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(15/10/2008 08:07:53)
Google et le Cigref partenaires pour étudier le Saas et le 'cloud computing'
Google a signé une charte de collaboration avec le Cigref (Club informatique des grandes entreprises françaises), comme Microsoft, IBM et Oracle l'ont fait avant lui. Le premier objet de cette collaboration sera de travailler autour des concepts chers à Google tels que le SaaS (Software as a service) et le 'Cloud Computing' afin de mieux définir les sources de création de valeur pour les entreprises utilisatrices confrontées à ces offres de services applicatifs disponibles en ligne et à la demande. Le partenariat vise également, comme pour chaque charte similaire signée par le Cigref, à mieux définir les feuilles de route de produits et services, la politique de licences, l'organisation commerciale du prestataire, etc. Même la communication officielle autour de cette charte reconnaît la nécessité pour Google de mieux comprendre le monde des grandes entreprises représentées par le Cigref. Comme disait Didier Lambert, président sortant du Cigref lors de la dernière Assemblée générale de l'association, « il faut apprendre aux entreprises ce qu'est Google et à à Google ce qu'est une entreprise ». Bruno Ménard, ancien administrateur et nouveau président du Cigref, a repris pratiquement les mêmes mots dans la communication autour de cette charte. (...)
(15/10/2008 12:20:29)Un premier quadriprocesseurs Ultrasparc T2+ pour Sun
Sun et Fujitsu annoncent la disponibilité de leur premier serveur quadriprocesseur à base d'UltraSparcT2+. Livrés avec Solaris 10, ces serveurs Sparc Enterprise T5440 au format 4U embarquent de un à quatre exemplaires de cette puce "Niagara" de deuxième génération. Très économe en raison de sa basse fréquence d'horloge (1,2 à 1,4 GHz), elle se caractérise par la présence de 8 coeurs (avec FPU) qui acceptent, chacun, 8 threads (séquences d'instructions). En configuration complète, un T5440 peut traiter 256 threads. Cette architecture convient parfaitement, selon Jean-Yves Migeon, responsable marketing systèmes d'entreprise chez Sun France, pour servir un nombre important d'utilisateurs. Ils joueront ainsi facilement le rôle de serveur transactionnel ou de frontal web. Sun met en avant les résultats obtenus dans un banc d'essai réalisé avec une application de vente et distribution SAP. Assez laconiques, les résultats publiés par l'éditeur font tout de même ressortir l'intéressant rapport prix/performances des T5440 par rapport aux gammes Unix d'HP et d'IBM. L'architecture des T5440 la destine aussi à un rôle de consolidation. La gestion de partitions L-DOM sous Solaris 10 permet de faire tourner plusieurs instances indépendantes sous Solaris 8 ou 9. Ces partitions L-DOM permettent à la base installée de Sun de faire migrer ses applications en conservant la même version de Solaris. Sun présente aussi les T5440 comme des serveurs capables de consolider des dizaines de serveurs X64. Une base installée UltrasparcT de 2000 systèmes [[page]]Jean-Yves Migeon, revendique la vente de 2000 systèmes à base de processeurs UltraSparcT au cours de l'année fiscale close en juin dernier et vise une augmentation de 200% pour cet exercice. Sun France annonce d'ailleurs une remise de 40% sur les tarifs des T5440 pour toutes les migrations de parcs existants, qu'il s'agisse de machines Sun, HP ou IBM. Ces serveurs arrivent au moment où le cours de l'action est au plus bas de son histoire. Il y a un an, Sun avait consolidé quatre actions pour une, propulsant le cours à une vingtaine de dollars. Depuis, la valeur du titre a été divisée par quatre, revenant dans la zone de 5 dollars (soit à moins de 1,5 dollar si l'on se place avant la consolidation). Par rapport à son plus haut en 2000, Sun a perdu 98% de sa valeur. (...)
(15/10/2008 08:27:41)Sogeti ouvre un centre industriel autour des technologies Microsoft
Sogeti, SSII française filiale de Capgemini, ouvrira aujourd'hui mercredi 15 octobre un centre de développement et de maintenance applicative à Villeurbanne (Rhône-Alpes). Il s'agit d'un centre de production, de R&D, de formation (e-learning) et de services (support, hébergement...) tourné vers les technologies Microsoft (.Net, C#, VB.Net, VB, SQL Server ou MOSS -Office SharePoint Server). Sogeti mènera conjointement avec Microsoft des missions de maquettage (Proof of concept). Déjà certifié ISO 9001 et CMMI niveau 3, Sogeti vise désormais le niveau 3 de eSCM (eSourcing Capability Model), ainsi que la certification ISO 20000. La SSII souhaite certifier 50 experts en 2009 et doubler cet effectif d'ici fin 2010. Ce centre est en connexion directe avec celui de Mumbai, en Inde, où Sogeti compte 600 collaborateurs. (...)
(15/10/2008 12:18:37)Netfective mise sur UML pour augmenter la productivité des développements
UML est-il l'avenir des programmeurs et du développement ? Pour Christian Champagne, PDG de Netfective, cela ne fait pas de doute. L'éditeur français, spécialiste du MDA/MDD (architecture et développement guidés par les modèles), persiste à ne vouloir apprendre aux maîtrises d'ouvrage et aux développeurs qu'un seul langage, UML (Unified modeling language), dévolu à la modélisation des applications. Alors que sort la version 2009 de Blu Age, son atelier de modélisation, Christian Champagne se dit presque victime de son succès : « Quand nous allons chez un client, on n'en sort plus. J'aurais plus de collaborateurs, je ferais davantage de business. » Le code exécutable généré en fonction de la plateforme L'approche MDA/MDD est restée relativement confidentielle jusqu'à présent. Elle consiste en résumé à formaliser en UML les applications, et à en faire découler des modèles logiques indépendants de la plateforme (PIM, platform independent model) puis des modèles exécutables, liés à la plateforme technique (PSM, platform specific model). Ainsi, les plateformes d'exécution telles que les serveurs d'applications peuvent évoluer sans que cela n'impacte le développement, puisque, en théorie, il suffit de regénérer l'application depuis le modèle. L'approche MDA est utilisée par certaines entreprises en pointe sur les notions de découplage entre les modèles et la technologie, comme SMABTP, et préconisée par des acteurs de taille relativement modeste, comme Objecteering Software, Mia Software, Obeo ou Omondo (bien qu'ayant racheté Telelogic, un spécialiste du sujet, IBM n'a pas encore clairement pris position). La plupart du temps, l'approche MDA est préconisée pour la modernisation des applications : la logique métier des vieilles applications est modélisée dans l'outil, puis générée sous forme de code Java ou .Net. UML comme outil de dialogue entre MOA et MOE [[page]] Pour ses thuriféraires, le MDA permet d'énormes gains de productivité. Christian Champagne explique ainsi que « si vous comparez un développeur Java et un modeleur Blu Age, à la fin de l'année, avec les mêmes spécifications, il y en a un qui aura fait trois fois plus que l'autre ». Et de raconter une anecdote : « Une entreprise qui ne nous aimait pas a procédé à une évaluation, et a conclu à un gain de productivité de 30%. » Pour le PDG de Netfective, UML a en outre l'avantage de constituer une voie d'avenir pour les informaticiens à reconvertir. « Les entreprises manquent de développeurs Java, explique Christian Champagne. Doivent-elles former les développeurs Cobol à Java ? Notre réponse est plutôt de les former à UML, sachant qu'ils connaissent bien le patrimoine applicatif et qu'ils ont été formés à Merise. » Pour le patron de Netfective, même les fonctionnels peuvent être formés à UML, de façon à ce que ce dernier serve de langage commun. « C'est comme Excel, dit-il. Un peu barbant la première fois, mais on finit par s'y mettre, car ça apporte de la valeur. » Autre avantage de cet outil commun par les maîtrises d'ouvrage, « s'il y a une bêtise, ce sera de leur responsabilité... » (...)
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