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(14/04/2011 15:48:28)

De 10 à 50% des applications obsolètes dans les entreprises, selon Capgemini

Les entreprises ont du ménage à faire dans leurs applications. Une enquête réalisée par Capgemini avec HP, auprès d'une centaine de DSI et responsables IT de haut niveau, fait apparaître que 60% d'entre eux estiment gérer davantage d'applications que nécessaire au bon fonctionnement de leur entreprise. Or, toutes consomment des ressources qui pourraient être utilisées différemment pour le développement de l'entreprise et consacrées en particulier à l'innovation, pointe la SSII. En fait, les responsables IT consultés ne sont guère que 4% à juger que tous les systèmes informatiques qui ont été mis en place leur sont indispensables. Globalement, ils sont jusqu'à 85% à penser que leur portefeuille applicatif doit être rationalisé. Pour autant, le retrait des applications obsolètes ne semble pas figurer dans la liste de leurs priorités, même si près d'un tiers d'entre eux pense que 1 à 10% de leurs applications devraient être arrêtées (« décommissionnées ») et qu'une moitié évalue plutôt cette proportion entre 11% et 50%.

Les entreprises interrogées sont de différentes tailles, à partir de 1 000 jusqu'à 100 000 employés. 37% d'entre elles sont américaines et 63% européennes (situées en France, Allemagne, Grande-Bretagne, Espagne et Benelux). Comme on pouvait s'y attendre, Capgemini souligne dans son rapport que la perception du nombre adéquat d'applications par rapport à l'activité varie de façon significative suivant la taille de l'entreprise. Ainsi les trois-quart des celles comptant moins de 1 000 employés disent exploiter exactement le nombre d'applications qu'il leur faut. Dans ce segment, elles sont même 23 % de plus à juger qu'elles n'en ont pas suffisamment pour soutenir leur activité. Cette différence de ressenti s'explique aisément par la taille du portefeuille : dans 84% des cas, les structures de moindre taille gèrent moins de cinquante applications, alors que les plus grandes en ont jusqu'à 10 000.

Peu de synergie entre développement et maintenance

Comme on l'imagine assez bien, l'état de lieux recueilli par Capgemini montre que la situation est loin d'être simple. 56% des entreprises sondées estiment notamment que plus de la moitié de leurs applications sont personnalisées, ce qui en complexifie la gestion. Quant au constat porté sur la synergie existant entre les équipes de développement et de maintenance, il pourrait être plus optimiste. Seulement 13% des responsables IT considèrent que ces équipes travaillent de concert, tandis que 48% pensent plutôt que celles qui bâtissent les applications et celles qui les maintiennent ne sont en phase que 50% du temps, voire moins souvent. « Nous avons typiquement des problèmes d'alignement avec les applications qui sont importées lors des acquisitions et des fusions, explique par exemple le directeur des services web d'un éditeur américain. Il arrive que les équipes de développement n'aient pas la pleine maîtrise de ses systèmes. Par conséquent, à chaque fois qu'il y a des problèmes avec la livraison des applications ou avec leurs performances, les équipes de maintenance et de développement s'accusent l'une l'autre. »

Illustration : "Quelle est, selon vous, la proportion des applications exploitées dans votre entreprise qui pourraient être arrêtées ?". Le rapport "Applications Landscape" de Capgemini et HP montre que de nombreuses applications pourraient être mises sur la touche. [[page]]La complexité vient aussi du fait que les applications les plus anciennes deviennent obsolètes et difficiles à maintenir et à intégrer avec les nouvelles infrastructures IT. Les entreprises continuent à supporter des applications qui ne leur apportent plus vraiment la valeur attendue et ne prennent pas en compte les processus métier couramment exploités. Par ailleurs, si la majorité d'entre elles ont bien une politique d'archivage des données, en réalité, la plupart conservent les données au-delà de la date fixée par crainte de déroger aux exigences de conservation légales ou pratiquées dans leur secteur d'activité. Dans son rapport, Capgemini cite notamment Pascal Bataille, architecte d'entreprise chez Alcatel-Lucent, en France : « Lorsqu'Alcatel a fusionné avec Lucent, nous avons hérité d'un paysage IT dans lequel la plupart des applications étaient dupliquées ou existaient à plusieurs endroits, conséquences d'acquisitions successives. Nous avons d'abord dû les connecter et les maintenir pour supporter tous nos utilisateurs et toutes les spécificités métiers. Cela a pris du temps de se mettre en ligne avec la politique généralement appliquée dans ces situations, consistant à évaluer les applications, à la fois techniquement et par rapport à la stratégie du nouveau groupe, afin de déterminer quelles seraient celles qui seraient abandonnées. »


L'effort de rationalisation peut se solder par un échec

Capgemini liste les freins à l'évolution de ce patrimoine. Ce sont en fait toujours les mêmes : coût du retrait des  applications périmées, absence de retour sur investissement immédiat, résistance culturelle au changement, mais aussi, différences régionales et la difficulté à trouver des développeurs capables de récupérer les données gérées dans les applications supprimées. Enfin, pour certains responsables IT, la suppression des applications obsolète n'est pas considérée comme une priorité. Ils préfèrent donc concentrer leurs efforts sur d'autres domaines.

Dans son rapport, la SSII liste quelques rationalisations réussies, mais mentionne également deux échecs dont l'un dans un groupe de 5 000 personnes qui a décidé en 2003 de remplacer son système principal par une application plus actuelle. Sept ans plus tard, le système est toujours là. L'envergure de l'application et le volume de données stockés, combiné avec l'absence d'une stratégie claire concernant l'archivage et le retrait d'applications, a conduit à l'abandon du projet. « En l'absence de véritable stratégie sur la façon d'arrêter les différents éléments et migrer les données vers le nouveau système, cela n'a tout simplement pas été réalisé », explique le directeur des systèmes de production de la société en question.

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(22/03/2011 16:14:42)

Le CFTL crée un référentiel des métiers du test logiciel

Les métiers du test manquent encore de reconnaissance sur le terrain, même si une association telle que le CFTL, comité français des tests logiciels, oeuvre avec conviction pour y remédier. Afin de valoriser et faire mieux connaître ces compétences, celle-ci prépare notamment un référentiel qui détaillera huit fiches métiers dans ce domaine. Il est prévu d'y détailler les spécifications, rôles et responsabilités du testeur, de l'analyste de tests, de l'analyste technicien du test, de l'administrateur de plateformes de tests, du consultant, du consultant senior, du responsable méthode et procédures de tests et du chef de projets de tests.

Le 5 avril prochain, l'association organise à Paris (15e) sa conférence JFTL dont l'édition 2010 avait rassemblé 300 participants. Au menu de la journée, huit présentations permettront d'aborder des sujets tels que la tierce recette applicative ou les coûts cachés de la qualité. Il y sera aussi question de la façon dont on peut réussir l'externalisation des tests (comment choisir les applications candidates) et du pilotage de la génération des tests de bout en bout par les processus métiers. Dans la lettre du CFTL du mois de mars, son président, Bernard Homès, relate comment ces thèmes ont été choisis, à partir des propositions reçues. Il y explique que celles-ci abordaient aussi des problématiques telles que l'agilité, le lean et le cloud, mais que « leur valeur ajoutée n'était souvent pas clairement établie par des métriques identifiables ». Au contraire, des sujets comme l'évaluation du coût et la rentabilité des tests, « souvent dans un environnement hétérogène et complexe » reviennent souvent, de même que la prise en compte des objectifs métiers dans les processus de tests de bout en bout.

Le CFTL est le représentant en France de l'ISTQB (International Software Testing Qualifications Board). Il développe des examens de certification et accrédite les organismes de formation avec l'objectif  d'améliorer le professionnalisme des testeurs. Jusqu'à présent, il a certifié plus de 1 150 testeurs sur les trois niveaux ayant été créés : Fondation, Avancé, Expert. L'association a récemment décidé de mettre en oeuvre le syllabus Fondation v201 du CFTL-ISTQB.

Illustration : Bernard Homès, président du CFTL (source : la lettre du CFTL du mois de mars 2011)

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(28/02/2011 14:10:30)

Java EE 7 : Objectif Cloud

« La version 7 va servir de base pour rendre Java EE pertinent pour le Cloud, » a déclaré Ajay Patel, vice-président de la gestion des produits chez Oracle, lors d'un webcast. Telle qu'elle avait été présentée lors de la conférence JavaOne qui s'est tenue à l'automne dernier à San Francisco, la modularité était l'un des objectifs de la version 7 de Java EE, une spécification entreprise de Java SE (Java Platform, Standard Edition) qui s'adresse aux architectes logiciels et aux développeurs d'applications. Celle-ci sert notamment à définir une plate-forme de référence - Java EE Reference Implementation - du nom de Glassfish. Selon un post publié sur le blog d'une équipe de développeurs Java d'Oracle, la mise à jour comprendra des ajouts significatifs pour construire des interfaces utilisateurs côté serveur dans JavaServer Faces, l'amélioration du développement Web tiers, de la persistance Java et de JAX-RS (API Java pour les services web RESTful).

Les demandes de spécifications relatives à Java EE 7 ont été approuvées par le Java Community Process (JCP) en janvier, dont la JSR 338, pour l'API 2.1 de persistance Java et la JSR 339, pour le JAX-RS 2.0. Destinée à être utilisée avec Java EE et Java SE, l'API Java Persistence (JPA) gère la façon dont les données relationnelles sont réparties en objets Java et la manière dont les objets sont stockés dans une base de données relationnelle pour un accès ultérieur. Des fonctionnalités comme le multi-tenant et l'ajout de métadonnées pour le mapping sont envisagées pour la version 2.1 de JPA. Le JAX-RS  fournit pour sa part une API pour la création de services web en utilisant l'architecture REST. Parmi les principales caractéristiques de la nouvelle JSR, on compte la livraison d'une API client, un support amélioré pour les URI, et un pattern MVC (Modèle-Vue-Contrôleur) basé sur JSP et Scalate.

La version finale des deux JSR est prévue pour 2012. Les autres JSR afférentes à Java EE 7 seront présentées prochainement. Comme l'a indiqué Ajay Patel, « à côté de Java EE, on prévoit aussi pour cet été une version 2.0 de JavaFX, une plate-forme rich media basée sur Java, avec des nouveautés comme un moteur graphique haute performance et des capacités de langage dynamique. »

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(04/02/2011 09:55:19)

Logiciels d'entreprise : 5 tendances clefs pour les années à venir

Dans les prochaines années, le Gartner a identifié cinq tendances clefs affectant le marché des logiciels d'entreprise.

La mondialisation : Gartner prédit la consolidation des fournisseurs au cours des prochaines années. Durant cette période de perturbation, les marchés des logiciels très fragmentés deviendront plus structurés et marqués par une réduction importante des fournisseurs. Même si pour les fournisseurs concurrents au niveau mondial, les exigences de localisation - y compris les langues, les cultures et les lois - doivent être prises en charge.

La mise en oeuvre : La manière dont les entreprises se procurent et fournissent les logiciels est remise en question avec le cloud computing, Plate-forme en tant que service (PaaS) et Software en tant que service (SaaS), couplé avec l'accès généralisé et mobile. La demande de solutions de cloud computing se poursuivra au cours des prochaines années.

La modernisation
: Les entreprises continuent de migrer vers les logiciels Open Source et la SOA puisque les anciennes applications et les anciens systèmes deviennent plus coûteux à améliorer et à entretenir. Alignés avec la tendance à la modernisation, l'automatisation des affaires d'entreprises et la rationalisation des opérations continuent de gagner du terrain. Les entreprises s'attendent à investir de façon significative en 2011 pour mettre à jour tous les systèmes et logiciels, allant des outils de productivité personnelle, de construction-exécution-gestion des logiciels, aux applications axées sur l'utilisateur. La virtualisation est un facteur clé de la modernisation.

La socialisation
: L'utilisation des médias et des réseaux sociaux continue de s'intensifier. Cette tendance inclut la personnalisation, la collaboration et le contenu dans le cadre d'activités définies par l'utilisateur, Gartner prévoit que les communications coordonnées et la collaboration verra son adoption croitre en 2012.

La verticalisation
: Cette tendance implique un cycle d'applications logicielles horizontales de plus en plus personnalisées. En déployant de nouvelles technologies logicielles, il est fréquent pour des fournisseurs de fournir une technologie initialement généralisée qui, au fil du temps, peut donner lieu à plus de fonctions spécifiques dans l'industrie et les entreprises.

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(26/01/2011 10:30:47)

Tibco lance une plateforme sociale taillée pour l'entreprise

Tibco se risque à son tour sur le terrain des solutions de réseaux sociaux d'entreprise, du type de celle que propose Salesforce.com avec Chatter. Sa plateforme, baptisée Tibbr, annoncée fin 2009, vient d'être lancée par l'éditeur à San Francisco. On y retrouve le concept, désormais familier, des flux d'informations. A ceci près qu'au lieu de suivre l'actualité de contacts, les utilisateurs vont suivre des sujets (données, domaines -Fig1 ci-dessous- ou événements -Fig2) qui auront été générés par les applications exploitées dans l'entreprise. Cette solution est disponible à la fois en mode SaaS, comme un service en ligne, et sous la forme classique d'une application à installer en interne.

Pour Ram Menon, vice-président exécutif du marketing de Tibco, cette approche est plus intéressante que de simplement s'attacher à des personnes ayant les mêmes centres d'intérêt. « Billy qui s'occupe des livraisons à San Diego ne connaît pas Joe qui fait la même chose à Hong Kong. Mais Samsung est leur plus gros client, donne-t-il en exemple. Par conséquent, un sujet intitulé « Livraisons Samsung » pourrait être créé qui afficherait des données provenant du système logistique que ces deux utilisateurs pourraient suivre à travers Tibbr ».
Tibbr de Tibco - suivre des sujets
Fig 1 - Cliquer ici pour agrandir l'image

Tibco a également cherché à améliorer le filtrage des informations. « Les priorités diffèrent : si mon patron publie une information, je veux en être informé en temps réel, explique Ram Menon. En revanche, s'il s'agit d'une actualité sur une campagne marketing, je souhaiterai en être informé le matin, et puis qu'on me l'envoie ensuite sur mon poste. »

La plateforme autorise aussi l'intégration des flux provenant de réseaux sociaux extérieurs à l'entreprise, tels que Facebook. En revanche, la récupération des données ne se fera que dans un sens, afin d'être certain de ne pas laisser sortir des données au-delà du pare-feu.
Tibbr de Tibco - événements remontés des applications
Fig 2 - Evénements remontant des applications

Support des annuaires d'entreprise


Tibbr se complète d'un framework de flux d'événements qui permettra aux responsables métiers de créer des sujets sans passer par le département informatique. Par exemple, un responsable des ventes peut vouloir créer un fil d'actualité mis à jour à partir des champs de l'application de CRM (gestion de la relation client). La plateforme inclut aussi le support de terminaux mobiles et des capacités d'intégration avec les annuaires d'entreprise LDAP et Active Directory de Microsoft, pour l'authentification des utilisateurs.

Cet ensemble de fonctionnalités est le fruit d'un développement qui s'est révélé finalement plus long que prévu, a confié Ram Menon lors de la présentation de la plateforme. Tibco a livré une première version bêta plusieurs mois après l'annonce initiale. Mais l'éditeur s'est vite rendu compte que plaquer des fonctionnalités popularisées dans le grand public ne fonctionnait pas forcément pour l'entreprise, reconnaît le vice-président marketing monde. « Dans les secteurs industriels très régulés, les clients étaient très réticents à voir leurs conversations très privées flotter dans l'atmosphère. Tibco a donc estimé qu'il fallait en proposer une version à installer en interne. » Mais dès que vous parlez de « on premise », vous retombez tout de suite dans des projets qui s'étalent sur six mois. « Nous avons donc travaillé là-dessus ». En utilisant son expertise middleware, Tibco a développé des méthodes qui permettent à Tibbr de fonctionner sur des systèmes « on premise » en quelques heures, de façon assez comparable avec ce que proposerait une version SaaS, assure Ram Menon.[[page]]L'éditeur s'est également rendu compte que l'offre devrait disposer d'un solide support mobile au moment de son lancement. Tibbr s'accompagne d'applications natives pour les plateformes d'Apple, BlackBerry et sous Android. D'autres doivent suivre. De fait, Tibco pense que si un produit comme Tibbr ne peut pas être mis en oeuvre de façon universelle sur des terminaux mobiles, son adoption ne peut qu'être freinée.

La plateforme a déjà reçu une appréciation positive de l'analyste Ray Wang, PDG du cabinet Constellation Research, spécialisé depuis de nombreuses années sur les logiciels professionnels. Il trouve que cet outil de collaboration a beaucoup d'allure, surtout venant d'une société dont on n'aurait pas attendu ce style de produits. « C'est l'une des choses qui peut apporter de la pertinence à Tibco en 2011 », estime-t-il. L'aptitude de Tibco à filtrer l'information pour descendre jusqu'à l'information qui sera véritablement utile, c'est le composant crucial de l'offre, selon lui. « Nous sommes submergés par toute cette information », ce qui fait que même un modeste flux d'actualités sur un compte Facebook se transforme rapidement en vraie pagaille, fait justement remarquer Ray Wang.

La SSII Ciber passe de Yammer à Tibbr

L'un des premiers clients de Tibbr est le prestataire de services IT Ciber (8 000 personnes, plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires). La plateforme va être déployée auprès de tous ses salariés, a indiqué Tony Hadzi, président de Ciber pour l'Amérique du Nord. La société va migrer de la plateforme de collaboration Yammer pour passer sur Tibbr, a-t-il expliqué. Yammer a été remarquablement accepté par les salariés, une adoption qui a en outre nécessité peu d'efforts de la part de l'encadrement de Ciber. Comme la société utilisait la version gratuite du logiciel, cette expérience a constitué une façon peu coûteuse de tester l'intérêt du réseau social interne, relate Tony Hadzi.

Le groupe Ciber connaît une période de transformation et poursuit l'objectif de rassembler une organisation jusque-là plutôt fragmentée, explique celui qui est aussi le vice-président exécutif de la société. « Nous avons lancé le concept de réseau social et mon intention d'adopter une approche agnostique. Il s'agissait davantage, pour moi, de restructurer la société et d'utiliser ce moyen comme l'un des outils principaux pour changer l'état d'esprit des équipes sur le terrain et de mes cadres dirigeants ».

Mais, avec le temps, la société a trouvé insuffisantes les fonctionnalités de Yammer. « L'expérience de Tibco dans les solutions d'intégration a constitué un argument de vente pour Tibbr », pointe Tony Hadzi. Yammer constituait davantage une solution ponctuelle, tandis que Tibco proposait un produit pouvant être déployé à l'échelle de l'entreprise. (...)

(22/10/2010 16:06:22)

Conférence LMI/CIO : Innovations et défis 2011 de la DSI

Des compagnies d'assurances mobilisent la géo-localisation et le dialogue de machine à machine (M2M) pour créer des formules inédites d'assurance automobile. Les distributeurs d'eau ou d'électricité s'appuient sur les smart grid et les compteurs intelligents afin d'instaurer des usages et des modèles de tarification qui rentabiliseront mieux leurs réseaux.

Pour se renouveler, l'entreprise doit non seulement identifier ces nouvelles approches, mais aussi améliorer sa capacité à les mettre en oeuvre rapidement et efficacement. En première ligne, la DSI constitue le levier d'action de la direction générale et des métiers. Pour assumer ses responsabilités, elle sera amenée à opter pour de nouveaux modes de fonctionnement et à repenser ses relations avec les métiers.

La DSI doit délivrer rapidement les ressources et les applicatifs demandés avec la qualité de service attendue. Elle peut s'appuyer sur des offres packagées récentes telles que le SaaS ou le cloud computing accompagnées de nouvelles approches comme les méthodes agiles ou l'optimisation par le Lean. Sans oublier de tirer le meilleur parti de la convergence entre les réseaux informatiques, le stockage et la téléphonie - fixe et mobile -, la vidéoconférence en mode téléprésence tout en s'arcboutant sur des serveurs surpuissants au nombre de coeurs démultiplié qui devront être exploités au mieux par les applications critiques.

Venez discuter avec vos pairs le 23 novembre prochain

Pour discuter de ces thèmes, nous vous invitons à une matinée sur l'innovation et les défis de la DSI le mardi 23 novembre au pavillon Dauphine à Paris dans le 16e arrondissement.

Vous pourrez ainsi réfléchir aux avantages de la « Blue Ocean Strategy », aux moyens de transformer l'innovation IT en atout concurrentiel et de cultivez l'innovation IT avec des experts comme Jean-François Caenen, directeur de l'innovation chez Capgemini, des  témoignages de DSI et des tables rondes avec notamment : Christophe Bardet, directeur central marketing & développement de MMA, Patrick Hereng, DSI du groupe Total, Eric Legal, directeur d'Issy Media, Jean-Claude Saussaye, DSI de MMA, et Frédéric Tapissier, responsable études et développements à la direction des réseaux, de l'innovation et des nouvelles technologies de TF1.

Pour découvrir le programme détaillé et vous inscrire à cette conférence organisée par Le Monde Informatique et CIO cliquer sur ce lien.

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(25/10/2010 14:11:31)

Microsoft abandonne sa participation aux projets IronPython et IronRuby

« Ce changement va permettre à la communauté dans son ensemble d'apporter ses contributions en code source pour les deux projets, » a déclaré Jason Zander, vice-président de l'équipe de Visual Studio de Microsoft, dans un blog. Entre temps, Jim Hugunin, qui avait notamment travaillé sur IronPython chez Microsoft, vient de partir chez Google. « IronPython et IronRuby sont deux implémentations de langage dynamique que nous avons développé en interne au cours des dernières années. Nous avons sorti plusieurs versions de ces deux environnements, et l'ensemble du code a été publié sous licence Open Source (récemment transformée en licence Apache V2.0), » a ajouté Jason Zander. Selon lui, une nouvelle direction et un nouveau modèle de développement « permettront à l'ensemble de la communauté de contribuer au développement de ces projets.» Comme il l'a expliqué, « les apports pour les deux projets peuvent être réalisés via le site du programme Open Source CodePlex, ce qui permet aux membres de la communauté de déposer leurs contributions sans avoir besoin du parrainage d'un salarié de Microsoft. » Celui-ci a ajouté que « Microsoft avait accompli un travail de base qui servira aux futures versions. »

Une ouverture d'IronRuby et d'IronPython à Linux et Mac OS

Au nombre des coordinateurs du projet IronPython, on trouve Miguel de Icaza de Novell, l'auteur Michael Foord, le programmeur de .Net Jeff Hardy et le blogueur Jimmy Schementi. Par ailleurs, Miguel De Icaza et Jimmy Schementi coordonneront désormais le projet IronRuby. «Tous ont travaillé avec ou sur les projets Iron depuis leur création, et je ne peux qu'avoir confiance et respect pour les nouveaux représentants chargés de porter ces projets communautaires,» a déclaré Jason Sandler. «D'une manière générale, j'espère que ces changements contribueront à augmenter considérablement les possibilités offertes aux membres d'apporter leur propre contribution en code pour IronPython et IronRuby, et de participer activement à ces projets, » a-t-il encore ajouté. « Les deux projets Python et Ruby seront développés au même titre que d'autres projets Open Source, mais sans les limitations existant auparavant, » a écrit Miguel de Icaza sur son blog. « En particulier, de mon point de vue très centré sur Unix, nous pourrons apporter les correctifs nécessaires aux langages Iron pour les faire fonctionner sur Linux et Mac OS. »

Pour sa part, Jim Hugunin a fait savoir sur son blog qu'il se réjouissait d'aller travailler chez Google. « La décision de Microsoft d'abandonner sa participation dans IronPython a été le catalyseur, mais pas le motif de mon départ de l'entreprise. Bien que la plupart d'entre vous savent que je n'ai pas été directement impliqué dans IronPython depuis un certain temps, la décision de Microsoft m'a amené à reconsidérer ma place au sein de l'entreprise et à réaliser qu'il était temps pour moi d'envisager d'autres possibilités de carrière, » a-t-il déclaré.

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(27/09/2010 10:23:25)

Air France-KLM inspecte son architecture SOA

Depuis la fusion des groupes aériens Air France et KLM en 2004, la réorganisation des systèmes d'information se fait progressivement. Il s'agit de faire interagir les SI hétérogènes des deux compagnies sans les remplacer globalement, stratégie trop coûteuse.

Pour y parvenir, le principe adopté est celui de la SOA (Service Oriented Architecture). La DSI d'Air France devait disposer d'un outil pour détecter, diagnostiquer et traiter les problèmes survenant dans les SI. Et cela malgré le grand nombre d'outils utilisés dans les processus métiers les plus courants, de la réservation d'une place par un passager (éventuellement via un tiers) à l'organisation d'un vol. Chaque processus est ainsi extrêmement complexe.

Les systèmes au coeur de l'activité du groupe aérien doivent pourtant être disponibles en permanence. Pour réaliser cette surveillance des interconnexions au sein de l'architecture SOA, Air France KLM a choisi de se doter d'Actional de Progress Software. Cette solution a été intégrée pour l'instant sur le système e-commerce de KLM et devrait être déployée ensuite sur l'ensemble du SI du groupe.

Le coût du projet n'a pas été dévoilé.

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(08/09/2010 15:55:47)

Un partenaire SAP lance une plate-forme d'applications mobiles en mode cloud

Baptisé Mobile Enterprise Platform, le service proposé par Leapfactor coûte 9,99 dollars par utilisateur et par mois pour développer, élaborer et déployer des applications fonctionnant sur Android, BlackBerry et iOS.  Le mode cloud sera utilisé pour stocker en toute sécurité et transférer du contenu vers les terminaux mobiles. « Cela permet de déployer des applications de productivité auprès de milliers d'utilisateurs sans avoir les coûts liés à une implémentation traditionnelle » a déclaré Lionel Carrasco PDG de Leapfactor et d'ajouter «nous fournissons la bande passante, l'administration et des ressources, sans vous préoccuper du reste. La plate-forme Leapfactor est dans le cloud pour éviter de faire appel à du middleware de développement d'applications mobiles. Les entreprises que nous adressons ont déjà des architectures SOA (architecture orientée service) et dialoguent en XML, il suffit alors simplement de pousser l'application dans notre cloud. » L'éditeur complète ce service avec une bibliothèque d'interfaces utilisateur gratuites pour aider les clients à construire et déployer leurs applications mobiles.

Une solution polyvalente

Le service pourrait être utilisé pour des applications métiers, comme la vente de produits et le suivi de l'inventaire des stocks. Il pourrait également être utilisé dans le BtoC pour étoffer des catalogues de produits via des appareils mobiles.  Les micro applications gratuites dans l'App Store ont été téléchargées par plus de 3 000 utilisateurs depuis mai dernier. Trois de ces programmes portent sur des alertes, des indicateurs économiques et des propositions commerciales. Une autre de ces applis, baptisée SAP EcoHub, fournit une une place de marché de solutions certifiées SAP.

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