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Technologies 'vertes'
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(28/11/2008 15:20:44)
Le Green Grid soutient le code de bonne conduite pour les datacenters de l'UE
Le Green Grid, consortium d'entreprises qui cherchent à améliorer l'efficacité des datacenters et autres écosystèmes informatiques professionnels, a annoncé qu'il apportait son soutien au Code de bonne conduite destiné aux datacenters, présenté le 19 novembre dernier par la Commission européenne. Le centre de recherche de la Commission a opté pour l'indicateur DCIE (data center intrastructure efficiency), défini par le Green Grid, pour mesurer l'efficacité énergétique des datacenters. Cet indice, ratio inverse du PUE (power usage effectiveness) calcule le rapport entre les dépenses énergétiques de l'informatique et celles plus globales de l'entreprise. « A terme, la cohérence des unités de mesures de consommation énergétique utilisées par les entreprises améliorera la gestion de leurs dépenses, a commenté John Tucillo, administrateur du Green Grid dans un communiqué. C'est pourquoi le Green Grid soutient l'effort de l'Union Européenne et compte poursuivre sa collaboration avec cette institution. » Depuis le mois de février, la Commission européenne planchait sur l'adoption d'un code de bonne conduite pour les datacenters, dans le but de minimiser les conséquences de la consommation d'énergie sur l'environnement. Ce code a officiellement été lancé il y a quelques jours. Il a été accueilli avec satisfaction par Julian Hunt, ministre britannique du Développement durable et de l'Innovation en énergie : « si nous voulons lutter contre les dangers des changements climatiques, nous devons réduire les émissions de CO2. L'implication des entreprises est un élément clé pour relever ce défi. » La Commission européenne estime que grâce à ce code ce sont quelque 4,7 millions de tonnes de gaz à effet de serre qui pourraient être économisées en six ans. D'ici à 2050, la réduction devrait atteindre les 80%. (...)
(27/11/2008 16:47:24)Green IT, « webciety » et Schwarzenegger à l'honneur du Cebit 2009
Après le Green IT, mis à l'honneur lors de l'édition 2008 du Cebit, le Cebit 2009 célébrera... l'informatique verte. Les organisateurs de la Deutsche Messe, le plus grand salon d'informatique professionnelle, qui se tiendra à Hanovre en Allemagne du 3 au 8 mars prochains, ont en effet décidé de miser encore une fois sur le Green IT. Sven Prüser, commissaire général du salon, explique qu'il est important, dans un contexte de crise financière mondiale, de montrer aux entreprises comment l'écologie permet de réaliser de grandes économies. « Le Green IT World montrera deux aspects : ce que fait l'industrie IT pour diminuer sa consommation énergétique, et ce que l'IT peut faire pour aider les autres industries. » Cette insistance sur l'écologie en informatique s'appuie sur une enquête réalisée auprès des abonnés aux lettres d'information du Cebit, en septembre dernier. Elle a ainsi démontré que 38% des gens n'avaient pris conscience de l'importance du thème Green IT qu'en venant au salon lors de l'édition 2008. Mais l'enquête a aussi mis en évidence qu'il reste beaucoup à faire : 23% ont déclaré qu'ils n'en avaient pris conscience qu'à l'occasion de cette enquête, 60% ont dit qu'ils n'avaient pas obtenu l'information désirée au Cebit 2008, et 68% estiment insuffisant le niveau d'information fourni par les fabricants de matériels IT. Le besoin d'information semble relativement élevé : pour 49%, le thème de l'informatique verte est pris en compte dans leur entreprise, et pour 93%, les questions environnementales interviennent peu ou prou dans les décisions d'achat des équipements (oui à 47%, partiellement à 46%), généralement (à 79%) dans le souci d'économiser de l'électricité. « Webciety » ou la société en réseau, vecteur d'opportunités pour l'industrie IT [[page]] Le Cebit 2009 propose un autre un sujet dans l'air du temps : la société numérique à l'ère du Web 2.0. Ou, dans le néologisme de la Deutsche Messe, la « Webciety » (pour Web society, ou société en réseau). Le but, expliquent les organisateurs, sera de montrer aux visiteurs l'importance prise par Internet et son caractère irremplaçable dans divers domaines : le 'cloud computing', les logiciels en ligne (Saas), les campagnes présidentielles (à la Obama), les réseaux sociaux, la WebTV, etc. « Autant de changements, précise Sven Prüser, qui créent beaucoup d'opportunités pour l'industrie. » Enfin, sauf « en cas de tremblement de terre ou de feux de forêt », c'est Arnold Schwarzenegger qui doit prononcer le discours d'ouverture du salon. Après la France, partenaire privilégiée l'année dernière, et un discours de Nicolas Sarkozy, la Californie est l'Etat à l'honneur de l'édition 2009. D'une part, parce qu'il s'agit de l'Etat le plus peuplé et économiquement le plus important des Etats-Unis, indique le commissaire général du Cebit, et d'autre part car « c'est le berceau de beaucoup de technologies du secteur ». Sans oublier que la Californie se veut aussi exemplaire en matière d'écologie. L'année dernière, le Cebit aurait attiré « 5 845 exposants venus de 77 pays ainsi qu'un demi-million de visiteurs environ, originaires de 100 pays ». Les organisateurs pensent accueillir environ le même nombre de visiteurs et d'exposants. Un représentant d'un voyagiste, présent lors de cette conférence de presse présentant le Cebit 2009, expliquait de son côté avoir revu quelque peu à la baisse le nombre des réservations. Au vu du contexte économique incertain, « tout se passera probablement au dernier moment ». (...)
(26/11/2008 14:12:12)IBM améliore l'outil de gestion de l'énergie de ses serveurs
IBM commencera à livrer le 12 décembre prochain la version 4.1 d'Active Energy Manager (AEM). Cet outil de gestion de l'énergie des serveurs, qui s'intègre dans Systems Director version 6.1, tourne sur Linux (serveur Power, System X et System z) et Windows. AEM 4.1, qui dispose d'une interface de gestion HTML, permet une gestion dynamique de la consommation de l'énergie des serveurs. Il sert à instaurer des limitations par zone, racks et par serveur. Par ailleurs, cette version supporte des unités de distribution d'alimentation (Power distribution unit) de sociétés tierces, dont celles de Raritan et d'Eaton. HP a, de son côté, commencé à commercialiser HP Dynamic Power Capping pour ses serveurs X64. Cet outil s'intègre à HP Insight Manager. (...)
(26/11/2008 09:28:57)Green 500 : Le supercalculateur le plus puissant du monde est aussi économe en énergie
Avec un pic de puissance à près de 1,1 Pflops, le Roadrunner d'IBM affiche une consommation énergétique impressionnante de 2,483 MW. Mais rapportée à sa capacité de calcul, cette mesure donne un rapport puissance/consommation presque raisonnable de 445 Mflops/Watt. Une mesure qui le positionne en septième place du Green 500. Ce classement, petit frère du Top 500 des supercalculateurs les plus puissants du monde, donne depuis deux ans un point de vue sur la consommation énergétique de ces monstres de calcul. Le numéro 2 du Top 500, le Jaguar de Cray (un XT5), n'occupe, lui, qu'une très piteuse 80e place avec seulement 152 Mflops/Watt. Pour une puissance totale de 1,059 Pflops, il avale en effet près de 7 MW... Pour le grand vainqueur, c'est l'inverse. Ce cluster polonais à base de lames IBM hybrides mixe des architectures PowerXCell d'IBM et Opteron d'AMD. Il n'a pas besoin de plus de 34,63 kW pour fonctionner, ce qui le crédite d'un rapport performance/consommation dépassant à peine 536 Mflops/Watt. Mais, au Top 500, il n'occupe que la 221e place avec une « petite » performance de 18,570 TFlops. Les quatre premiers de la liste verte (tous à base du Cell d'IBM) ont franchi le seuil des 50 Mflops/Watt. En France, le système le plus « économe » est la configuration utilisée par la R&D de EDF qui s'appuie sur des BlueGene d'IBM. Près de la moitié du Top 500 passe au crible des tests du Green 500 IBM continue d'occuper la majeure partie du classement. Mais seuls 276 systèmes issus du Top 500 ont effectivement réalisé les tests. Les autres ne sont mesurés que par estimation. Pour entrer dans le Green 500, un système doit déjà être présent dans le Top 500. Pour mesurer le rapport performance/consommation qui sera affiché dans le classement, les administrateurs des sites doivent exécuter un ensemble de tests conformes aux spécifications Energy Star de l'EPA (Environmental protection agency) américaine. Comme toutes les mesures, celle-ci n'est sans doute pas la panacée, en particulier pour des systèmes qui s'appuient sur des architectures très disparates (processeurs, organisation des serveurs, connectivité, stockage, système d'exploitation, etc.) Mais comme toutes les mesures, en particulier en matière de green IT, celle-ci a le mérite d'exister et de pointer certaines différences étonnantes telles que celle qui existe entre le numéro un du Top 500, Roadrunner, et le numéro deux, Jaguar. (...)
(25/11/2008 11:04:27)Greenpeace : Les industries IT pas assez concernées par le réchauffement climatique
Les géants de l'électronique grand public Apple, Dell, Motorola, Microsoft, Nintendo et Samsung tardent à adapter leurs procédés de production pour répondre aux grands enjeux environnementaux. Ils pointent ainsi en queue de peloton du 10e Guide to Greener Electronics, élaboré par Greenpeace. La question du réchauffement climatique mobilise peu d'entreprises passées au crible par l'association, regrette cette dernière. « Elles ne démontrent aucun engagement conséquent pour réduire leurs émissions de CO2 ou pour mobiliser la classe politique afin d'aboutir sur un accord post-Kyoto », commente Mel Francis, responsable de la campagne International Climate & Energy chez Greenpeace. Selon l'association écologiste, les entreprises continuent de considérer que la croissance de leur activité implique nécessairement une augmentation de leurs émissions de CO2. « Chez Greenpeace, nous pensons que cela n'est pas nécessairement vrai », poursuit Mel Francis. Nintendo abonné à la dernière place Tout n'est pas noir cependant et certains acteurs récoltent les félicitations du mouvement vert. C'est le cas de Fujitsu Siemens, Philips et Sharp, qui parviennent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Greenpeace décerne un satisfecit particulier à Philips pour son engagement à réduire ses rejets de CO2 de 25% d'ici à 2012. Au classement général - qui prend en considération différents critères comme la non utilisation de produits chimiques polluants, l'existence de programmes de recyclage, etc. - Nokia s'arroge la première place, devant Sony Ericsson et Toshiba. Dans la deuxième partie de la liste pointent Philips et HP, qui pâtissent du traitement qu'ils réservent aux déchets électroniques. Ce dernier, avec Acer, Dell et Apple, forme un quatuor de constructeurs de PC perdant tous quelques places, là encore en raison d'un traitement perfectible des déchets électroniques. Dell et Acer doivent en outre réduire leur recours aux produits chimiques toxiques. Le géant texan perd également des points pour être revenu sur son engagement d'éliminer toute trace de PVC et de retardateurs de flamme bromés d'ici à la fin de l'année. Enfin, Nintendo reste campé en dernière position bien que quelques progrès aient été constatés par Greenpeace dans l'utilisation d'additifs toxiques dans les plastiques utilisés dans le processus de production. (...)
(24/11/2008 17:11:13)Google étudie la construction d'un nouveau datacenter en Autriche
Google vient d'acquérir en Autriche un terrain de 75 hectares, dans la ville de Kronstorf, ce qui laisserait à penser que le géant d'Internet bâtirait un nouveau datacenter pour soutenir son moteur de recherche. Mais pour l'instant, le géant ne confirme ni n'infirme. Il affirme ne pas avoir encore avoir pris de décision. Rien de surprenant à cela. La société californienne n'aime guère donner de détails sur la localisation des batteries de serveurs qu'elle a installées pour indexer la toile page après page (en juillet dernier, un billet sur son blog officiel indiquait que ses systèmes qui parcourent les pages du Web au fil de leurs liens, à la recherche de nouveaux contenus, étaient parvenus à débusquer mille milliards d'URL en une seule exploration). Il y a deux ans, un pan du mystère avait été levé sur son site installé très discrètement dans l'Oregon dont une photo avait été publiée par le New York Times en juin 2006. Un site autrichien bien situé Google est sans cesse à la recherche de nouvelles solutions pour optimiser ses datacenters et les construire au plus près des centaines de millions d'utilisateurs qui utilisent ses services dans le monde. Des sites dont il cherche aussi à réduire la consommation électrique. Dans ce domaine, il étudie même un concept de datacenter flottant énergétiquement autonome. [[page]]Le site autrichien que vient de choisir Google répond quant à lui à plusieurs des critères retenus généralement par le Californien pour l'implantation de ses centres de données. Il est « bien situé, dans un environnement économique propice à mener efficacement une activité commerciale et à retenir des équipes », comme l'explique dans un communiqué Kay Oberbeck, porte-parole de Google sur ces questions. Ce dernier précise qu'à ce stade, la société compte simplement procéder à des études de faisabilité technique pour une éventuelle construction. Nul doute que Google regardera de près les capacités d'alimentation électrique de la région, ainsi que le coût de l'électricité. Les monstres de puissance qu'il installe partout dans le monde sont de gros consommateurs de MWatts. Kay Oberbeck assure que des informations complémentaires seront communiquées dès que Google aura confirmé ses projets. A suivre... (...)
(24/11/2008 15:37:23)IBM et EDF partenaires dans la recherche sur l'optimisation de la production d'énergie
IBM et EDF ont annoncé qu'ils allaient travailler de concert dans la recherche sur les énergies renouvelables. Les chercheurs d'EDF (en région parisienne) et ceux d'IBM (à New York) plancheront à distance sur des projets communs, au sein d'un laboratoire virtuel. Le but : trouver des solutions informatiques pour améliorer la production et la gestion de l'électricité dans le nucléaire et l'hydraulique, en produisant moins de CO2. Le projet comporte une série de simulations numériques qui seront assurées par un supercalculateur d'IBM à base d'architecture Blue Gene, situé à Montpellier. Celui-ci atteint des performances de l'ordre du Tflops (100 000 milliards d'opération à la seconde) et servira à modéliser des processus complexes de production d'électricité. IBM met également à la disposition d'EDF ses compétences en matière de calcul, de gestion et de développement d'algorithmes. « Il est indispensable de bénéficier d'un niveau d'excellence en matière de recherche pour aborder les grands défis énergétiques d'aujourd'hui, a déclaré Yves Bamberger, vice-président du département recherche d'EDF. Ce projet vise à combiner les meilleures compétences en recherche dans les domaines de l'énergie et de l'informatique. » Les modalités financières de l'accord n'ont pas été communiquées. (...)
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