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(22/09/2005 18:00:08)

Aedian : CA en hausse, résultat dans le rouge

La SSII Aedian a annoncé un chiffre d'affaires en hausse de 19 % pour son exercice 2004/2005, clos le 30 juin, mais un bénéfice net négatif, après un léger gain l'an passé. Aedian a réalisé un CA de 38,4 M€ au cours des douze mois écoulés mais à vu son bénéfice plonger dans le rouge à -0,9 M€ contre un gain de 0,1 M€ l'année précédente.

Selon la SSII, le résultat de l'exercice a été affecté par "l'impact des charges et provisions non-récurrentes [1,5 M€, NDLA]liées à la réorganisation du pôle Conseil et les difficultés, au sein de ce pôle, de l'ex-filiale PiA". Aedian se félicite en revanche des résultats de ses activités d'ingénierie, dont les ventes ont progressé de 52% sur un an (en partie du fait du rachat d'ATD en 2004).

Pour l'exercice en cours, Aedian table sur une croissante de l'ordre de 20% qui devrait lui permettre d'atteindre un CA de 45 M€. Selon la firme le redressement de la rentabilité est une priorité de l'exercice. Aedian mise ainsi sur un résultat d'exploitation d'environ 2% du CA. (...)

(19/09/2005 18:31:33)

LogicaCMG s'offre la SSII française Unilog

La rumeur couvaitdepuis quelques mois. C'est désormais officiel : LogicaCMG a annoncé son intention de procéder au rachat d'Unilog, confirmant ainsi les propos tenus en août par Martin Read, le PDG du groupe acquéreur, qui indiquait le besoin de croissance de son entreprise, une croissance éventuellement externe.
L'opération devrait se réaliser en deux étapes : LocigaCMG rachètera dans un premier temps 32,3 % du capital d'Unilog, soit 255,4 M€, auprès des dirigeants de la SSII, dont Gérard Philipot, le président et Didier Herrmann, le vice-président. Par la suite, probablement en novembre, LogicaCMG lancera une offre publique d'achat sur le reste du capital, suivant les mêmes conditions que pour les dirigeants, soit 73 € par action. Au final, l'acquisition devrait revenir à 930,3 M€. Pour ce faire, Logica procèdera à une augmentation de capital de près de 600 M€.

Logica devrait réaliser un bon coup en convolant avec Unilog. Elle réussit ainsi à s'installer solidement en France alors que sa filiale hexagonale peinait à s'imposer et à éviter les pertes. Unilog, qui réalise 80 % de ses 657,4 M€ de chiffre d'affaires sur le territoire français, possède en outre un catalogue de clients garni de noms réputés : Renault, Crédit Agricole, EDF, BNP Paribas. La SSII, avec une marge de 11 %, surclasse d'au moins deux points la moyenne de ses concurrents.

La nouvelle entité affichera un CA global de plus de trois milliards d'euros, ce qui la hissera en troisième place des sociétés de services européennes cotées derrière CapGemini et Atos Origin. Elle comptera 27 000 salariés et sera présente dans 35 pays. (...)

(19/09/2005 18:37:12)

Croissance limitée des dépenses informatiques en 2006

Selon Gartner, les dépenses informatiques devraient progresser de 3 % en 2006 par rapport à cette année. A l'issue d'un sondage conduit auprès de près de 3 500 entreprises dans 50 pays, le cabinet estime en outre que la part des dépenses informatiques dans le chiffre d'affaires global des entreprises devrait reculer. D'après Gartner, une importante part des dépenses devrait être consacrée au stockage et aux serveurs.
Plus optimiste, Forrester prévoit une augmentation de 7 % des dépenses informatiques l'an prochain. Les investissements dans le matériel et les serveurs devraient progresser plus vite mais celles liées aux périphériques et aux télécommunications devraient se ralentir à 4 % contre 11 % cette année. Enfin, la part consacrée aux logiciels devrait par ailleurs reculer, les utilisateurs restant dans l'expectative vis à vis des nouvelles offres de Microsoft. (...)

(19/09/2005 18:33:31)

Team Partners Group se rapproche de CGBI

Team Partners Group va procéder à une augmentation de son capital à hauteur de 9,1 M€. Augmentation soutenue par plusieurs investisseurs, dont Prado Finance, également actionnaire de sa consoeur CGBI. Suite à cela, Team Partners Group (47 M€ de chiffre d'affaires en 2004, avec un effectif de 800 salariés) devrait se rapprocher de CGBI (18,2 M€ de chiffre d'affaires, avec un effectif de 250 personnes) par la voie d'une offre publique d'échange.
En 2004, les deux sociétés affichaient un résultat d'exploitation négatif d'environ 1 M€.
Côté direction du groupe, Bernard Leng, fondateur de Team Partners Group, a prévu de quitter ses fonctions le mois prochain pour laisser la place à Gérard Guyodo, déjà PDG de CGBI. Le nouveau groupe sera actif dans l'ingénierie de développement et le management des infrastructures et des systèmes.
Son but : "non pas créer un généraliste de plus mais plutôt une société qui a des offres complètes sur des thèmes pointus : l'e-CRM, la maintenance applicative, l'expertise duale grands systèmes nouvelles technologies". (...)

(16/09/2005 17:20:17)

LogicaCMG s'intéresse à Unilog pour près d'un milliard d'euros

LogicaCMG, SSII britannique présente en France, et Unilog sont en pourparlers en vu du rachat du second par le premier pour quelques 931 M€. Dans l'attente d'une annonce importante prévue lundi, le titre Unilog était retiré de la cotation à Paris le 16 septembre au matin.
Depuis le début de l'été, le titre était sujet à nombre de fluctuations liées aux rumeurs d'éventuelles reprises. Outre Logica, le canadien CGI et l'Indien Tata se seraient trouvés sur les rangs des repreneurs éventuels.
En dépit de la bonne santé de la SSII française, qui réalise 80% de son CA dans l'hexagone et génère l'une des plus grosses marges du secteur, l'opération n'a pas l'heur de plaire aux financiers britanniques. A Londres, le cours du titre Logica était en chute de près de 10% au moment où les rumeurs de rachats devenaient consistantes. (...)

(13/09/2005 17:17:21)

Résultats semestriels : tout bon pour Sopra, GFI en demi-teinte

Les SSII françaises Sopra et GFI ont connu des fortunes diverses au premier semestre. Si la première affiche une excellente santé et étoffe son catalogue par une acquisition, la seconde a déçu par ses résultats en demie-teinte.

Les revenus de Sopra ont progressé de 20,4 % au premier semestre par rapport à la même période de l'année précédente pour atteindre 360,5 M€. La première contributrice à ce chiffre est la branche Intégration de systèmes et solutions (ISS) France qui réalise 255,3 M€ et croît de 10,6 %. Cette même activité réalise 43,8 M€ dans la zone Europe, en progression de 2,1 %. La filiale Axway, avec 38,9 M€ de CA, gagne 15,1 % sur un an. Enfin, la branche Conseil réalise un chiffre d'affaires de 22,5 M€ et enregistre une croissance de 29,3 %.
Le résultat net progresse également significativement : il gagne 45,1 %, à 23,8 M€.

Sopra vise un chiffre d'affaires supérieur à 740 M€ pour l'ensemble de l'exercice 2005, et compte bien dépasser le cap du milliard d'euros en 2007. Pour ce faire, Pierre Pasquier, le PDG du groupe, continue de développer sa stratégie d'acquisitions ciblées. Après le britannique Newell & Budge en juin 2005, Sopra vient de mettre la main sur l'Espagnol Profit, un spécialiste en conseil et services technologiques, dont les clients sont exclusivement des grands comptes. Sopra étend ainsi un peu plus sa présence européenne et vise un CA de 70 M€ en Espagne dès 2006, contre à peine plus de 30 aujourd'hui.
Le prix de l'acquisition n'a pas été communiqué, Pierre Pasquier se contentant d'indiquer que la somme se situe « de façon raisonnable, au delà d'une année de chiffre d'affaires ». Le PDG a également laissé entendre que d'autres achats n'étaient pas exclus : « si des opportunités de pénétrer les marchés américains ou européens se présentent, nous les saisirons. Ce n'est pas notre priorité, mais ça peut le devenir ».

Les résultats de GFI contrastent avec ceux de Sopra. Le chiffre d'affaires ne gagne en effet que 4,2 % au premier semestre et atteint 272,3 M€. Les activités en France représentent 64 % des revenus ; après un premier trimestre en croissance de seulement 2,1 %, le résultat du T2 ont rassuré (+5,7 %). L'Europe du Nord, avec 9 % du CA, continue s'enregistrer une perte opérationnelle. Si celle-ci se réduit par rapport à 2004 (6,9 % du CA), GFI ne parvient toujours pas à l'équilibre malgré des restructurations finalisées au cours du semestre. Toujours en Europe du Nord, GFI devrait finaliser la cession de sa filiale britannique avant la fin de l'année.
Les performances réalisées en Europe du Sud, 24 % du CA global, sont également décevantes. Si elles se situent en dessous des prévisions, c'est, explique le groupe, en raison de problèmes rencontrés en Italie du Nord. GFI a donc entrepris un plan de restructuration pour redresser la filiale italienne. Seules les branches implantées en Espagne et au Portugal continuent d'afficher de bons résultats avec des taux de croissance de 17 et 8 %.
Pour la suite de l'exercice, le groupe se contente d'indiquer la poursuite d'une « politique active de recrutement », sans préciser d'objectifs de résultats. (...)

(13/09/2005 17:19:06)

Vent de révolte des industriels IT à Bangalore

La détérioration des infrastructures à Bangalore, la Mecque indienne des délocalisations, inquiète les entreprises IT. Certaines d'entre-elles menacent de boycotter la conférence annuelle Bangalore IT.in organisée par le gouvernement local.

Depuis cinq ans, le mauvais état des routes et les insuffisances en eau et électricité sont une source d'inquiétude. Dans le même temps la ville s'urbanise à un rythme très élevé, principalement en raison de l'explosion du nombre de d'entreprises américaines et européennes qui choisissent de s'y délocaliser.

« La grande majorité des électeurs du gouvernement local vivent dans les zones rurales. Ici, en ville, notre voix importe peu » explique Bob Hoekstra, le PDG de Philips Innovation Campus. « Le mauvais état des routes, les embouteillages et les longs trajets qui en résultent, ont fait baisser la productivité des entreprises IT », poursuit Anant Koppar, le président de la CCI locale qui a appelé au boycott de la manifestation Bangalore IT.in. Koppar estime que nombre de visiteurs doivent se demander comment une ville comme Bangalore peut allier ses conditions de circulation éprouvantes, ses routes délabrées et la croissance économique. Une interrogation qui pourrait inciter certains, à terme, à reconsidérer leur volonté d'externaliser à Bangalore.

Et ce n'est pas la réponse apportée par les élus locaux qui va rassurer l'industrie IT : « nous faisons de notre mieux », garantit simplement N. Dharam Singh, à la tête de l'administration locale.

Malgré les difficultés, les entreprises IT ne prévoient pas de quitter la ville. Beaucoup préfèrent espérer un renouveau des relations avec le gouvernement. Des relations qui, aux dires des intéressés, étaient plus fructueuses avec le prédécesseur de Singh, S.M. Krishna.

Cependant, si les industriels s'insurgent, les analystes relativisent l'impact qu'ont les mauvaises infrastructures sur l'activité IT. Selon Siddarth Pai, consultant chez Technology Partners International, on ne constate pas de perte de la productivité à Bangalore, le nombre d'heures travaillées par employé est resté le même. « Ils doivent simplement partir travailler plus tôt », précise-t-il. Toujours selon Pai, bien que les clients étrangers sont interloqués par la pauvreté des infrastructures à Bangalore, ils le sont tout autant dans les autres villes indiennes. « A quelques petites différences près, toutes les villes, hormis la capitale Delhi, connaissent les mêmes problèmes d'infrastructure », conclut Siddarth Pai. (...)

(09/09/2005 17:40:24)

HP rachète Capgemini...en Nouvelle-Zélande

C'est en Nouvelle-Zélande que HP rachète Capgemini. Discrètement, HP vient de confirmer son acquisition de la filiale néo-zélandaise de la SSII baptisée Capgemini NZ. Les termes financiers de l'acquisition, qui devrait être finalisée d'ici 30 jours, n'ont pas été communiqués. HP indique toutefois que la SSII sera intégrée à sa branche Services Consulting and Integration.
Dans un communiqué, Keith Watson, directeur de HP Nouvelle-Zélande, explique que l'opération doit renforcer le pôle Conseil de HP, et « doper sa présence dans certains secteurs de l'industrie, tels que l'énergie, la santé, et le secteur publique». Il est vrai que la filiale néo-zélandais de Capgemini a récemment décroché un important contrat avec l'équivalent du Ministère des Affaires Sociales (Ministry of Social Development) local.

Capgemini NZ emploie 200 salariés. (...)

(08/09/2005 17:40:46)

Capgemini retrouve le chemin des bénéfices

A l'image de la plupart des SSII, Capgemini va mieux. Le groupe de Paul Hermelin vient ainsi de présenter des résultats semestriels rompant avec les habitudes acquises au cours des exercices précédents et renoue avec les bénéfices. « Le rebond de l'activité constatée au cours du second semestre 2004 a été confirmé pendant le premier semestre de 2005 », a confirmé la société.

Capgemini a réalisé un chiffre d'affaires de 3,472 Md€, en hausse de 20,8 %. Surtout, le groupe enregistre un bénéfice pour la première fois depuis six semestres. Le bénéfice net s'élève à 58 M€, contre une perte de 377 M€ en pro forma à la même époque de l'année précédente. Le résultat d'exploitation progresse également, il passe ainsi de 20 M€ au premier semestre 2004 à 62 M€.

L'activité d'infogérance a largement contribué à l'augmentation du chiffre d'affaires. Alors qu'elle représentait 28 % des revenus au S1 2004, elle permet désormais au groupe de réaliser 36 % du CA.

Le principale ombre au tableau reste la zone Amérique du Nord. Si les revenus y progressent de 8,9 % sur un an, la perte opérationnelle reste importante, à 40,4 M€, contre 60 M€ à la même époque l'année dernière. Le plan de restructuration, baptisé Booster, initié fin mars par Pierre Danon, est cependant censé porter rapidement ses fruits. Le groupe estime ainsi que les activités en Amérique du Nord renoueront avec les bénéfices au second semestre et seront au niveau de rentabilité des principaux concurrents en 2007.

Forts de ces bons résultats, Capgemini a relevé ses estimations pour le reste de l'exercice à la hausse. Alors que la SSII prévoyait une augmentation de son chiffre d'affaires de 10 %, elle table désormais sur 12 % de croissance pour l'ensemble de 2005. (...)

(07/09/2005 18:11:09)

Atos présente des résultats semestriels en ligne avec les prévisions

Les résultats semestriels d'Atos Origin illustrent la tendance générale constatée depuis plus d'un an : sans tomber dans l'euphorie, tout va mieux pour les SSII.

Le groupe affiche ainsi un chiffre d'affaires de 2,72 Md€, un revenu supérieur aux prévisions et qui représente une croissance organique de 8,1 % sur un an. La marge opérationnelle progresse également : elle passe de 6,3 % il y a un an à 6,7 %, avec une forte progression observée au deuxième trimestre. Le bénéfice net bondit de 328 % pour atteindre 121,3 M€, contre seulement 28 M€ à la même époque l'année dernière, une somme qui intégrait des frais de restructuration liés à l'acquisition de Sema.

Point positif pour la stabilité de la SSII : 60 % du chiffre d'affaires proviennent de contrats récurrents, essentiellement dans la maintenance. Parmi ces contrats, citons le renouvellement du marché passé avec le ministère britannique du travail et des retraites pour 750 M€, la prolongation du partenariat commercial avec Philips jusqu'en 2008 et l'extension de la collaboration avec le Comité international olympique jusqu'en 2012.

Pour le reste de l'exercice, Atos vise une marge d'exploitation comprise entre 7,5 et 8 % et une progression du chiffre d'affaires de 8 %. Une croissance que le groupe qualifie d'organique, semblant indiquer par là-même que l'heure n'est pas aux velléités d'acquisitions. Pourtant, l'effacement plus rapide que prévu de la dette pourrait ouvrir la porte à quelques emplettes : de 491 M€ fin 2004, la dette est ainsi passée à 363 M€. Alors qu'Atos prévoyait, en début d'exercice, de ramener son endettement à 350 M€ à la fin 2005, il table désormais sur 200 M€. Et le Président, Bernard Bourigeaud, envisage une trésorerie nette positive l'année prochaine permettant de « tirer pleinement parti des opportunités apparaissant sur le marché mondial des services informatiques ». (...)

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