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(27/11/2009 17:01:14)
Le PDG d'Avanquest entre au conseil d'administration de Syntec Informatique
La représentativité des éditeurs de logiciels gagne un peu de terrain au conseil d'administration de Syntec Informatique avec l'arrivée de Bruno Vanryb, PDG d'Avanquest Software, société d'édition de logiciels pour le grand public, (ex-BVRP Software). Au printemps dernier, déjà, Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software, éditeur de solutions de gestion financière, avait intégré le comité exécutif de la chambre professionnelle qui compte aussi Romain Hugot, directeur de Sage France. Sur les vingt-huit membres du conseil d'administration de la chambre professionnelle, huit représentent désormais le monde de l'édition de logiciel. Aux côtés de Gérard Claverie, 1er vice président de Syntec Informatique et vice président du conseil de surveillance de l'éditeur Générix Group, figurent aussi Pascal Rialland, DG de SAP France, Eric Boustouller, PDG de Microsoft France, Eric Bantegnie, président d'Esterel Technologies et Philippe Ozanian, DG d'Infovista. Mais les acteurs des services restent majoritaires avec dix-huit membres siégeant au Collège Conseil et services informatiques et deux au Collège Conseil en technologies. Cette volonté réaffirmée de Syntec Informatique de donner plus de voix aux éditeurs dans ses structures a peut-être été aussi suscité par les initiatives qui se multiplient dans ce domaine, notamment du côté de l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels créée fin 2005. Mieux faire connaître l'énorme vivier d'éditeurs en France et tenir compte de leur diversité Président d'honneur de Middlenext, association représentant des valeurs moyennes cotées, Bruno Vanryb fut aussi président de l'association d'entrepreneurs Croissance Plus. En rejoignant les instances dirigeantes de Syntec Informatique, il compte apporter son expérience des relations avec les pouvoirs publics pour mieux faire connaître son secteur d'activité. « Le métier d'éditeur de logiciels est très mal cerné en France. On connaît très bien les sociétés de services et les très grands éditeurs, comme Microsoft, ou encore ceux qui sont spécialisés sur un créneau, comme Dassault Systèmes sur la CAO, ou sur un métier - les médecins par exemple. Mais on méconnaît les éditeurs plus généralistes. On ne sait pas qu'il y a en France un vivier énorme d'éditeurs de logiciels. » Le PDG d'Avanquest constate que les pouvoirs publics appréhendent mal ce secteur qui n'est donc pas considéré comme un secteur prioritaire, alors qu'il s'est bien développé dans d'autres pays, aux Etats-Unis notamment. « Le retard que l'on constate en France n'est pas lié à un manque de compétences des acteurs, mais à une méconnaissance, insiste Bruno Vanryb. Les Français ne savent pas qu'ils ont des leaders, comme Ubisoft par exemple, qui est en concurrence directe avec les leaders internationaux du jeu vidéo. » Le marché des logiciels grand public sur lequel évolue Avanquest est un secteur très internationalisé. C'est une certaine forme d'édition de logiciels qui offre l'intérêt de représenter des éditeurs français aux Etats-Unis. « Jean Mounet et son conseil d'administration ont bien compris, et je les en remercie, que nos métiers d'éditeurs de logiciels étaient très divers et que Syntec Informatique devait être représentatif de cette diversité, apprécie Bruno Vanryb. Avanquest est peut-être, par son côté grand public, un peu plus sur le devant de la scène que d'autres éditeurs. Cela permettra peut-être de donner un coup d'accélérateur. » Bruno Vanryb prône l'investissement, rejette les subventions [[page]] En acceptant de venir renforcer le pôle éditeur d'une organisation comme Syntec Informatique, « qui a bâti une présence forte, historique et légitime en raison du poids qu'elle représente dans l'industrie en termes de chiffre d'affaires et d'emplois », le président d'honneur de MiddleNext souhaite mettre au service de l'édition sa « très grande expérience des actions qui permettent de faire connaître les entreprises et les filières auprès des pouvoirs publics. » Il rappelle au passage qu'il est totalement hostile à toute forme de subventions. En revanche, il trouve intéressant qu'un organisme comme le FSI (fonds stratégique d'investissement) s'intéresse à des entreprises de technologies. Sa société, Avanquest, vient d'en bénéficier puisque le fonds a décidé d'y investir 9 millions d'euros pour l'aider à se développer à l'international. Le marché grand public : un autre éclairage sur le métier d'éditeur Les métiers représentés par Syntec Informatique sont essentiellement tournés vers les entreprises alors qu'Avanquest vend d'abord au grand public et aux TPE/PME. Au conseil d'administration de la chambre syndicale, c'est avec Microsoft et peut-être Infovista que la société de Bruno Vanryb a le plus de points communs. « Sur le grand public, nous faisons le même métier que Microsoft mais avec une taille de PME. Nous réalisons un pourcentage énorme de nos ventes sur Internet, environ 14 ou 15 M€ en téléchargement chaque année avec un panier moyen inférieur à 20 euros, explique le PDG. C'est intéressant car c'est une autre façon de faire ce métier d'éditeur de logiciels. L'activité et le poids relatif d'un éditeur qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 100 M€ auprès des entreprises, avec une centaine de produits vendus, ne peut pas être vraiment comparé à un éditeur qui diffuse des centaines de milliers de produits par an sur le marché. » Vu sous cet angle, Bruno Vanryb pense que son expérience du grand public peut lui permettre d'apporter un autre éclairage sur le métier d'éditeur. (...)
(19/11/2009 12:03:20)Intel Capital investit dans sept sociétés dont Joyent, acteur du cloud computing
Intel Capital, l'entité d'investissement du fabricant californien de processeurs, vient de réaliser sept nouvelles prises de participation pour un total de 25 millions de dollars. Parmi les sociétés bénéficiant d'une partie de ces fonds figurent deux entreprises américaines : Joyent, un acteur du cloud computing, et Active Storage, fabricant de systèmes de stockage RAID pour les utilisateurs de matériel Apple. Précédemment, en mai 2008, Intel Capital avait investi dans une co-entreprise constituée par Clearwire et Sprint Nextel pour déployer le Wimax aux Etats-Unis. David Young, PDG de Joyent, explique que sa société, créée en 2004, a développé sa propre technologie de virtualisation de datacenter qui permet de disposer d'une plateforme de cloud multi-tenant. Celle-ci permettrait d'atteindre un taux d'utilisation de 70%. Le PDG fait état de certains tests de performance qui ont établi que MySQL tournait trois fois plus vite sur Joyent que sur la plateforme de cloud EC2 d'Amazon. Parmi les clients de la société figurent notamment ABC Disney, CNN, Facebook, LinkedIn et Yahoo. Analyse prédictive, vidéoconférence et mobilité Intel Capital vient également d'investir des fonds dans NeuString, une société de Dubai (Emirats arabes unis) qui développe des logiciels d'analyse prédictive et propose aux opérateurs mobiles des prestations de conseil pour améliorer leurs performances financières. Les quatre autres sociétés remarquées par le fonds d'investissement d'Intel sont basées en Asie, respectivement à Tokyo, Pékin, Taipei et Cheon-Ahn City. Le Japonais V-Cube développe des solutions de vidéoconférence basées sur le Web. Le Chinois Phoenix New Media propose des portails d'informations accessibles sur Internet et depuis des terminaux mobiles. Le Taïwanais Gudeng Precision Industrial est un fabricant de semi-conducteurs et le Coréen Crucialtec produit des systèmes de saisie optique pour les smartphones. (...)
(13/10/2009 14:35:28)Le Français eXo Platform prend pied aux Etats-Unis
La start-up française eXo Platform ouvre un bureau à San Francisco et c'est Benjamin Mestrallet, son président fondateur, qui pose les premiers jalons, sur place, du développement des opérations sur l'ensemble des Etats-Unis. En juin dernier, eXo Platform a fusionné son projet de portail (la diffusion du code du projet eXo, container de portlet Java, remonte à 2002) avec celui de Red Hat, JBoss Portal, pour créer une plateforme commune Open Source, GateIn. « Le partenariat noué avec Red Hat a contribué à notre décision d'aller sur le continent nord américain, mais si nous nous sommes installés dans la Silicon Valley, c'est bien pour développer la visibilité mondiale d'Exo Platform », explique Benjamin Mestrallet. Un autre bureau sera ultérieurement créé sur la côté Est, probablement dans huit à douze mois. « Cette ouverture n'est pas encore planifiée, elle dépendra de la réalisation du business plan. » Pour l'accompagner dans son déploiement outre Atlantique, la société a constitué un bureau de conseillers (board of advisors) qui connaissent bien les métiers du logiciel, le secteur de l'Open Source et la gestion de la croissance. On y trouve Bob Bickel, Sacha Labourey et Edwin Khodabakchian. Le premier fut directeur de la stratégie de JBoss, co-fondateur de Bluestone Software (racheté par HP en 2001), et conseiller d'éditeurs Open Source comme JasperSoft ou Funambol. « Il connaît très bien le marché américain. Son expertise va nous aider à développer nos ventes indirectes, en OEM et par l'intermédiaire d'un réseau de revendeurs que nous souhaitons constituer, détaille Benjamin Mestrallet. Aux Etats-Unis, nous aurons un mix entre des vendeurs collaborateurs d'eXo Platform et des revendeurs indirects. C'est quelque chose que nous ne faisons pas du tout en France où les ventes se font de façon indirecte, par le biais d'intégrateurs. » La première personne qui devrait être embauchée dans ce bureau californien sera certainement le directeur des ventes. Red Hat, plus gros distributeur d'eXo outre-Atlantique Parmi les conseillers, figure également Sacha Labourey, l'un des co-fondateurs de JBoss, aujourd'hui basé en Suisse. « Il a une très bonne connaissance de Red Hat, qu'il a quitté tout récemment, en mars 2009, ce qui nous permet d'avoir une relation simple en interne, confie Benjamin Mestrallet. C'est lui qui a initié le rapprochement d'eXo Platform avec Red Hat, qui est notre plus gros distributeur sur le marché américain. » Edwin Khodabakchian, enfin, co-fondateur de Feedly.org, a précédemment fondé Collaxa, société spécialisée dans l'orchestration de processus métiers (BPEL), qu'il a revendue en 2004 à Oracle. Chez ce dernier, il a ensuite occupé les fonctions de vice-président pour le développement produit. « Il connaît bien l'architecture logicielle en général, livre des conseils avisés sur l'automatisation des ventes et a lui-même vécu l'intégration dans la Silicon Valley, précise le président d'eXo Platform. Ce n'est pas évident de prendre pied aux Etats-Unis. C'est mieux de le faire en étant entouré. » Exo Platform compte cent collaborateurs dans le monde dont quinze en France (les autres se situant en Ukraine, au Vietnam et en Tunisie) et une cinquantaine de clients. Ces derniers sont principalement de grandes entreprises qui rassemblent en moyenne 2 000 utilisateurs des logiciels eXo Platform (60 000 utilisateurs pour le déploiement le plus important). Outre la solution intranet/extranet eXo Portal et l'interface WebOS (qui restitue à l'utilisateur son environnement de travail habituel, via un navigateur Web), l'éditeur français propose plusieurs modules applicatifs : gestion des contenus d'entreprise, outils de collaboration et de gestion des connaissances. Parmi ses clients figurent Generali ou, encore, le ministère des Finances belge, qui regroupera à terme 30 000 utilisateurs. « L'un des objectifs de notre installation aux Etats-Unis, c'est aussi d'aller sur des tickets d'entrée plus bas, 'à la Red Hat', vers des marchés plus larges s'approchant davantage du marché de masse », reconnaît aussi Benjamin Mestrallet. (...)
(09/10/2009 12:40:58)Tribune : Le patron de Kwaga raconte son Seedcamp, vu de l'intérieur
Du 21 au 25 septembre dernier, s'est tenue à Londres la Seedcamp Week, une semaine qui permet à une vingtaine de start-up de rencontrer des professionnels expérimentés du marché des TIC. « C'est un peu la Star Academy des startups, » plaisante Philippe Laval, PDG et fondateur de Kwaga, qui partage avec LeMondeInformatique.fr, dans une tribune , l'ambiance bouillonnante de la manifestation. En remportant le mini-seedcamp de Paris en février 2009, la jeune pousse avait justement gagné le droit de participer à la grande semaine de Londres. Pour sa troisième édition, cette Seedcamp Week a accueilli 22 jeunes pousses dans la capitale britannique. Près de 400 experts les ont reçus, écoutés, conseillé, etc durant ces journées. Et c'est de l'intérieur que Philippe Laval nous raconte son parcours dans ce chaudron d'innovation. Kwaga ne fait pas partie des sept entreprises gagnantes. Et pourtant... A lire l'enthousiasme et la passion de son patron, on aurait envie de se souvenir que la plupart du temps, l'essentiel est vraiment de participer. Lire la tribune de Philippe Laval (...)
(08/10/2009 17:09:41)Concours d'innovation : 24 heures chrono pour concrétiser un projet à l'Estia
Il reste quelques jours encore pour s'inscrire au « 24 h de l'Innovation 2009 », troisième édition d'un concours organisé par l'école d'ingénieurs Estia (école supérieure des technologies industrielles avancées, créée en 1985 à l'initiative de la CCI de Bayonne Pays Basque). L'épreuve se déroulera du vendredi 23 octobre à 14 h jusqu'au lendemain à 14 h. En 24 heures 'chrono', des équipes pluridisciplinaires d'élèves ingénieurs et d'étudiants d'écoles de commerce et de designers, mais aussi de professionnels, devront apporter une solution concrète sous forme de produits, logiciels ou services, à des projets qui ont été préalablement soumis par des entreprises, des laboratoires et des inventeurs. Un appel à projets a été lancé à cet effet auprès d'universités, d'associations, de PME et de grands groupes. « De nombreuses idées ont déjà été déposées, confie Jérémy Legardeur, enseignant-chercheur à l'Estia engagé dans l'organisation du concours. Nous devrons sans doute procéder à des arbitrages pour être certain que chaque proposition ait une chance d'avoir une équipe. » Il est encore possible, néanmoins, de soumettre d'autres idées. Quant aux participants, ils peuvent s'inscrire jusqu'au 20 octobre 2009. Un projet en cours d'industrialisation chez Quicksilver Tout étudiant suivant une formation impliquée dans le développement de produits logiciel, mécanique ou électronique est concerné. Les équipes participantes pourront ainsi rassembler des compétences qui couvrent l'informatique, la conception mécanique, l'électronique et l'automatique, tout autant que le design, l'ergonomie, le marketing, la communication, les questions juridiques ou, encore, la protection industrielle. A l'issue des 24 heures imparties pour plancher sur les idées déposées auprès de l'Estia, chaque équipe disposera de trois minutes pour présenter le résultat de sa réflexion devant un jury. Des prix seront attribués aux dix meilleurs dossiers. Les trois premiers pourront être ensuite financièrement soutenus par Oseo, « pour le compte d'une entreprise qui aura déposé un projet », précise Jérémy Legardeur, afin de pouvoir lancer la phase de pré-développement du projet. A la suite des précédentes éditions, un produit est en cours d'industrialisation pour le fabricant de sportwear Quicksilver et le groupe pétrolier Total étudie la possibilité d'un dépôt de brevet. Les organisateurs des « 24 h de l'Innovation » attendent quelque 250 participants pour constituer les équipes accueillies sur le site de l'Estia(*). S'y joindront, par l'intermédiaire d'un système de multivisioconférence, plusieurs écoles en France (notamment l'Ensam d'Aix-en-Provence et l'Institut polytechnique de Grenoble), mais aussi en Espagne et au Canada. (*) Le campus de l'ESTIA est situé sur la technopole "Izarbel" de la Côte Basque, à Bidart, près de Biarritz. (...)
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