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Technologies 'vertes'

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(23/10/2008 12:50:34)

L'incubateur Belle de Mai lance un concours de projets green IT

Avec le concours Greenmedia 2008, lancé il y a quelques jours, l'incubateur multimédia Belle de Mai prend l'initiative de soutenir les porteurs de projets qui mettent les TIC et leurs usages au service du développement durable. L'incubateur retiendra au minimum deux projets. Mais en fonction de l'intérêt des dossiers présentés, ce sont trois ou quatre candidats qui pourront être amenés à signer un contrat d'incubation avec Belle de Mai. Ils recevront alors un soutien, tant stratégique que technologique, juridique, économique et financier. L'incubateur, installé à Marseille, fournit aussi un appui logistique et peut accueillir les porteurs de projets dans ses locaux. Un concours ouvert à un large public et aux entreprises de moins d'un an [[page]]Pour qualifier les dossiers reçus dans le cadre du concours, il sera tenu compte du caractère innovant et de l'originalité de l'idée et de son marché potentiel, mais également de l'intérêt du projet au regard de la mission de Belle de Mai. Labellisé par les ministères de la recherche et de l'éducation nationale, l'incubateur est investi dans les industries de la connaissance, en particulier dans le domaine du multimédia éducatif et culturel. Il contribue à accroître le transfert des résultats de la recherche publique vers de nouveaux services et produits, en soutenant la création de PME innovantes dans le domaine des STIC. Le champ d'action de Belle de Mai a une portée nationale. Son concours Greenmedia 2008 est donc ouvert à toute personne résidant en France, quelle que soit sa nationalité ou sa situation professionnelle, ainsi qu'à tout Français résidant à l'étranger ou ressortissant d'un Etat membre de l'Union Européenne. Du côté des entreprises, seules celles qui ont moins d'un an sont invitées à participer au concours. Les dossiers peuvent lui être envoyés jusqu'au 1er décembre 2008, à 12 heures (...)

(22/10/2008 16:28:34)

HP veut deux fois plus d'énergie renouvelable d'ici à 2012

Honoré par le WWF comme l'une des sociétés informatiques les plus vertes avec IBM, HP se sent pousser des ailes. La société annonce ainsi son intention de doubler la part des énergies renouvelables dans sa consommation globale d'ici à 2012, passant de 4 à 8% de ses dépenses énergétiques. Un bon moyen de relever le défi qu'il s'est fixer : réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 25 % en 2010. A ce titre, HP a récemment achevé l'installation de 6 526 panneaux solaires sur son usine de San Diego qui fourniront 10 % des besoins électriques du site. HP est également inscrit au programme texan Green Choice pour acheter 19,9 millions kWh provenant d'éoliennes. Cette énergie apportera 20 % de l'alimentation électrique nécessaire à deux des centres serveurs de HP dans cet Etat. Les HP Labs travaillent quant à eux avec Xtreme Energetics sur des nanofils photoniques qui pourrait doubler l'efficacité des panneaux solaires et réduire leurs coûts de fabrication de moitié. En France, rien n'est encore officiellement au programme... (...)

(21/10/2008 10:43:27)

Deux mesures « vertes » dans le plan France numérique 2012

Si le Grenelle de l'environnement a laissé de côté les TIC, le plan France numérique 2012, lui, n'oublie pas le développement durable. Bien sûr, il appuie sur l'angle sociétal avec une volonté évidente de réduire la fracture numérique et de désenclaver les territoires en généralisant l'accès au haut débit. Le télétravail est également évoqué. Une des conséquences d'une telle démarche serait évidemment une réduction des émissions de gaz à effet de serre liés aux déplacements des employés. Mais le rapport consacre aussi deux mesures sur 154 aux liens directs entre TIC et environnement. Les deux aspects du green IT y sont abordés : l'impact des technologies sur l'environnement d'une part, leur utilisation pour ralentir le réchauffement climatique, de l'autre. On pourra bien sûr regretter, mais comme pour le reste du rapport, que peu de mesures concrètes et aucun élément de budget n'apparaissent. Réduire la consommation des datacenters, à commencer par ceux de l'Etat [[page]]Ainsi, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) est-elle chargée de piloter un programme de recherche et d'expérimentation sur l'optimisation de la consommation énergétique des datacenters et de la réutilisation de l'énergie produite. Et en toute logique, l'Etat s'applique la démarche à lui-même en lançant une étude de ses propres centres serveurs pour en réduire l'impact. L'écoconception et le recyclage sont, quant à eux, au programme d'un groupe de travail réunissant, sur la base du volontariat, les « filières des secteurs producteurs de composants et de services [...] en collaboration avec l'Etat. » Le rapport Besson souhaite aussi sensibiliser les utilisateurs aux bons usages à travers des « campagnes de communication communes regroupant pouvoirs publics, secteur privé et associations environnementales de consommateurs. » Le rapport se préoccupe de ces mêmes utilisateurs souvent inquiets des effets possibles sur la santé des connexions sans fil, GSM ou WiFi par exemple. En effet, la protection de l'environnement et de la santé de la population devient désormais un objectif pour l'Arcep, dans le cadre du Grenelle de l'environnement. Des prix décernés aux entreprises utilisant les TIC pour réduire la consommation énergétique et les émissions de CO2 [[page]]Enfin, le gouvernement crée deux prix. Un prix « green IT » pour le secteur des TIC, et le prix des « TIC au service des cleantech » dans le cadre du Comité d'orientation stratégique des éco-industries (Cosei), créé en juillet à la suite du Grenelle de l'environnement. Les deux prix récompenseront des entreprises utilisant les TIC pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2. Co-présidé par « le ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, du secrétariat d'Etat de l'Industrie et de la Consommation, et du secrétariat d'Etat chargé de la Prospective de l'Evaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, le jury est composé de capitaux-risqueurs, chercheurs, entrepreneurs, dirigeants de grands groupes. » (...)

(20/10/2008 15:42:20)

Les entreprises IT et le green, « peut mieux faire » selon Capgemini

Dans une étude intitulée le « Green IT rapport 2008 », Capgemini a enquêté sur les pratiques vertes de six de ses partenaires (EMC, HP, IBM, Intel, Sun et Google). Capgemini a évalué leur attachement au respect de l'environnement. Le rapport souligne que si ces entreprises ont adopté un large éventail de solutions vertes, comme le recyclage ou les énergies renouvelables, il reste beaucoup de choses à faire, notamment au niveau du contrôle du cycle de vie des produits. « Malgré leurs bonnes intentions, la plupart des partenaires interrogés ont souligné la difficulté d'étendre leur politique verte à l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement, en raison de sa complexité », remarque Brian Doherty, consultant chez Capgemini. Dans les bonnes nouvelles, Capgemini salue des initiatives comme l'usine irlandaise d'HP, alimentée pour 90% en énergie éolienne, ce qui permet de réduire l'émission de CO2 dans l'air de 40 000 tonnes par an. Chez Google ce sont des milliers de panneaux solaires qui alimentent une partie de la société à Mountain View, et IBM a fait passer son taux d'utilisation des énergies renouvelables de 2,7% à 7,3% entre 2005 et 2008. Dans son rapport de 104 pages, Capgemini liste une série de recommandations et de points à optimiser, comme le recyclage de l'eau, de plus lourds investissements en R&D pour développer des technologies permettant de limiter les émissions de chaleur ou encore des améliorations concernant la chaîne logistique. (...)

(17/10/2008 09:57:52)

Bull et SAP allient leurs R&D autour du green IT

Bull associe sa R&D à celle de SAP pour une meilleure efficacité énergétique de leurs environnements (les infrastructures serveurs du premier avec les progiciels du second). « En toute logique, le matériel a été le premier concerné par le green IT, rappelle Bruno Pinna, directeur marketing de Bull. Et même si dans ce domaine, il reste encore beaucoup à faire, le logiciel est désormais lui-aussi concerné. » « La première dimension de cette initiative commune consistera à définir des outils de mesure pour optimiser le nombre de transactions SAP par Watt », détaille Bruno Pinna. Puis les deux Européens travailleront sur une optimisation de ces ratios. Ils pourraient faire en sorte que le progiciel prenne conscience de son propre impact énergétique. Une capacité qui permettrait par exemple d'exiger qu'un module applicatif ne consomme pas plus qu'une quantité prédéfinie d'énergie. Les équipes de R&D qui s'attèleront à ces tâches sont issues des centres de recherche de Paris et Grenoble pour Bull, et de Sophia Antipolis, Belfast, Karlsruhe et Palo Alto pour SAP. Les deux Européens ont prévu une première période de collaboration pour une durée de trois ans. Le Français explique par ailleurs que ce projet est une initiative ouverte que d'autres éditeurs pourront rejoindre. D'après Bull, l'un d'entre eux serait très près de sauter le pas. (...)

(15/10/2008 15:29:05)

Les dix technologies clés pour 2009 selon le Gartner

Le Gartner Group a identifié dix technologies clés pour 2009. Nombre d'entre elles l'étaient déjà en 2008. Les critères du Gartner pour sa sélection sont de trois ordres. Pour qu'une technologie soit retenue, elle doit avoir un impact majeur sur le mode de fonctionnement des systèmes d'information, impliquer un investissement financier important et, enfin, menacer d'obsolescence ceux qui n'en tiendraient pas compte. 2009 sera l'année de la virtualisation, du cloud computing, des serveurs ("au-delà des lames"), des architectures orientées Web, du mashup et des applications composites, des communications unifiées, du décisionnel (business intelligence) et de l'informatique écologique. La virtualisation pourrait gagner plus de terrain en matière de stockage Le cloud computing, qui n'apparaissait pas l'an dernier, fait son apparition au deuxième rang, derrière la virtualisation. Les analystes du Gartner donnent la définition suivante d'un terme très galvaudé ces temps-ci : la fourniture de ressources en tant que "services", lesquelles sont fournies de façon très souple (scalability...) grâce à l'usage de technologies comme celles associées à Internet et, enfin, la prise en compte des clients extérieurs. [[page]] Par essence, la virtualisation est étroitement liée au cloud coumputing. Cette année, le cabinet souligne l'impact de ce concept au-delà des seuls serveurs. C'est en matière de stockage que la virtualisation pourrait gagner le plus de terrain. La déduplication des données permet de réduire nettement les espaces de stockage. La virtualisation commence aussi à investir le niveau des postes clients. C'est là que les gisements d'économie sont les plus importants, mais la complexité des projets freine son adoption. La virtualisation du poste client ne touchera que 40% des entreprises éligibles en 2010. En matière de serveurs, le Gartner Group prédit une nette évolution des modèles lames. Les autres prévisions pour 2009 s'inscrivent dans la continuité de celles décrites pour 2008. (...)

(13/10/2008 15:07:24)

En 2007, la consommation annuelle des datacenters européens a crû de 13%

Entre 2006 et 2007, la consommation d'électricité des datacenters européens a crû de 13% et elle devrait encore enregistrer une hausse de 5% cette année. Dans un communiqué, Giogio Nebuloni, analyste chez IDC, précise que "cette augmentation de la consommation s'explique par celle du nombre de serveurs installés, mais aussi -et surtout - par les besoins de plus en plus importants des machines." Cette voracité est due en particulier aux processeurs multicoeurs et à l'apparition de fonctions matérielles supplémentaires. "Les efforts déployés par les fournisseurs pour intégrer des composants de faible consommation ne suffisent pas à contrebalancer l'augmentation des besoins. Pour la contrecarrer, les entreprises doivent agir au niveau de leur infrastructure en adoptant certaines bonnes pratiques et en faisant un effort de conception pour améliorer la climatisation et la gestion de l'énergie. Une consommation globale de 40 TW/h en2007 [[page]]IDC estime que la consommation électrique des serveurs en Europe en 2007 a atteint 16,3 TW/h pour une facture de 1,6 Md€ (soit le double de la consommation de tout l'éclairage public et de la signalisation routière au Royaume-Uni). Quant aux datacenters pris dans leur ensemble, ils ont absorbé plus de 40 TW/h en 2007, soit 4,4 Md€, et devrait dépasser les 42 TW/h en 2008. Si rien n'est fait, estime Nathaniel Martinez, directeur du programme serveurs d'entreprise pour l'Europe chez IDC, "en 2012, pour chaque euro consacré à l'achat d'un nouveau serveur, il faudra en compter 0,80 € pour alimenter les infrastructures qui les accueillent." Les Anglais sont plus sensibilisés au problème du coût de l'énergie que, par exemple, les Français. Entamée dès 1989, la libéralisation de leur marché s'est traduite par une augmentation du prix de l'électricité de plus de 80% entre 2001 et 2006, selon Nus Consulting. En 2007, les entreprises anglaises ont payé le kWh 0,0836 €. La France, en pleine période transitoire vers une libéralisation de son marché, a bénéficié d'une baisse de 26% du prix "libre" pour les entreprises à 0,064 €/kWh. Cette baisse s'explique par le fait que le prix régulé est encore inférieur (0,0532 €/kWh). (...)

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