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(13/05/2009 12:56:21)

Antitrust : Intel condamné à plus d'un milliard d'euros par la Commission européenne

La Commission européenne a reconnu Intel coupable de violation des lois antitrust sur le marché des microprocesseurs et l'a finalement condamné à 1,060 milliard d'euros d'amende. La Commission, qui aurait pu infliger une amende allant jusqu'à 10% du chiffre d'affaires du fondeur - soit plus de 3 Md€ - a aussi ordonné à l'Américain de cesser ses pratiques illégales. Le montant de l'amende dépasse de loin les 899 M€ infligés à Microsoft en 2008 pour abus de position dominante sur le marché du logiciel (qui s'ajoutent aux 497 M€ payés par l'éditeur en 2004). L'enquête de la Commission portait sur les rabais accordés illégalement par Intel à certains constructeurs informatiques en échange de l'achat en nombre de ses puces x86. L'entreprise était aussi accusée de payer certains fournisseurs pour annuler ou retarder le lancement de machines utilisant des processeurs de son concurrent AMD, et de vendre ses puces serveurs à des prix très bas à de grands clients comme les gouvernements ou les universités. Intel a immédiatement réagi en affirmant que ses pratiques commerciales "ne contreviennent pas au droit européen". Le numéro un des processeurs a également fait part de sa décision d'interjeter appel de sa condamnation. (...)

(29/04/2009 16:49:15)

SAP et ses utilisateurs trouvent un compromis sur les tarifs de maintenance

L'USF (club des Utilisateurs de SAP Francophones), le Sugen (le club des dirigeants de clubs d'utilisateurs de SAP dans le monde) et l'éditeur SAP ont communiqué ce 29 avril autour de l'accord « de compromis » entre l'éditeur et les structures représentant ses clients. Depuis pratiquement un an, l'éditeur doit en effet affronter le mécontentement de ses clients lié à l'augmentation du taux de rémunération de la maintenance (22% des licences acquises au lieu d'un choix entre un contrat à 17% et un autre à 22%) dans le cadre d'un nouveau contrat nommé Enterprise Support. Certes, le service lié à ce nouveau contrat est censé être plus élevé que dans les contrats précédents mais les clients ne voyaient pas l'utilité de cette évolution tout en constatant la croissance de la facture. L'accord « de compromis » qui vient d'être conclu entérine l'augmentation tarifaire mais celle-ci ne sera pas totalement effective avant 2015 (à la place de 2010) pour les clients actuels (les nouveaux clients sont automatiquement aux nouvelles conditions). Au lieu d'une augmentation tarifaire de 8% par an, celle-ci passe donc à 3,1%. Rappelons que, selon les dires de Jean Leroux, président de l'USF et DSI d'Aelia, la tendance globale est plutôt de demander des baisses de factures aux fournisseurs... SAP parvient donc à abuser de sa position pour imposer sa volonté à ses clients. En contrepartie, ceux-ci obtiennent, outre l'étalement de l'augmentation, des critères de qualité de service, les « indicateurs clés de performance (KPI) ». Si ces indicateurs ne sont pas bons, l'augmentation sera davantage étalée. Habituellement, avec des fournisseurs moins puissants, la logique est plutôt d'obtenir des ristournes lorsque la qualité n'est pas bonne et non pas une moindre augmentation. Ces KPI appartiennent à quatre catégories : continuité d'activité, amélioration des processus métier, protection de l'investissement et coût total de possession. « Nous sommes convaincus que SAP Enterprise Support offre une valeur inégalée à tous les clients [de SAP] et, comme démonstration de notre engagement, nous fournirons des réductions tangibles des coûts d'exploitation sur un calendrier défini », a déclaré Léo Apotheker, co-PDG de l'éditeur. Pour justifier l'augmentation obligatoire de la maintenance, SAP a en effet inclus dans le paquet « maintenance » une série de nouveaux services et produits annexes. La croissance du tarif est donc censée être compensée par une baisse du coût d'exploitation courant lié à ces nouveaux services qui permettent d'éviter des travaux réalisés actuellement soit en interne soit sous-traités auprès de SSII. Si tous les clients ne recouraient pas à de tels services, tous devront cependant accepter de les payer indirectement dans le cadre de l'Enterprise Support. (...)

(29/04/2009 16:37:44)

Hadopi : pour Attali, « le téléchargement gratuit n'est pas la piraterie »

Jacques Attali, qui avait déjà fait part de ses objections au projet de loi Création et Internet, se manifeste à nouveau sur son blog et se range clairement du côté des artistes et des partisans de la licence globale. Ce faisant, il prend à contre-pied le discours de la majorité présidentielle selon laquelle les opposants à la loi dite Hadopi agiraient contre les artistes. A mots à peine couverts, Jacques Attali fustige le modèle économique daté auquel s'accrochent les acteurs de l'industrie culturelle et le législateur et, plus généralement, leur frilosité face aux évolutions technologiques. « Les changements techniques n'ont jamais été et ne sont pas des ennemis des artistes : ils ont permis d'inventer de nouvelles façons de créer et [...] de faire connaître leurs oeuvres. A chaque fois, il fut dit par des experts que tout cela conduirait au désastre pour les artistes. A chaque fois, ils ont su en tirer le meilleur, pour créer autrement et se faire mieux connaître. » Pour faire avancer le débat, le fondateur de Planet Finance, suggère l'organisation d'une table ronde réunissant artistes, producteurs, consommateurs et fournisseurs d'accès, et livre dix pistes de réflexion. Il propose ainsi de partir du postulat que « la gratuité d'un service pour le consommateur n'entraîne pas nécessairement la non rémunération du producteur du service » et que « le téléchargement gratuit n'est pas la même chose que la piraterie ». En expliquant que l'art obéit à d'autres lois économiques que les échanges commerciaux traditionnels, il condamne les principes qui ont guidé les rédacteurs du projet de loi Création et Internet. Les tenants du texte, à commencer par le Président de la République, n'ont en effet cessé d'assimiler le téléchargement illégal à du vol à l'étalage et les internautes à des voleurs. Jacques Attali précise, du reste, que « ceux qui téléchargent ou écoutent le plus en streaming sont ceux qui, ensuite, achètent le plus de CD ou de DVD ». (...)

(27/04/2009 18:06:51)

Les mémoires flash ne voient pas la fin de la crise

Après un effondrement total en 2008 et un plongeon de 14,3 % du chiffre d'affaires durant le premier trimestre, le marché des mémoires vives devrait remonter durant le reste de l'année 2009, selon le cabinet d'études iSuppli. Les ventes combinées de mémoire DRAM et NAND devraient générer un chiffre d'affaires en hausse de 3,6 % au deuxième trimestre, suivi par des progressions à deux chiffres sur la fin de l'année (respectivement 21,9 % et 17,5 % pour les troisième et quatrième trimestres 2009). Pour iSuppli, ces bons chiffres ne signifient cependant pas que le secteur est tiré d'affaire, ni même qu'il voit le bout de la crise. Nam Hyung Kim, le directeur d'iSuppli, estime ainsi que « la surproduction du secteur continuera d'être vive. Même si tous les fabricants taïwanais de mémoire DRAM, qui représentent 25% de la production totale, fermaient leurs usines, le marché serait toujours en état de surproduction. » D'autant que les prix demeurent dramatiquement bas. Les mémoires DRAM étant désormais vendues à un tiers de leur prix de revient, il faudrait augmenter les prix de 200% pour mettre un terme aux pertes des fabricants. Malgré les commandes importantes d'Apple à Hynix en prévision du prochain iPhone, le marché de la mémoire NAND utilisée dans l'électronique grand public reste lui aussi très incertain. iSuppli constate que sur ce secteur l'offre dépasse encore largement la demande, et la hausse des prix n'est toujours pas suffisante pour générer des profits. Et le cabinet de conclure que si les coupes dans la production (fermeture de ligne de production ou chômage partiel) auront un impact positif dans le futur, il est encore trop tôt pour être optimiste. (...)

(24/04/2009 17:54:52)

Microsoft conclut le pire trimestre de son histoire

Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft annonce un chiffre d'affaires trimestriel en baisse. La société qui, plus que toutes les autres, fonde l'informatique actuelle, enregistre une baisse de revenus de près de 6%, à 13,6 Md$. Dans la foulée, son résultat net s'effondre : -32% à 2,9 Md$. Ce tassement est d'une telle ampleur qu'il touche le résultat net cumulé sur neuf mois. Il baisse de 14%, à 11,5 Md$. Sur cette période, Microsoft parvient à afficher un CA en légère hausse (moins de 2%), à 45,3 Md$. Microsoft a pourtant serré les boulons ces derniers mois. Il est parvenu à réduire ses charges opérationnelles de 9%. Faute de procès, de paiements d'amende et de coûteux règlements à l'amiable ce trimestre, l'éditeur a pu réduire de 61% ses charges G&A (General and administrative). Il a cependant dû débourser 290 M$ de charges liés à 1100 licenciements. Le géant de Redmond n'échappe pas aux perturbations économiques La crise actuelle met en lumière les faiblesses du Microsoft. Au cours du trimestre, l'éditeur a été attaqué sur tous les fronts, mais ce sont les divisions Online et celles reliées à l'informatique personnelle qui ont le plus souffert. La division Services en ligne voit son CA chuter de 14,5%, à 721 M$ et, surtout, ses pertes se creusent encore : 575 M$ contre 226 M$ un an auparavant. La division loisirs et périphériques affiche aussi des pertes (31 M$, contre un résultat de 106 M$ il y a un an) sur un CA en légère baisse (-1,6%, à 1,5 Md$). Mais c'est sur la division Client (OS pour système individuel) que le retentissement de la crise est le plus remarquable : la vache à lait historique qu'elle représentait pour Microsoft n'est plus aussi prolifique, cette activité passe en troisième position du groupe en termes de revenus. Sur un CA en baisse de 15%, à 3,4 Md$, elle ne rapporte plus que 2,5 Md$ à l'éditeur. La sanction de cette baisse (-19%) est radicale : elle fait chuter le ratio CA/résultat opérationnel à 74%... Vista toujours boudé par les entreprises [[page]] Microsoft a dû casser les prix de Windows : alors que le nombre de licences vendu en OEM a baissé de 6%, le CA généré a chuté de 19%. Microsoft incrimine à la fois les netbooks (vendus avec du Windows XP à bas prix pour contrer Linux) et la morosité de la demande de "premium editions" par le marché professionnel. Comprenez, les entreprises ne veulent pas de Vista. Heureusement, la division Server and Tools voit son CA augmenter de 7%. Avec 3,4 Md$ engrangés, elle est devenue la deuxième division du groupe. Sa rentabilité progresse dans des proportions encore plus importantes avec un résultat opérationnel de 1,3 Md$ (+24%). Avec un ratio par rapport au CA de 39%, on est pourtant encore loin de la profitabilité des Windows clients. Microsoft souligne la progression des ventes de SQL Server, mais pas celle de Windows Server qui devrait pourtant être portée par les mises à jour vers la version 2008. L'intérêt pour la virtualisation ne doit pas être étranger à cette discrétion. Quant à la Business Division, dont 90% du CA provient des ventes de Microsoft Office et le reste du PGI (ERP) Dynamics, elle affiche des résultats mitigés. La plus importante division du groupe annonce un CA en baisse de près de 5%, à 4,5 Md$ et un résultat opérationnel en baisse de 8%. En cause, la chute de la demande du grand public (-30%, à 299 M$). Microsoft constate, outre la morosité générale du marché, un basculement ("shift") vers des "produits moins chers". Il doit s'agir de la suite bureautique gratuite Open Office. (...)

(17/04/2009 17:28:20)

Vente liée : Acer condamné à rembourser un consommateur

L'Association francophone des utilisateurs de logiciels libres (Aful) indique que le fabricant Acer a été condamné par le tribunal de Chinon (Indre-et-Loire) à rembourser un client pour les logiciels imposés à l'achat de son ordinateur. Le fabricant taïwanais devra lui verser la somme de 50 euros au titre des licences. Ce type de condamnation tend à se multiplier en France alors que les associations demandent au gouvernement de mettre fin à la vente liée matériel-logiciel. Toutefois, l'Aful considère qu'il existe "une disproportion manifeste entre l'indemnisation arrachée à l'assembleur dans le cadre du procès, et le prix réellement payé par le client lors de l'achat". Le recours aux juridictions de proximité pour obtenir le remboursement des licences logicielles inutilisées sont de plus en plus fréquentes en France. En décembre dernier, Dell avait dû rembourser 180 euros à un particulier français qui ne voulait pas utiliser les logiciels Windows pré-installés sur son nouvel ordinateur. En février 2008, c'est Asus qui avait été condamné pour les mêmes raisons à rembourser un consommateur. Toujours sur fond de vente liée, le tribunal de grande instance de Paris avait condamné Darty, en juin 2008, à afficher le prix des logiciels installés sur les ordinateurs qu'il commercialise. Le TGI avait ainsi réaffirmé une exigence du Code de la Consommation, sans toutefois accéder à la requête de l'UFC-Que Choisir. L'association reprochait à l'enseigne de vendre ses machines systématiquement équipées de Windows. Acheter un PC de marque sans système d'exploitation ou suite de logiciels Microsoft est quasi impossible en France. En revanche, un consommateur a la possibilité d'attaquer un fabricant auprès duquel il a acheté une machine avec un système d'exploitation et de nombreux logiciels imposés. La procédure de remboursement, qui peut être longue si elle est entreprise de manière individuelle, est exposée à travers un "Guide du remboursement" disponible sur Internet, sur le site Racketiciel.com. (...)

(15/04/2009 09:26:08)

Pour Oracle aussi, la maintenance constitue un revenu crucial

En période de récession, le chiffre d'affaires lié à la maintenance des logiciels constitue une source de revenu cruciale pour les éditeurs, à un moment où de nombreux clients révisent à la baisse leurs achats de nouvelles licences. Oracle n'échappe pas à la règle. Sur son troisième trimestre fiscal, les mises à jour et le support réalisés sur ses logiciels lui ont permis d'engranger 2,9 Md$ (+11% par rapport à l'année précédente) quand, dans le même temps, le chiffre d'affaires sur ses ventes de logiciels baissaient de 6%, à 1,5 Md$ (*). Les analystes ne sont donc pas surpris que l'éditeur ne modifie pas d'un iota ses tarifs de support sur les nouveaux contrats qu'il finalise pour la fin de son exercice fiscal (qui s'achève le 31 mai prochain). Le taux de maintenance annuel de ses logiciels s'élève à 22% du prix de vente des licences. Un taux sur lequel s'est aligné depuis un an son principal concurrent, SAP, au grand dam d'un certain nombre de ses utilisateurs qui pouvaient jusque-là ne débourser que 17% du coût des licences. Pour Ray Wang, analyste de Forrester, il est possible que des clients d'Oracle bénéficient, ici ou là, de concessions autour du support. Mais il ne s'agit pas à proprement parler de réductions sur le prix de la maintenance. Aux Etats-Unis, les contrats peuvent par exemple comporter une clause permettant de réajuster annuellement la facture de maintenance en fonction de l'indice des prix à la consommation (Consumer Price Index, CPI), pour tenir compte de l'inflation. « Certains utilisateurs demandent à Oracle de lâcher du lest sur ce point », indique Eliot Arlo Colon, président de la société Miro Consulting, qui conseille les clients dans leurs négociations. Un arrangement facilité par le fait que l'indice CPI est plutôt anémique cette année. Un revenu récurrent capital pour les éditeurs français Oracle ne s'empresse pas non plus « à faire des concessions sur le prix des nouvelles licences », remarque Ray Wang. A la place, l'éditeur essaie de fournir des bonus à ses clients : « Il les assiste lors de l'installation, renforce la formation, ajoute certains outils qui peuvent faciliter la mise en place », énumère l'analyste de Forrester en estimant que ces divers éléments peuvent être quelquefois plus intéressants qu'une réduction pure et simple de la facture. Les revenus de la maintenance constituent pour tout éditeur un poste essentiel. Pierre Marty, associé de PricewaterhouseCoopers, le rappelait la semaine dernière à Paris à l'occasion du colloque de l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels) : « Il ne faut pas céder sur tous les tableaux chez le client. Il ne faut pas céder, notamment, sur la réduction du contrat de maintenance, ou bien alors, négocier sur sa durée ». A sa suite, Jean-Michel Lorenzi, directeur de ServiceSource, expliquait comment sa société pouvait aider les éditeurs à augmenter la part des revenus récurrents dans leur chiffre d'affaires. (*) une baisse dûe en grande partie aux variations des taux de change, précise Oracle. (...)

(10/04/2009 12:11:34)

Affectées par la baisse des prix, les SSII auront du mal à surmonter la crise

Le cabinet Precepta (groupe Xerfi) observe le secteur des logiciels et services sur vingt ans. De 1989 à 2008, ce marché aura progressé de 257%, passant de 12 à 42 Md€ de chiffre d'affaires. L'informatisation massive des entreprises, puis le tryptique des réformes du millénaire (passage à l'an 2000, à l'euro et aux 35 heures) ont tiré la profession. Et le secteur a gagné en maturité, notamment avec la dernière crise, celle de 2001. Il espère rééditer cet exploit avec le marasme économique actuel, mais Precepta met en garde contre la facilité de ce raisonnement. Petit rappel, en 2004, en sortant de la crise précédente, les SSII ont gagné quelques avantages. Leurs différents métiers (conseil, assistance, infogérance) évoluent depuis à peu près au même rythme, sans grande cassure. Et la croissance du secteur est régulièrement plus forte que celle du PIB. Une pression tarifaire très violente En revanche, la pression tarifaire s'est installée durablement dans le paysage. « Une pression très violente » comme la qualifie Ludovic Mélot, directeur d'études chez Précepta. Les SSII ont surmonté la crise des années 2000-2001, mais sans obtenir de hausse de leurs prestations. « Ce qui est contraire à toutes les lois économiques », observe-t-il. Explication ? Les SSII ont peut être du mal à légitimer leurs offres. C'est désormais une donnée constante. Les SSII qui ont industrialisé leurs prestations et délocalisé en offshore après la crise de 2001, pourront-elles aller encore plus loin cette fois-ci ? C'est la question centrale posée par Précepta. En fait, l'essentiel des gains de productivité réalisés par les SSII se font au profit de leurs clients. Ces derniers imposent leur jeu car ils ont très bien compris la manière de référencer, de conduire des politiques d'achat et de négocier les contrats. « Le client a une très bonne connaissance du système des coûts des SSII » souligne Ludovic Mélot. (*) Le cabinet Précepta publie une étude sur « Le marché des services informatiques, quelles stratégies pour surmonter la crise sans hypothéquer l'avenir ? » Une étude différente de celles des cabinets du secteur, orientées sur l'analyse annuelle et la prévision chiffrée. Précepta dissèque le marché et son environnement et veut livrer une étude de réflexion sur le moyen terme. (...)

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