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(17/10/2008 09:57:52)
Bull et SAP allient leurs R&D autour du green IT
Bull associe sa R&D à celle de SAP pour une meilleure efficacité énergétique de leurs environnements (les infrastructures serveurs du premier avec les progiciels du second). « En toute logique, le matériel a été le premier concerné par le green IT, rappelle Bruno Pinna, directeur marketing de Bull. Et même si dans ce domaine, il reste encore beaucoup à faire, le logiciel est désormais lui-aussi concerné. » « La première dimension de cette initiative commune consistera à définir des outils de mesure pour optimiser le nombre de transactions SAP par Watt », détaille Bruno Pinna. Puis les deux Européens travailleront sur une optimisation de ces ratios. Ils pourraient faire en sorte que le progiciel prenne conscience de son propre impact énergétique. Une capacité qui permettrait par exemple d'exiger qu'un module applicatif ne consomme pas plus qu'une quantité prédéfinie d'énergie. Les équipes de R&D qui s'attèleront à ces tâches sont issues des centres de recherche de Paris et Grenoble pour Bull, et de Sophia Antipolis, Belfast, Karlsruhe et Palo Alto pour SAP. Les deux Européens ont prévu une première période de collaboration pour une durée de trois ans. Le Français explique par ailleurs que ce projet est une initiative ouverte que d'autres éditeurs pourront rejoindre. D'après Bull, l'un d'entre eux serait très près de sauter le pas. (...)
(16/10/2008 17:18:26)Stéphane Negre prend les commandes d'Intel France
C'est désormais officiel : Stéphane Negre a été nommé directeur général d'Intel France le 8 septembre dernier. Il succède à Jean-Marc Dubreuil qui a quitté les rangs de l'entreprise. Présent dans le groupe Intel depuis 1990, le nouveau responsable de la filiale française était jusqu'ici directeur Europe des solutions logicielles. Un poste qui lui conférait la responsabilité des partenariats avec les ISV et les principaux intégrateurs de systèmes et SSII européens (...)
(16/10/2008 16:59:22)Riposte graduée : L'UFC Que Choisir se tourne à son tour vers la Commission européenne
La décision du gouvernement d'inscrire le projet de loi Création et Internet sur l'agenda du Sénat - la Chambre haute devant examiner le texte le 29 octobre - suscite la colère de l'UFC Que Choisir. L'association de consommateurs fustige ainsi la volonté du pouvoir exécutif d'imposer la riposte graduée, alors que les eurodéputés se sont prononcés contre son principe. « Non seulement liberticide, techniquement irréalisable, économiquement contre-productive, la riposte graduée est donc également contraire au droit communautaire », précise Que Choisir. Le texte français contraire au droit européen ? L'association s'est donc fendue d'une missive adressée à José Manuel Barroso, dans laquelle elle l'encourage à intervenir pour rendre impossible le vote, par les institutions françaises, de la loi Création et Internet. Pour cela, l'UFC s'appuie sur une directive européenne disposant qu'un Etat membre doit reporter l'adoption d'un texte si celui-ci fait l'objet d'un projet de norme européenne. Par ailleurs, le patron de l'exécutif européen doit, avec les membres de la Commission, se prononcer le 23 octobre sur la compatibilité au droit communautaire de la riposte graduée à la française. L'UFC profite de sa lettre pour encourager José Manuel Barroso à « inviter la France à privilégier à la logique du 'tout répressif du projet de loi', le juste équilibre entre rémunération des artistes et intérêt des consommateurs promu par l'Union européenne. » (...)
(16/10/2008 16:57:27)Etude Mobicadres 2008 : les décideurs informatiques sont professionnellement peu mobiles
Les décideurs des directions des systèmes d'information (DSI) font partie des populations les plus sédentaires. Tel est l'un des enseignements de l'étude 2008 MobiCadres sur la mobilité professionnelle des cadres présentée aujourd'hui, jeudi 16 octobre, par le cabinet de conseil Oasys Consultants, filiale de Demos. Les résultats montrent en effet que chez les DSI seulement 20% des cadres supérieurs ont été mobiles en 2008. Sur ces 20%, 54% ont évolué en interne, et 46% ont pu profiter d'une d'un changement de poste en externe. Si l'on prend en compte l'ensemble du secteur des technologies, le taux de mobilité des décideurs a toutefois augmenté : gagnant 11 points par rapport à l'édition précédente, il est passé de 25,5% en 2007 à 36,7%, cette année. Déception des DSI par rapport à leur fonction actuelle Si globalement les décideurs (mobiles ou non) font un bilan positif de leur poste actuel, les DSI restent les grands déçus de cette question, avec une note de satisfaction de 12,7 sur 20 et seulement 17% d'opinions très positives. Plus de 20% des DSI estiment même que leur carrière est moins réussie que ce qu'ils en attendaient. « Dans l'informatique, les décideurs sont moins enclins à bouger, car ils peinent à entrer dans une logique qui leur permettrait d'augmenter leur employabilité, signale Eric Darras, directeur des formations informatiques chez Demos. Des outils d'accompagnement, comme les bilans de compétences ou des conseils RH, les aideraient à évoluer en élargissant leurs domaines de compétences. Mais dans l'informatique, ce type d'outils est utilisé de façon très marginale. » (...)
(16/10/2008 16:47:47)Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée
Pour les 900 clients de SAP qui viennent de se réunir à Tours (15-16 octobre), la convention annuelle de l'USF (utilisateurs de SAP francophones) a abordé deux sujets majeurs : l'intégration de l'éditeur Business Objects au catalogue de SAP et la hausse du tarif des contrats de maintenance. Suite à la nervosité des clients de SAP sur la décision récente de l'éditeur de majorer le coût de son support, le Sugen, qui réunit la plupart des clubs SAP à travers le monde, a lancé en septembre une enquête pour sonder les utilisateurs sur cette évolution. Toutefois, les résultats, encore en cours de consolidation, ne seront communiqués par les clubs nationaux que début novembre. L'offre BW sera maintenue au moins quinze ans Lors de son intervention, Pascal Rialland, DG de la filiale française de SAP, a préféré longuement détailler le rachat de Business Objects, peu conflictuel, et ne consacrer que quelques minutes au sujet plus délicat de la maintenance. La fusion juridique entre BO et SAP a eu lieu en février 2008. SAP a rapidement voulu rassurer ses clients sur l'avenir de son propre module décisionnel BW et sur le futur de son offre en matière de décisionnel. La business intelligence sera clairement développée désormais uniquement sur BO, qui gardera sa transversalité et sa capacité à se connecter à des produits non-SAP, mais BW sera maintenu au moins quinze ans, permettant ainsi une migration en douceur au fil des besoins métier réels. Beaucoup de clients estiment ne pas utiliser à fond la maintenance standard [[page]] La disparition, le premier janvier prochain, de l'offre de maintenance dite « standard » à 17% du coût initial des licences et son remplacement d'office par une offre à 22%, dite « enterprise support », passe plus difficilement. Même si Pascal Rialland a voulu démontrer à quel point la mariée était belle : des conseillers accessibles en permanence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, une prise en charge sous une heure avec un premier correctif sous quatre heures en cas de besoin, un engagement de niveau de service pour la solution SAP installée... Sans préjuger des futurs résultats de l'étude du Sugen, beaucoup de clients disent déjà ne pas utiliser tout ce que leur apporte l'offre « standard ». Ils estiment donc que l'augmentation de services est inutile pour eux et qu'elle génère un surcoût important. Devant la presse, le DG de SAP France a voulu se justifier davantage en mentionnant que certains clients, visiblement inconscients, ne voulaient pas couvrir convenablement par une maintenance de bon niveau leur installation SAP alors même que celle-ci était critique pour leur activité, obligeant (moralement ?) SAP à délivrer un service non-payé en cas de crash. Les mesures d'économie de SAP sans impact sur les clients, assure Léo Apotheker [[page]] En fin d'après-midi de cette première journée, Léo Apotheker, co-PDG de SAP, a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur pour apaiser les tensions Leo Apotheker a su avoir recours à la magie d'un verbe séducteur en fin de première journée pour apaiser les tensions sans vraiment apporter d'information nouvelle. Il a beaucoup insisté sur l'absence d'impact pour les clients de SAP des mesures d'économies décidées au sein de l'éditeur (dont des mesures sur l'emploi) et sur la solidité de l'entreprise. Rendant également un hommage appuyé à « l'écosystème SAP », Léo Apotheker a défini le réseau de partenaires de l'éditeur comme une des raisons de son succès. Après tout, il est vrai que, dans un écosystème, il y en a qui mangent et d'autres qui sont mangés, surtout si leur activité de maintenance est assurée par un éditeur en mal de prestations complémentaires pour justifier ses augmentations de tarif. « L'ancienne maintenance ne correspondait plus à notre monde » A propos de la nouvelle maintenance, Léo Apotheker a souligné qu'elle proposait une couverture globale de la « plate-forme » SAP, y compris les applicatifs non réalisés par SAP (notamment les personnalisations). « L'ancienne maintenance, celle de l'époque de R/3, ne correspondait plus à notre monde où la flexibilité et la complexité sont la règle » a-t-il indiqué. Et la nouvelle maintenance comprendra un outil qui tracera les impacts des patchs afin de ne pas obliger à des tests de non-régression complets à chaque évolution ou correction mineures. Mais cette approche « un seul service pour tout le monde » fait beaucoup grincer des dents parmi les utilisateurs et les dirigeants de l'USF ne se cachent pas de leur souhait d'un retour de l'éditeur à une variété dans son offre de maintenance, pour s'adapter aux besoins de chaque client. (...)
(16/10/2008 16:10:26)Safran acquiert la biométrie de Motorola
Safran, équipementier aéronautique et télécom français, achète à l'Américain Motorola son activité biométrie. Cette opération, dont le montant n'a pas été communiqué, vient renforcer sa filiale Sagem Sécurité, spécialiste de ce domaine, qui en profite aussi pour accroître sa visibilité aux Etats-Unis. L'activité biométrie de Motorola compte 250 salariés, basés pour la plupart en Californie. Quant à Motorola, il se focalise désormais exclusivement sur les télécoms et parie beaucoup sur la plateforme Androïd de Google. (...)
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