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Technologies 'vertes'
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(14/04/2008 16:30:30)
Deloitte livre son Top 10 des tendances technologiques de 2008
Quelles seront les grandes tendances technologiques de 2008 ? Deloitte apporte ses réponses sous la forme d'un Top 10, publié dans un PDF gratuit d'une vingtaine de pages. L'analyse établie par le cabinet, « à partir de recherches et de l'expérience de ses 6000 experts, de ses clients, d'analystes et d'acteurs mondiaux du secteur », met notamment en avant trois thèmes qui impactent directement les entreprises. Deloitte rappelle d'abord que le format d'échange de données financières XBRL (Extensible Business Reporting Language) fêtera cette année son dixième anniversaire, et qu'il a une maturité telle qu'il devrait être largement déployé et rendu obligatoire par les principales grandes puissances économiques. Le cabinet appelle donc les entreprises à s'y préparer, car cela impactera non seulement leur système informatique, mais aussi les compétences en interne et les processus. Côté compétences, justement, Deloitte conseille aux grandes entreprises de se préoccuper de la formation des employés aux environnements mainframe. Dans un chapitre intitulé « Gérer les compétences lorsque l'héritage devient l'avenir », Deloitte explique que les mainframes continuent de très bien se porter. « Chaque jour en 2008, on s'attend à ce que les mainframes réalisent 30 milliards de transactions, représentant 70% des données d'entreprise dans le monde », écrit Deloitte. Et de noter que la base installée croît de 5% par an. Mieux, le marketing écologique, très tendance en ce moment, serait de leur côté : « la consommation d'énergie, mesurée en nombre de Watts par transaction, est plus faible que tout autre type de serveur ». En conséquence, il faut d'urgence former des administrateurs et des développeurs rompus à ces environnements. Et au besoin rappeler les anciens pour des emplois à temps partiel, préconise Deloitte. Pas de précipitation vers la virtualisation Deloitte cite encore la virtualisation comme une des grandes tendances de 2008. Toutefois, « alors que 2007 était caractérisé par une ruée pour tester ou déployer», Deloitte estime qu'un peu de prudence sera de mise cette année. Le cabinet appelle les entreprises à ne pas se précipiter, et à bien évaluer où la virtualisation peut leur être bénéfique, à la fois en termes de technologie mais aussi de coût. Sans cela, indique Deloitte, les clients risquent de mauvaises surprises lorsque les éditeurs leur présenteront la facture. De même, Deloitte prévient qu'il vaut mieux être sûr de pouvoir bien gérer un parc de serveurs virtualisés, en expliquant que ce n'est pas parce qu'ils sont virtuels que les serveurs n'existent pas. Autrement dit, il pourrait être simple, faute de processus d'administration suffisamment aguerris, de sombrer dans un chaos générateur de coûts inutiles. L'écologie et la sauvegarde de l'environnement font bien sûr aussi partie de ce Top 10 des tendances technologiques. Deloitte explique par exemple que 2008 pourrait être l'année où les diodes électro-luminescentes (LED) remplaceront les ampoules à incandescence classiques, qui présentent un faible ratio énergie consommée / lumière délivrée, et contiennent en outre du mercure. Deloitte note que dans la mesure où les LED font partie de la famille des semiconducteurs, elles devraient bénéficier de la loi de Moore, et voir leur prix de production divisé par deux tous les dix-huit mois. Les nanotechnologies, meilleures amies de l'environnement, selon Deloitte [[page]] Deloitte estime que 2008 pourrait aussi être l'année des nanotechnologies. Ou du moins l'année d'une meilleure compréhension si les fabricants se donnaient la peine de mieux informer le public, inquiet, note Deloitte, des risques de dissémination incontrôlée de nanoparticules, ou d'autres risques pour la santé. Or, précise Deloitte, les nanotechnologies peuvent être bénéfiques à l'environnement, lorsqu'elles sont employées pour purifier de l'eau, par exemple, ou pour remplacer les piles classiques par des batteries de longue durée. Développement durable toujours, Deloitte lance un appel aux fournisseurs de technologies face aux pénuries d'eau potable. Expliquant qu'il s'agit là d'un formidable défi - mais aussi d'une grande opportunité - Deloitte incite les industriels à trouver des moyens plus économes en énergie de désaliniser l'eau, et des moyens plus économes en eau de pratiquer l'agriculture. Deloitte s'intéresse aussi à l'internaute-consommateur, estimant que l'anonymat, naguère de règle sur Internet, devrait laisser de plus en plus la place à un environnement où chacun s'identifiera, pour une sécurité accrue. De même, un nouvel équilibre commercial devrait être trouvé pour la collecte d'informations personnelles par les sites gratuits. Enfin, l'explosion de la quantité de données créée et gérée par chacun va conduire, indique Deloitte à l'émergence de nouveaux services de protection et de récupération des données. Une opportunité, note le cabinet, pour les fabricants de PC aux marges déclinantes de proposer des services à valeur ajoutée. Green IT, réseaux sociaux et homme bionique en 2007 En 2007, le rapport de Deloitte (ou plus précisément, la branche Technology, Medias & Telecommunications de Deloitte Touche Tohmatsu) avait identifié : la prise de conscience écologique et la montée des solutions 'vertes' ; la progression d'interfaces utilisateurs recourant à la voix ou aux gestes ; la nécessité tant pour les entreprises que pour les particuliers de mettre en place des politiques de stockage en fonction du coût relatif des supports ; les déploiements de plus en plus fréquents de systèmes biométriques ; la prise de conscience chez les consommateurs que le gratuit n'est pas forcément le plus confortable ; la nécessité pour les industriels de se prémunir contre le vaste niveau de fraude à la TVA en Europe ; l'importance de se focaliser sur les besoins non comblés des consommateurs, les nouvelles technologies permettant tout et n'importe quoi ; l'attention à porter aux réseaux sociaux, afin de les rendre le plus rapidement possible générateurs de revenus ; le besoin de réduire la facture énergétique des appareils électroniques et de trouver des sources d'énergie alternatives ; et enfin le début d'un débat de société qui pourrait à terme déboucher sur « l'homme bionique ». (...)
(14/04/2008 11:48:15)Fujitsu surveille la température des salles serveurs par fibre optique
Pour refroidir efficacement une salle serveurs, il faut savoir précisément où se trouvent les sources de chaleur et de combien de degrés elles élèvent la température. Pour ce faire, Fujitsu vient de mettre au point un prototype d'outil de cartographie de salles serveurs. Le système utilise pour cela une fibre optique de 10 kilomètres circulant dans toute la salle serveurs et à l'intérieur des racks. Ce labyrinthe de fibre est relié à un appareil de mesure. Régulièrement, une impulsion lumineuse est envoyée au travers. Il suffit ensuite de mesurer l'intensité des impulsions lumineuses en provenance des différents points de relevé et leur temps de parcours pour obtenir une estimation précise de la température. Le prototype de Fujitsu est capable de relever simultanément la température à 10 000 endroits différents avec une précision supérieure à un mètre de distance, et de l'ordre du dixième de degré (de -10 ° à 300° C). (...)
(11/04/2008 17:37:07)SNW 2008 : le stockage doit passer au vert
D'après un sondage réalisé auprès des participants du salon Storage Networking World, qui se déroulait cette semaine à Orlando, 51% d'entre eux reconnaissent que la réduction des coûts est la raison numéro un qui les poussent à freiner leur consommation d'énergie. Ce que Mark Showers, DSI de Monsanto, résume simplement : « Pour une approche durable de la protection de l'environnement, il doit y avoir un incitatif financier. » L'accroissement de la consolidation de données et de la virtualisation répondent à cette nécessité, mais selon Hu Yoshida, directeur technique d'Hitachi Data Systems, ils ne suffisent pas face à la pénurie d'énergie qui menace : « Il y a des risques, nous manquons d'énergie. Il est probable que des coupures se produiront. » Notant que la plupart des systèmes n'utilisent que 20 à 30% de leur capacité de stockage, il recommande un meilleur usage des capacités de stockage actuelles avec des techniques comme le 'thin provisionning', une réservation plus fine des ressources. Le CTO de HDS recommande aussi un audit serré des données de l'entreprise, pour éliminer celles qui sont en double et mettre les plus anciennes sur des supports moins gourmands en énergie. En effet, une donnée vieille de plus de 60 jours n'a plus que 7% de chances d'être réutilisée, selon Hu Yoshida. A l'heure actuelle, d'après le cabinet d'études Gartner, seules 3% des entreprises ont réalisé un tel audit et savent exactement quelle est leur dépense énergétique. Pour celles-ci, Mark Showers a une solution assez simple : « Il y a plein de fruits un peu blets. vous n'avez pas besoin de connaître tous les détails. Si vous débrancher un appareil, vous consommerez moins d'énergie. » (...)
(10/04/2008 13:10:23)Sun présente deux serveurs autour de son UltraSparc T2 Plus
Sun présente ses deux premières machines équipées d'UltraSparc T2 Plus, successeur des T1 et T2. La force des Sparc Enterprise T5140 et T5240 réside dans leur capacité à traiter jusqu'à 128 séquences d'instructions simultanées (threads). Chacun compte deux octocoeurs et chaque coeur peut s'occuper de huit threads en parallèle. Sun devrait proposer des quadriprocesseurs avant l'été. Le constructeur californien parie sur l'équilibre entre la puissance, la consommation énergétique et l'encombrement. Les deux serveurs annoncés sont au format 1U et 2U et consomment moins de 700 watts. Depuis quelques temps, dans le monde des processeurs, chacun choisit sa voie pour éviter la surchauffe, la surconsommation et... le mur de la loi de Moore. Et Sun a opté pour une stabilité de la fréquence et l'utilisation de techniques pour augmenter la puissance sans voir exploser la consommation électrique. Sun promet « un serveur sur une puce » Les deux machines annoncées restent à 1,2 et 1,4 GHz et consomment entre 500 et 700 Watts. La puce UltraSparc T2 Plus se contente de 100 Watts pour une puissance plus que doublée par rapport au T2 pourtant mesuré à 80 Watts. « De nombreuses fonctions sont intégrées directement dans le processeur - deux ports 10Gbps, une connexion PCI Express, par exemple -, détaille Jean-Yves Migeon, responsable de l'offre serveurs chez Sun France. Cela évite d'ajouter ces éléments gourmands en électricité au niveau du serveur et d'augmenter ainsi la consommation globale de la machine. » Au moment de la présentation de la puce, nom de code Niagara 2, Sun parlait d'un serveur sur une puce. Sun destine principalement ses nouveaux modèles à la consolidation de serveurs x86 ou Itanium. Il s'appuie pour cela sur ses deux environnements de virtualisation. L'hyperviseur inscrit dans le firmware des puces permet de créer des domaines logiques (Ldom). Techniquement, il est possible d'en créer un par thread. Une démarche cependant difficilement exploitable dans la réalité, pour cause de dégradation de la performance. Exécuter 128 instances parallèles de Solaris par exemple paraîtrait plutôt déraisonnable... Bien entendu, Sun propose aussi ses containers dans Solaris 10 (théoriquement, jusqu'à 8 000) pour une virtualisation plus classique. Mais au delà de la consolidation, le constructeur annonce également d'excellents résultats pour les traitements transactionnels pour ces T5140 et T5240 avec des applications comme celles d'Oracle, de SAP ou Notes de Lotus. (...)
(09/04/2008 12:16:33)Impact 2008 : IBM repeint son SOA en vert
Qu'on se le dise, les architectures orientées services (SOA) peuvent aussi contribuer à lutter contre le réchauffement planétaire. En tout cas, c'est le discours qu'a tenu IBM, qui a placé la deuxième journée de sa conférence utilisateurs sur les SOA (Impact 2008, du 6 au 11 avril à Las Vegas) sous le signe du « Green ». Plusieurs responsables d'IBM ont rappelé les efforts entrepris sur ce thème depuis quelques temps, à commencer par le projet Big Green. Annoncé en mai dernier, Big Green formalise l'engagement de Big Blue de mettre ses datacenters au vert ; concrètement, il s'agit de doubler leur capacité en termes de puissance sans augmenter la consommation énergétique ni l'impact sur l'environnement. « Depuis, est intervenu Rich Lechner, vice-président Systèmes d'entreprise, nous avons aidé 2000 clients à faire de même. [.] Et il est important de noter que pour 1 dollar économisé en énergie, ce sont 6 à 8 dollars économisés sur les coûts opérationnels. » Websphere pour le côté 'green IT', la SOA pour le 'green computing' Dans ce contexte, les SOA auraient un rôle à jouer, tant pour ce qui est du 'Green IT' (en aidant à rendre le service informatique écologiquement correct) que du 'Green computing' (en fournissant les moyens applicatifs de mieux maîtriser son impact sur l'environnement). Côté 'Green IT', IBM met en avant l'édition Virtual Enterprise de Websphere (connu auparavant sous le nom XD, pour Extended Deployment) qui gère les ressources virtualisées, et permet donc une utilisation plus efficiente des serveurs.[[page]] Pour ce qui est du 'Green computing', IBM dit avoir utilisé ses offres de SOA et de BPM (gestion des processus métier) d'abord pour mettre au point des applications de supervision de l'impact environnemental de ses processus, puis pour optimiser certains d'entre eux. John Soyring, vice-président solutions et logiciels, et membre du bureau exécutif d'IBM pour l'énergie et l'environnement, a montré au public réuni dans la salle de spectacle du MGM Grand de Las Vegas des captures d'écran de la console de supervision. il a notamment affiché la consommation énergétique et le degré d'émission de gaz carbonique de chaque processus. Pour lui, il s'agit d'un préalable indispensable : « Si vous ne savez pas ce que consomme un processus, il est certain que votre comportement ne pourra pas changer. » John Soyring a expliqué ensuite comment IBM avait pu réduire sa facture énergétique de sa chaîne d'approvisionnement - mais aussi son efficacité opérationnelle. Un client d'IBM, petit producteur d'électricité du Delaware, a aussi expliqué comment la SOA lui avait permis de suivre en temps réel son activité, et d'ajuster au mieux sa production. Le public a enfin eu droit à l'avant-première du prochain spot télévisé de publicité d'IBM, consacré au 'green IT'. Grand symbole : la couleur y fait son apparition. (...)
(04/04/2008 15:43:44)Alliance entre l'agence américaine de protection de l'environnement et Climate Savers Computing Initiative
En parallèle de son opération pour la réduction de l'émission de carbone dans l'informatique, l'EPA (agence fédérale américaine de protection de l'environnement) a signé un partenariat de trois ans avec le consortium Climate Savers Computing Initiative autour de son label Energy Star. Selon les termes de ce partenariat, les spécifications Energy Star serviront de base pour les recommandations techniques de la Climate Savers Computing Initiative à ses membres. Ils devront acheter de nouveaux matériels compatibles avec les exigences du label, ou vont au-delà, et s'engagent à se doter de système de gestion de l'énergie. Pour le futur, les deux entités collaboreront techniquement. « L'EPA va mettre ses connaissances et ses outils de gestion de l'énergie à disposition des membres de Climate Savers Compunting. Elle offrira une assistance technique pour les implanter aux entreprises qui les téléchargeront ou rejoindront son programme de réduction d'émission de carbone (Low Carbone IT Campaign), » explique Barbara Grimes, porte-parole de Climate Savers Computing Initiative. « De leur côté, nos membres (Intel, Microsoft, Dell, etc.) collaboreront avec l'EPA pour définir les futures spécifications Energy Star. » Des campagnes communes pour promouvoir une informatique plus verte seront également annoncées dans quelques mois. (...)
(03/04/2008 18:19:02)Une piscine publique chauffée par des serveurs IBM
Les grands centres de données sont de véritables plaies pour l'environnement. Ce sont de gargantuesques consommateurs d'énergie. De plus, cette énergie est essentiellement transformée en une chaleur telle qu'il faut installer des systèmes de climatisation encore plus énergivores... Pour mettre fin à ce cercle vicieux, IBM vient de trouver une idée plutôt originale : tout simplement récupérer la chaleur perdue du centre de stockage d'un de ses clients pour chauffer une piscine publique ! Installé en Suisse dans un ancien bunker, le site de stockage sécurisé de la société de services Gib-services devrait générer l'équivalent de 2 800 Megawatts par an de chaleur perdue. Selon IBM, il serait théoriquement possible de récupérer jusqu'à 90% de la puissance électrique de départ. Largement suffisant pour réchauffer les Helvètes adeptes de natation. Mais surtout, l'opération éviterait ainsi 130 tonnes d'émissions carbone. (...)
(06/03/2008 16:45:26)Cebit 2008 : Les produits high-tech sous la férule de Greenpeace
Greenpeace a décidé de porter la bonne parole écolo au milieu des constructeurs informatiques installés au Cebit. L'organisation, en plein de coeur de l'événement informatique n°1 en Europe, a distribué des points, bons ou mauvais, dans un rapport intitulé « Searching for green electronics », et qui note la nature écologique de certains produits référencés au catalogue des plus influents du marché. Le résultat? Peu atteignent la moyenne de 5 sur 10. Mais dans un élan d'optimisme, Greenpeace présage qu'un « mieux » peut toujours arriver. Le rapport est ainsi censé représenté un instantané de quelques produits commercialisés entre août et novembre 2007. Les valeurs écologiques et respectueuses de l'environnement sont évaluées selon quatre critères : l'utilisation de produits toxiques, l'optimisation énergétique, la capacité de recyclage et le marketing dispensé par la société autour de sa politique verte. Un téléphone et un PDA de Sony-Ericsson (le T650i et le P1i) ainsi qu'un ordinateur portable de Sony (Vaio TZ11). Seuls ces trois produits obtiennent les notes les plus élevées du rapport - respectivement 5,30, 5,10 et 5,29. Les notes données aux autres téléphones portables (comme le Nokia N95) s'échelonnent de 3,6 à 4,4. Celles attribuées aux ordinateurs portables de 3,49 à 4,82 (pour le HP Compaq 2710p). Côté station de travail, Dell et HP, cote à cote, obtiennent un pénible 4,71 sur 10 avec un Optiplex 755 et un HP dc5750. Ne se hissant pas au delà de la moyenne Greenpeace. Les notes courent de 3,66 à 4,65. Sur son site Internet, l'organisation affirme avoir publié cette liste pour démontrer que « quelques sociétés parviennent à développer des produits qui ne nuisent pas à l'environnement et pour encourager les autres à faire de même ». Si cette opération « coup de poing », car réalisée au milieu des stands rutilants des constructeurs informatiques installés à la Messe, reste louable au regard de la somme de déchets que rejette l'industrie informatique, la méthode n'en est pas moins contestable. L'organisation a en effet reposé les résultats de sa liste sur les seuls spécifications soumises par les constructeurs. Soit sur une démarche volontaire des principaux intéressés. Au total, seuls 14 constructeurs ont exposé 37 produits aux tests de l'ONG. Dans son rapport, Greenpeace explique ainsi que parmi les « invités », beaucoup, comme le monde de la console de jeux, n'ont pas répondu ou trop tard. C'est le cas également de Microsoft, Acer, Apple, Asus, Creative, Nintendo, Palm et Sharp. Soit un pan important du marché, dont certains ont été épinglés par la même ONG dans son classement mensuel. Le rapport complet de Greenpeace (...)
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