurait résulté un retard volontaire de la publication du RGI, pourtant prêt à être appliqué, ainsi que l'intégration d'Office OpenXML dans le RGI, une fois la normalisation ISO de ce format obtenue. C'est cette note qui serait parvenue à la rédaction de CIO. Microsoft y liste les raisons pour lesquelles le choix unique d'ODF serait néfaste pour les administrations et bafouerait « le respect de l'égalité de traitement ». (...)

(14/05/2008 12:16:58)

Index Monster : toujours plus d'offres d'emploi en R&D

En avril, l'index de l'emploi publié par le spécialiste de la gestion de carrière en ligne Monster pour identifier les tendances du recrutement en ligne, n'a progressé que d'un point, à 161. En revanche, cette reprise très modérée de l'emploi en ligne ne concerne pas les informaticiens, et encore moins les chercheurs. C'est en effet dans le domaine de la recherche et le développement que la dynamique reste la plus soutenue. Dans ce secteur, le volume des offres d'emploi a atteint le taux de croissance le plus élevé au cours des douze derniers mois, avec un index particulièrement élevé en avril, à 192 points. Dans l'informatique, l'activité de recrutement en ligne s'est poursuivie au cours du mois dernier, mais de façon nettement plus modeste : dans cette catégorie, l'indice progresse de cinq points, pour atteindre les 118. Selon Monster, la plupart des régions ont observé une croissance soutenue du nombre de postes à pourvoir sur Internet, à l'exception toutefois de la région Ouest, dont la quantité d'offres est plutôt revue à la baisse. Le Nord est la région qui affiche la plus forte progression du volume des offres, sur les douze derniers mois, devant l'Ile-de-France. En région parisienne, l'index a gagné deux points, grâce à une hausse de la demande des recruteurs dans le conseil, le management, et les télécommunications, et ce pour le troisième mois consécutif. (...)

(14/05/2008 11:27:32)

Annuels : l'intégration de MIBS profite à Overlap

Overlap Groupe a publié des résultats annuels conformes à ses objectifs, suite à la fusion avec MIBS, filiale d'IB Group. Le chiffre d'affaires de la nouvelle entité (officiellement créée le 22 novembre dernier) s'élève à 154,3 M€, contre 116,3 M€ en 2006, en hausse de 33%. A périmètre comparable, la progression est plus modeste (+8%). Les quatre mois d'activité de MIBS (qui évolue essentiellement dans l'univers HP, alors qu'Overlap est plutôt positionné dans le monde des mainframes IBM et la sécurité) apportent 29 M€ à la SSII française. Dans le détail, ce sont surtout les activités infrastructures qui contribuent à ces bons résultats (111,5 M€, soit + 46%). Les sociétés Overlap, MIBS et Hexalis (du groupe Overlap) ont d'ailleurs fondu leurs branches infrastructures au sein d'une même entité, baptisée Ovesys. La part des services quant à elle a quasiment doublé, pour atteindre les 39,8 M€. La SSII publiera l'ensemble de ses résultats financiers pour 2007 le 30 juin. Elle emploie actuellement 500 personnes en France et en Suisse, et vise un chiffre d'affaires de 230 M€ pour le prochain exercice annuel. (...)

(13/05/2008 15:42:23)

Larousse lance une encyclopédie contributive sur Internet

A la manière de Wikipédia, la maison d'édition française Larousse a choisi de s'engouffrer dans la brèche du mode participatif. L'éditeur vient en effet d'annoncer le lancement d'une encyclopédie contributive sur Internet. Celle-ci juxtapose, en consultation gratuite sur le site www.larousse.fr, le contenu de son dictionnaire (150 000 articles et 10 000 images) et des contributions d'internautes. Un espace personnel permet à chaque participant de se présenter, d'être informé sur les nouvelles publications de ses thèmes favoris, de retrouver l'ensemble de ses contributions et d'être alerté dès qu'un commentaire est posté sur l'un de ses articles ou l'une de ses photos. Des articles signés par leurs auteurs Mais contrairement au concurrent Wikipédia, les contributeurs devront être identifiés pour pouvoir mettre leur contenu en ligne et eux seuls auront le droit de le modifier. Pas question d'aller mettre son grain de sel sur un article d'internaute déjà publié. « Nous avons placé le respect et la valorisation du droit d'auteur au centre de notre concept, commente Isabelle Jeuge-Maynart, PDG de Larousse. Les auteurs peuvent signer leurs articles et personne ne peut les modifier à part eux. Cela devrait rassurer bon nombre d'experts qui, aujourd'hui, sont parfois réticents à publier leurs contenus sur Internet. » Larousse compte également sur de nouvelles fonctionnalités, prévues dans les prochains mois, pour enrichir la consultation de son encyclopédie et les échanges entre les contributeurs : au menu, des outils collaboratifs (gestion de groupe, modifications et corrections sous contrôle d'un auteur référent), une recherche thématique (par article, médias, chronologie) et la création de dossiers personnels. Optant pour un modèle plus traditionnel, la maison Robert réfléchit pour sa part à la mise en ligne, en accès payant, de son dictionnaire de langue française d'ici la fin de l'année. (...)

(09/05/2008 18:28:04)

Une voiture Google parcourt Paris afin de cartographier la ville

Le service Street View de Google nécessite qu'un véhicule se déplace dans les rues des villes afin de disposer d'images vues du sol. L'information provient du site zorgloob.com, spécialisé dans les informations sur Google et qui publie une photo de la voiture en question. Il s'agit d'un modèle Opel, doté d'un impressionnant appareillage de prise de vues sur son toit. Un discret logo Google apparaît sur la portière du véhicule. D'autres villes européennes sont cartographiées de façon similaire. Par le plus grand des hasards Par un hasard des plus étonnants, un véhicule de Google est passé vers treize heures par Puteaux, juste en face des bureaux de notre publication, LeMondeInformatique.fr. Ce véhicule ne possède pas de logo Google sur ses portières, c'est son chauffeur - très pressé alors qu'il était en train de retirer la housse de protection de l'appareillage de prise de vues - qui nous a confirmé travailler pour Google. Un de nos journalistes, Peter Sayer, a eu tout juste le temps de prendre les photos de la voiture afin d'illustrer cet article. Le droit à l'image en France Les prises de vue destinées au service Street View viennent compléter les images par satellite offertes par le service Google Maps. Si ce service va ramener énormément de données à Google, la société risque aussi de récolter quelques poursuites vu le contexte particulier des lois sur le droit à l'image en France, et selon la manière dont les images seront exploitées.[[page]]Vu le beau temps qui règne sur Paris, les terrasses des cafés risquent d'être pleines de monde et elles vont être captées par les appareils photo de Google. Or, vu les règles sur le droit à l'image en France, il est interdit de publier ces photos sans l'accord des intéressés. Les photos incriminées retirées Jusqu'alors, Google attend afin de ne lancer le service en Europe que lorsqu'il a pu s'assurer de respecter les législations locales, a assuré un porte parole officiel du groupe à l'agence de presse IDG News Service. Aux Etats Unis, le service Street View a déjà entraîné quelques poursuites judiciaires depuis son lancement en Mai 2007. La réponse de Google a été de retirer les images incriminées. (...)

(09/05/2008 17:25:45)

Les actionnaires de Google le questionnent sur les droits de l'Homme

Au cours de leur réunion annuelle, les actionnaires de Google ont fini par rejeter deux propositions sur la politique de l'entreprise en matière de droits de l'Homme. Ce faisant, ils ont suivi l'avis du conseil d'administration. Malgré le vote, le sujet a dominé l'ensemble de la réunion. Sergey Brin, co-fondateur et président des technologies, s'est abstenu sur les deux propositions. Il a expliqué être en accord avec leur esprit mais pas complètement avec leur formulation. La première idée des actionnaires provenait d'un fonds de pension des employés de la ville de New York qui représente 200 M$ chez Google. Présenté par Tony Cruz, représentant d'Amnesty International, elle suggérait que Google institue des politiques de protection de la liberté d'accès à Internet. Ce qui aurait impliqué que l'Américain use de tous les moyens légaux pour refuser d'appliquer la censure, qu'il informe les utilisateurs lorsqu'il aurait dû céder sur le sujet, qu'il conserve les informations permettant d'identifier les utilisateurs uniquement dans les pays qui ne restreignent pas l'accès à Internet. Peut nettement mieux faire La seconde proposition refusée à la réunion des actionnaires réclamait la création d'un comité des droits de l'Homme chez Google. Celui-ci aurait vérifier les implications en la matière de la politique globale de l'entreprise. Comme l'a expliqué Tony Cruz, Google participe à une initiative pour définir des règles quant à la façon dont les entreprises devraient répondre aux demandes de censure dans des pays comme la Chine. Un pas dans la bonne direction, comme le confirme le représentant d'Amnesty International, mais Google n'a par ailleurs procédé à aucune amélioration depuis son installation en Chine. Plusieurs entreprises technologiques américaines ont elles-aussi, récemment, été critiquées pour leurs activités en Chine. Et Google était en première ligne avec une version de son moteur de recherche qui se conforme à la censure exercée dans l'Empire du Milieu. Il s'est défendu, arguant qu'il valait mieux avoir une présence dans le pays et offrir un peu d'information à la population plutôt que de ne pas être présent du tout. Google aurait inspiré Baidu vers plus d'ouverture [[page]]Pour défendre les activités de Google en Chine, Sergey Brin assure que l'entreprise veille, bien plus que d'autres éditeurs de moteurs de recherche, à ce que l'information soit librement accessible. Il a sans doute ainsi fait référence à Yahoo qui a fourni aux autorités chinoises des informations qui ont conduit à l'emprisonnement d'un écrivain. Selon son co-fondateur, Google aurait même influencé Baidu, le moteur de recherche local. A l'instar de son homologue américain, ce dernier aurait ainsi commencé à indiquer à ses utilisateurs quand il omettait une information sur demande du gouvernement. Sergey Brin assure que Google ne s'est pas installé en Chine pour les revenus qu'il pourrait en tirer. "Notre objectif premier dans des pays comme celui-là n'est pas de générer le maximum de chiffre d'affaires, affirme-t-il. Nous pourrions abandonner notre site demain sans que cela n'ait aucun effet sur nos résultats. En Chine, notre but était de faire ce qu'il y avait de plus positif. » Une remarque qui fut loin d'apaiser l'ensemble des actionnaires présents dans la salle. (...)

(09/05/2008 12:11:19)

Vente liée : Asus condamné par le Tribunal de Caen

En plein coeur d'un procès qui oppose l'UFC-Que Choisir à des constructeurs de PC ainsi que de grandes enseignes depuis deux ans, l'association de consommateurs vient de remporter encore un round. Un particulier a en effet porté plainte auprès du Tribunal de proximité de Caen (Calvados), mécontent de devoir acheter un ordinateur Asus avec des logiciels pré installés (et donc payants) dont il ne voulait pas. Le Tribunal a tranché en faveur du plaignant, et a condamné Asus à lui rembourser le prix des logiciels imposés par cette vente liée. En septembre dernier, le Tribunal de proximité de Puteaux (92) avait donné gain de cause à un autre consommateur contre Acer, pour des raisons similaires. L'Aful (association francophone des utilisateurs de Linux et des logiciels libres) se félicite évidemment de cette décision. Dans un communiqué, elle indique : « en attendant le jugement du TGI, cette décision devrait amener les constructeurs informatiques à se montrer plus conciliants en matière de remboursement. (...) Ils devront revoir leurs pratiques, sous peine de voir les recours se multiplier ». L'Aful rappelle également que tout client dispose de la liberté d'opter pour le système d'exploitation de son choix, et milite pour la possibilité d'acheter des ordinateurs « nus ». D'après eux, « la pré-installation de Windows ne devrait pas être une obligation, mais une option ». Des articles du Code de la Consommation (en particulier l'article L.122-1) vont d'ailleurs dans ce sens, en interdisant la vente liée. Dans les faits, la loi est loin d'être appliquée. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >