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(23/03/2011 09:18:43)
Les priorités et revendications des 2 000 PME « Oséo Excellence »
Oséo a réuni le 16 mars dernier les membres d'Oséo Excellence, en présence du Président de la République. Auparavant, un sondage, auquel 65% des 2 000 membres d'Oséo Excellence ont répondu, avait pris la mesure de leurs attentes. Douze thèmes leur étaient proposés, sur lesquels les chefs d'entreprise devaient voter et désigner le « hit parade » de leurs préoccupations.
Arrive largement en tête, pour 65% des répondants, la baisse des coûts du travail. Le deuxième critère n'arrivant qu'à 45%, c'est un véritable plébiscite en faveur de la réduction des charges sociales qu'annonce ce sondage. Les répondants voient dans l'allègement des coûts du travail plusieurs avantages : une amélioration de leur compétitivité et une plus grande stabilité des emplois en période de transition. Ils verraient d'un bon oeil une exonération de cotisation sociale pour l'embauche de jeunes, sur deux ans, ou bien la création d'un crédit d'impôt embauche, toujours pour favoriser l'entrée des jeunes talents dans le monde du travail.
Derrière cette revendication n°1, on trouve deux grandes séries de demandes, l'une a trait aux aides ou contraintes publiques, l'autre porte sur les questions de financement.
Des règles qui changent chaque jour
Les patrons interrogés demandent à l'Etat d'agir plus judicieusement et de simplifier ses procédures. C'est particulièrement net dans le sondage. Avec 45% des voix et en deuxième position, on trouve en effet le sujet « aides publiques à l'innovation ». Des aides comme (**) le CIR, le JEI, les FCPI sont particulièrement mises en avant et prouvent l'efficacité de la puissance publique. Inversement, à 38%, les sondés citent comme revendication la réduction de l'impôt sur les sociétés (sur les résultats reportés), à 38% toujours, les entrepreneurs veulent une règlementation plus stable (que ce soit en matière fiscale ou dans la législation du travail). Ils ont l'impression que les règles changent chaque jour.
Dans le même ordre d'idées, ils semblent également désarçonnés devant la course d'obstacles que représentent les franchissements de seuil. Quand on développe son entreprise rapidement, il faut intégrer les étapes 10, 50, 100 salariés avec, à chaque fois, son lot de déclarations et d'imputations diverses. Dans le même registre, les traitements administratifs et fiscaux sont fréquemment cités. Un seul paiement serait le bienvenu, comme en Angleterre, où un seul prélèvement assure la taxe professionnelle, la taxe foncière, la taxe d'apprentissage et l'imposition forfaitaire annuelle. Une fiche de paye simplifiée (5 lignes maxi !) serait également une vraie innovation.
Viennent ensuite, dans la hiérarchie des priorités, les critères financiers. A 32%, les sondés souhaitent que l'épargne publique soit mieux orientée vers les entreprises. 18% d'entre eux veulent des établissements financiers qui soutiennent leurs projets, le même pourcentage réclame des soutiens publics pour conquérir de nouveaux marchés, 16% demandent des quasi fonds propres.
Crédit photo D.R.
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La plus grande surprise dans ce sondage c'est finalement qu'il n'y en a pas. Chaque point est une revendication ancienne des chefs d'entreprise, exprimée ici de manière chiffrée par un sondage et de manière vive dans les réponses qui l'accompagnent par les patrons des entreprises Oséo Excellence 2 000.
Les chefs d'entreprise interrogés semblent aussi très décomplexés et n'hésitent pas à pointer les défauts de la cuirasse publique. Oralement, en marge du sondage, ils ont réclamé la réduction de nombre de pôles de compétitivité au profit de pôles plus importants. Ils verraient bien une stabilisation des relations entre sous-traitants et donneurs d'ordre (sur laquelle nous sommes souvent revenus dans ces colonnes). Les « 2 000 » aimeraient que soit favorisée l'émergence d'ETI (***), que les Tepa ISF (réduction de son ISF permises dans la cadre de la loi Tepa si on investit dans une entreprise) soient orientées vers les PME, de même que les aides du FSI.
(*) OséoExcellence
http://www.excellence.oseo.fr/
(**)
CIR (Crédit d'impôt recherche)
http://www.industrie.gouv.fr/cir/
JEI (statut de Jeune Entreprise Innovante)
http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid5738/le-statut-jeune-entreprise-innovante-jei.html
FCPI (Fonds communs de placement innovation)
http://www.oseo.fr/aides-entreprise/fcpi.htm
(***)
ETI (Entreprises à taille intermédiaire)
http://www.insee.fr/fr/methodes/default.asp?page=definitions/entreprise-taille-intermedi.htm
https://www.distributique.com/actualites/lire-les-grosses-pme-constituent-le-maillon-faible-de-l-economie-francaise-14058.html
Facebook rachète Snaptu, développeur d'applications mobiles
L'opération est estimée à 70 millions d'euros, mais aucun chiffre n'a été publié. Facebook a donc réalisé sa première acquisition en Israël. Le nom de l'heureuse Start-up est Naptu, qui développe des applications mobiles. Plus exactement, la société fondée en 2007 par Ran Makavy, Micha Berdichevsky et Barak Naveh s'est focalisée sur la portabilité des applications de type Facebook ou Twitter sur des téléphones portables autres que des smartphones. Cette orientation devrait accélérer le développement du réseau social dans les pays en développement où le taux d'équipement en smartphone est faible.
(...)(16/03/2011 12:28:47)Google s'empare de Green Parrot pour améliorer YouTube
La firme de Moutain View vient d'annoncer le rachat de Green Parrot Pictures, une société irlandaise ayant développé un procédé qui rend les vidéos postées sur YouTube plus nettes, plus stables avec moins de parasites. Le montant de la transaction n'a pas encore été révélé. Selon Google, la technologie conçue par la société irlandaise s'avérera utile pour améliorer la qualité des vidéos prises par des équipements de faible qualité - comme les téléphones portables - dans le cadre de situations particulières telles que les manifestations tournées dans la rue. La technologie de stabilisation d'image de Green Parrot Pictures est déjà utilisée par le cinéma sur des films à gros budget comme Lord of the Rings, X-Men, ou encore Spider-Man.
Près de 200 000 long métrages mis en ligne
«Cette technologie, qui améliore la qualité des vidéos, utilise également moins de bande passante et augmente aussi la vitesse de lecture», a estimé Jeremy Doig, directeur de la technologie vidéo chez Google dans un billet de blog publié hier. Il a ajouté qu'avec l'équivalent de plus de 170 000 long métrages mis en ligne chaque semaine sur YouTube, l'expérience des équipes de Green Parrot dans ce domaine - qui consiste à travailler sur des solutions destinées tant au grand public qu'aux professionnels de la vidéo - serait une source de nouvelles idées et d'innovations pour la plate-forme d'hébergement. En janvier dernier, les sites du géant californien et en particulier YouTube, ont attiré 144,1 millions d'internautes friands de vidéos en ligne, contre seulement 51 millions d'utilisateurs pour Vevo, selon la société de mesure d'audience comScore. Suivent Yahoo, Viacom Digital et AOL qui viennent compléter le top cinq.
(...)
Citrix investit dans un logiciel gérant des services dans le cloud
Citrix Systems vient d'investir dans Primadesk, un éditeur qui développe une application gratuite conçue pour suivre la trace de contenus stockés dans différents services cloud. C'est le premier engagement financier réalisé par Citrix Startup Accelerator, une initiative lancée en décembre dernier avec l'objectif de favoriser l'amorçage de start-up. Le montant de la somme investie n'a pas été communiqué.
Installée à Novato, en Californie, la société Primadesk a été fondée en 2009. La version bêta de son logiciel doit être présentée à l'occasion de la conférence Demo Spring(*) qui offre une vitrine aux innovations logicielles et se tient en ce moment à Palm Desert, sur la côte Ouest des Etats-Unis. L'éditeur explique que son application permet de retrouver, gérer et sauvegarder des services cloud à partir d'une interface centralisée, quel que soit le terminal utilisé. 
Cliquer ici pour agrandir l'image
Ci-dessus, la sauvegarde des données gérées en ligne peut se faire à différents niveaux (compte, répertoire, album dans le cas de photos...)
Les utilisateurs peuvent par exemple afficher, envoyer, répondre et lancer des recherches à travers différents services de messagerie et sites de réseaux sociaux, à partir d'une seule interface. L'application autorise aussi le déplacement de contenus (documents, e-mails, photos) d'une application ou d'un service vers l'autre. Primadesk donne en exemple la copie de documents entre Google Docs et Dropbox, ou encore le transfert de photos entre Picasa et Facebook.
La version bêta de l'application sera disponible en mars 2011.
(*) organisée par Demo, une filiale du groupe de presse informatique IDG.
Illustration : L'application Primadesk
Le département de la Loire rebaptise son cluster en Numélink
Changement de dimension et donc changement de nom pour le cluster du département de la Loire. Loire Numérique devient Numélink. Un nom destiné à refléter ses nouvelles ambitions et à identifier le cluster à l'international. Un jury composé des 145 adhérents et de partenaires a élaboré 120 propositions, les mêmes et des journalistes (dont Distributqiue.com) ont voté pour ce nouveau nom. En baseline, le cluster se définit comme « The creative IT Cluster » avec, comme slogan : « la dynamique numérique Loire en Rhône-Alpes ».
Nantes accueille sa Cantine Numérique
Après Paris, Rennes et Toulouse, la Cantine Numérique vient d'ouvrir ses portes à Nantes. Destiné à un public sensible au web et à l'innovation sous toutes ses formes, le projet a pu naître grâce à Atlantic 2.0, une association qui regroupe des professionnels du web et de l'innovation et qui est soutenue par des partenaires public ( Nantes Métropole et la Région des Pays de la Loire) ou privés (SFR, Orange, Alcatel-Lucent, In Extenso, La Banque Populaire Atlantique, Cornet-Vincent-Ségurel, F.Iniciativas et la CCI Nantes/Saint-Nazaire). Entrepreneurs, salariés, freelances, étudiants ou chercheurs pourront profiter du wifi et participer aux conférences, ateliers techniques, et formations qui sont organisés chaque semaine. Les porteurs de projets et les entrepreneurs ayant développé des expertises, des technologies et des services innovants peuvent également venir les tester et les exposer.
60 000 € annuels par collectivité pendant 3 ans
Adrien Poggetti, directeur de l'établissement rappelle que la Cantine n'est pas un incubateur mais un « accélérateur de particules » qui se positionne en amont des incubateurs et pépinières. Pour Ludovic Simon, président du réseau Atlantic 2.0, le but est de se faire rencontrer des publics qui travaillent habituellement dans des lieux éclatés pour créer des synergies, développer des usages et des technologies dans un esprit d'intelligence collective, La Région des Pays de la Loire et Nantes Métropole accompagnent la Cantine, dans le cadre de leur politique d'innovation et de développement de l'économie numérique : leur aide financière est de 60 000 € annuels par collectivité, pendant 3 ans.
Illustration : Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes et président de Nantes Métropole ainsi que Jacques Auxiette, président du conseil régional des Pays de la Loire ont inauguré la Cantine Numérique hier, jeudi 3 février. Crédit photo : D.R
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