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(07/05/2008 17:45:37)

Le projet de loi antipiratage aussi « extrémiste » qu'attendu

Le Conseil d'Etat vient de recevoir le projet de loi pour lutter contre le piratage. Concocté sur la base des préconisations de la mission Olivennes, ce projet, sous couvert d'une "riposte graduée", prévoit de couper l'accès à Internet des abonnés pris en flagrant délit de piratage. Tout en continuant de payer son FAI, le délinquant sera privé d'accès à Internet de six mois à un an. Le projet, mis en ligne par l'association "La Quadrature du Net", reprend donc à la lettre ce qui avait déjà été dévoilé en février dernier. Cette sanction, dans la droite ligne de la loi Dadvsi, va à l'encontre d'un amendement à un rapport voté par les parlementaires européens. Ces derniers pressent les Etats membres d'« éviter l'adoption de mesures allant à l'encontre des droits de l'Homme, des droits civiques et des principes de proportionnalité, d'efficacité et d'effet dissuasif, telles que l'interruption de l'accès à Internet ». Cette position est défendue, entre autres, par Michel Rocard : « Pour moi, la coupure éventuelle de l'Internet est une punition collective, principe interdit par tous nos systèmes de droit. » D'après Christine Albanel, ministre de la Culture, les députés européens tel Michel Rocard n'ont pas tout compris. Christophe Espern, un des cofondateurs de l'initiative EUCD.Info et représentant de l'April au Forum des Droits sur Internet, parle, lui, de « dispositions extrémistes ». Mais il suffit se de souvenir qu'Olivier Bomsel, l'un des quatre membres de la commission Olivennes, avait qualifié de « secte de charlatans » l'association de consommateurs UFC-Que choisir (dans une tribune publiée dans Libération) pour comprendre l'état d'esprit qui a présidé à la rédaction de ce projet de loi. (...)

(07/05/2008 15:47:34)

Bill Gates : Microsoft a déjà oublié Yahoo

Après le retrait de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft samedi 3 mai, c'est au tour de Bill Gates de s'exprimer. Le co-fondateur de l'éditeur de logiciels a déclaré aujourd'hui, lors d'une conférence à Tokyo, que désormais Microsoft « se concentre sur sa stratégie d'indépendance ». Tout en déplorant avoir « fait beaucoup d'efforts pour parler à Yahoo », sans succès. En d'autres termes, aucune offre de rachat ne sera formulée dans les semaines qui viennent, et la porte entre ouverte hier par Jerry Yang, sous la pression des actionnaires, risque bien de se refermer définitivement. L'échec de cette OPA est également une claque infligée à Microsoft, qui cherchait, à travers cette opération, à accélérer son positionnement sur le marché de la recherche et de la publicité en ligne, dominé par l'intouchable mastodonte Google. Pas question cependant pour Bill Gates de faire profil bas. Il s'est employé à mettre en avant la suprématie de Microsoft dans le secteur des logiciels : « un nombre croissant d'appareils tournent grâce à nos outils », a-t-il déclaré. (...)

(07/05/2008 13:00:13)

Quatre arrestations dans une affaire d'arnaque autour de Paypal

Quatre personnes ont été arrêtées lundi 6 mai pour « escroquerie en bande organisée » et « recel d'escroquerie en bande organisée », dans le cadre d'une vaste arnaque autour de Paypal, le service de paiement en ligne appartenant à eBay. C'est un jeune Tunisien de 17 ans qui tirait les ficelles de ce réseau très bien organisé. Il est parvenu à se procurer les coordonnées de connexion Paypal d'internautes en leur adressant des mails renvoyant sur un site, clone de Paypal, selon une méthode dite de 'phishing' désormais bien éprouvée. Le jeune homme a ensuite tissé un petit réseau de complices en France, dont la mission était de blanchir l'argent récolté frauduleusement. Pour plus de précautions, il leur envoyait de petites sommes (entre 50 et 1500 euros) sur leurs comptes Paypal, en les chargeant d'acheter du matériel high-tech. Une partie du butin était ensuite expédiée en Tunisie, le reste leur servait d'argent de poche. C'est d'ailleurs dans un bureau de poste de Montpellier que le premier complice s'est fait pincer. Il s'apprêtait à envoyer un colis au cerveau de l'arnaque. La perquisition de son appartement a confirmé les soupçons des enquêteurs (empilement de matériel IT, bordereaux Chronopost à destination de la Tunisie, preuves sur son ordinateur). Ils ont ensuite remonté la filière et interpellé trois autres étudiants à Rennes, Valenciennes et Toulouse. Officiellement, la bande aurait ainsi pillé 19 internautes, pour un montant global de 20 000 euros, mais la police parle du piratage de 10 000 autres comptes Paypal. Le cerveau de l'opération, identifié, court toujours Quant au cerveau de l'arnaque, il a été identifié (il s'agirait d'un parent de l'un des étudiants français) mais court toujours et peut donc continuer à oeuvrer. [[page]]Les ambitions du jeune Tunisien ne se limitaient pas à Paypal France, il comptait également s'attaquer à des banques américaines, comme la Barclay's. L'Arsène Lupin en herbe se retrouve donc avec une commission rogatoire internationale sur le dos. Pour endiguer ce phénomène difficile à juguler, Paypal a envisagé de bloquer les internautes utilisant un navigateur obsolète, et dépourvu d'un filtre anti-phishing. Même mise en garde pour les utilisateurs de Safari, jugés insuffisamment protégés par Paypal. Le phishing est une arnaque en progression constante. Selon MarkMonitor, une société spécialisée dans la protection des noms d'entreprise, le phishing a touché 412 sociétés en France au quatrième trimestre 2007, en hausse de 38% par rapport à la même période de l'année précédente. Conscients de ce danger, Yahoo (avec DomainKeys) et Cisco (avec Identified Mail) ont réuni leurs efforts en créant standard de lutte contre le phishing, le DKIM (Domain Keys Identified Mail). Paypal et sa maison-mère eBay l'ont d'ailleurs immédiatement mis en place. Avec le résultat que l'on voit. (...)

(06/05/2008 16:53:25)

Une pétition en faveur de l'accessibilité des sites publics aux personnes handicapées

Le site web-pour-tous.org a publié aujourd'hui une pétition revendiquant l'application de l'article 47 de la loi de février 2005 à propos de « l'égalité des droits et des chances des personnes handicapées en termes d'accessibilité numérique dans les services publics ». Trois ans après la sortie de la loi, le décret n'a toujours pas vu le jour, on en ignore les modalités, et pour les personnes concernées, les choses n'ont pas bougé d'un pouce. La loi de 2005 stipule par exemple que les services de communication en ligne de l'Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics doivent être accessibles aux personnes handicapées. Elle précise également que les délais de mise en conformité des lieux existants ne peuvent excéder trois ans... une date largement dépassée. Autre voeu pieux de la loi, l'accessibilité des services de communication publique en ligne doit concerner « tout type d'information sous forme numérique, et ce quels que soient le moyen d'accès, les contenus et le mode de consultation ». D'après les signataires de la pétition (plus de 400 en une journée), 98% des sites Internet publics sont pourtant inaccessibles à de nombreuses personnes. Un appel direct à Eric Besson, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique Pour les pétitionnaires, un site Internet accessible doit proposer du contenu consultable par n'importe qui, quel que soit son handicap (visuel, auditif, moteur) et quel que soit le matériel utilisé. Ils interpellent directement le président de la République ainsi que le Premier ministre : « Cette situation ne peut pas durer ! (...) L'Etat ne peut continuer à exclure, par simple négligence, 15% des citoyens du Web. ». Les auteurs de la pétition réclament une validation et une publication rapide par arrêté ministériel du décret, ainsi que l'implication des personnes handicapées dans ce projet. La balle est maintenant dans le camp d'Eric Besson récemment nommé secrétaire d'Etat chargé du développement de l'Economie numérique. Les signataires de la pétition espèrent qu'il prendra en compte leurs revendications dans le plan de développement des TIC qu'il doit présenter au Premier ministre dans quelques semaines. (...)

(06/05/2008 12:45:43)

Sous pression, Jerry Yang joue une dernière carte

Depuis l'annonce du retrait de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft samedi 3 mai, Jerry Yang ne fait plus le fanfaron. Fini les provocations pour faire monter les enchères (Microsoft avait proposé 33 $ par action, Jerry Yang réclamait 37 $). Non seulement le PDG de Yahoo voit le cours de l'action s'écrouler de 20%, mais il doit en plus faire face aux interrogations des investisseurs et surtout au courroux de ses actionnaires. Deux fonds de pension de la ville de Détroit ont décidé de porter plainte contre la direction de Yahoo. Ils estiment en effet que le conseil d'administration n'a pas agi dans l'intérêt des actionnaires en refusant l'offre de Microsoft, et réclament des dommages et intérêts. Jerry Yang : C'est pas moi, c'est lui qui a commencé Sous pression, Jerry Yang a légèrement fait marche arrière, en déclarant que la porte n'était pas tout à fait fermée. « Si Microsoft a quoi que ce soit de nouveau à dire, nous serons ouverts. Je suis tout à fait disposé à les écouter », a-t-il déclaré à nos confrères de Reuters. Pas question cependant de perdre la face. Le PDG de Yahoo, qui détient 4% de la société, joue à c'est pas moi qui ait commencé, c'est Steve Ballmer. Il a ainsi déclaré : « ce sont eux qui sont à l'origine [des discussions], et ce sont eux qui sont partis ». Jerry Yang a tout intérêt à jouer finement s'il ne veut pas connaître le même sort que Terry Semel, son prédécesseur. Toujours selon Reuters, de nombreux actionnaires se sont prononcés en faveur d'un remaniement de la direction de Yahoo. Même Legg Mason, le deuxième plus gros actionnaire de Yahoo, tempère les ardeurs de Jerry Yang. En avril dernier, la société avait clairement apporté son soutien à Yahoo. Ben Miller, en charge du dossier, se déclarait prêt à s'engager dans un proxy fight (bataille de mandats) pour contrer Microsoft. Ce même Ben Miller a déclaré hier au New York Times que Legg Mason se serait finalement contenté d'une vente à 34$ par action - soit un dollar de plus que l'offre de Microsoft. Le sort de Jerry Yang devrait se jouer le 3 juillet, lors de la prochaine assemblée générale. (...)

(05/05/2008 18:20:27)

Mandriva à prix doux pour les enseignants

Mandriva renforce ses positions à l'Education nationale. L'éditeur Linux a renouvelé son contrat de partenariat avec le ministère, « pour la quatrième année consécutive ». Les professeurs et personnels administratifs auront ainsi droit « jusqu'à 60% de remise [.] sur les versions commerciales (Mandriva PowerPack, Mandriva Flash, MDS, LRS, Corporate Server & Desktop, Pulse2...) et les services (kits pédagogiques, formation, support professionnel et maintenance...) ». Mandriva en profite pour faire la promotion d'Edutice, une solution pour les enseignants, dont la vocation est de simplifier la mise en place d'une salle informatique pour des étudiants. Edutice a été réalisée en partenariat avec Novatice Technologies, éditeur également partenaire de l'Education nationale. Pour mémoire, le ministère de l'Education nationale a récemment achevé la migration de ses quelque 3000 serveurs vers Linux (à 80% du Red Hat). (...)

(05/05/2008 14:06:25)

Le PC débarque à Cuba

Difficile à croire, mais jusqu'à aujourd'hui, les Cubains ne pouvaient pas officiellement acheter de PC dans un magasins. Ils peuvent désormais admirer les premiers micros autorisés à la vente mais reste à savoir si ils pourront les acheter. Le salaire moyen de 20 dollars par mois rend difficile l'acquisition d'un équipement qui en coûte 780 (500€). L'unique modèle commercialisé est équipé d'un Intel Celeron, de 512 Mo de RAM et d'un disque dur de 80 Go. Et il est livré avec Windows XP. Une configuration qui viole en bien des points l'embargo américain sur le commerce avec le plus grand Etat des Caraïbes.... Des PC oui, mais pas encore l'accès à Internet L'arrivée de ces machines officielles devrait faire chuter les prix des PC vendus au marché noir depuis des années. Dans ce pays où règne sans partage la famille Castro depuis 1959, disposer d'un micro ne rime pas encore avec surf sur Internet. L'accès au réseau mondial demeure réservé à quelques apparatchiks. Là encore, l'embargo américain est un bon moyen de justifier la limitation des accès. (...)

(05/05/2008 14:01:37)

Peu de chance d'attirer les talents en Inde pour 320 euros par mois

[mise à jour] L'offre d'emploi défraie la chronique depuis deux jours. Publiée le 23 avril sur le site de l'ANPE, elle propose un poste d'informaticien à pourvoir à Pondichery, ancien comptoir français en Inde. Le recruteur recherche un développeur Java pour un contrat à durée indéterminée. Si les débutants, titulaires d'un BTS ou d'un DUT informatique, sont acceptés, on leur demande d'avoir d'« Excellentes connaissances de Java et C++, Visual Interface et DLL dans l'environnement Microsoft (98 et Vista) ». Là où le bât blesse, c'est que le candidat se voit offrir un contrat de droit local. Le salaire indicatif oscille entre 10 000 et 20 000 roupies par mois, soit 160 à 320 euros mensuels pour 40 heures hebdomadaires. En France, les salaires pour ces postes démarrent à 25 000 euros (voir notre « Enquête salaires 2008 » tout juste publié). Plus encore, ce qui a soulevé l'indignation des syndicats français, c'est la mention « Protection sociale et avantages à négocier » qui figure sur cette petite annonce. Cette dernière émanerait, selon France Inter, d'une Web agency française qui se serait cassé les dents dans l'Hexagone et souhaiterait se relancer en Inde (alors qu'il est indiqué sur le site de l'ANPE que l'entreprise compte plus de 5 000 salariés). Un informaticien formé en France ne partira pas dans ces conditions « Il y a longtemps que plus personne ne va en Inde en se limitant à des critères de coût », considère Laurent Py, PDG de Leirios, éditeur d'une solution d'industrialisation des tests logiciels interrogé par www.lemondeinformatique.fr. Leirios a justement lancé un projet d'implantation sur le sous-continent indien avec l'assistance de la société Qualitree. [[page]]« Les entreprises qui s'installent en Inde y vont plutôt pour rechercher des compétences. On y trouve une main d'oeuvre qualifiée et mature. » Le dirigeant français souligne que les salaires y ont progressé. Il note une inflation de 15 à 30% sur ceux des consultants seniors. « Le plus difficile sur place, c'est le recrutement, estime le fondateur de Leirios. Il y a désormais une vraie pénurie de compétences. Les ressources humaines constituent le point clé qui fait qu'une société allant là-bas réussit ou échoue : il y a une vraie lutte pour attirer les talents. » Et si Leirios envoie un collaborateur français dans sa filiale indienne, celui-ci partira avec un statut d'expatrié. Laurent Py note que si les 20 000 roupies proposées dans l'offre relayée par l'ANPE correspondent à un salaire de junior (les seniors sont rétribués de 40 000 à 80 000 roupies), les recrues risquent de partir au bout d'un an si on ne leur octroie pas 40% d'augmentation. Montrée du doigt, l'ANPE s'était défendue en expliquant que l'offre pouvait intéresser un candidat à l'expatriation. Laurent Py n'y croit guère. « Les chances de succès de recruter des collaborateurs de cette façon-là sont voisines de zéro, conclut-il. Un Français ne partira pas dans ces conditions, un informaticien indien ayant été formé en France non plus. » [mise à jour] 300 euros par mois pour tester la qualité logicielle Autre éditeur français implanté en Inde, GeoConcept, spécialiste de la cartographie décisionnelle, emploie neuf personnes à Chennai, dans l'Est du pays.[[page]] Les rémunérations de ces employés (quatre testeurs et cinq développeurs) s'échelonnent entre 300 euros et 730 euros mensuels, suivant les fonctions occupées. Le salaire des personnes chargées de tester la qualité logicielle est moins élevé que celui des développeurs. Par comparaison, la rémunération (160 à 320 euros) proposée sur le site de l'ANPE pour un poste de développeur Java se situe visiblement au-dessous de ce qui est proposé pour cette fonction sur le marché indien. Interrogé sur la mention « Protection sociale à négocier » de l'annonce incriminée, Eric Lanzi, président de GeoConcept, confirme que les assurances ne sont pas obligatoires en Inde. Mais pour le dirigeant, qui affiche son ambition de conserver à long terme ses salariés indiens (recrutés il y a un an et demi), « la protection sociale fait partie des éléments essentiels à leur offrir ». Cette année, l'éditeur français devrait par ailleurs proposer en moyenne des augmentations de salaire allant de 10 à 15% pour conserver ces collaborateurs qu'il a formés à ses produits. (...)

(05/05/2008 09:09:23)

Le passeport biométrique instaure un fichier des empreintes

Le décret n° 2008-426 du 30 avril 2008 a été publié au journal officiel le dimanche 4 mai. Il officialise la création d'un passeport biométrique - qui entrera en circulation au plus tard fin juin 2009 - contenant dans une puce la photo de la personne et ses empreintes digitales. Ce décret modifie celui du 30 décembre 2005 relatif aux passeports électroniques. Photo et huit empreintes recueillies en mairie Le nouveau décret stipule que « lors du dépôt de la demande de passeport, il est procédé au recueil de l'image numérisée du visage et des empreintes digitales de huit doigts du demandeur ». Les empreintes digitales des enfants de moins de six ans ne sont pas recueillies. Afin de procéder à cette saisie, les mairies seront équipées d'équipements ad hoc (photo et empreintes digitales), qui font l'objet actuellement d'un appel d'offres. Les premiers passeports biométriques sont attendus pour cet automne. Une base nationale des empreintes, après Stic et Ardoise Il reste de nombreuses questions à résoudre. La principale concerne la constitution d'une base de données nationale des empreintes digitales et la possibilité de relier les empreintes d'une personne à son identité. Ce type de base de données est défendue par le ministère de l'Intérieur afin de détecter les falsifications et les usurpations d'identités. Le décret indique, au sujet des passeports, qu'« afin de [...] prévenir et détecter leur falsification et leur contrefaçon, le ministre de l'Intérieur est autorisé à créer un système de traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé TES. » Cela laisse sans réponse plusieurs questions, portant sur la nature exacte des données qui seront contenues dans cette base TES, sur leur usage et sur leur confidentialité. On notera que la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie vient justement de suspendre la mise en oeuvre du fichier Ardoise qui explorait des aspects très privés, et que la Cnil a déjà mis en garde le gouvernement à l'occasion d'un examen du fonctionnement du Stic. (...)

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