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(06/07/2010 11:12:38)

L'opérateur VoIP Telecom Object ajoute du TDM à son catalogue

«Il existe toujours des freins à l'adoption de la VoIP par les entreprises. Elles peuvent ne pas être éligibles au très haut débit, ne pas disposer d'une infrastructure capable de migrer vers l'IP, ou être tout simplement réfractaires au changement.» Partant de ce constat exposé par Fabrice Pronnier, son co-fondateur et directeur commercial, l'opérateur VoIP Telecom Object a élargit son catalogue pour proposer aussi une offre de téléphonie traditionnelle. Elle est commercialisée sous la marque IRIDIS, du nom d'un opérateur lyonnais racheté par l'entreprise en 2008. 

Les partenaires de Telecom Object qui sont à l'origine de 100% de ses revenus, peuvent proposer ses nouveaux services sous deux formes : Une offre en présélection et une offre d'abonnement complète que l'opérateur délivre en achetant des abonnements en gros à Orange. Comme dans le cadre de la revente des offres VoIP de Telecom Object, les membres de son réseau de distribution peuvent agir en tant qu'apporteurs d'affaires (leurs commissions représente 7 à 12% des factures mensuelles des clients) ou en tant que revendeurs en marque blanche. « Dans ce dernier cas, nos partenaires souscrivent à nos services à un prix préférentiel. Ils peuvent ensuite les revendre en leur nom en fixant eux-mêmes leurs tarifs », expliquent Fabrice Pronnier. 

(...)

(06/07/2010 11:12:51)

La redevance sur les PC remis au goût du jour

L'idée de taxer les ordinateurs de la redevance audiovisuelle n'est pas neuve. En janvier 2009, le Sénat avait adopté, contre l'avis du gouvernement, un amendement qui étend la taxe des téléviseurs aux ordinateurs capables de recevoir les programmes des chaînes TV. Toutefois, cette extension n'a jamais été validée en commission mixte paritaire. Selon le quotidien, un rapport remis le 30 juin dernier par les sénateurs Claude Belot et Catherine Morin-Desailly préconise de considérer les ordinateurs individuels comme des postes de télévision, et donc de les soumettre à la redevance audiovisuelle.

Les deux rapporteurs estiment que les personnes possédant un ordinateur pour recevoir la télévision, mains ne possédant pas de téléviseur dans leur foyer, doivent être soumises à cette taxe. Même si les revenus tirés de cette extension s'avèrent minimes (15 millions d'euros par an), ils considèrent « que le message envoyé aux propriétaires d'un terminal leur permettant de recevoir la télévision qui ne paient pas la contribution à l'audiovisuel public est néfaste ».

La volonté d'élargir la redevance aux ordinateurs s'appuie également sur la multiplication des services de catch-up TV, accessibles sur Internet, et qui permettent de profiter de certains programmes des chaînes sur son ordinateur. Le montant annuel de la redevance audiovisuelle s'élève à 121 euros par an. Le rapport préconise également de soumettre les résidences secondaires à la redevance, ce qui permettrait d'engranger 200 millions d'euros supplémentaires pour l'audiovisuel public.

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(06/07/2010 11:12:34)

Les 2500 zones blanches 3G bientôt couvertes

(Source EuroTMT) Selon nos informations, les trois opérateurs mobiles seraient parvenus à un accord sur les modalités de mise en oeuvre de l'accord de "Ran Sharing" (partage de réseau d'accès radioélectrique), conclu en début d'année sous l'égide de l'Arcep (Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes). 

Cet accord de partage d'infrastructures doit permettre d'équiper les zones blanches en 3G pour aboutir en 2013 à une couverture 3G nationale équivalente à celle de la couverture GSM. Orange, SFR et Bouygues Télécom ont donc convenu de se partager en trois tiers les 2500 sites à équiper. Selon un fournisseur de solutions réseau, chaque opérateur choisissant son équipementier, les appels d'offres devraient être finalisés avant les vacances estivales pour permettre aux premiers tests d'être réalisés avant la fin de l'année. 

Illustration (D.R.)
(...)

(05/07/2010 18:18:14)

L'Inria se dote d'un laboratoire haute sécurité

Tout le monde parle de la sécurité informatique, mais ils sont peu à réaliser des recherches sur ce domaine. L'Inria (Institut National de la Recherche en Informatique et en Automatique) a inauguré son Laboratoire Haute Sécurité (LHS) au sein de son centre Nancy-Grand Est.

Placé dans un environnement fermé avec un réseau Internet isolé et des locaux protégés accessibles par reconnaissance biométrique, le laboratoire offre un cadre technologique et réglementaire fiable pour mener des expérimentations et manipulations à caractères sensibles. Il est conçu pour garantir la sécurité des données, des expérimentations et des équipements analysés.  Concrètement, 3 locaux sont mis à dispositions des chercheurs. En premier lieu, une salle de travail. Ensuite, un espace de cluster qui comprend 3 éléments. Un télescope virtuel recueillant des codes malveillants, des traces d'attaques. Il permet aussi l'expérimentation de sondes sur l'Internet.  Un réseau fermé dit « éprouvette » permet de mener des expériences sensibles comme l'analyse de ces codes sans risque de contamination. Enfin, une unité de production distribue les outils développés au sein du LHS : anti-virus, outils d'analyses...

Une dernière salle, dite « rouge », non connectée au réseau, concerne le traitement d'informations et de données très sensibles. Cette espace permet d'accueillir les équipements ou matériels à étudier en toute confidentialité dans le cadre de partenariats avec les industriels.

Les axes de travail sont aussi au nombre de 3 : la virologie (reconnaître les virus de demain), la supervision des réseaux (analyse et sécuriser les échanges) et la détection. Le LHS a bénéficié des financements du FEDER, de la Région Lorraine, de la Communauté urbaine du Grand Nancy et du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche via la Délégation Régionale à la Recherche et à la Technologie. Les recherches entreprises sont menées en partenariat avec les universités lorraines, le CNRS et la Délégation Générale à l'Armement.

 

Crédit Photo: INRIA / Photo Kaksonen

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(05/07/2010 17:59:37)

France Telecom détaille son programme de re-conquêtes 2015

Après le traitement de cheval à la mode Thierry Breton, la mise au pas du marketing et des ingénieurs à la sauce Didier Lombard, on attendait beaucoup de la vision de Stéphane Richard, directeur général de France Télécom. L'opérateur historique a été secoué à l'automne dernier par plusieurs suicides qui ont chamboulé l'organigramme de la société, avec la mise au placard de Didier Lombard et le départ de Louis Pierre Wenes et a entraîné une réflexion sur le projet d'entreprise. Fort de ces discussions avec les salariés, Stéphane Richard a donc dévoilé son plan, baptisé « Conquêtes 2015 », même si le dirigeant a plusieurs fois parlé de reconquêtes. Elles sont au nombre de quatre.

Un contrat social à 900 millions d'euros


En tête de ce plan, « il faut remettre l'humain au coeur de France Telecom » a martelé le responsable de l'opérateur historique. Cela passe par plusieurs éléments. En premier lieu, le recrutement de 10.000 salariés d'ici 3 ans (3500 devraient être finalisés en 2010). Orange va subir d'ici 2018 un choc démographique avec le départ à la retraite de près de la moitié des salariés. Aujourd'hui, l'âge moyen des salariés est de 47 ans a rappelé Stéphane Richard. Pour transformer les relations sociales, la direction de France Telecom a lancé un grand plan de rénovation du SI, « cela semble une évidence, mais l'amélioration des expériences utilisateurs à travers des applications plus adaptées est importante » souligne le directeur général. Les managers du groupe vont également bénéficier de la mise en place de formation interne à travers les Orange Campus, dont le premier ouvrira à Montrouge en janvier 2011 (plusieurs ouvertures sont prévues en France et dans le monde).

 

Crédit Photo: France Telecom


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L'opérateur souhaite aussi lancer des grandes causes pour fédérer les salariés autour d'un projet. Cela sera le cas pour le recyclage des mobiles, où la moitié des 30 millions de terminaux vendus chez Orange devront être recyclés d'ici 2015. Au total, l'intégration de ce nouveau contrat social est estimée à 900 millions d'euros.

Les réseaux, la redécouverte d'une pépite


Un temps délaissé au profit des contenus, Stéphane Richard a placé en deuxième position, les réseaux. « Il n'y a pas de révolution technologique sans les réseaux » a-t'il martelé et d'ajouter « les opérateurs ne sont pas à la périphérie et un frein au développement du numérique, mais nous sommes au coeur et les moteurs de cette transformation ». France Telecom va donc investir dans les réseaux. Sur la fibre optique, l'investissement sera de l'ordre de 2 milliards d'euros et l'objectif de couverture est de 40% de la population en 2012 avec une présence dans toutes les régions et dans tous les départements en 2015.

Sur le haut débit mobile, le dirigeant se déclare techniquement prêt à travers son expérimentation du LTE (Long Term Evolution) dans la banlieue parisienne. Il attend un cadre réglementaire clair pour se lancer. Le cloud computing et les datacenters sont également un enjeu industriel pour l'opérateur historique. « Des investissements seront réalisés en France et en Europe dans ce domaine, car les entreprises insistent sur cette présence territoriale » explique le dirigeant sans pour autant fixer le montant de cet investissement.

Un service client adapté et une expansion internationale


3ème étage du plan « Conquêtes 2015 », la relation client va être toilettée et subir quelques ruptures avec le passé. Ainsi, il va y avoir une réduction des offres pour simplifier le catalogue de l'opérateur.

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Stéphane Richard est également partie à l'assaut des offres illimitées sur smartphones, qu'il a qualifié de modèle tarifaire « rustique » et d'ajouter « il faut mettre en place un plan tarifaire pour garantir la qualité de service et rétablir une forme de logique économique sur une ressource rare, le spectre ».

Autre rupture, la présence de France Telecom dans le monde des contenus va être réorientée vers des partenariats sous de multiples formes, donc l'opérateur ne sera plus tout seul dans l'aventure. Il recherche ainsi un partenaire audiovisuel pour ses chaînes de télévisions, Orange Sport et Cinéma Séries. Ces deux offres ont cumulé 800 000 abonnés sur une base installée de 2,7 millions d'abonnés. Le directeur général a jugé que ces offres n'avaient pas permis le recrutement de nouveaux abonnés et l'incertitude juridique autour du modèle d'exclusivité ajoute à la volonté de réorienter sa stratégie des contenus.

Le service client va également évoluer vers un « coaching du numérique » pour accompagner les abonnés vers ces évolutions technologiques. Cette orientation ne sera pas uniquement propre à la France, mais le groupe entend le développer au niveau international. L'objectif est le recrutement de 100 millions d'abonnés d'ici 2015 sur l'ensemble des territoires couverts par France Telecom, soit 300 millions de clients ou « 5% de l'humanité » souligne en toute modestie Stéphane Richard.

Ce dernier doit maintenant expliquer et convaincre les salariés de l'opérateur historique sur son plan qui à la différence de ses prédécesseurs est sur 5 ans et non sur 3 ans. « Je ne changerais pas l'entreprise en 12 ou 18 mois, cela prendra du temps » a-t'il avertit. Rendez-vous est pris à la rentrée pour une journée avec les investisseurs et les analystes pour leur soumettre une évaluation comptable de « Conquêtes 2015 ».

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(05/07/2010 17:54:08)

Réforme de l'Etat, François Baroin promeut une logique de services

Le 5 juillet 2010, la DGME (Direction Générale à la Modernisation de l'Etat) a réuni la presse ainsi que des représentants des associations d'usagers de l'administration, des collectivités locales et de son panel d'usagers pour présenter un bilan d'étape et les futures évolutions de la réforme administrative. Ces troisièmes rencontres « Ensemble, simplifions » se sont déroulées en partie en présence de François Baroin, le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'Etat, ayant succédé à Eric Woerth. Les TIC sont aux premières loges, y compris l'iPad.

Tout ce qui peut se faire par courrier pourra se faire en ligne

« Il faut que l'administration passe d'une logique de procédures à une logique de services » a exhorté le ministre qui a volontiers convenu que la réforme en cours bouleversait la culture des administrations. Cette mutation passe par de multiples mesures pragmatiques qui ne remettent pas en cause les grands fonctionnements institutionnels mais changent cependant les habitudes. Le principe martelé par François Baroin a été que « toute démarche faisable par courrier sera faisable par Internet d'ici 2012 ».

Ce développement de la e-administration va aller de pair avec une plus grande rigueur dans la gestion des sites web. La multiplication de sites amène de nombreux sites à n'être qu'une vitrine bien vite oubliée et devenir obsolètes quand ils ne sont pas simplement obsolète. L'objectif est de diviser par dix le nombre de sites.

Mon-Service-Public.fr 2.0 en ligne le 12 juillet

Cette réduction s'accompagne logiquement d'une concentration des services, notamment autour du fameux portail Service-Public.fr et de sa déclinaison personnalisée. Cette déclinaison personnalisée, Mon-Service-Public, voit son nombre d'inscrits monter de manière continue. De la même manière, le nombre d'administration le rejoignant pour que le bouquet de services soit de plus en plus complet. Les prochains à basculer, d'ici la fin du mois, comprennent le Ministère de la justice et celui des finances (la déclaration de revenus 2010 se fera ainsi via ce portail). Quelque soit le service utilisé, la connexion au portail est unique, avec partage d'informations renseignées une fois pour toutes.

700 000 usagers sont d'ores et déjà inscrits et la DGME revendique deux nouveaux abonnés à la minute. La FNTC (Fédération Nationale des Tiers de Confiance), lors de la phase de questions-réponses, a une nouvelle fois rappelé que la connexion par le couple identifiant/mot de passe n'étant pas satisfaisante. L'identification par certificat électronique est cependant envisagée... à terme.

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La nouvelle version de Mon-Service-Publique sera en ligne le 12 juillet. Elle est davantage ergonomique et adaptée tant aux publics handicapés qu'aux nouveaux outils comme les tablettes du type iPad voire des terminaux de poche. Une prochaine étape est l'ouverture d'un service équivalent pour les entreprises de type « MonEntreprise-service-public.fr ».

Un baromètre pour mesurer le progrès de la satisfaction usagers

Pour évaluer l'efficacité des mesures adoptées, la DGME a mis en place un baromètre de la qualité des services publics. Ce baromètre est réalisé par enquête au sein du panel géré par la DGME et traite les trois étapes d'une relation entre une administration et un usager : l'accueil, le traitement de la demande, le traitement de la réclamation quand c'est utile.

Si cette initiative a le mérite de mettre des chiffres sur des indicateurs de qualité basiques, certains surprennent... Ainsi, les objectifs annoncés sont par exemple d'une réponse aux courriers postaux sous quinze jours et aux courriers électroniques sous cinq jours, objectifs qui ne sont pas même atteints dans la totalité des cas mais entre 50% et 60%. Et 78% seulement des usagers bénéficient d'un accueil courtois ! Côté réclamations, 26,3% seulement des organismes ont mis en place une procédure. On est loin, dans la plupart des cas, des niveaux minimums de service de n'importe quel service de relations clients dans le secteur privé. La démarche est celle d'une amélioration continue. Par exemple, au niveau de la gestion des réclamations, quatre paliers de maturité ont été définis avec, comme objectif pour chaque administration, de progresser au fil des paliers.

La dématérialisation comme voie de progrès

Les TIC constituent l'une des bases essentielles de la démarche d'amélioration du service. Par exemple, la gestion des réclamations doit s'effectuer au travers d'un service en ligne.
Les rencontres « Ensemble Simplifions » sont ainsi l'occasion de tirer le bilan des mesures annoncées auparavant mais aussi d'annoncer les futures réformes. Chaque mesure est très concrète comme une nouvelle démarche en ligne précise ou un nouveau regroupement selon une logique de « guichet unique » par circonstance (création d'entreprise, déclaration de perte de papiers et demande de remplacement, etc.).

Les 15 dernières mesures ont toutes été mises en oeuvre même si le déploiement n'est pas toujours général. A chaque fois, la DGME réalise ou co-réalise le projet et en réalise le suivi, en soutien au ministère support concerné. Certaines mesures bénéficient autant aux citoyens qu'aux collectivités locales. Ainsi, par exemple, les inscriptions sur les listes électorales ou aux Journées Défense et Citoyenneté (ex-JAPD, Journées d'appel de préparation à la défense) qui se font en ligne délivrent des fichiers récupérables dans les logiciels métier dédiés des collectivités locales. Cette récupération est cependant largement théorique, les éditeurs trainant les pieds pour la prévoir dans leurs produits. A ce jour, 84 communes utilisent ces services et 500 se sont déclarées intéressées, la DGME ayant un objectif de déploiement de 30 commune/semaine.
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