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(19/11/2008 16:18:53)

Onze conseils de Gartner pour optimiser l'efficacité énergétique des datacenters

Pour moins de 200 dollars, mais sur seulement six pages, le Gartner Group explique "comment économiser un million de kWh dans votre centre de données". Les analystes du groupe affirment que 35% à 50% de la facture électrique d'un datacenter "conventionnel" consacré à sa climatisation peuvent descendre à 15%. Cet écart représenterait un million de kWh par an "même dans un petit datacenter". Loin d'être une somme technologique, la liste des conseils relève plus du bon sens. Mais comme elle vient de Gartner, elle aura certainement plus de poids lorsqu'il faudra appliquer ces bonnes pratiques (et à moins de 200 dollars, cela revient de toute façon moins cher qu'un audit pratiqué par un consultant externe). Les 11 conseils de Gartner pour réguler plus efficacement la température des datacenters : 1) Boucher les trous dans les faux planchers. Ce simple geste, qui évite qu'air froid et chaud se mélangent, permet à lui seul d'économiser 10% de consommation. 2) Utiliser des panneaux isolants dans les racks. En canalisant mieux les flux, ces panneaux font gagner jusqu'à 5 degrés. 3) Coordonner les éléments de climatisation. En gérant ensemble tous les éléments de climatisation, on optimise leur efficacité. 4) Dégager l'espace sous les faux planchers. Dans certaines salles machines, typiquement les plus anciennes, les passages de câbles sous les planchers gênent la circulation des flux de refroidissement. 5) Agencer les racks en fonction des flux. Au lieu de ranger côte à côte les serveurs, il vaut mieux les placer en fonction de la circulation de l'air. Cela évite qu'une rangée envoie de l'air chaud vers celle d'à côté. 6) Installer des capteurs. Autant savoir où se trouvent les zones les plus chaudes pour focaliser les efforts de climatisation. 7) Délimiter des zones de température. Après avoir placé les racks en fonction des flux, la deuxième phase consiste à isoler physiquement les parties chaudes des parties froides. Le Gartner estime que ce conseil est le plus efficace de tous. 8) Laisser monter un peu la température. Quelques degrés en plus ne menacent pas les matériels et font gagner de l'argent. 9) Utiliser des équipements à puissance variable. Un ventilateur dont la vitesse de rotation est réduite de 10% consomme 27% d'électricité en moins. A moins 20%, on gagne 49%. 10) L'air frais se trouve aussi dehors. En saison froide, il paraît inutile de produire de l'air frais alors qu'il se trouve dehors. 11) Modulariser la climatisation. Au lieu d'aborder la climatisation d'une salle de façon globale, il vaut mieux adopter une approche modulaire, centrée sur les racks. (...)

(19/11/2008 10:35:44)

Deux systèmes au-delà du Petaflops dans le Top500

Roadrunner plie mais ne rompt pas. En tête du précédent Top500, publié en juin dernier, IBM, Intel et Linux squattent le Top500, le supercalculateur petaflopique d'IBM garde la première place du classement des plus imposants monstres de calcul de la planète. Un peu plus performant qu'en juin, Roadrunner (en photo ci-dessus) affiche désormais un peu plus de 1,1 Pflops (un petaflops équivaut à un million de milliards d'opérations par seconde). Le Jaguar de Cray, installé au Laboratoire national d'Oak Ridge aux Etats-Unis, bondit directement sur la deuxième marche du podium, talonnant Roadrunner avec 1,059 Pflops. C'est le deuxième à franchir le cap mythique du Pflops. Intel reste largement majoritaire avec près de 76% des configurations, mais c'est le couple PowerXCell d'IBM et Opteron d'AMD qui donne sa puissance à Roadrunner. Le Jaguar héberge, lui, les quadricoeurs du numéro 2 mondial des processeurs. AMD équipe cinq autres des 10 premiers et l'architecture PowerPC, deux. Un seul des 10 premiers systèmes est équipé par Intel. Certes, il s'agit du numéro 3 et d'un tout nouveau système SGI installé à la Nasa avec une performance proche de 500 Tflops. Par ailleurs, deux tiers des supercalculateurs intègrent désormais des quadricoeurs, modèle en passe de devenir un standard avec les sorties récentes du Core i7 d'Intel et du Shanghai d'AMD. Coté système, Linux n'est guère menacé, avec 88% des systèmes. Un numéro dix chinois équipé de Windows HPC Server [[page]]A l'exception de sa tête, le classement des dix premiers du Top 500 est bouleversé par rapport à la dernière liste, publiée cet été. Neuf machines sont installées aux Etats-Unis (dont 7 au DoE, Département de l'énergie). Exit l'Allemagne, l'Inde et la France (désormais respectivement 11e, 13e et 14e). Elles laissent la place à la Chine qui se glisse en 10e position avec son Shanghai Supercomputer Center équipé du tout nouveau Windows HPC 2008. L'Hexagone place 26 systèmes dans le classement et culmine à 128 Tflops avec le site du Genci (Grand équipement national de calcul intensif). Enfin, en attendant le Green500 (classement des supercalculateurs par efficacité énergétique) qui sera dévoilé le 20 novembre, le Top500 classe désormais aussi ses machines en fonction de leur consommation énergétique. A ce jeu là, IBM gagne encore. Selon l'organisme, les configurations les plus efficaces en la matière s'appuient sur des lames à base de Cell (536 Mflops/W) ou des systèmes BlueGene d'IBM. La consommation moyenne du classement est de 358 kWatt alors que l'efficacité énergétique moyenne se situe à 132 Mflops/Watt. Et seuls 14 systèmes dépassent le MWatt. (...)

(18/11/2008 13:15:36)

Le Green Grid s'ouvre aux utilisateurs

Le Green Grid a décidé de donner davantage la parole aux utilisateurs finals. Pour ce faire, il constitue un conseil consultatif qui leur sera consacré et reportera directement au conseil d'administration du consortium. Le Green Grid regroupe des fournisseurs informatiques et des entreprises utilisatrices autour de la question de l'efficacité énergétique des datacenters. Le conseil consultatif devrait donner la possibilité aux utilisateurs finals d'influencer la création des standards, des méthodes de mesures, des processus et des technologies à laquelle s'attèle le Green Grid. Il conseille déjà neuf membres (Contributor Members) recrutés pour un an. Si l'on excepte Walt Disney ou Tokyo Electric Power, par exemple, la plupart de ces membres sont, certes, utilisateurs d'infrastructure, mais également acteurs des mondes informatique, télécoms ou Internet. On trouve ainsi dans ce conseil, AT&T, BT, eBay ou Verizon Business. Il ne s'agit par ailleurs que de très grands comptes internationaux. Le Green Grid qui réunit désormais 200 membres en profite pour annoncer un nouveau type d'inscription réservé aux administrations et aux universités. Le consortium a déjà mis au point une mesure de l'efficacité énergétique de l'infrastructure informatique dans un bâtiment, le PUE. Il travaillerait également à des mesures du même ordre pour les différents serveurs et équipements de stockage et réseau du marché. (...)

(17/11/2008 17:48:10)

Gartner et WWF : le secteur des TIC lent à réduire ses émissions de CO2

Avec le WWF et Gartner, 24 grandes sociétés du secteur des TIC ont été invitées à éplucher leurs habitudes au sein même de leur entreprise pour vérifier si leur engagement envers une politique résolument orientée Green était bien réel. Les résultats de cette étude ont été présentés lors du Gartner Symposium ITxpo 2008 qui s'est déroulé à Cannes. Sur les 24 entreprises conviées, neuf ont refusé de se prêter au jeu (Accenture, AT&T, Deutsche Telekom, EDS, Microsoft, Oracle, Sun et TCS) et ont été critiquées pour leur manque de transparence. Plusieurs critères d'évaluation ont été retenus par Gartner et le WWF, comme la gestion de la chaîne d'approvisionnement de l'entreprise, sa façon de communiquer sur sa politique en faveur du climat, la formation de ses salariés ou encore le recyclage. L'étude révèle tout d'abord que les entreprises TIC ont été particulièrement lentes à adopter en interne des technologies permettant de limiter les émissions de CO2, et ce malgré les énormes possibilités technologiques dont elles disposent. Seuls quelques fournisseurs IT ont vraiment pensé à appliquer une politique Green à leur propre entreprise, alors que - paradoxalement - elles sont nombreuses à le prôner chez leurs clients. « Il y a encore du travail à faire chez les fournisseurs IT », selon Gartner [[page]]British Telecom, Fujitsu, HP et IBM tirent brillamment leur épingle du jeu, avec une bonne note pour chacun des critères. Le WWF et Gartner saluent l'implication sur le long terme de ces sociétés ainsi que leurs investissements pour développer des produits moins polluants. Viennent ensuite Cisco, Dell et Nokia, au milieu du classement. Le rapport note par ailleurs que certains acteurs, comme Dell et Cisco, parlent plus du Green IT qu'ils n'en font réellement. China Mobile, Ericsson, Google, Lenovo, Nortel, SAP et Wipro sont les mauvais élèves de l'étude. Google a récemment décidé de faire amende honorable, en promettant de s'investir dans les énergies renouvelables. D'après le WWF et Gartner, les entreprises IT devraient voir les technologies vertes comme une opportunité et non pas comme une source de coûts. Selon Dennis Palmin, conseiller au WWF, la crise financière devrait favoriser l'adoption de technologies à faible émission de gaz à effets de serre, car, à court ou moyen terme, elles permettent aux entreprises de réaliser des économies. Et si les fournisseurs IT veulent en profiter, ils ont tout intérêt à commencer par faire le ménage chez eux. Bref, pour 2009 « il y a du travail à faire », conclut Simon Mingay, vice-président de recherche au Gartner. (...)

(10/11/2008 13:17:50)

Poussés par la réglementation, les clients japonais d'Accenture prisent le green IT

Les préoccupations Green IT sont diversement prises en compte selon l'implantation géographique des entreprises. C'est ce que révèle une consultation menée par Accenture auprès de ses filiales australiennes, néerlandaises, espagnoles et japonaises. Andrew Skinner, responsable datacenter pour la filiale britannique de la société de conseil, a interrogé ses collègues sur la montée de l'intérêt pour le Green IT manifesté par leurs clients et sur ce qui leur donne le plus de fil à retordre dans la mise en place de ces programmes. Il a publié quelques éléments de cette enquête informelles sur le blog green IT du cabinet. Si les quatre régions interrogées confirment un intérêt croissant pour le sujet, c'est le Japon qui tient la corde, ses équipes étant sollicitées chaque semaine par les clients pour des présentations, l'organisation de séminaires et l'élaboration de propositions. En Australie, on indique que le Green IT commence à s'infiltrer dans les agendas des DSI. Les entreprises néerlandaises, bien que sensibilisées à la question, n'arrivent toutefois pas à en faire une priorité dans leur agenda IT global où les coûts et les services ont toujours plus de poids. Quant aux entreprises espagnoles, elles ne s'intéressent encore au sujet que par ricochet. Typiquement, le Green IT se traduit pour l'instant en un résultat collatéral de démarches de réduction de coûts ou de projets de virtualisation, explique-t-on sur place. En Espagne, les plans de crise priment sur les programmes Green [[page]]Les défis qui se posent aux filiales dans la mise en place des programmes Green IT diffèrent sensiblement d'une zone géographique à l'autre. En Australie, les clients sont soucieux de montrer aux différentes parties prenantes que l'on peut en obtenir des gains rapidement. Le plus difficile étant de relier le Green IT à d'autres grands programmes pour démontrer qu'il peut soutenir plutôt qu'entraver le changement. Aux Pays-Bas, l'un des problèmes majeurs vient de l'importance prise par l'infogérance. Quelquefois, les clients ont confié la totalité de leur environnement IT à un partenaire externe et les contrats ne prévoient pas toujours de clauses sur les économies d'énergie. Pour l'Espagne, c'est la crise financière qui prime. Les clients se concentrent sur les plans de réduction de coût et l'agenda Green IT s'en trouve repoussé : si la mise au vert de l'informatique conduit à augmenter les coûts, les entreprises sont réticentes à s'y engager. Enfin, au Japon, ce sont les règlementations légales qui sont la motivation principale : celles déjà en place et celles qui s'annoncent. Dans l'archipel, les grandes entreprises doivent communiquer sur leurs émissions de CO2 et leurs prévisions de réduction de celles-ci. C'est cette obligation qui guide l'agenda Green dans les entreprises. L'accent est donc mis sur les activités qui polluent le plus. Mais Accenture Japon remarque néanmoins qu'il est maintenant demandé aux services IT de s'aligner sur ces objectifs. Andrew Skinner s'apprête à poursuivre son tour d'horizon Green IT en étendant son investigation aux pays émergents, en particulier en Asie et Amérique du Sud. (...)

(10/11/2008 12:31:50)

Le label Energy Star limite à 60W la consommation des serveurs inactifs

L'agence américaine de protection de l'environnement (EPA) annonce la troisième version intermédiaire de sa spécification Energy Star destinée aux serveurs. Le standard définitif devrait arriver en février 2009. Objectif : permettre aux entreprises d'identifier les serveurs les plus efficaces en terme de consommation énergétique. Le label concerne déjà les PC, les écrans, les imprimantes, les scanners et de nombreux autres produits informatiques et électroniques. Cette troisième version intermédiaire de la spécification Energy Star pour serveur s'attache à la consommation d'une machine inactive. Pour obtenir le label, un serveur mono-processeur inactif ne devra pas dépasser 60 watts. La limite est fixée à 271 watts pour un quadri-processeur. Celle-ci peut être relevée en cas de présence de composants additionnels. Ainsi, un deuxième disque dur donne le droit à 15 watts de puissance électrique supplémentaire. Mais les fournisseurs doivent aussi répondre à un minimum d'exigences en terme d'efficacité des alimentations électriques et publier un tableau pour chaque serveur indiquant ses niveaux de consommation et de performance pour des configurations minimale, maximale et « typique ». Les serveurs de plus de quatre processeurs et les lames attendront La spécification concerne des machines qui intègrent jusqu'à quatre processeurs. Mais l'EPA en a volontairement exclu les lames. L'organisme de tests Spec a en effet indiqué que sa mesure SPECPower_ssj2008 de consommation pour des serveurs inactifs - sur laquelle s'appuie l'EPA - ne peut fonctionner sur ce type de machines. L'agence intègrera dans ses futurs travaux des outils appropriés pour tenir compte des lames. De la même façon, une deuxième mouture de la spécification pourrait arriver en octobre 2010 incluant les serveurs au delà des quadri-processeurs. (...)

(06/11/2008 18:31:08)

AMD veut alléger sa consommation énergétique de 40% d'ici à 2010

Dans son huitième Plan de protection global du climat (GCPP), AMD a annoncé qu'il souhaitait réduire de 33% ses émissions de gaz à effet de serre et de 40% sa consommation globale d'énergie d'ici à 2010. Depuis la création de ce programme, le fondeur les a déjà réduit respectivement de 40% et 30%, des taux supérieurs aux objectifs initialement formulés. Le plan d'AMD décrit la stratégie pour minimiser l'impact direct mais aussi indirect de son activité sur l'environnement. Il s'agit par exemple de limiter les voyages d'affaires et de contrôler l'ensemble de la chaîne logistique, de la fabrication à la distribution, en passant par le transport. Le but : réduire les émissions indirectement liées à l'activité de l'entreprise, ce que le Greenhouse Gas Protocol Supply Chain Initiative (GhG) définit comme le « Scope 3 ». Ce standard qui prend en compte la pollution générée par les produits tout au long de leur cycle de vie. Chez AMD, ces rejets indirects représentent entre 17% et 18% des émissions totales de gaz carbonique. Moins de rejets de composants perfluorés et un site texan 100% alimenté par des énergies renouvelables [[page]]AMD a également décidé de moderniser ses unités de production situées à Dresde, en Allemagne, afin de les rendre moins polluantes. Il s'agit des usines Fab 30 et Fab 36 (dont AMD ne détient plus que 44% depuis un mois), dont l'efficacité énergétique a été augmentée de 10%. Les émissions de molécules perfluorées, un polluant apparu récemment et entrant dans la fabrication des composants d'ordinateurs ou encore dans les systèmes de refroidissement et de climatisation, ont été réduites de 95% en 13 ans, comme AMD l'avait promis en mai 2007 . Récemment achevé, le site texan d'AMD, situé à Saragota (plus de 80 000 m2 de bureaux) répond également à la charte Green du fondeur, et devrait obtenir la certification Leed-Gold (Leadership in energy and environmental design, un système d'évaluation environnemental des bâtiments créé en 1998). La consommation en énergie y a été réduite de 20% par rapport à un bâtiment traditionnel et il est entièrement alimenté par des sources d'énergie renouvelables. Dans son plan, AMD intègre également un programme de sensibilisation et de responsabilisation de ses salariés au quotidien. Il s'agit par exemple de les encourager à utiliser les transports publics et le covoiturage ou encore à les inciter à éteindre ordinateurs et lumières lorsqu'ils ne sont pas utilisés. (...)

(05/11/2008 16:42:31)

HP commercialise des outils pour limiter la consommation de ses serveurs

Hewlett-Packard commence à commercialiser, sous le nom d'HP Dynamic Power Capping, des outils logiciels pour réduire la consommation électrique de ses serveurs. Ces logiciels, qui font partie d'un programme baptisé Thermal Logic, mesurent cette consommation puis, permettent de la limiter. L'objectif est double. D'une part, économiser l'énergie consommée tant par les alimentations que par les systèmes de climatisation : HP fait miroiter une économie de l'ordre de 25%. D'autre part, améliorer la densité de serveurs. Moins gourmands, ils peuvent être trois fois plus nombreux pour une capacité électrique donnée. HP assure que des "millions" de ses serveurs livrés depuis deux ans, lames ou en rack, disposent déjà d'Integrated Lights Out (ILO), nécessaire pour le contrôle de la consommation. Toutefois, économiser de l'énergie a un coût. Insight Control, l'outil de supervision, revient à 550 $ par rack ou à 400 $ par serveur lame. Le Californien n'est pas le seul à faire la promotion pour la sobriété de ses matériels. IBM, Dell et Sun, pour ne citer que les principaux, affirment proposer des systèmes optimisés. Le monde des serveurs manque d'outils de mesure standards Toutefois, le monde des serveurs est très en retard en matière de norme dans le domaine. Ces machines sont les dernières à ne pas avoir de label Energy Star normalisé par l'agence américaine pour la protection de l'environnement (EPA). Une norme est espérée pour le mois d'avril prochain. Sans oublier que le Green Grid, dans lequel travaillent tous les grands fournisseurs de serveurs, étudie des outils de mesure et de réduction de la consommation énergétique des serveurs dans des environnements de datacenters. (...)

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