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(04/11/2008 12:26:48)

La start-up Ashelvea crée un PC biodégradable

La société Ashelvea est née fin 2007 à Graulhet, dans le Tarn, sur une idée très green IT. La jeune pousse propose des PC qui sont non seulement conçus avec des plastiques biodégradables et des composants recyclables, mais qui sont aussi destinés à être commercialisés dans une démarche complète de développement durable. Un plastique 100% biodégradable « A l'origine, nous avons contacté un grand constructeur du marché que nous souhaitions associer à notre projet, mais il a décliné notre proposition. Nous avons donc décidé de lancer notre propre marque, Evolutis, » raconte Hugo Sossah, co-fondateur et co-gérant d'Ashelvea avec Valentin Pineau. Concrètement, plus de six mois ont été nécessaires pour concevoir et réaliser ce premier PC vert. Son caractère innovant réside tout d'abord dans la matière bio plastique 100 % biodégradable, utilisée pour la fabrication des coques, et qui n'avait encore jamais fait l'objet d'application similaire dans le secteur informatique. Ni substances toxiques, ni déchets chimiques [[page]] D'autre part, les configurations Evolutis sont équipées de composants « éco-label », conformes la directive ROHS, qui ne contiennent aucune substance toxique dangereuse (plomb, cadmium, mercure...) et ne produisent donc pas de déchets chimiques et sont moins gourmands en énergie. Dans le même souci d'économie, Ashelvea fabrique exclusivement ses PC à la carte (dans un délai de deux à trois semaines), pour qu'ils soient parfaitement dimensionnés à l'utilisation. « Nous nous inscrivons dans une démarche environnementale globale qui couvre tout le cycle de vie du produit, depuis sa conception et sa fabrication jusqu'à son recyclage et à la valorisation de ses déchets, explique Hugo Sossah. A cette fin, nous sommes en train de tisser notre réseau de partenaires pour l'assemblage des machines et la distribution, sachant que les produits Ashelvea sont livrés sans emballage dans des caisses de transport rigides réutilisables. Nous avons également pris contact avec le broker toulousain Bis Repetita spécialisé dans la dépollution et le recyclage des équipements informatiques ». Des matériels vendus entre 650 et 1000 € avec rétrocession ou location Dotées d'une unité centrale avec une carte mère Intel, d'un écran 17'', d'un clavier et d'une souris optique sans fil, les configurations Evolutis sont proposées aux entreprises et aux collectivités dans une fourchette de prix comprise entre 650 et 1 000 €, dans le cadre d'une formule de vente avec rétrocession du matériel ou de location. Ainsi, après un premier cycle d'utilisation professionnelle de trois ans, les PC sont remis à niveau et entament une seconde vie au sein d'associations à vocation sociale ou d'insertion qui peuvent ainsi s'équiper pour un abonnement modique de 8 € par mois. En fin de vie, soit au-delà de cinq ans, Ashelvea boucle la boucle et confie ses équipements aux filières de recyclage et valorisation. (...)

(03/11/2008 08:58:03)

ECR mesure la consommation d'énergie des périphériques réseaux

Les mesures de consommation énergétique des systèmes et périphériques se multiplient. De l'historique Energy Star jusqu'aux outils que concocte le Green Grid pour les datacenters, plus un composant informatique n'échappera bientôt au contrôle. La semaine dernière, ce fut le tour des périphériques télécoms et réseaux. Ce sont Ixia et Juniper Networks qui ont créé l'initiative ECR pour Energy Consumption Rating (mesure de la consommation énergétique) avec le laboratoire national Lawrence Berkeley (LBNL). Ixia est un fournisseur de systèmes de tests de performance IP et vient justement d'annoncer son produit IxGreen pour mesurer l'efficacité énergétique du routeur T1600 de Juniper Networks. IxGreen s'appuie sur ECR. Une moyenne de mesures à différents débits Dans les réseaux, la consommation électrique est fortement affectée par la perte de charges électriques pendant le transfert de données, elle-même causée par des conducteurs et des isolants électriques imparfaits. Pour tenter une mesure efficace, l'ECR s'appuie sur une série de tests. Le premier détermine le débit maximal Tf en Gbps supporté par le périphérique en full duplex. Le système est soumis à ce débit durant 1200s. Il en résulte une consommation énergétique moyenne Ef. Le même test et la même mesure sont exécutés avec un débit deux fois moindre. Enfin, la consommation est mesurée pour un fonctionnement à vide. La mesure ECR simple donne un ratio de consommation d'énergie en fonction du débit (Ef/Tf). Un calcul plus complexe, l'ECRW, additionne les consommations d'energie à plein débit, à demi débit et à vide, en affectant à chacune un poids différent. Cette formule mesure la capacité dynamique d'adaptation énergétique du périphérique. Neutralité oblige, ECR sera open source et indépendant des fournisseurs. Il servira à classer aussi bien des routeurs, des commutateurs Ethernet que des appliances de sécurité. L'initiative espère aussi fournir une jauge commune et standard à l'industrie des équipements télécoms et réseaux. Reste que pour l'instant, seuls les deux fondateurs sont membres. (...)

(31/10/2008 14:43:56)

Rackable met 704 coeurs dans ses racks

Rackable Systems, constructeur spécialiste des serveurs haute densité, annonce sa gamme RackCloud. Au-delà de l'opportunisme marketing du nom choisi, il décrit des systèmes qui innovent sur deux niveaux. D'une part, les châssis CloudRack, en format 22U ou 44U, prennent en charge toute la ventilation. Deux gros ventilateurs remplacent ainsi ceux habituellement présents sur les serveurs eux-mêmes. D'autre part, les serveurs sont ramenés à la simple expression de leur carte mère bi-processeurs qui s'insèrent dans des tiroirs. Deux formats de carte sont proposés, l'habituel EATX (12x13 pouces) et le "Mini-SSI" (7x13 pouces). Epaulées par des tiroirs de stockage, ces cartes mères supportent les dernières générations de processeurs d'AMD et d'Intel La densité annoncée est impressionnante : jusqu'à 88 serveurs, soit 176 processeurs pour un total de 704 coeurs et 352 To de stockage dans un châssis 44U. Rackable Systems souligne aussi le gain de poids de l'ordre de 50% sur l'ensemble et une réduction de 20% de la consommation électrique par rapport à des serveurs 2U biprocesseurs. Comme les autres, Rackable s'émancipe des standards de serveurs en rack [[page]] Toutefois, cette annonce s'inscrit dans la tendance générale actuelle des constructeurs qui s'émancipent du respect des standards de fait des serveurs en rack. Tous, y compris ceux qui proposent des serveurs lames, y vont de leurs innovations en privant les clients potentiels d'une bonne partie de leur liberté de choix ultérieur. Notons aussi que Rackable se dispense de communiquer ses tarifs au prétexte qu'il livre des configurations sur mesure... (...)

(30/10/2008 16:20:12)

Trimestriels : Bull se maintient grâce à ses activités Services et solutions

Bull a publié un chiffre d'affaires de 240,7 M€ au troisième trimestre de l'année, en retrait de 1,1% par rapport à la même période en 2007. L'activité Services et Solutions est la plus rentable (46% du revenu global), en hausse de 7,5%. Le matériel et les solutions systèmes (28% du CA) progressent de 5,4 points alors que les activités de maintenance et les produits tiers dégringolent (respectivement -7,1% et -39,2%). Les prises de commandes ont augmenté de 3,3% en un an. Quant au bénéfice net et à la marge opérationnelle, Bull ne souhaite pas fournir de détails en dehors des résultats semestriels et annuels. Au premier semestre de l'année, le résultat net s'établissait à 4,5 M€, en hausse de 15% par rapport à 2007. Par zones géographiques, la France génère toujours plus de la moitié des revenus de Bull (58%), en hausse de 6% par rapport à l'année dernière. L'Europe Centrale et de l'Est enregistre une belle percée (+24,2%) mais sa part dans le CA de Bull reste minime (7%). Dans le reste du monde en revanche, les compteurs sont dans le rouge : -12,6% pour l'Europe occidentale et -5,7% aux Etats-Unis et en Amérique du sud. Le calcul haute performance et le Green IT, deux priorités pour Bull Bull a l'intention de se renforcer sur certains secteurs, comme le stockage, la sécurité et le calcul haute performance, les énergies vertes, et d'en abandonner d'autres (il a récemment cédé Medicaid, sa filiale spécialisée dans les solutions médicales, à Ingenix). Le groupe a racheté s+c (science + computing), une société allemande spécialisée dans le calcul intensif. Le premier centre de simulation numérique haute performance d'Allemagne (le Forschungszentrum Jülich) a choisi Bull pour fournir l'un des supercalculateurs les plus puissants en Europe. Il sera utilisé dans plusieurs domaines scientifiques, comme la recherche de nouvelles molécules et de nouveaux médicaments, l'origine de l'Univers et la physique des hautes énergies, ainsi que le développement de technologies pour lutter contre le réchauffement climatique. Le Green IT est un autre axe que Bull souhaite développer, notamment avec son offre « Bio data center ». A cet effet, le groupe français a allié son pôle R&D avec celui de SAP, afin d'améliorer l'efficacité de leurs environnements. Bull s'est également rapproché d'APC Schneider Electric pour proposer aux entreprises des audits énergétiques de leurs datacenters et les aider à optimiser leurs performances globales. Pour 2008, le groupe reste optimiste et espère réaliser un bénéfice opérationnel compris entre 25 et 27 M€, et ce malgré les remous financiers qui agitent la sphère IT. (...)

(30/10/2008 08:53:38)

Markess : 47% des entreprises ont dématérialisé leurs factures en 2008

En 2008, 47% des entreprises privées et des administrations ont opté pour la dématérialisation de leurs factures, selon une étude réalisée par Markess International. Elles numérisent tout ou une partie de leurs factures entrantes ou sortantes. Pour les autres, 25% envisagent le même type de démarche d'ici à 2010, 21% n'ont rien prévu mais s'y intéressent et 7% n'y prêtent aucune attention. Le secteur privé est légèrement en avance sur le public, 52% des 200 entreprises interrogées avaient déjà sauté le pas en 2008 (contre 45% un an plus tôt). Le marché est essentiellement porté par la distribution et certaines industries (automobile, agro-alimentaire), mais la dématérialisation gagne de plus en plus de terrain dans des secteurs où les volumes de factures manipulées sont importants : les télécommunications, les services d'utilité publique (eau, gaz, électricité...), le transport et la logistique. La banque et l'assurance commencent à rattraper leur retard. Toutes les tailles d'organisations sont concernées. Les grandes (plus de 2000 salariés) sont les plus matures puisque 75% ont choisi de dématérialiser leurs factures. Mais 38% des PME se sont aussi laissées tenter, mais à un rythme moins soutenu que ce que le cabinet prévoyait il y a deux ans. Un meilleur suivi des factures et de séduisantes perspectives d'économies L'automatisation des processus comptables et financiers est la première raison qui motive les organisations dans cette voie de la dématérialisation (89%). Elle leur permet de suivre tout le cycle de vie de la facture et de vérifier si les processus de fabrication et de validation sont respectés. La perspective de réaliser des économies vient en deuxième position (76% des organisations interrogées). La dématérialisation réduit les coûts liés aux frais administratifs et aux ressources humaines ainsi qu'à l'archivage physique. Enfin, 53% soulignent enfin une accélération des processus de facturation. [[page]] Pour les factures sortantes, la liste des motivations est légèrement différente : 74% des organisations évoquent d'abord la réduction des coûts (traitement, production, relance pour le règlement, gestion des litiges, archivage...), 58% le besoin exprimé par leurs clients et 49% un service à forte valeur ajoutée à destination de la clientèle (outils de reporting, suivi et historique des factures, accès à des informations détaillées et personnalisées...). Dans les deux cas (factures entrantes/sortantes), le coût reste un motif incontournable, d'autant que grâce à la dématérialisation des factures les organisations peuvent rentabiliser des investissements logiciels déjà consentis pour d'autres projets, comme les transactions EDI (échange de données informatisées). Contrairement à d'autres projets informatiques, le retour sur investissements est relativement rapide. Pour 75% des organisations interrogées il n'excède pas les 12 mois. Des projets le plus souvent accompagnés par les éditeurs et les intégrateurs Pour les sociétés encore réfractaires à l'idée de la dématérialisation des factures, Markess International a relevé trois freins principaux: un volume de données à traiter insuffisant pour justifier un tel investissement, un cadre légal et réglementaire trop complexe et contraignant ou la résistance au changement des salariés. D'autant, dans ce dernier cas, que dématérialisation avec automatisation... et donc avec une diminution de la main d'oeuvre. Enfin, selon le cabinet, la plupart des projets sont accompagnés par deux prestataires, un éditeur mais aussi un intégrateur comme Accenture, Capgemini, Euriware, Ineum ou encore Logica. (...)

(29/10/2008 09:22:35)

Le papier électronique passe à la couleur

Lors du dernier IMID (International Meeting on Information Display) qui a eu lieu récemment en Corée du Sud, Samsung et Unidym ont présenté un prototype de papier électronique en couleur. Il s'agit en fait d'un écran de 14,3 pouces de diagonale. Mais surtout il est constitué de nanotubes de carbone, 10 000 fois plus fins que des cheveux humains. Cet écran est composé d'un film d'une épaisseur de 50 nanotubes seulement, ce qui lui procure une grande souplesse. Pour afficher des images en couleur, il utilise des particules de pigments colorées et les réaligne en modifiant le champ électrique alentours. Par rapport à un écran LCD classique, cette technologie se distingue par une faible consommation énergétique car elle ne nécessite pas de rétro-éclairage ni de rafraîchissement constant des images (une fois réalignées, les particules ne bougent plus jusqu'à ce que le champ électrique change à nouveau). Elle offre aussi une lisibilité parfaite même dans un environnement lumineux. Idéal pour les livres électroniques, la technologie pourrait un jour remplacer le LCD [[page]]Outre des applications de livres électroniques classiques, Samsung et Unidym envisagent d'utiliser ce « papier électronique » sur des téléphones portables, des appareils mobiles (netbooks, consoles de jeux, baladeurs) ou des écrans tactiles (terminaux point de vente, automates bancaires). Elle pourrait même, dans un futur plus lointain, remplacer les moniteurs et téléviseurs LCD. Aucune date n'a encore été avancée pour un usage commercial. La technologie des nanotubes est déjà étudiée dans les laboratoires des fabricants de processeurs, pour les prochaines générations de puce. Bien que nanométriques et donc extrêmement petits, les matériaux à base de nanotubes sont, entre autres, d'une extrême solidité. (...)

(28/10/2008 12:43:06)

Bouygues Immobilier lance un GIE pour des immeubles de bureaux écologiques

Bouygues Immobilier, filiale de Bouygues qui commercialise les programmes immobiliers du groupe, lance le Groupement d'intérêt économique « Enjeu énergie positive » avec Lexmark, Philips, Schneider Electric, Siemens, Sodexo, Steelcase et Tandberg. Grenelle de l'environnement oblige, le GIE réunit les huit acteurs autour de l'optimisation énergétique des immeubles de bureaux dans leur phase d'exploitation. Le but : obtenir plus de synergie entre tous ces acteurs qui participent à des projets de bâtiments, aujourd'hui de façon isolée. Le nombre de membres du GIE sera limité à 15 mais celui-ci attend déjà d'autres contributions du secteur informatique. Piloté par Bouygues Immobilier, « Enjeu énergie positive » sera doté de 400 000 euros. Ce groupement permettra aux acteurs de partager l'avancement de leurs travaux de R&D mais aussi des perspectives de développement d'affaires communes. L'informatique, les réseaux et l'électronique seront au coeur de ces immeubles de bureaux « verts », dont un des objectifs est d'économiser l'énergie. Des capteurs de température ou de luminosité reliés à des systèmes intelligents permettent ainsi aux bâtiments d'adapter automatiquement la climatisation, le chauffage ou la luminosité aux conditions extérieures. Lexmark travaille sur la rationalisation de l'impression dans l'entreprise [[page]]Parmi les membres, acteurs des TIC, Lexmark travaillera sur la rationalisation de l'impression dans les bureaux, en particulier pour en réduire l'impact sur l'environnement. Le constructeur s'est appliqué ces principes à lui-même et, dans son siège de Suresnes, a réduit sa consommation de papier de 43% et réalisé 55% d'économies d'énergie. La gestion de la consommation électrique de la bureautique fait partie plus globalement des thèmes de recherche du GIE. Quant à Siemens, il proposera justement des systèmes électroniques de gestion des bâtiments, alors que Tandberg contribuera au travers de systèmes de vidéoconférence et de communication unifiée. Si l'on en croit Bouygues Immobilier, initiateur du GIE, le secteur du bâtiment est responsable de 21% des émissions de CO2 et de 43% de la consommation énergétique en France. C'est pourquoi le groupe construit déjà depuis plusieurs mois à Meudon un immeuble dit « à énergie positive ». Green Office sera sans nul doute placé au coeur des travaux de « Enjeu énergie positive ». (...)

(27/10/2008 16:35:11)

Sun déploie une offre de service pour optimiser les datacenters

Sun vient de créer une nouvelle offre de service baptisée « Data Center Efficiency » qui regroupe consulting, assistance et réalisation pour les datacenters. Le constructeur s'appuiera sur des technologies déjà utilisées dans ses propres salles serveurs et d'autres développées par ses partenaires comme APC et Liebert. « Il suffit parfois de désactiver des serveurs inutiles pour économiser jusqu'à 15 % de sa facture d'électricité, explique Stéphane Aita, responsable EMEA « Data Center Efficiency ». Et désormais, il est inutile de refroidir uniformément la salle, nous savons apporter le refroidissement là où il est nécessaire. » Dans le cas de la conception d'un nouveau centre serveurs à partir de zéro, Sun ira jusqu'à trouver le lieu de construction et à agir comme maître d'oeuvre sur le chantier. Si le client le souhaite, il se chargera aussi de l'organisation et de la maintenance du centre. Une équipe dédiée de 250 personnes dans le monde Le constructeur a mis en place une nouvelle équipe de consultants qui regroupe environ 250 personnes dans le monde. « Nous estimons que 50 % des besoins se situent dans la zone EMEA, affirme cependant Stéphane Aita. Et nous nous appuyons en complément sur nos ressources locales « professionnal services » déjà présentes dans chaque pays. » (...)

(23/10/2008 14:38:31)

bcG3, la nouvelle start-up de Bill Gates

Son départ de Microsoft ne fait pas de Bill Gates un retraité paisible. Selon l'Etat de Washington, l'emblématique patron a en effet créé une société en mars dernier, bgC3. Selon le blog TechFlash, cette nouvelle organisation ne poursuivrait pas de but lucratif. Elle servirait plutôt de « centre de réflexion » scientifique pour les projets caritatifs de Bill Gates. Et ne devrait pas avoir plus de 40 à 60 employés sur place. Parmi les projets que soutient déjà le jeune retraité de 53 ans figure un réacteur nucléaire qui ne produira pas de déchets. Une initiative menée en collaboration avec un autre ancien de Microsoft, Nathan Myrvhold. (...)

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