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Technologies 'vertes'

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(09/10/2008 16:52:01)

En France, un tiers des entreprises sont engagées dans le Green IT

Dell vient de dévoiler avec IDC les résultats du premier baromètre européen du Green IT. Cette étude évalue les attitudes et les actions des directions informatiques en faveur du développement durable et de la protection de l'environnement. Elle montre qu'en France, 34% d'entre elles ont déjà mis en place certaines initiatives. Et 12% des firmes ont, quant à elles, planifié le développement d'une politique informatique de préservation de l'environnement pour les prochains mois et les prochaines années. Les entreprises françaises se situent dans la moyenne européenne, mais restent toutefois en retrait par rapport aux sociétés allemandes, anglaises et aux organisations des pays nordiques (Suède, Norvège, Finlande et Danemark), qui sont respectivement 51%, 47% et 36% à avoir entamé de tels projets. L'Hexagone a cependant une plus grande maturité sur le sujet que l'Italie (avec 24% des entreprises), l'Espagne (22%) ou les Pays-Bas (21%). Les principaux leviers sont le respect de la réglementation et la réduction des coûts [[page]]Ce baromètre du Green IT met également en lumière deux facteurs principaux qui incitent les entreprises françaises à investir dans des initiatives « vertes ». Elles souhaitent d'abord être en permanence en accord avec la réglementation en vigueur (85% des grands comptes interrogés). Ensuite, elles cherchent à réduire les coûts de fonctionnement de l'informatique (80%) via, notamment, l'optimisation de la consommation électrique des équipements (78%). Cependant, les motivations varient d'un pays à l'autre : la pression des salariés est un facteur très important dans les pays nordiques (76%) et en Allemagne (58%) alors qu'il ne touche, pour l'instant, que 21% des entreprises françaises. Alors que la demande de leurs clients est un autre facteur incitatif qui pousse les entreprises nordiques (71%) et anglaises (61%) à investir dans des solutions Green IT, celui-ci joue peu pour les entreprises françaises (31%). Mais le levier de l'investissement informatique vert n'est pas uniquement économique, il repose également sur une volonté portée par la Direction Générale de l'entreprise : 69% des directions informatiques interrogées ont été poussées à investir dans des initiatives Green IT par leur direction générale. De même, 61% d'entre elles sont portées par la volonté de respecter les engagements pris par l'entreprise en matière de responsabilité sociétale d'entreprise (RSE). Les freins existent, mais le mouvement vers une informatique verte est lancé [[page]]L'enquête réalisée par IDC montre également les difficultés que les directions informatiques françaises rencontrent lorsqu'elles décident d'investir dans des initiatives Green IT. Les trois principaux obstacles rencontrés sont, dans l'ordre, l'absence de compétences en interne (52%), l'existence de contraintes considérées comme incompatibles avec une stratégie Green IT (42%) et le manque de temps (41%) sont les trois principaux obstacles. Si l'enquête montre que les entreprises françaises et allemandes sont confrontées aux mêmes difficultés, ce n'est pas le cas des entreprises anglaises, principalement freinées par le manque d'orientation insufflée par les acteurs de l'industrie IT (42%). Quant aux entreprises espagnoles et italiennes, elles butent sur des contraintes internes incompatibles avec une stratégie Green IT (respectivement 65% et 56%). Mais malgré tout, les directions des systèmes d'information des entreprises françaises restent persuadées que l'informatique a un rôle important (41%) ou majeur (48%) à jouer au cours des 3 prochaines années pour réduire les impacts environnementaux de l'entreprise. Selon IDC, les entreprises devraient bientôt accélérer leurs investissements dans des initiatives Green IT. Alors que les DSI de l'Hexagone dépensent aujourd'hui 5,9% de leur budget IT dans des projets « Green », ce taux devrait passer à 7,9% dans les 2 prochaines années. (...)

(08/10/2008 17:32:28)

Des puces à 5 GHz dans les Power 570 d'IBM

IBM annonce un doublement de puissance de certains de ses serveurs pour attirer les utilisateurs intéressés par la consolidation et la virtualisation. Ainsi, le Power 570 est-il désormais disponible avec un Power6 à 5 GHz, une puce qui était jusque là réservée au serveur haut de gamme Power 595. La fabrication des processeurs affichant cette fréquence d'horloge est désormais suffisamment au point pour que Big Blue les intègre dans ses machines vendues en plus grand volume, comme l'a précisé Scott Handy, vice-président de la stratégie et du marketing monde, à l'occasion de cette annonce. Les Power 570 vont aussi accueillir désormais deux fois plus de puces par noeud : jusqu'à huit processeurs à 4,2 GHz ou quatre processeurs à 5 GHz. Et il sera possible d'empiler jusqu'à quatre noeuds (32 puces à 4,2 GHz) dans un seul boîtier. Côté logiciel, IBM teste une nouvelle évolution de son outil de virtualisation PowerVM qui permet aux administrateurs de partager de la mémoire virtuelle entre différentes partitions. L'Active Memory Sharing est encore en bêta et sera disponible au premier semestre 2009. Les serveurs bénéficieront aussi d'une nouvelle version d'Active Energy Manager avant la fin de l'année pour fixer des seuils de consommation énergétique aux applications. La vitesse du processeur et celle du ventilateur seront réduites si une application essaie de dépasser ces limites. Le logiciel sera un 'plug in' de IBM Systems Director. Le contrôle de consommation énergétique sera gratuit, mais il faudra débourser environ 275 $ par serveur sur le Power 570 pour exploiter l'outil de limitation de cette consommation. (...)

(01/10/2008 12:43:23)

Les PME aussi s'intéressent à l'informatique verte

Une étude réalisée par KRC Research pour le compte de Microsoft met en évidence l'intérêt, pour les entreprises, de mettre en place des procédures respectueuses de l'environnement. Et, dans ce cadre, d'avoir recours à l'IT. Réalisée auprès de 250 petites entreprises américaines, l'étude indique que les technologies sont un levier important pour tendre vers une activité respectueuse de l'environnement. La bonne conscience écolo des décideurs n'est bien évidemment pas le seul facteur déclenchant : pour 60% des responsables interrogés, le recours aux technologies vertes permet de réaliser des économies. Cet intérêt se traduit dans le nombre croissant d'entreprises visant à rendre leurs méthodes de travail plus vertes. Ainsi, 38% des structures sondées déclarent porter davantage d'importance au respect de l'environnement qu'il y a un an. Bureau sans papier, télétravail et technologies mobiles Parmi les pratiques mises en place pour tendre vers un comportement écolo-responsable, le bureau sans papier arrive en tête. Il est également cité comme l'instrument le plus susceptible de générer des économies. Suivent l'adoption de mesures visant à une meilleure gestion de la consommation énergétique du matériel informatique, le recours au télétravail, la mise à jour des infrastructures serveurs avec des technologies vertes, et l'utilisation de technologies mobiles. Sans surprise, Microsoft, en tant que commanditaire de l'étude, rappelle qu'il dispose de tous les outils permettant d'arriver à ces fins. (...)

(26/09/2008 12:13:20)

Nicolas Sarkozy étendra progressivement le bonus-malus écologique

« Utiliser la fiscalité pour relever le défi écologique, c'est indispensable », a affirmé Nicolas Sarkozy hier soir, à l'occasion de son discours de Toulon sur la crise financière internationale. Il a sans nul doute rassuré ceux qui ont cru le bonus-malus écologique perdu pour toujours. Le président de la République a rappelé que 500 000 bonus sur l'automobile avaient déjà été distribués en 8 mois et qu'il croyait au dispositif. « Ce système extrêmement incitatif du bonus-malus, qui permet de gagner des années dans le changement des modes de consommation, sera étendu à d'autres produits, a confirmé Nicolas Sarkozy dans son discours. Cette extension se fera dans la concertation. Elle se fera progressivement. Mais elle se fera. J'en prends l'engagement. » Le président de la République a néanmoins exclu tout renchérissement des produits de grande consommation, dans une période où les Français sont particulièrement inquiets pour leur pouvoir d'achat. Le président demande un groupe de travail sur le sujet Vendredi 19 septembre, Nicolas Sarkozy avait convoqué le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, et sa secrétaire d'Etat Nathalie Kosciusko-Morizet, avec Eric Woerth, ministre du Budget, pour éteindre les querelles sur le sujet. Le président de la République avait alors réclamé un groupe de travail pour étudier une extension du bonus-malus. Parmi les produits qui pourraient être concernés, Jean-Louis Borloo s'était intéressé, entre autres, aux biens électroniques et informatiques. (...)

(24/09/2008 11:33:11)

Les datacenters refroidissent à l'air libre

Le datacenter est au coeur des questions d'économies d'énergie. Son fonctionnement est consommateur, mais son système de refroidissement aussi. Et s'il était possible de faire des économies d'énergie tout en rafraîchissant ses salles de serveur ? Chacun de leur côté, Microsoft et Intel ont trouvé une solution simple et radicale à la fois : utiliser l'air ambiant. Microsoft envisage ainsi d'installer une salle serveurs hors les murs, sous une tente. Deux ingénieurs de la société, Sean James et Christian Belady, ont en effet mis en place pendant huit mois (entre novembre 2007 et juin 2008), cinq serveurs HP DL585 sous une simple tente sans protection particulière contre le vent, la pluie ou les feuilles des arbres. Résultat : aucune panne, ni redémarrage des serveurs. Au delà de la simple expérience, cet essai pourrait démontrer que les paramètres d'utilisation fournis par les constructeurs sont peut être trop rigides. Une approche moins conservatrice des standards environnementaux [[page]]« Je ne dit pas que c'est à quoi doit ressembler le datacenter du futur, mais je pense que cette expérience illustre ce qu'une approche moins conservatrice des standards environnementaux pourraient apporter, » affirme Christian Belady sur son blog. Intel a d'ailleurs, de son côté, publié en août un rapport montrant qu'il est tout à fait possible de refroidir une salle de serveur avec de l'air en provenance de l'extérieur (jusqu'à 32°C) avec une filtration minimale et sans aucun contrôle d'humidité. Les deux géants envisagent de pousser leurs tests un peu plus loin. Et si ces essais sont probants, ils envisagent d'installer leurs prochains datacenters dans de telles conditions. Finalement, pour refroidir ses serveurs, la solution est peut-être tout simplement de laisser la fenêtre ouverte... (...)

(22/09/2008 17:11:56)

Bonus-malus écologique : Nicolas Sarkozy demande un groupe de travail

Le bonus-malus écologique n'est pas mort. Son extension à d'autres produits que l'automobile n'est pas non plus annulée, mais simplement reportée. Après une série d'annonces visiblement mal contrôlées par le ministre de l'Ecologie, Nicolas Sarkozy a convoqué vendredi soir Jean-Louis Borloo et sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet. Le ministre du Budget, Eric Woerth, était également convié. Le succès du bonus-malus automobile pèse sur les finances publiques, et le ministre s'oppose à des taxes supplémentaires. A l'issue de ce rendez-vous, Nicolas Sarkozy a finalement confirmé son soutien au principe du bonus-malus écologique, tout en s'opposant à la mise en place de nouvelles taxes. Un communiqué de l'Elysée précise ainsi que : "Compte tenu de la situation économique et des tensions actuelles sur le pouvoir d'achat, le président de la République réaffirme son opposition à la mise en place de toute nouvelle fiscalité sur des produits de grande consommation". La contradiction subsiste donc. Réunir les parlementaires, les associations de consommateurs, les ONG environnementales et les représentants des industriels Mais selon l'AFP, le président de la République a aussi demandé la mise en place d'un groupe de travail sur l'extension du dispositif à d'autres familles de produits que l'automobile. Il devra réunir notamment les parlementaires, les associations de consommateurs, les ONG environnementales, les représentants des industriels, etc. Il est à noter que, parmi d'autres, Jean-Louis Borloo avait évoqué les produits électroniques et informatiques comme cible de son bonus-malus. La cacophonie continue de plus belle. La réunion de vendredi a tout autant inquiété les tenants du Grenelle de l'environnement que les adeptes de la diminution de l'impôt. Même Nicolas Hulot s'apprêterait à revenir dans le débat, selon l'AFP, pour « défendre la croissance verte et rappeler ses engagements au chef de l'Etat. » (...)

(19/09/2008 08:57:44)

IBM étend son programme de migration de serveurs à ses System z

IBM a décidé d'étendre à ses grands systèmes son programme de migration depuis des serveurs concurrents vers sa propre gamme. Il ouvre ainsi au System z le Migration Factory Program, jusque là réservé à ses autres serveurs, les Power Systems. « Réduire la complexité de l'administration, rationnaliser les actifs et ... déployer une informatique plus verte ! » Les arguments de Big Blue reprennent les qualités connues de ses mastodontes, en repeignant certaines d'entre elles d'une indispensable petite couche de vert. Ainsi, comme le rappelle le géant, un System z10 EC équivaut en puissance à quelque 1500 serveurs x86 mais occupe 85% d'espace en moins et réduit d'autant les coûts énergétiques. De l'évaluation de la consolidation à la validation de la migration Le programme Migration Factory pour System z comprend des évaluations gratuites pour une démarche de consolidation de serveurs ou le support à une migration SAP. Il intègre des services de migration logicielle (portage, migration du code, contrôle des risques associés à une migration applicative) et l'intégration du middleware. Bien sûr, IBM y ajoute des mises à jour systèmes et applicatives vers de nouvelles plateformes, l'assistance technique aux clients et aux partenaires, et enfin les tests et la validation de la migration. Rien qu'en 2008, IBM aura consacré 200 M$ et 800 employés dans le monde à ses programmes de migration de serveurs. Il aurait tort de ne pas en investir une partie sur les mainframes. On ne cesse depuis le début du millénaire de répéter que le mainframe n'est pas mort. Pour le prouver, IBM rappelle que son C.A. dans le domaine a plus que doublé depuis 2000. (...)

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