Flux RSS
Technologies 'vertes'
272 documents trouvés, affichage des résultats 51 à 60.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(07/01/2010 12:22:00)
Nokia reste le meilleur élève de la classe verte de Greenpeace
A l'occasion du CES 2010, Greenpeace met à jour son rapport sur l'engagement Green IT des entreprises électroniques. Alors que certains régressent et que d'autres en font aucun effort, Nokia conserve confortablement sa première place dans le classement Greenpeace des entreprises éco-responsables. Avec une moyenne de 7,3/10, le Finlandais fait toutefois moins bien que lors du dernier classement paru en septembre dernier où il avait obtenu 7,5/10. Il a perdu des points sur sa politique énergétique, regrette l'ONG. Sony Ericsson passe de la 3ème à la 2ème place avec une moyenne de 6,9/10. La marque gagne des points pour l'élimination des produits toxiques mais peine encore à en gagner avec à sa politique de recyclage.Surprise de ce nouveau classement, Samsung passe de la 3ème place à la 5ème, ex-aequo avec Apple, LG Electronics, Sony et Motorola. Greenpeace sanctionne le Coréen pour son manque d'initiatives en matière d'élimination de produits néfastes pour l'environnement.
Du coup Toshiba remonte de la 5ème à la 3ème place récoltant les fruits de sa politique d'élimination des produits toxiques. La firme est toutefois attendue au tournant par l'association environnementale qui espère que d'ici avril prochain, elle aura notamment abandonné l'usage du PVC dans la fabrication de ses produits.
Depuis son entrée dans le classement l'an dernier, le fabricant de consoles Nintendo ne décolle pas de sa dernière place.
| Le classement écologique des marques high-tech | ||
| Rang | Marque | Note |
| 1 | Nokia | 7.5 |
| 2 | Sony Ericsson | 6.9 |
| 3 | Toshiba | 5.3 |
| 4 | Philips | 5.3 |
| 5 | Apple | 5.1 |
| 6 | LG Electronics | 5.1 |
| 7 | Sony | 5.1 |
| 8 | Motorola | 5.1 |
| 9 | Samsung | 5.1 |
| 10 | Panasonic | 4.9 |
| 11 | HP | 4.7 |
| 12 | Acer | 4.5 |
| 13 | Sharp | 4.5 |
| 14 | Dell | 3.9 |
| 15 | Fujitsu | 3.5 |
| 16 | Lenovo | 2.5 |
| 17 | Microsoft | 2.4 |
| 18 | Nintendo | 1.4 |
Participer au prochain Forum Green IT du Monde Informatique et de CIO
Lors de cette conférence, des experts, des décideurs IT et des représentants de leaders technologiques vous aideront à comprendre comment adopter une attitude éco-responsable. Un déchet est une perte, de l'énergie gaspillé se traduit par une facture plus lourde : une attitude éco-responsable induit donc des bénéfices financiers directs ainsi qu'une amélioration de l'image de l'entreprise. Parmi les thèmes qui seront développés lors de cette matinée citons : - « Green-IT » : comment adopter une attitude éco-responsable au sein de la DSI ? La DSI doit contribuer par sa propre attitude à l'éco-responsabilité de l'entreprise. Dans ses domaines d'intervention, notons : la gestion de parc informatique pour le rendre éco-compatible, l'optimisation de l'impression, la baisse de la facture énergétique, l'optimisation du parc applicatif... L'attitude éco-responsable est aussi financièrement rentable. - « IT for Green » : comment la DSI peut aider son entreprise/administration à adopter une attitude éco-responsable ? Grâce à l'informatique, une organisation peut réduire son empreinte carbone. Le point le plus évident est celui de la vidéo-conférence qui permet d'éliminer des déplacements. La gestion des obligations réglementaires supposent également des procédures et des outils adaptés. Suivez le lien pour vous inscrire. (...)
(04/12/2009 16:59:12)Bouygues Immobilier reçoit le 1er Grand prix de la croissance verte numérique
Bouygues Immobilier, Watteco, Alcatel-Lucent, l'Ecole des Mines de Nantes et Greenext sont les premiers récipiendaires des Prix de la croissance verte numérique, remis ce vendredi matin à Paris. Ce nouveau trophée a été imaginé et mis sur pied par Acidd (Association communication et information pour le développement durable), le Medef (Mouvement des entreprises de France) et la Fédération française des télécoms afin de distinguer les entreprises s'appuyant sur les NTIC pour oeuvrer à la fois dans le sens de l'écologie (réduction des gaz à effet de serre, diminution de la consommation de ressources naturelles, etc.) et dans celui des affaires. Comme l'a précisé sur la scène de l'amphithéâtre du Medef le maître de cérémonie Gilles Berhault, président d'Acidd, « il ne s'agit pas seulement de réduire l'empreinte carbone, mais aussi de proposer des produits, de créer de la valeur ». Sous le haut patronage de Michèle Pappalardo, commissaire générale au développement durable (qui dépend du ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du Territoire), se sont succédé les représentants des diverses organisations patronales et industrielles partenaires de l'événement : le président de Microsoft France Eric Boustouller en sa qualité de co-président du comité développement durable de Syntec Informatique, Gabrielle Gauthay, présidente d'Alliance TICS, Joël Karecki, vice-président de la Fédération des industries électrique, électronique et communication (Fieec), Marc Dufau, responsable du pôle environnement, énergies, transports d'Oseo, Yves Le Mouël, directeur général de la Fédération française des télécoms, Daniel Clément, directeur de la recherche de l'Ademe, Marie Nouvel, chargée de communication de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services (DGCIS), Henri Verdier, directeur de la prospective de l'Institut Télécom et président du pôle de compétitivité Cap Digital et Charles Beigbeder, président de la commission recherche, innovation et nouvelles technologies du Medef. Quatre prix, plus un « coup de coeur » Ce bel aréopage s'est assez maladroitement évertué à faire comprendre - à quelques jours de la réunion de Copenhague - que l'industrie et le gouvernement sont conscients des enjeux et font tout ce qui est en leur pouvoir pour y répondre. Il fut donc beaucoup question de futurs « capteurs intelligents », « réseaux intelligents » ou « smart grids », « transports intelligents »... Seul le bâtiment n'a pas eu l'heur de recevoir ce qualificatif d'intelligent ; il dut se contenter d'être « à énergie positive ». Heureusement, le jury, présidé par Claudie Haigneré (ex-spationaute, ex-ministre de la Recherche et des Technologies, aujourd'hui présidente de la Cité des sciences et de l'industrie de La Villette), a retenu, sur les 98 dossiers soumis, 11 cas franchement exemplaires de ce que l'alliance entre écologie, business et NTIC peut donner (autrement dit, du Green IT). Le Grand prix numérique et développement durable de cette première édition a ainsi été décerné à quelqu'un qui n'est pas un inconnu pour LeMondeInformatique.fr : Christian Grellier, directeur de l'organisation et des systèmes d'information de Bouygues Immobilier, nous avait déjà exposé son « Green IT Center », un datacenter pensé - et facturé par l'hébergeur - en fonction de sa consommation énergétique. Christian Grellier explique qu'un datacenter représente environ 25% de la consommation d'un bâtiment de bureaux. « Et cela montera à 50% avec les immeubles à énergie positive. » Pour réduire la facture, le DSIO de Bouygues Immobilier a choisi la solution du container, où deux rangées de machines (serveurs, alimentation, climatisation) forment un corridor fermé protégé par un toit et équipé de portes à chaque bout. Combiné à « un pilotage temps réel de la performance énergétique », Christian Grellier estime atteindre les 30% d'économies d'énergie. [[page]] Le prix PME de l'innovation numérique pour le développement durable est revenu à Watteco, qui a inventé des micromodules permettant d'échanger des informations entre appareils sur le réseau électrique. Cette utilisation intelligente du concept de courant porteur en ligne laisse entrevoir des possibilités étonnantes : avec des capteurs intégrés dans les appareils électriques, les prises ou les compteurs électriques, Watteco se fait fort de pouvoir indiquer en temps réel la consommation électrique tant au consommateur, pour qu'il adapte ses comportements, qu'au fournisseur, pour qu'il régule au mieux la distribution. La PME sortira d'ailleurs d'ici peu un « barowatt », baromètre de la consommation électrique destiné aux particuliers, qui a fait sensation parmi le public de l'événement. Le prix Entreprise du numérique et développement durable, qui visait à récompenser une démarche « éco-engagée », a été décerné à Alcatel-Lucent, pour son projet de stations de base mobiles alimentées par énergies alternatives (solaire, éolien...). L'équipementier offre ainsi aux opérateurs une solution pour déployer des antennes relais dans des zones jusqu'alors impossibles à couvrir, ou « de rénover leurs sites existants avec des solutions permettant de réduire leur impact environnemental ». Alcatel-Lucent estime qu'il s'agit d'un marché de plus de 100 000 stations à déployer d'ici à 2012, « permettant d'économiser environ 7 millions de tonnes de CO2 par rapport à l'utilisation de groupes électrogènes ou de réseaux électriques classiques ». Mais il s'agit aussi d'une opportunité de business conséquente : ces 100 000 stations représentent quelque « 3 à 5 milliards d'euros ». Le prix Enseignement supérieur et recherche est revenu à l'Ecole des Mines de Nantes, pour le projet Entropy, fruit des travaux de Fabien Hermenier, post-doc, et Jean-Marc Menaud, maître assistant. Le but du logiciel Entropy est de réduire l'empreinte énergétique d'un datacenter grâce à une manipulation très fine des machines virtuelles. La première étape est déjà franchie : il s'agit d'allouer au mieux les ressources, et cela réduirait déjà de moitié la consommation électrique des serveurs. Le logiciel est actuellement testé en ce sens chez Orange, chez Bull et à la Direction générale des finances publiques. Beaucoup plus originale, la seconde étape, en cours, consistera à déplacer les charges des serveurs en fonction de la carte thermique du datacenter, de façon à réduire au maximum les besoins en climatisation. Le jury, qui avait initialement prévu quatre prix, a tout de même décerné un cinquième prix, « coup de coeur », à une start-up qui a su concilier questions environnementales et outils informatiques pour créer un nouveau métier. Fondée en 2007, Greenext a en effet anticipé l'obligation qui sera faite aux industriels et distributeurs d'afficher l'impact environnemental des produits de consommation dès 2011 (loi Grenelle de juillet 2009). La start-up a mis au point à leur intention une méthode de calcul du coût carbone des produits, « en s'appuyant sur une base de données unique comprenant le profil carbone de 500 000 produits de consommation courante ». Il n'est pas sûr que la mention « équivalent CO2 » sur les paquets suscite davantage l'intérêt que celle de la quantité de glucides ou de lipides, mais c'est déjà un début. (...)
(04/12/2009 09:38:42)Nec EA222WMe : un écran LED vraiment très vert
Avec son EA222WMe, Nec se lance, comme Apple avec son dernier 24 pouces, dans la technologie LED et met en avant les qualités très écologiques de son produit. Tout d'abord, avec 250 cd/m², ce 22 pouce diffuse la même quantité de luminosité qu'un moniteur traditionnel, tout en réduisant sa consommation d'énergie de 52% pour rayonnement de chaleur 61% moindre. Cet écran est aussi plus léger de 25% et utilise 15% d'emballage - fait de matériaux recyclés, faut-il le préciser - en moins. Pas étonnant que cet écran arbore un Energy Star 5.0, un TCO 5.0 et un Epeat Gold. C'est même le moniteur le plus vert proposé par Nec à ce jour. Mais ce n'est pas tout. Le EA222WMe, permet même de mesurer son empreinte carbone, grâce à un outil unique intégré à l'écran, avec possibilité de remise à zéro. Enfin, il dispose d'une fonction présente depuis peu sur tous les téléviseurs de la marque, un compteur de coûts qui affiche la quantité d'électricité économisée ! A côté de cela, le Nec affiche en 1680 x 1050 natif pour 22 pouces et supporte l'image panoramique en 16:10 avec un rapport de contraste dynamique de 30.000:1. En matière de connectivité, le EA222WMe, qui repose sur un support ergonomique orientable, dispose de ports vga et dvi, et d'un connecteur usb. Il intègre enfin une batterie de haut-parleurs multimédia. Prix annoncé aux US : 340 $. Il est disponible depuis décembre. (...)
(19/11/2009 17:42:15)Grand emprunt : le rapport Rocard Juppé suggère 4 Mds d'euros pour le numérique
Le rapport de la commission sur l'emprunt national, remis ce jeudi 19 novembre par Michel Rocard et Alain Juppé au président de la République, prévoit d'investir 4 milliards d'euros dans la société numérique. La moitié de cette somme serait consacrée au déploiement du très haut débit sur le territoire, tandis que l'autre moitié serait employée pour développer les usages et les contenus numériques innovants. C'est l'un des sept axes d'investissement stratégiques retenus par la commission présidée par les deux anciens Premiers ministres. Le rapport « Investir pour l'avenir » préconise un investissement public d'un montant total de 35 milliards d'euros pour l'ensemble des sept domaines jugés prioritaires (décomposés en dix-sept actions, cf tableau ci-dessous) : l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation (16 Md€), le développement des PME innovantes (2 Md€), les sciences du vivant (2 Md€), les énergies décarbonées (3,5 Md€), la ville de demain (4,5 Md€), la mobilité du futur (3 Md€) et, donc, au septième rang, la société numérique (4 Md€). L'investissement total devrait atteindre 60 Md€, précise la commission, par effet de levier vis-à-vis des financements privés, locaux et européens. Une « Agence pour le numérique » pour co-financer des projets mixtes La commission propose de créer une « Agence pour le numérique » (une structure légère, précise-t-elle) qui pourrait co-investir dans l'économie numérique. Son intervention porterait, d'une part, sur le développement des infrastructures à très haut débit pour les zones les moins denses. D'autre part, elle favoriserait le financement de projets mixtes (public/privé) consacrés au développement de logiciels, d'usages et de contenus numériques dans plusieurs domaines : les réseaux intelligents (électriques et de transport), le télétravail, la télémédecine, l'e-santé, l'e-administration, l'e-éducation, l'e-justice, la numérisation des contenus culturels, etc. Au besoin, indique le rapport, « en s'appuyant sur le développement d'infrastructures partagées (cloud computing, supercalculateurs...) ». Le numérique présent dans tous les chantiers [[page]] Le numérique présent dans tous les chantiers Si les technologies de l'information et de la communication sont explicitement citées comme axe prioritaire d'avenir (arrivant au 3e rang en termes d'importance du montant à investir), elles sont également partie prenante, de façon directe ou indirecte, de tous les autres domaines d'action listés par le rapport. L'Afdel, Association française des éditeurs de logiciels, fait remarquer que « le logiciel est présent dans tous les chantiers identifiés par le grand emprunt ». Ainsi, les 10 Md€ qui doivent favoriser l'émergence de campus d'enseignement supérieur et de recherche d'excellence contribueront aussi à soutenir une industrie du logiciel « très consommatrice de R&D », rappelle l'Afdel, de nombreuses entreprises étant directement des spin-off de laboratoires universitaires. De la même façon, le rapport propose de consacrer 3,5 Md€ à la création de campus d'innovation de dimension mondiale et de valoriser les résultats de la recherche publique en synergie avec des partenaires privés. Le soutien à l'innovation se traduit aussi par des mesures visant à favoriser le développement des PME. Et au chapitre du développement durable, les actions concernant les villes de demain prévoient notamment de renforcer l'efficacité énergétique des bâtiments, domaine où les TIC sont également mises à l'oeuvre. En préface de leur rapport, les deux présidents de la commission soulignent qu'il y a « deux façons de mal préparer l'avenir : accumuler les dettes pour financer les dépenses courantes, mais aussi, et peut-être surtout, oublier d'investir dans les domaines moteurs », en précisant que les investissements proposés « doivent être au seul service des générations futures ». (...)
(19/11/2009 15:11:03)Vers une industrie de la téléphonie mobile plus verte
Les principaux acteurs de l'industrie de la téléphonie mobile, regroupés au sein de la GSMA, ont dévoilé mercredi 18 novembre un "Manifeste vert" dans lequel sont exposées les différentes manières de réduire les émissions CO2 de ce secteur. Objectif : réduire les émissions de gaz à effet de serre par connexion de 40% d'ici 2020. Développé en collaboration avec l'organisation The Climate Group, ce manifeste fixe, en amont de la Conférence de Copenhague (7 et 18 décembre), les grandes lignes d'un programme visant à réduire les émissions générées par l'industrie de la téléphonie mobile. Une croissance qui commence à avoir un impact sur l'environnement "Le nombre de connexions mobiles voué à augmenter de 70% avec 8 milliards de connexion d'ici 2020", explique la GSMA dans un communiqué. "En dépit de cette croissance, l'industrie mobile prévoit que, par ses activités, le total de ses émissions restera constant, à 245 mégatonnes de dioxyde de carbone (Mt CO2e) - équivalent à 0,5% des émissions totales dans le monde d'ici 2020". Pour réduire les émissions CO2 par connexion de 40% d'ici 2020, la GSMA compte par exemple travailler avec les fournisseurs de téléphones pour réduire la consommation des mobiles en mode veille, et les fournisseurs d'équipement pour réduire les émissions du cycle de vie des composants des équipements réseau de 40% d'ici 2020. Améliorer le protocole de Kyoto Ce manifeste invite par ailleurs les gouvernements à signer un nouvel engagement au protocole de Kyoto et à établir l'engagement à des cibles à long terme au niveau mondial, pour la réduction des émissions des gaz à effet de serre. "Avec la mise en place de politiques publiques adéquates, l'industrie mobile peut largement contribuer à lutter contre le réchauffement climatique en réduisant les émissions dans d'autres secteurs, de plus de 4,5 fois sa propre empreinte, équivalent à supprimer 1 voiture sur 3 sur les routes" a déclaré Rob Conway, Président du Conseil d'administration du GSMA. La GSMA, qui tient actuellement son congrès à Hong Kong, rassemble près de 800 opérateurs mobiles et plus de 200 sociétés de la téléphonie mobile (fabricants, équipementiers, sociétés Internet, etc.). (...)
(13/11/2009 15:52:56)1 heure au soleil pour téléphoner 10 minutes avec le Samsung E1107
Après LG, Samsung lance son mobile solaire, le E1107 "Crest Solar" disponible à 1 euro chez l'opérateur MVNO Simplicime. Doté de cellules photovoltaïques, cet appareil se recharge grâce à l'énergie solaire. Une heure d'exposition au soleil permet de passer 10 minutes d'appel selon le constructeur coréen. Ce Samsung "écolo" est également livré dans un emballage fabriqué à partir de matériaux respectueux de l'environnement et avec un chargeur économe en énergie. Commercialisation à partir du 25 novembre à 1 euro avec une gamme de forfaits (engagement sur 24 mois) , et à 49 euros avec une offre prépayée. (...)
(30/10/2009 17:43:33)Talents des Cités récompense une start-up de collecte de DEEE
Depuis 2002, le concours Talents des Cités soutient des créateurs d'entreprises dans l'ensemble des régions, à l'initiative du secrétariat d'Etat chargé de la politique de la ville et du Sénat. Cette année, le jury a notamment mis à l'honneur un projet de green IT conduit par un entrepreneur d'Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. En août 2008, Daouda Sanogo a créé Alliance & Co pour prendre en charge la collecte, le stockage et la gestion des rendez-vous pour les déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) des collectivités territoriales et des entreprises. Ce type de déchets concerne l'électroménager grand public mais aussi les ordinateurs et leurs périphériques. Son parcours a été distingué dans la catégorie 'création', ouverte aux porteurs de projets ayant mis sur pied une entreprise ou une association depuis moins de trois ans et installés dans les quartiers jugés prioritaires par la politique de la ville. Les candidats doivent être suivis par une structure d'appui à la création d'entreprise. Parrainé par GDF Suez, Alliance & Co a été suivi par la Maison de l'Entreprise et de l'Emploi. Lorsqu'il lance sa société avec son frère, le jeune patron (32 ans) a déjà engrangé une expérience d'une dizaine d'années dans l'environnement et la gestion des déchets. En 2001, il a fondé l'Apact (Association professionnelle des ambassadeurs et coordinateurs du tri) et constaté les freins au recyclage en l'absence de déchetterie. Il s'aperçoit aussi que les entreprises sont mal informées des obligations auxquelles elles sont soumises dans ce domaine. Doté par le concours d'une enveloppe de 3 000 euros, ce lauréat national de Talents des Cités 2009 prévoit de créer trois emplois l'an prochain. (...)
(29/10/2009 17:50:50)La bureautique au coeur de l'efficacité énergétique des bâtiments
Le GIE Enjeu Energie Positive a rendu public aujourd'hui son livre blanc sur l'optimisation de l'efficacité énergétique des bâtiments neufs du tertiaire. Conçu à partir des résultats des travaux des différents groupes de travail, ce document se veut un guide de l'efficacité énergétique des bâtiments pour les acteurs de la filière, les propriétaires et les utilisateurs ainsi que pour les prestataires de service et les exploitants. Le Groupement d'intérêt économique a été fondé il y a un an par Bouygues Immobilier afin de faire jouer les synergies entre différents acteurs concernés par cette thématique. Outre le fondateur, ce groupement compte au total 9 membres qui sont Lexmark, Philips (activité éclairage), Schneider Electric, Siemens, Sodexo, Steelcase (aménagement des bâtiments), Tandberg et les deux industriels qui le rejoignent aujourd'hui, Intel et Tenesol (expert en solutions photovoltaïques, filiale à 50/50 d'EDF Energies Nouvelles et de Total). Les TIC sont de plus en plus concernées par la consommation énergétique des futurs bâtiments, et ce à plusieurs titres. Le livre blanc du GIE le confirme. Pour commencer, la bureautique (postes de travail et imprimantes) comptera encore pour 21% de la consommation énergétique totale des bâtiments tertiaires 'basse consommation' contre seulement 15% dans les bâtiments construits actuellement (normes RT2000). Malgré de nombreux efforts d'optimisation, l'importance croissante des équipements bureautiques dans l'entreprise explique cette augmentation. A noter que les deux axes principaux d'amélioration de la consommation totale du bâtiment, avant les TIC, sont le chauffage, la ventilation et la climatisation (24%), ainsi que le restaurant d'entreprise (23%). Près de 9 DSI sur 10 ignorent la consommation énergétique de leur parc Le groupe de travail sur l'optimisation de la consommation énergétique de la bureautique a pu tester ses idées en réel. Bouygues Immobilier, moteur sur ce groupe, a en effet emménagé dans son nouveau siège social d'Issy-les-Moulineaux en septembre, un bâtiment à énergie positive appelé Galeo. L'ancien siège consommait 28 kWh/m2/an, contre 22 pour Galeo et seulement 12 pour Green Office que l'entreprise construit à Meudon. Selon les travaux du groupe, la bureautique pourrait passer de 30 kWh/m2/an, dans un bâtiment actuel, à 13 kWh/m2/an seulement dans une construction basse consommation. Il reste que près de 9 DSI sur 10 ignorent la consommation de leurs équipements, et que la plupart du temps, la facture électrique reste à la charge des services généraux. Le groupe a également identifié le besoin d'une synthèse des différentes pratiques de green IT qui visent à réduire l'empreinte carbone des TIC. Pour accélérer la prise de conscience sur le sujet, le GIE a mis au point un simulateur 3D de consommation appelé ConsoTIC (image) qui sera disponible gratuitement en ligne avant la fin de l'année. En fonction de divers éléments, dont la composition du parc et la surface du bâtiment, le calculateur établira un diagnostic et indiquera les éléments à améliorer. Il fournit un tableau des consommations électriques annuelles des équipements en kWh, en coût et équivalent carbone, ainsi qu'un comparatif entre la situation actuelle et la situation cible, ainsi que le ROI correspondant. Les TIC au coeur du sujet avec le contrôle et le pilotage de la consommation [[page]] Les TIC au coeur du sujet avec le contrôle et le pilotage de la consommation Mais les technologies de l'information sont aussi au coeur des dispositifs de surveillance de la consommation, de détection de présence, de gestion de l'éclairage, etc. Des capteurs récupèrent ce type d'informations pour les restituer à des systèmes d'analyse et de pilotage. Le livre blanc du GIE estime par exemple qu'une gestion fine de l'éclairage en fonction des lieux, de la lumière du jour, de la présence de personnes, etc. pourrait diviser par 10 la consommation actuelle liée à cette fonction. Elle passerait de 75 kwh/m2/an à 7,5. Une des conclusions du livre blanc établit d'ailleurs que les réseaux techniques et les réseaux informatiques doivent faire l'objet d'un rapprochement dans les bâtiments pour un meilleur suivi des indicateurs Outre son renforcement avec deux nouveaux acteurs (Intel et Tenesol), le GIE va étudier de nouveaux thèmes parmi lesquels la mobilité verte et la convergence des réseaux (technique et informatique). Enfin, Bouygues Immobilier a mis en place, en parallèle, une structure appelée RehaGreen qui étudie les mêmes sujets pour des bâtiments anciens. Dans les immeubles de bureau anciens, les démarches les plus simples à mettre en oeuvre pour réduire la consommation électrique concernent l'éclairage (remplacement des ampoules) mais justement aussi les TIC (réduction du nombre d'imprimantes, impression noir et blanc et recto-verso, mise en veille des PC, etc.) (...)
(23/10/2009 10:05:53)Dématérialisation et Green IT : Syntec Informatique dresse un 'bilan contrasté mais prometteur'
Comme prévu, Syntec Informatique vient de publier le premier volume d'un livre vert qui doit rassembler les recommandations de sa Commission développement durable en matière de Green IT. Consacré à la dématérialisation, ce premier volet sera suivi, au rythme d'un volume par trimestre, de neuf autres chapitres. Après avoir resitué les enjeux de la dématérialisation sous ses différents aspects (services, transactions, factures, administration, capital intellectuel...), ainsi que l'évolution de ce marché en plein essor, le document publié par Syntec Informatique aborde le constat écologique de la démarche, en dressant un « bilan contrasté, mais prometteur ». Certes, le document électronique contribue à réduire la consommation de papier et l'empreinte carbone qui lui est associée. Mais si elle n'est pas appréhendée de façon globale, relève le livre vert, « ses bénéfices peuvent aussi se traduire par une empreinte environnementale accrue et des tensions sociales liées à l'évolution des activités de l'entreprise ».
Des mesures volontaristes pour un projet Green IT
Faire de la dématérialisation un projet Green IT, procurant des gains durables, nécessite la mise en place de mesures volontaristes. Différentes pistes d'action sont proposées pour favoriser l'adoption du document électronique, tout en limitant l'impact environnemental du papier (pour les plus récalcitrants). Il convient aussi tenir compte des déchets d'équipements électriques et électroniques produits par les infrastructures informatiques (de 20 à 50 millions de tonnes par an) qui gèrent les données numérisées. Au passage, il est rappelé que l'un des bénéfices indirects de la dématérialisation est de permettre un suivi des produits développés par les entreprises, en particulier la remontée de données de sécurité sur les substances chimiques imposées par la directive européenne Reach (Registration, evaluation and authorization of chemicals).
Les impacts sur l'organisation de l'entreprise et sur son écosystème
Dans le domaine de la consommation énergétique, la dématérialisation permet de diminuer la quantité d'énergie nécessaire à la production de papier, tout en limitant les déplacements des individus et les émissions de gaz à effet de serre associées. Toutefois, il faut aussi contenir la facture énergétique liée à l'augmentation des données, en explorant diverses pistes : systèmes virtualisés, conception des bâtiments hébergeant les datacenters, audit énergétique des parcs informatiques...
Les impacts sur l'organisation de l'entreprise et sur son écosystème
La dématérialisation a par ailleurs un impact sur l'organisation de l'entreprise, ses métiers, ses compétences internes, ses outils de collaboration (mobilité accrue), ainsi que sur son écosystème (partenaires, clients), ce qui conduira à modifier de façon significative ses modes de fonctionnement. Il doit donc s'agir d'une démarche accompagnée dont « le bénéfice social » induit « doit être perceptible par les acteurs de l'entreprise », souligne le document de Syntec Informatique. Ses auteurs mettent en garde sur le fait que la dématérialisation « doit être abordée comme un projet d'entreprise et non comme un projet IT », sans oublier ses effets sur les différentes fonctions métiers impactées. Et si la dématérialisation encourage le partage d'information à distance, participant ainsi au désenclavement économique et social de zones géographiques reculées, il faut aussi prendre garde au risque de désocialisation qu'elle comporte.
Le document proposé par Syntec Informatique établit ensuite les différents retours sur investissement que l'on peut attendre de la dématérialisation (économique, environnemental, social et sociétal), ainsi que les risques (complexité des projets, sécurité des échanges...), opportunités et contraintes qui lui sont associés. Pour clore le sujet, les auteurs récapitulent les principes clés d'un projet Green IT et ses principaux indicateurs de suivi. Le deuxième volume du livre vert constitué par Syntec Informatique sur le Green IT et les effets positifs des TIC sur la société et l'environnement sera consacré au télétravail, à la télé-présence et aux communications unifiées.
(...)| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |