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(05/10/2007 10:55:03)

Cegid discute avec un groupe de services

(mise à jour) L'éditeur de logiciels de gestion Cegid, et plus précisément son premier actionnaire ICMI (19,20 % du capital), devrait céder une partie de ses titres à un groupe de services. C'est ce qui résulte des discussions menées sur l'évolution de l'actionnariat de Cegid Group par ses trois principaux actionnaires, ICMI, Apax et Eurazeo. Précision d'importance : il ne s'agit pas d'un groupe de services informatiques. L'éditeur lyonnais indique que cette prise de participation devrait s'accompagner d'un accord industriel avec Cegid Group. Les modalités de cet accord restent à préciser, sous le contrôle du Conseil d'Administration. Jean-Michel Aulas, président du Conseil d'Administration et actionnaire majoritaire d'ICMI, rappelle qu'il souhaite continuer à diriger l'entreprise avec Patrick Bertrand, son directeur général, ainsi qu'avec le comité de direction actuel. Il privilégiera donc « toute solution qui favorisera la pérennité et l'accélération du développement du groupe ». «Aller au-delà du traitement de la donnée » Interrogé sur le fait que le groupe pressenti n'évolue pas dans les services informatiques, Patrick Bertrand rappelle que « le logiciel est un outil de traitement de la donnée, mais qu'un éditeur peut souhaiter aller au-delà pour apporter d'autres choix ». Il donne un exemple, en précisant bien qu'il est sans rapport direct avec l'activité du partenaire évoqué. « Pour un éditeur de logiciels de paie, il est intéressant d'inclure la gestion des tickets restaurants dans la chaîne. Tous les éditeurs ont ainsi passé des accords avec les fournisseurs de chèques restaurant, point essentiel du traitement de la paie. Aujourd'hui, un éditeur peut donc apporter un autre choix que le strict traitement des données. » Sans pouvoir être plus précis, le dirigeant promet qu'on devrait en savoir davantage assez rapidement. Le groupe de services pressenti est d'origine française et implanté à l'international. Enfin, Patrick Bertrand tient à rappeler que « le point important, c'est qu'il s'agit bien d'une évolution capitalistique qui a pour mission de faire évoluer le groupe en conservant l'équipe dirigeante actuelle ». Une réflexion lancée en juillet dernier On savait depuis juillet dernier que Jean-Michel Aulas envisageait de céder une partie des titres qu'il possède dans la société qu'il a lui-même fondée. Une mission de conseil et de réflexion avait alors été confiée à la banque Lazard Frères qui devait, le 15 septembre dernier, remettre aux actionnaires les propositions reçues. Interrogé fin août à l'occasion de l'annonce des résultats semestriels de Cegid, Jean-Michel Aulas avait indiqué que la décision d'élargissement du capital de son groupe suscitait « un fort appétit » de la part de partenaires potentiels. (...)

(03/10/2007 08:40:24)

GFI met la main sur le Groupe BTD

GFI vient d'annoncer l'acquisition du Groupe BTD, SSII française fondée en 1981 et implantée en région parisienne et à Rennes. Le montant de l'opération n'a pas été divulgué. " Une entreprise bénéficiaire et complémentaire de GFI Informatique dans ses compétences et ses implantations. Une très belle acquisition ", s'est félicité Jacques Tordjman, PDG de GFI Informatique. Implantée pour l'essentiel en région parisienne avec une agence à Rennes, le Groupe BTD a réalisé, lors de l'exercice 2006, un chiffre d'affaires consolidé de 54 M€ pour un résultat opérationnel courant d'environ 8% et un résultat net de 4,2%. Il regroupe environ 800 personnes et revendique des spécialités verticales dans la banque, les télécommunications et l'industrie, et des expertises horizontales dans les domaines des ERP, la Business Intelligence et les infrastructures. Un cocktail que GFI estime donc très complémentaire du sien, notamment avec des compétences PeopleSoft alors que le Groupe dirigé par Jacques Tordjman est plutôt connu pour son orientation vers Oracle. L'acquisition de 100% des actions du groupe BTD a été financée par un emprunt moyen terme de 30M€, le solde étant assuré par l'autofinancement. L'opération fait grimper l'endettement net de GFI à 45%, mais le pourcentage n'inquiète pas son PDG : " Notre taux d'endettement est encore très raisonnable, parmi les plus bas des grands de ce marché. Il ne nous gênera pas pour atteindre nos objectifs et donc mener à bien d'éventuelles autres opérations de croissance externe." De fait, la croissance organique ne suffira pas à honorer les objectifs du Plan stratégique 2010 de l'entreprise qui prévoit d'atteindre le milliard d'euros de chiffre d'affaires de 2010 pour 9% de résultat opérationnel... Le 12 septembre, pour le compte du premier semestre 2007, la SSII a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 3,8% à 331,9 ME pour un résultat opérationnel courant en augmentation de 1,7 ME à 20,9 ME. Avant l'acquisition du Groupe BTD, GFI informatique regroupait environ 5200 personnes dans l'Hexagone pour une quarantaine d'agences, mais aussi 9 implantations en Europe du Sud, Europe du Nord, Canada et Maroc où la plateforme offshore qui regroupe aujourd'hui une soixantaine d'ingénieurs est désormais opérationnelle. (...)

(01/10/2007 10:42:48)

Prodware croque Anelia, l'intégrateur d'IBM pour les PME

Editeur et intégrateur spécialisé dans les solutions de gestion pour PME, Prodware fait preuve d'un appétit gargantuesque. Après le rachat au cours de ces deux dernières années de Tecso, du groupe Syliance, puis de Sefrogi, d'Interface Data ou encore du Belge WinIt, il vient d'annoncer l'acquisition d'Anelia, filiale à 100% d'IBM spécialisée dans l'intégration des système pour PME. Chose étonnante, Prodware avait jusqu'alors plutôt choisi ses proies dans les spécialistes des technologies Microsoft et Sage. En s'offrant 100% des parts d'Anelia, il renforce son partenariat avec Sage mais met également un pied chez SAP, la filiale d'IBM étant distributeur à valeur ajoutée des solutions SAP All in One. Au passage, cette transaction devrait également bénéficier à IBM, Prodware annonçant déjà son intention de créer de « nouvelles solutions intégrées, optimisées et pré-packagées » embarquant à n'en pas douter le matériel et les technologies de son nouveau partenaire. Anelia est en effet un spécialiste de l'intégration sur System i (ex-AS/400), le mini d'IBM best-seller dans les PME. (...)

(28/09/2007 12:42:27)

Pas de salons informatiques au Cnit la semaine prochaine

Groupe Solutions, organisateur des salons ERP, MVI CRM, Solutions BI ou encore Serveurs et applications, qui devaient se tenir la semaine prochaine au Cnit de Paris-La Défense, doit tout annuler. Dans un communiqué, Groupe Solutions explique que la direction du Cnit l'a informé que l'espace d'exposition resterait fermé pendant toute la semaine, « en raison de défaillances techniques graves de son système de sécurité incendie ». (...)

(24/09/2007 15:23:14)

IDC chiffre le marché français des SOA à 326 ME en 2006

Le marché français des logiciels et des services consacrés aux architectures orientées services (SOA) aurait pesé 326 ME l'année dernière, à en croire IDC. Le cabinet, qui donne ces quelques chiffres en préambule à la sortie d'une étude sur le sujet, estime que les trois quarts (76% exactement) de ce montant sont dus à des dépenses en matière de services. Prestations de service se décomposant principalement en intégration de systèmes (60%) et en conseil (30%). (...)

(21/09/2007 17:20:21)

A l'IE-Club, les éditeurs réclament des développeurs

Hier soir, l'IE-Club a tenu sa conférence de rentrée dans les locaux parisiens de Microsoft, rue de l'Université. Le thème de la soirée, « la révolution de l'Internet Software », a visiblement plu. Ce fut la meilleure audience depuis la création de l'IE-Club : 325 participants. L'assistance d'hier mêlait capitaux-risqueurs (environ 15 % de l'audience) et éditeurs de logiciels, tout autant aficionados de l'Internet que fournisseurs plus traditionnels. Rappelons que l'IE-Club a vocation à rapprocher les PME du secteur IT des acteurs susceptibles de les aider dans leur essor. La conférence, il est vrai, surfait sur une actualité plutôt chaude, de nombreux éditeurs ne parlant ces temps derniers que de SaaS (software as a service), de « on-demand » ou de « cloud computing ». « Nous avons observé que les nouveaux modes de consommation du logiciel - à partir d'un navigateur Web, d'un téléphone portable ou de widgets - généraient aussi de nouveaux modes de développement, de financement et de commercialisation », explique Julien Codorniou, responsable chez Microsoft France des partenariats avec les éditeurs innovants et organisateur de la conférence (en partenariat avec TechCrunch et l'Afdel). Un coût de développement divisé par dix en six ans En trois tables rondes, la soirée a donc posé les règles de cette nouvelle industrie, avec les acteurs français du logiciel « canal historique » (selon l'expression de Julien Codorniou) et avec les éditeurs pour qui le Web est la seule plate forme possible. Premier constat, il est beaucoup plus facile de créer une société qui fait de l'Internet qu'un éditeur traditionnel. Le coût de développement d'une application Web a été divisé par plus de dix en cinq ou six ans. Le fondateur de « Dis-moi où » a déboursé 350 euros pour [[page]]développer son « encyclopédie des lieux participative et réutilisable ». La richesse de l'Open Source contribue à cette accessibilité, mais les ténors du logiciel y participent aussi. « Chez Microsoft, nous avons un programme pour les start-up, rappelle Julien Codorniou. Pour 300 euros, elles accèdent à l'ensemble de nos outils pour cinq développeurs. » Deuxième constat, plus préoccupant, il y a une vraie pénurie de développeurs sur le marché, ceux-ci étant systématiquement happés par les SSII. Les jeunes sous-estiment l'intérêt de développer chez un éditeur. Pourtant, des acteurs comme Brainsonic et Yahoo souligne l'attrait du poste. Pour eux, cela revient purement et simplement à « intégrer une écurie de Formule 1 ». Contraint à l'innovation permanente Troisième constat, quand on se lance dans l'Internet Software, on est contraint à l'innovation permanente. A la moindre faiblesse, l'éditeur court le risque de voir le client le lâcher. Sur ce front, les nouvelles sont plutôt bonnes. Les intervenants de l'IE-Club jugent très bon le niveau des développeurs français en Europe. Un des atouts hexagonaux semble être la capacité à fabriquer de « la propriété intellectuelle », par rapport à d'autres pays, comme l'Inde, plus axés sur le développement de services. Enfin, les investisseurs soulignent la qualité des dossiers français. Il y a davantage de bons entrepreneurs, qui ont des idées et font du chiffre d'affaires, avec des acteurs à la pointe dans le commerce électronique. Une bonification que l'on doit sans doute en partie au crédit d'impôt recherche ou encore au soutien de l'Oséo et à son label Entreprise innovante. (...)

(20/09/2007 16:41:20)

Le G9+ s'interroge sur l'avenir des éditeurs de logiciels en France

La France deviendra-t-elle une nation de SSII adaptant des logiciels créés aux Etats-Unis ? En caricaturant à peine, voici la question posée par le G9+, association d'anciens de grandes écoles, à un panel de haut niveau, la semaine dernière. Patrick Bertrand, DG de Cegid et président de l'Afdel, Jean Ferré, patron de Sinequa, Olivier Guilbert, PDG d'OpenTrust, Pascal Houillon, président de Sage, Thierry Pierre, directeur de la stratégie SOA chez SAP France, Gilles Rigal, directeur d'Apax Partners et Michèle Guren, présidente de CA France, étaient appelés à se prononcer sur l'avenir des éditeurs de logiciels en France. Sachant qu'il n'y a que deux Français dans le top 20 des éditeurs de logiciels, Dassault et Business Objects, la question n'est pas anodine. D'autant que les rumeurs sur un éventuel rachat de BO par un éditeur américain sont de plus en plus audibles. En introduction de la conférence, Jean-François Perret, président du directoire de Pierre-Audouin Consultants, soulignait ainsi que si on prend le top 200 des éditeurs en Europe, 70% sont américains, 12% allemands (bien que SAP comptât pour une grande part), 5% britanniques et 5% français. Alors qu'il y a, d'après lui, quelque 2200 éditeurs en France. Mais leur problème, a-t-il souligné, est lié à la croissance : sur ces 2200, « plus de 2000 ont un chiffre d'affaires inférieur à 2 ME ». A voir : notre reportage vidéo sur place. (...)

(19/09/2007 17:30:16)

Cap Gemini remporte un contrat quinquennal auprès de NXP

Cap Gemini vient de signer un contrat de cinq ans avec NXP Semiconductors, un fabricant néerlandais de semi-conducteurs (société créée par Philips). Le partenariat (dont le montant, non précisé, est inférieur à 10 M€) concerne le BPO (business process outsourcing). La SSII française se chargera ainsi de l'infogérance des processus financiers de son client, ce qui implique la gestion des achats, le paiement des fournisseurs, l'enregistrement comptable ou encore le reporting. Dans le cadre de cet accord, 110 experts de NXP rejoindront le pôle « Finance » de Cap Gemini, en Inde. « Cet accord constitue une nouvelle étape dans l'extension de notre réseau de services BPO Rightshore, qui couvre le monde avec des centres en Europe de l'Est, en Chine et en Inde », explique dans un communiqué de presse Hubert Giraud, directeur en charge du BPO pour le groupe français. A travers cette opération, Cap Gemini compte désormais 1500 collaborateurs en Inde. (...)

(19/09/2007 09:43:49)

Le Syntec donne un coup de projecteur sur le conseil en technologie

Le Syntec est une organisation professionnelle regroupant des entreprises dans trois activités : les SSII, l'édition de logiciels et le conseil en technologie. Ce dernier, « mal connu » selon le Syntec malgré l'existence de sociétés comme Alten ou Altran , fait l'objet d'une mise en lumière en ce moment, notamment avec une étude OPIIEC/IDC. En effet, même si le secteur du conseil en technologie est en forte croissance, si ses acteurs sont essentiellement nationaux en France et si, en plus, ceux-ci exportent, ses entreprises ont du mal à recruter. Le métier du conseil en technologie est défini comme la fourniture de prestations d'assistance, de conception et d'industrialisation de produits et d'équipements à dominante industrielle, c'est-à-dire destinés à être produits et vendus, à l'exclusion de toute opération de production, de l'ingénierie BTP et de ce qui relève de l'informatique de gestion (domaine relevant de la SSII). Selon IDC, les donneurs d'ordre attendent des sociétés prestatrices une compétence dans toutes les sciences de l'ingénieur. L'informatique est certes un domaine important du conseil en technologie mais ce n'est qu'une partie d'un tout. Quelque 606 entreprises de plus de dix salariés ont été étudiées par IDC dans toute la France. Selon ce cabinet, le marché du conseil en technologie serait d'un montant global de 5,3 milliards d'euros en 2006 dont 3,8 pour les sociétés étudiées. Un secteur porteur Le secteur se caractérise par une assez forte concentration géographique et financière associée à une focalisation sur quelques clients. Les 25 prestataires les plus importants représentent ainsi 37% du marché. Et l'essentiel des sièges sociaux des sociétés se situe en Ile-de-France, à Toulouse, à Lyon et à Lille. L'ensemble des zones frontalières françaises sont par ailleurs riches d'un tissu de petits prestataires avec une activité transfrontalière importante. De plus, les secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et de l'énergie représentent une part essentielle du marché. 78% des prestataires sont présents sur ces trois secteurs et seulement 3% en sont totalement absents. Le conseil en technologie, toujours selon IDC, représenterait 65 000 emplois dont 43 000 ingénieurs et techniciens, avec entre 14 000 et 15 000 recrutements cette année pour environ 3500 créations d'emploi nettes, la moitié des recrutements concernant des juniors (jeunes diplômés ou avec moins de deux ans d'expérience). 75% des sociétés interrogées par IDC déclarent avoir du mal à recruter. Côté donneurs d'ordre, la tendance est à la forfaitisation de l'achat de conseil en technologie, plus avec un engagement sur le niveau de service et de compétence de l'équipe qu'avec un cahier des charges détaillé et formalisé. Mais, à l'inverse de ce qui se passe dans le secteur des SSII, la tendance ne serait pas ici au développement du référencement. Les prestataires de conseil en technologie ne sont plus juste une variable d'ajustement en expertise métier mais de plus en plus de véritables délégués externalisés à l'innovation. (...)

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