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(12/01/2010 09:25:16)
Le marché du e-achats s'annonce prometteur en 2010
Dans le vaste secteur du e-achat, trois segments paraissent bien développés, les entreprises en sont équipés à plus de 50% : le e-procurement (gestion administrative des achats) à 63%, le e-sourcing (sélection des fournisseurs) à 59%, les catalogues électroniques à 55%. Trois autres semblent en revanche « à la traîne » avec à peine 20% d'entreprises équipées : le SRM (gestion de la relation fournisseur), le décisionnel achats, le développement durable. Entre les deux, on trouve : le contract management, la démat', les enchères en ligne, le e-apaiement et du développement spécifique. Le secteur du e-achat balaye large, ce qui fait sa force. Les entreprises ont en effet un système d'information achats qui peut être amélioré en terme de couverture fonctionnelle. C'est la grande conclusion de l'étude. Les offres sont d'ailleurs largement disponibles. En plus, le parc installé date de plus de trois ans et plus d'un tiers des entreprises n'ont pas de service de e-achats externalisé. Les différents acteurs de ce marché, malgré la crise, ont moins de motifs de pessimisme que leurs homologues d'autres marchés. Des achats nombreux après une année marquée par la rigueur Dans les 12 à 18 mois à venir, les SI achats vont d'ailleurs investir souligne l'étude : à 25% dans leur enrichissement fonctionnel, à 18% dans l'upgrade des systèmes existants, à 15% dans l'installation de nouvelles solutions, à 12% dans la globalisation des systèmes au plan mondial, à 11% dans l'élargissement du périmètre d'usage, pour 8% dans la refonte de systèmes existants. 3% seulement des entreprises interrogées n'envisagent pas d'évolution. L'étude donne l'occasion aux offreurs de se reprendre après une année 2009 délicate. Sur ce secteur de l'e-achat, 32% des chiffres d'affaires se sont avérés moins bons que prévu, en face, 29% des entreprises ont repoussés ou abandonné leurs projets. En revanche, pour 2010, 29% des offreurs prévoient une hausse de leurs chiffres d'affaires et 24% des entreprises prévoient davantage de projets. Ces nouveaux projets porteraient : à 31% dans le conseil, à 20% dans l'ASP, à 12% en licences, à 11% en intégration, à 10% en maintenance à 8% en services, à 3% en externalisation. (*) Etude menée de mi novembre à mi décembre auprès de 50 entreprises, de la Pme aux grands comptes. (...)
(11/01/2010 16:51:08)Pour trouver de l'énergie au meilleur prix, Google devient marchand d'électricité
Déjà très impliqué dans le domaine des énergies renouvelables, le Googleplex produit actuellement 1,6 mégawatt d'électricité grâce à 9212 panneaux solaires sur le toit du siége, la firme de Mountain View a crée Google Energy pour assumer, à long terme, la forte hausse de ses dépenses électriques. En effet, cette filiale n'aura a priori qu'un seul client : Google. « Nous avons fait cette demande afin d'avoir plus de flexibilité dans l'acquisition de puissance pour les opérations de Google, y compris pour nos data centers» explique un communiqué de la firme. Actuellement en attente d'une réponse de la Commission américaine de réglementation de l'énergie (FERC), la société devrait prochainement obtenir le statut de « marchand en électricité » et pourra alors acheter et vendre, au meilleur prix. Google Energy permettra au leader internet de jouer sur la flexibilité des tarifs américains en énergie qui sont différents d'un état à l'autre. Il sera alors possible pour Google d'approvisionner son siège californien, où l'électricité est facturé 11 centimes le watt, par du courant à moitié prix provenant de l'Oregon . À titre indicatif, les tarifs professionnels EDF en France atteignent environ 23 centimes par Watt. Pour accompagner sa consommation d'énergie grandissante et limiter ses émissions de CO2, Google s'engage toujours plus dans le domaine des énergies renouvelables. Pour ce faire, elle compte utiliser Google Energy pour acquérir de l'énergie verte à bon prix. Même si la firme communique très peu sur le sujet, un data center Google consomme environ 50 MW. Rappelons que la compagnie de Mountain View en posséderait une trentaine dans le monde. (...)
(28/12/2009 14:18:20)Les développeurs réclament à Microsoft un Azure moins cher, facturé à la minute
A quelques jours du lancement officiel d'Azure, l'offre de cloud de Microsoft ouvrant le 1er janvier, des voix de plus en plus nombreuses se font entendre pour réclamer à Microsoft une offre d'entrée de gamme, à bas prix, voire gratuite, permettant aux étudiants et développeurs individuels d'utiliser le service pour de petits projets. Mike Wickstrand, qui supervise l'établissement de la feuille de route d'Azure, a ouvert il y a un mois un site permettant de suggérer des idées de futures améliorations et de commenter et voter sur ces idées. La proposition remportant le plus de votes (1 239 voix au 28 décembre 2009) avait été formulée par Mike Wickstrand lui-même : « Faire en sorte que ce soit moins cher d'exécuter mon très petit service sur Windows Azure ». Juste derrière, vient, avec 656 votes, « prolonger l'offre gratuite pour les développeurs ». Microsoft avait bien indiqué que le mois de janvier compterait pour une période d'essai gratuite, afin d'inciter le plus grand nombre à tester son service. Toutefois, cela implique de réaliser des développements spécifiques, qui ne pourront tourner que sur Azure. Et malgré les promesses d'une facturation à l'usage, les tarifs ne sont pas très attractifs ; comme le souligne un développeur individuel, Microsoft ne compte pas le temps de consommation de CPU, mais bien le nombre d'heures où un service tourne, quelle que soit son activité. Prohibitif pour nombre de petits projets. Surtout qu'en face, chez Google, on propose une utilisation gratuite d'AppEngine jusqu'à un seuil relativement élevé de connexions. Une facturation d'Azure arrondie à l'heure supérieure Dans le même ordre d'idées, Joannes Vermorel, fondateur de Lokad, demande à être facturé à la minute, plutôt qu'à l'heure. Cette start-up française, récemment promue au sein de BizSpark One (qui rassemble les start-up les plus prometteuses du programme Microsoft BizSpark), recourt en effet à Azure pour effectuer des calculs statistiques complexes. Joannes Vermorel écrit : « Ce que j'aime le plus avec le cloud computing (et ce dont mon activité a le plus besoin) est la capacité de régler au plus fin la puissance informatique disponible pour répondre exactement à la demande. A cet égard, je serais encore plus intéressé si Azure me laissait ajuster le nombre d'instances de façon beaucoup plus précise, c'est-à-dire de façon à être facturé à la minute et non à l'heure. Au lieu de ça, lorsque j'ai un processus qui prend 1h15, je me retrouve à devoir payer pour deux heures. Je préférerais vraiment payer pour 1h15 dans la mesure où j'ai fait l'effort d'optimiser mon processus de façon à ce qu'il ne prenne que 1h15 et non 1h55. » Parmi les autres propositions, on peut aussi noter la demande - pourtant assez basique - de gestion des envois de courriels (489 votes), la création d'un environnement bêta pour tester la version 4 de .Net (298 votes), ou encore le support de Smooth Streaming (diffusion de vidéo s'adaptant automatiquement au débit, 147 votes). (...)
(20/11/2009 14:20:01)Bercy rappelle l'échéance de la dématérialisation des marchés publics au 1er janvier
Le texte étant publié depuis 2006, certains l'ont peut-être oublié. Le Ministère du Budget, des comptes publics et de la fonction publique vient donc de rappeler au travers d'une note sur son site qu'acheteurs publics et vendeurs allaient avoir des obligations nouvelles au 1er janvier 2010, dans un peu plus d'un mois, pour tous les marchés de plus de 90 000 euros. En matière de marchés publics, à cette date, les acheteurs pourront imposer aux fournisseurs de répondre aux marchés publics de manière dématérialisée. Pour les marchés informatiques, cette obligation ne sera même pas une option : la réponse dématérialisée sera imposée à l'acheteur. Les appels d'offres devront d'ailleurs obligatoirement être publiés sur un portail Internet à cette date. Les acheteurs auront donc dans tous les cas la possibilité de consulter de manière dématérialisée les documents constituant cet appel d'offres. Depuis l'origine du texte, en 2006, le fournisseur pouvait imposer à l'acheteur une réponse dématérialisée. Dans la pratique, cependant, si beaucoup de fournisseurs consultent les appels d'offres sur Internet, la très grande majorité des réponses se faisait jusqu'à présent en format papier. (...)
(20/07/2009 15:11:57)Hausses de 43% pour les packs d'optimisation Oracle
Les prix de la base de données Oracle connaissent une remarquable stabilité... depuis l'augmentation de juin dernier. En revanche, vouloir optimiser l'installation, la configuration et la maintenance va finir par revenir cher. L'éditeur a augmenté de près de 43% les tarifs de trois de ses principaux outils d'administration, le Diagnostics Pack, le Tuning Pack et le Configuration Management Pack, dont la licence passe de 2 511 euros par processeur à 3 588 euros. De fait, les éditeurs de SGBD commerciaux s'attachent aujourd'hui à montrer une valeur d'acquisition attractive, l'Open Source et la crise étant passés par là. Néanmoins, les plus grandes entreprises ont les moyens de payer, estiment les éditeurs, qui tentent ainsi de se rattraper avec des options d'administration indispensables pour de tels clients. Est-ce dû au succès de Google Maps et autres Microsoft Virtual Earth démultipliant le nombre d'applications liées à la géolocalisation, on note aussi, parmi les options, le record établi par le module Spatial, indispensable pour gérer au mieux les données géographiques dans Oracle : 52% de hausse, à 12 556 euros ! Les prix des autres SGBD Oracle (Berkeley DB, TimesTen et Rdb) restent stables. Hors bases de données, la comparaison de la liste de prix de ce mois avec celle de mai dernier montre aussi que certains outils connaissent une hausse moins importante, comme le Management Pack pour les SOA, qui augmente d'un peu plus de 30%. (...)
(13/07/2009 15:43:54)Les entreprises américaines ne sont pas pressées d'adopter Windows 7
Le lancement de Windows 7 le 22 octobre prochain amène les entreprises à réfléchir sur l'opportunité de faire migrer leurs parcs informatique vers le nouvel OS de Microsoft. A en croire le sondage réalisé par SciptLogic, un éditeur de logiciels d'administration de systèmes, auquel ont répondu 1000 entreprises américaines, nombre d'entre elles résisteront aux sirènes de l'éditeur à plus ou moins long terme. Plus précisément, 59,3% des répondants indiquent ne pas avoir planifié de déploiement de Windows 7. Ils sont 34% à penser mener l'opération à la fin de l'année 2010 et seulement 5,4% à l'envisager d'ici la fin 2009. Pour 42,7% des entreprises, le manque de ressources constitue la première barrière à l'adoption de Windows 7. Pas étonnant lorsque l'on sait qu'environ 21% d'entre elles ont réduit leurs équipes informatique ou retardé leurs embauches. Mais que l'on ne s'y trompe pas, les problématiques techniques directement portées par le système d'exploitation sont aussi en cause. 39,1% des entreprises craignent des problèmes de compatibilité de leurs applications avec Windows 7. Ce qui tombe mal puisque le gel des dépenses dédiées aux mise à jour logicielles est le principal moyen utilisé par les services informatiques des entreprises pour réduire leurs dépenses. Sans remettre fondamentalement en cause la tendance qu'ils dessinent, les résultats du sondage de ScriptLogic doivent être pris avec des pincettes. Le nombre de répondants, 1 100 sociétés, ne représentent en effet que 5,3% des 20 650 entreprises américaines auxquelles a été envoyé le questionnaire. On peut dès lors espérer que la réalité sera moins noire que prévu pour Microsoft. (...)
(06/07/2009 15:38:15)Après un an de négociations, l'évaluation de la maintenance SAP est enfin sur les rails
Le dispositif qui va mesurer les services de maintenance fournis par SAP se met en place en France. L'USF, le club des utilisateurs SAP francophones, l'a confirmé vendredi dernier 3 juillet. Ce programme résulte du compromis trouvé en avril par SAP avec ses clients, après plusieurs mois de discussions, à la suite du mécontentement provoqué par l'instauration d'un contrat de maintenance unique au tarif majoré. L'Enterprise Support, en vigueur depuis le 1er janvier 2009 pour tous les clients, correspond à 22% du prix déboursé pour les licences logicielles alors que certaines entreprises se contentaient jusque-là d'un contrat Basic à 17%. L'accord trouvé entre SAP et ses utilisateurs a débouché sur un étalement de la hausse du tarif sur sept ans (pour les entreprises qui ne l'avaient pas déjà fixé contractuellement). Chaque tranche d'augmentation est conditionnée à la réussite d'objectifs de performances mesurés par un système d'évaluation de la qualité du service de l'Enterprise Support. Celui-ci s'appuiera sur 11 indicateurs clés de performance (KPI) à partir des données issues de l'outil de supervision Solution Manager. Cent entreprises au total ont accepté de participer à ce benchmarking, dont 43 en Europe, parmi lesquelles, en France, sept entreprises adhérentes de l'USF. Air France, Aelia et les Fromageries Bel figurent au nombre de ces clients français (les autres ne souhaitent pas être cités). Les mesures seront effectuées par un cabinet « neutre », qui n'est pas encore choisi. Elles concernent quatre thèmes : continuité d'activité, amélioration des processus métier, innovation/protection des investissements effectués dans SAP (notamment en terme d'évolutions des versions), et enfin coût total de possession. « Les dirigeants de SAP croient dans leur produit et ils veulent prouver aux clients qu'ils ont raison en y mettant les moyens, à l'allemande », constate Jean Leroux, DSI d'Aelia et président de l'USF. « Il convient cependant de rester vigilant car, d'une part, il faut s'assurer que les sociétés membres de l'échantillon de référence ne bénéficient pas d'un traitement de faveur [l'USF peut aussi lancer ses propres mesures au sein de ses membres] et, d'autre part, il faut travailler sur l'appropriation du module Solution Manager », prévient le patron de l'USF. (...)
(20/05/2009 17:29:30)Microsoft et la Linux Foundation luttent côte à côte contre la garantie des logiciels
Le 19 mai, l'American Law Institute (ALI) a adopté une position de principe sur les garanties contractuelles des logiciels qui contrarie grandement Microsoft et la Linux Foundation. L'éditeur et l'organisme défenseur de l'Open Source avaient même pris soin, quelques jours avant le vote de l'ALI, de signer une lettre ouverte commune dénonçant les conséquences de cette position et invitant l'ALI à en discuter avec eux. Institution respectée, composée de juristes et d'universitaires américains, l'ALI travaille à la clarification de sujets juridiques, afin d'aider les juges à prendre leurs décisions. En l'espèce, l'American Law Institute se penche sur le sujet de la garantie des logiciels depuis 2004, et vient d'aboutir à un document qui, selon Microsoft et la Linux Foundation, crée plus d'incertitudes qu'il n'en résout. Le document stipule en effet que l'éditeur d'un logiciel ne peut s'exonérer de garantir le logiciel en cas de défaut, ce qui est actuellement la coutume : dans les fameux paragraphes « disclaimers » des licences, il est généralement dit que le logiciel est livré « as is », tel quel. Toujours selon les principes de l'ALI, les logiciels obtenus gratuitement seraient exclus de cette disposition, ce qui ne rassure guère les acteurs du logiciel libre. L'OSI (Open Source Initiative) et la Linux Foundation avaient déjà critiqué cette façon de voir les choses, car cela n'exclut pas totalement les logiciels Open Source : quid des logiciels libres livrés sur un support payant, arguent par exemple les signataires de la lettre ouverte. De la flexibilité pour ne pas entraver le marché Pour Microsoft et la Linux Foundation, le texte de l'ALI est dangereux car il pourrait « faire dérailler un marché qui fonctionne bien, accroître l'incertitude pour les développeurs de logiciels et augmenter les risques de contentieux ». Pour eux, il vaudrait mieux laisser au marché une certaine flexibilité. « Les licences logicielles et les modèles économiques évoluent constamment - certaines sociétés font payer leurs logiciels, d'autres facturent les services et le support, d'autres encore comptent sur les revenus de la publicité. Un cadre juridique statique - qui supposerait par exemple que tous les logiciels seront livrés en boîte plutôt que via Internet - deviendrait rapidement obsolète. [...] Les deux parties [client et fournisseur, NDLR] devraient pouvoir choisir ce qui leur convient le mieux, dans la mesure où ils connaissent le cadre de leur transaction. » En Europe, c'est actuellement la commissaire européenne chargée de la consommation qui réfléchit au fait de doter les logiciels d'une garantie de deux ans. (...)
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