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(19/05/2008 17:17:53)

Des écarts de consommation électrique de 1 à 6 entre deux commutateurs réseau

Selon In-Stat, les écarts de consommation électrique entre deux commutateurs réseau peuvent atteindre 600% ! Cet intervalle, mesuré sur des équipements de 24 ou 48 ports, découle certes du nombre de ports activés, mais aussi de la conception électrique des équipements. Pour In-Stat, le nombre de Gbits/s par Watt peut varier de 0,5 à 3 Gbits/s par Watt ! Le cabinet d'étude communique le classement des fournisseurs dont les produits sont les moins voraces en électricité. Dans la catégorie des commutateurs à 24 ports, ceux de 3Com l'emportent avec une consommation qui n'est que de 3 Gbits/s par Watt. Viennent en suite les produits de SMC, Netgear, H3C et D-Link. Cisco et Foundry Networks fournissent les produits les moins performants avec 0.5 Gbits/s par Watt. Cisco, mauvais élève 3Com l'emporte aussi dans la catégorie des 48 ports, suivi par Force10, Netgear, Extreme Networks et SMC. On retrouve là encore Cisco en fin de classement, aux côtés de ProCurve. Le niveau de technicité influe peu sur la consommation. L'ensemble de produits d'un même fournisseur a donc des comportements électriques similaires. En revanche, plus le nombre de ports augmente, plus les performances électriques baissent. L'industrie travaille à établir une norme pour réduire la consommation de ces équipements sous la houlette du comité 802.3 de l'IEEE. (...)

(19/05/2008 12:58:37)

Les premiers sélectionnés pour la finale Imagine Cup surveillent les aliments périmés

« Et le gagnant est ... SmartCooking ». Nous ne sommes ni aux Césars, ni aux Oscars, encore moins à Cannes, mais à l'Imagine Cup de Microsoft. L'éditeur organise chaque année ce championnat du monde de création numérique pour les étudiants du monde entier. La semaine dernière, à l'occasion d'une cérémonie parisienne, l'équipe qui porte le doux nom de SmartCooking a donc été sélectionnée pour participer à la grande finale qui se tiendra aussi à Paris du 3 au 8 juillet prochain. Ils concourraient dans la catégorie reine, si l'on en croit Microsoft : « la conception logicielle ». L'édition 2008 a pour thème l'environnement et se déroule pour la première fois en France. Plus de 200 000 jeunes du monde entier (360 équipes) ont participé parmi lesquels 13 000 Français. La France est le deuxième pays le mieux représenté derrière la Chine et devant les Etats-Unis et l'Inde. Tous ont déposé un dossier pour un projet en lien avec la thématique 2008 en début d'année dans une des neuf catégories parmi lesquelles la conception logicielle, l'embarqué, le jeu, l'algorithmique, la photo, le design d'interface. Deux jurys composés d'experts en TIC et de spécialistes de l'environnement Pour la conception logicielle, les étudiants ont présenté un dossier en janvier avant de passer devant deux jurys successifs constitués d'un subtil mélange d'experts en TIC et de spécialistes de l'environnement. Les quatre étudiant de SmartCooking (Supinfo Lille, Supinfo Montpellier, les Gobelins) ont mis au point Well K'home pour mieux gérer les stocks d'aliments dans le réfrigérateur et le tri des déchets. Le logiciel récupère les informations idoines (en particulier la date de péremption) principalement via des puces RFID incluses dans le packaging des aliments. Sébastien Warin, étudiant à Supinfo Lille, passionné d'informatique depuis sa plus tendre enfance et membre de l'équipe gagnante, rappelle qu' « un quart de la production de nourriture termine à la poubelle sans avoir été consommée. » L'utilisateur sera donc notifié sur un écran tactile sur son réfrigérateur ou sur son téléphone mobile lorsque certains des produits qu'il conserve approcheront de leur date limite de consommation. Le logiciel lui proposera même une recette en fonction des aliments restants. Son système déclenchera aussi, éventuellement, la commande en ligne des produits qui manquent pour se les faire livrer. « Si on généralise la livraison à domicile, moins de personnes prendront leur véhicule individuel pour aller faire des courses, » ajoute Sébastien Warin. Un autre moyen de moins polluer. Enfin, les puces RFID contiendront les informations concernant le tri approprié des déchets. Toute la logique métier du logiciel est exposée au travers de services Web qui peuvent être exploités au travers de diverses interfaces. Il faut absolument mettre en relation les informaticiens et les écolos [[page]]Le thème du développement durable a sans surprise beaucoup inspiré les étudiants. Les deuxième et troisième prix du concours ont ainsi respectivement été attribués à un système de récompense de l'action en faveur de l'environnement et à un logiciel destiné à augmenter la qualité environnementale de bout en bout des produits industrialisés. Chantal Jouanno, présidente de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), partenaire de l'événement, plaisante à peine lorsqu'elle rappelle qu'on a un peu trop tendance à « considérer les internautes comme de jeunes délinquants et les écolos comme des amoureux de la bougie. Ce sont en réalité deux mondes tournés vers l'avenir. Et il faut donc absolument les mettre en relation ! Bien sur, ce sont deux cultures différentes, comme celles qui se sont rencontrées au sein des jurys ImagineCup. Une culture plus environnementale, bien sûr, très technique, avec une méthode d'analyse du cycle de vie. Une autre, technique également, mais tournée d'abord vers le numérique. Mais là où nous nous retrouvons, c'est sur la créativité ! » (...)

(13/05/2008 12:09:37)

AMD réduit la consommation de ses quadri-coeurs

AMD a annoncé cinq quadri-coeurs Opteron HE peu gourmands en énergie puisqu'ils ne consommeront que 55 Watts. Ils seront disponibles pour les gammes de serveurs classiques et lames en racks de deux, quatre ou huit. « Nos nouvelles puces sont conçues pour aider les responsables de datacenters qui considèrent la baisse de la consommation électrique et la virtualisation comme des clés pour résoudre l'équation globale de la performance du datacenter, explique dans une déclaration Randy Allen, vice-président et directeur général de la division serveurs et stations de travail d'AMD. » En plus d'être économe, l'Opteron intègre en effet aussi des fonctions d'optimisation de la virtualisation (passage plus rapide d'une machine virtuelle à l'autre, support d'un plus grand nombre d'utilisateurs et de transactions en environnement virtualisé, etc). Un moyen de conforter le succès des Opteron La consommation des datacenters est une problématique d'actualité, comme le confirme Charles King, analyste pour le cabinet californien Pund-IT qui rappelle que la consommation du processeur est loin d'être négligeable dans un centre serveur. Pour lui, l'utilisation de processeurs plus économiques comme cette génération d'Opteron et d'autres puces x86 économes se révèle intéressante même si « en pourcentage, la virtualisation aura bien plus d'impact. » Enfin, le consultant ajoute que cette version du processeur à 55 Watts « permettra à AMD de confirmer le succès de l'Opteron dans le monde des serveurs. » (...)

(02/05/2008 18:00:20)

Les datacenters véritables gâchis énergétiques

McKinsey et l'Uptime Institute appellent de tous leurs voeux une refonte profonde des datacenters actuels et à venir. Si rien n'est fait, ils continueront d'être d'énormes sources de gaspillage électrique. Les consultants de McKinsey et ceux du cabinet de conseil spécialiste en datacenters, Uptime Institute, tirent la sonnette d'alarme : rien n'est fait ou trop peu est trop mal fait pour réduire la facture énergétique des datacenters. Le sujet est pourtant crucial. Entre 2000 et 2006, la consommation électrique de ces centres a doublé dans le monde et, d'ici 2010, rien qu'aux Etats-Unis, il faudrait consacrer dix nouvelles centrales électriques pour répondre à l'augmentation de leur consommation. Le plus préoccupant, c'est que l'essentiel de cette consommation est gâché en raison d'erreurs de conception et d'un manque d'optimisation. Pour les deux sociétés, on trouve les raisons de cette gabegie dès la conception. L'optimisation de la consommation passe la plupart du temps après des considérations de taille, de refroidissement et d'évolutivité. Et surtout, ce gâchis passe inaperçu ! Les DSI sont rarement responsables des factures électriques... A cette dilution de la responsabilité, s'ajoute l'absence de prise en compte de paramètres écologiques, la médiocrité de la conception des systèmes de refroidissement, une gestion inefficaces des ressources informatiques et une conception et un déploiement des applicatifs qui n'a rien à leur envier. L'utilisation moyenne d'un serveur ne dépasse pas 6% Mc Kinzey fonde cette condamnation sur des données, elles aussi, sans appel. Avec Uptime, ils estiment que l'utilisation moyenne d'un serveur ne dépasse pas les 6% et que pour 30% des machines installées, la sollicitation n'excèderait même jamais les 3%. Au final, un datacenter est utilisé à 56% de son potentiel. L'issue se trouve, bien sûr dans la consolidation et la virtualisation pour les infrastructures déjà en service. Pour celles qui viendront, il faut réfléchir pour optimiser leur conception et leurs systèmes de refroidissement. Dans ce domaine, partant d'une complète indifférence, les progrès devraient être fulgurants. Uptime et McKinsey militent pour la mise en place de l'indicateur "Corporate Average Data Efficiency (CADE)" qui mesure l'énergie consommée par le datacenter (informatique, batiment, système de refroidissement, etc.) afin de pouvoir contrôler et comparer avec précision les progrès réalisés. Il y a urgence, si rien n'est fait, les émissions de gaz à effet de serre des datacenters vont quadrupler d'ici 2020. (...)

(29/04/2008 12:49:56)

Xerox invente le papier effaçable et réimprimable

Après la souris et l'interface graphique dans les années 70, les laboratoires de recherche de Xerox viennent d'inventer le papier effaçable et réimprimable. En effet, même si on a pu penser il y a bien longtemps que l'informatique réduirait la consommation de papier imprimé, c'est bien l'inverse qui s'est produit. La plupart d'entre nous impriment leurs courriels, des pages de sites Web, et de lourds rapports de plusieurs dizaines de pages... Alors, plutôt que de laisser les forêts de la planète finir dans nos corbeilles, les chercheurs de Xerox ont décidé de réagir. Ils ont donc travaillé à un type de papier sur lequel le texte imprimé s'efface tout seul dans les 24 heures et peut être réutilisé jusqu'à 100 fois d'affilée. Attention, votre impression s'autoeffacera dans les 24 heures Le secret de ce papier tient dans des molécules codées qui créent une impression une fois exposée à une lumière ultraviolette émise par une fine barre installée dans l'imprimante. La molécule se réajuste toute seule dans les 24 heures qui suivent et reprend sa forme d'origine laissant de nouveau la page totalement vierge. Pour obtenir une page blanche sans attendre 24 heures, il suffit de chauffer la feuille et on obtient instantanément le même effet. Pour l'instant, la technique ne fonctionne que pour le noir et blanc et Xerox préconise d'ailleurs de réserver ce type d'impression à du travail quotidien. Mieux vaut revenir à l'encre classique pour des documents de haute qualité. Enfin, malheureusement, le laboratoire n'a encore aucune idée de la date à laquelle l'imprimante et le papier pourraient être disponibles. En attendant, il ne reste plus qu'à réfréner nos envies intempestives d'imprimer... (...)

(28/04/2008 16:46:49)

HDS se lance à son tour dans la course au datacenter vert

Depuis quelques semaines, le monde du datacenter joue à qui sera le plus vert. Après IBM, HP et autres Sun, c'est au tour du spécialiste japonais du stockage Hitachi Data Systems (HDS) d'entrer dans la danse. Il affirme ainsi avoir construit la salle de serveur la plus verte du monde à Yokohama. Celui-ci n'entrera en production qu'en juillet 2009 mais devrait atteindre 1,6 sur l'échelle Pue (Power usage effectiveness) du Green Grid. Le Pue mesure le ratio entre la dépense énergétique totale d'un bâtiment (alimentation des serveurs et des baies, climatisation et ventilation de l'ensemble, alimentation des connexion réseau, éclairage, etc.) et la dépense énergétique propre des appareils informatiques qu'il contient. Ce nouveau centre dépenserait donc 1,6 watt d'énergie totale pour chaque watt réellement affecté à l'informatique. Hu Yoshida, directeur informatique de HDS, rappelle que « la plupart des datacenters en utilisent plutôt trois. » Pour obtenir ce résultat, le constructeur a installé des équipements (serveurs, baies de stockage et connexion réseau) de dernière génération particulièrement économes en énergie et pense ainsi réduire les émissions de CO2 de 20 % par rapport aux salles de serveurs à la puissance équivalente. Il s'appuiera sur des techniques de virtualisation et sur le « thin provisionning », un moyen de répartir au mieux les taches sur l'ensemble des ressources matérielles de l'ensemble. Le projet s'intègre dans le plan général de HDS pour réduire ses émissions de carbone de 50 % d'ici cinq ans. (...)

(25/04/2008 18:03:55)

Le Green Grid veut économiser l'énergie aussi dans les petites salles informatiques

Le consortium Green Grid et l'agence américaine pour la protection de l'environnement (EPA, Environmental Protection Agency) ont décidé de faire la chasse aux économies d'énergie ensemble dans les petites salles informatiques. Aujourd'hui, de nombreuses réflexions sont menées autour de la consommation énergétique des datacenters, beaucoup moins sur celles des salles informatiques plus classiques. Le Green Grid est bien placé pour travailler sur un tel sujet puisqu'il s'agit d'un consortium d'acteurs de l'informatique et de l'électronique qui réléchissent aux meilleurs moyens pour que les datacenters respectent l'environnement. Il a donc signé un protocole d'accord avec l'EPA pour faire la promotion des équipements « verts » et partager les bonnes pratiques dans ce domaine avec l'industrie et le secteur public. Charité bien ordonnée commence par soi-même, et c'est donc d'abord l'efficacité énergétique des installations de l'EPA qui sera évaluée. De cette opération seront tirés des process standardisés et des mesures de performances facilement applicables à d'autres établissements et entreprises. (...)

(23/04/2008 12:26:06)

Les serveurs iDataplex d'IBM s'attaquent aux grands du Web 2.0

Les grands du Web 2.0 comme Facebook ou Myspace, dont les sites accueillent un trafic très important, font face à de nouveaux problèmes avec leurs datacenters. Il leur faut plus de puissance, plus de flexibilité mais aussi moins de consommation d'énergie et de dissipation de chaleur. IBM a décidé de proposer à ces entreprises des serveurs en rack spécialement conçus pour elles, censés concurrencer les PC en marque blanche que ces sociétés installent pour l'instant en grappe par milliers. Les iDataplex sont des quadri-coeurs Xeon sous Linux au format 1U ou 2U et ils consommeraient 40% de moins d'énergie que des systèmes en rack classiques tout en apportant plus de puissance. IBM joue par exemple sur l'organisation des racks pour optimiser leur ventilation. En effet, si la hauteur des serveurs en rack ne change pas (1U ou 2U), ils sont de plus en plus profonds. Or, comme les systèmes de refroidissement soufflent de l'air de l'arrière vers l'avant des serveurs, plus ceux-ci sont profonds, plus ils ont besoin de ventilateurs puissants et donc gourmands en énergie. Pour pallier le problème, IBM installe tout simplement ses serveurs dans les racks en les faisant pivoter à 90°C horizontalement. Résultat selon le constructeur : 67% d'économie d'énergie ! Un compromis entre économies d'énergie et tolérance aux pannes Un seul rack comprend jusqu'à 84 serveurs iDataPlex, ce qui permet entre autres d'installer une porte arrière de refroidissement à eau qui extrait toute la chaleur émise par le système. Toutes ces machines partagent seulement trois groupes de câbles d'alimentation contre quatre précédemment. Un compromis entre économies d'énergie et tolérance aux pannes revendiqué par IBM. Selon Big Blue, les entreprises du Web 2.0 utilisent toutes des logiciels qui permettent, de toutes façons, de basculer d'un serveur à l'autre en cas de problème. Avec ses nouveaux serveurs, IBM cible aussi des applications complexes d'analyse financière, de traitement de la vidéo et de HPC (calcul haute performance) en général. Ils ne seront vendus qu'aux entreprises les commandant en très grand nombre (de l'ordre du millier). Et le constructeur proposera 22 configurations différentes avec des options pour l'environnement réseau, les commutateurs et le stockage. (...)

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