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Virtualisation
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(26/01/2010 16:25:25)
VMWare, NetApp et Cisco font support commun pour les clouds privés
C'est le signe des marchés pas encore matures, quand les standards ne sont pas encore arrêtés : on noue des alliances pour offrir des solutions intégrées. Sonnant tocsin, hautbois et musettes, VMWare, NetApp et Cisco avaient ainsi prévenu qu'ils présenteraient ce mardi une solution commune, avec le slogan prometteur « imagine virtually anything ». Au final, si les mots-clés virtualisation, cloud et consolidation étaient bien au rendez-vous, les trois acteurs n'ont montré aucune nouveauté technique, mais une façon d'intégrer leurs offres validée par un schéma de référence technique, et bénéficiant d'un support commun. VMWare et NetApp proposaient déjà ce support commun, NetApp revendant l'offre de virtualisation de la filiale d'EMC. Cisco s'est joint aux deux compères, en insérant entre les deux sa toute récente offre serveurs (Unified computing system, UCS) et ses commutateurs Nexus. Si bien que les trois acteurs sont à même de proposer un système reproduisant, à des fins privées, le fonctionnement d'un cloud : tout y est mutualisé, mais aussi compartimenté, grâce à la virtualisation, depuis les applications jusqu'aux domaines de stockage. Sur le papier, c'est la fin des silos ; le département informatique peut gérer une ressource globale, et refacturer les services métier en fonction de leur utilisation de cette ressource. Dans la pratique, rien n'est jamais aussi simple. En outre, Cisco est un nouvel entrant sur le marché des serveurs, et les certifications ainsi que le support commun ne sont évidemment valables que pour cette combinaison. Autre élément perturbant, les patrons de Cisco et VMWare avaient fait en novembre dernier une annonce similaire, cette fois en association avec EMC et Intel. Ils vantaient alors vBlock, technique de modules préconfigurés pour réaliser des clouds privés, qui serait commercialisée par une société commune, Acadia. A écouter la justification quelque peu embrouillée de NetApp, l'annonce d'aujourd'hui pourrait être davantage tournée vers les petits intégrateurs et des clients nécessitant des configurations éventuellement modestes. (...)
(25/01/2010 16:51:54)Selon une étude Computacenter, la virtualisation reste difficile à amortir rapidement
Les entreprises cherchant à introduire une solution de virtualisation dans leur système d'information devraient considérer avec plus d'attention le temps nécessaire à mise en oeuvre de leur projet, car le retour sur investissement risque de tarder. C'est en tout cas le point de vue de Computacenter, qui a interrogé 130 décideurs informatiques sur leur expérience en environnements virtualisés. Parmi l'ensemble des entreprises concernées par la mise en oeuvre de projets de virtualisation de postes de travail et d'applications (VDI), seules 4% peuvent se prévaloir d'un retour sur investissement correspondant à leur attente. Pour celles concernées par la virtualisation de serveurs, l'étude montre une situation à peine meilleure, puisque seules 6% estiment avoir atteint les résultats escomptés. L'enquête de Computacenter souligne également la persistance des idées fausses en ce domaine, puisque 83% des personnes interrogées continuent d'affirmer qu'avec la VDI, il leur serait plus facile de gérer les applications de bureau. «Les entreprises doivent être plus réalistes sur les projets de virtualisation», a déclaré Paul Casey, le patron de la plate-forme datacenter chez Computacenter. "Nombre d'entreprises ne réalisent pas le retour sur investissement attendu parce qu'elles travaillent principalement avec les outils de supervision propres au vendeur qui ne prennent pas toujours en compte a réalité des éléments qui les concernent. Forcément les résultats sont biaisés. » L'autre raison, toujours selon Paul Casey, vient de ce que les clients ne savent pas utiliser ces outils correctement. «Les chiffres les rendent optimistes», a déclaré Paul Casey. "Mais avec les mêmes outils, nous obtenons un chiffre différent. Ainsi, quant le client estime un retour sur investissement à 6 mois, nous sommes à 12. » Comment bien gérer des postes de travail virtualisés ? Andy Goddard, responsable du centre d'expertise postes de travail et travail collaboratif chez Computacenter est d'accord. "Il y a beaucoup de malentendus: certaines personnes y trouvent beaucoup de bénéfices et d'autres aucun. C'est une chose d'introduire la virtualisation sur les postes de travail, c'en est une autre de la gérer." La question des outils n'est pas la seule, précise cependant Paul Casey. «Les organisations doivent adopter une vision à plus long terme des solutions de virtualisation et du retour sur investissement qu'ils peuvent en attendre. Il y a des choses qui ne sont pas facilement mesurables. La philosophie du ROI, essentiellement basée sur des économies de coûts, pose problème. Les avantages réels sont plus flexibles. Estimer le bénéfice de déménager une entreprise de bureaux pouvant accueillir 1000 salariés vers des bureaux pouvant en accueillir 500 n'est pas si facile. " Paul Casey et Andy Goddard conviennent tous deux qu'il est important de regarder au-delà des outils des supervisions. «Nous avons à faire à une panoplie d'outils variés», a déclaré M. Casey. " Sans vouloir avantager un produit par rapport à un autre, je dirais que Athene de Metron est un bon outil en matière de gestion des ressources, et vCommander d'Embotics le mieux adapté au contrôle des coûts des environnements virtuels ». Malgré ces revers, les entreprises ne freinent pas leurs déploiements en terme de consolidation et de virtualisation. Pourtant il y est nécessaire de repenser certaines choses. " Si la demande reste forte sur le marché de la virtualisation, il faut toutefois revoir la gestion et les technologies. La clé serait de repartir de zéro afin de réfléchir sur les plates-formes, la taille et l'échelle des machines virtuelles, et sur la mise en oeuvre des outils de gestion. La manière de faire travailler les équipes doit également être repenser. Dans tous les cas, il est nécessaire d'adopter une vision d'ensemble. » (...)
(21/01/2010 15:34:17)Oracle détaillera mercredi prochain l'intégration de Sun
Alors que la Commission européenne vient juste de donner son accord au projet de rachat de Sun Microsystems par Oracle, l'entreprise organisera mercredi prochain, en présence de son CEO, Larry Ellison, un évènement retransmis mondialement et en direct via internet (entre 9h00 et 14h00, heure locale) depuis Redwood Shores, siège d'Oracle en Californie pour dévoiler sa stratégie. Comme les régulateurs américains, la Commission européenne semble se satisfaire des garanties d'Oracle au regard des lois antri-trust du vieux continent. Si elle a objecté que l'entrée de MySQL dans Oracle pouvait aller à l'encontre de la concurrence pour les clients de la base de données, la Commission a finalement rendu un avis favorable. Mme Neelie Kroes, membre de la Commission chargée de la concurrence, a indiqué : « Je suis convaincue que la concurrence et l'innovation seront préservées sur l'ensemble des marchés en cause. Le rachat de Sun par Oracle est susceptible de redynamiser des actifs importants et de donner naissance à de nouveaux produits innovants.» La nouvelle du rachat avait suscité de nombreuses questions sur le sort de certains produits de Sun, notamment ses serveurs Sparc et sa base de données Open Source MySQL. D'autant que, lors de l'annonce de l'achat, l'entreprise avait déclaré qu'elle était principalement intéressée par les technologies Java et Solaris de Sun, laissant entendre qu'elle était prête à vendre ou à fermer les divisions hardware de l'entreprise. La réaction des clients de Sun face à cette option ne s'est pas faite attendre, incitant Oracle a assuré finalement qu'elle continuerait à développer les processeurs SPARC et les serveurs Sun. Son CEO, Larry Ellison a même déclaré : « Nous ne sommes pas sur le point de quitter le marché du hardware. » Parmi les produits que les experts s'attendent à voir développés par la nouvelle entité, ils citent en exemple l' Exadata Database Machine 2, un projet de data center haut de gamme pour la conservation des données et l'OLTP (online transaction processing) déjà mis en chantier en commun par Oracle et Sun depuis septembre. Celui-ci combine une base de données et des logiciels spécialisés dans le stockage fournis par Oracle sur des serveurs à base Intel et des technologies à mémoire flash apportées par Sun. L'intégration des technologies des deux sociétés fera certainement parti des thèmes abordés la semaine prochaine. L'invitation Oracle précise que les participants y apprendront comment les clients « bénéficieront de la synergie des deux entreprises en matière de matériel, de système d'exploitation, de base de données, de middleware et d'applications." De nombreuses questions demeurent cependant. Oracle ne dit pas quelle gamme de serveurs Sun elle continuera à développer, ni ce que vont devenir certains produits comme le serveur d'applications et le logiciel de gestion Identity. Ni ce que va devenir le projet de services informatiques de type Cloud, semblable à celui d'Amazon Web Services, que Sun était sur le point de déployer peu avant l'annonce de la transaction. Mercredi prochain, les clients de Sun espèrent aussi avoir des réponses à ces questions. (...)
(24/12/2009 14:32:11)Trimestriels Red Hat : le revenu des abonnements croît de 21%
L'éditeur de logiciels Open Source Red Hat a enregistré une hausse de 18% sur ses ventes, à 194,3 M$, sur son troisième trimestre fiscal, clos le 30 novembre, par rapport à la même période, l'an dernier. Ce sont les revenus issus des abonnements, notamment au système d'exploitation Red Hat Entreprise Linux 5 et au serveur d'application JBoss, qui tirent l'activité. Ils représentent 85% du chiffre d'affaires total et ont progressé de 21% sur le trimestre. Les revenus provenant des services et de la formation sont restés stables, à 29,914 M$ (contre 29,881 M$ l'an dernier). Pour le septième trimestre consécutif, l'éditeur a non seulement renouvelé ses vingt plus gros contrats sur le point arrivé à échéance, mais il l'a réalisé à 120% de leur valeur l'année précédente, a indiqué Jim Whitehurst, le PDG de Red Hat, lors de la présentation des résultats. Le bénéfice net de la société en revanche, a baissé de 32,5%. Il s'établit à 16,4 M$ contre 24,3 M$ sur le troisième trimestre fiscal de l'éditeur, l'an dernier. Un contrat de plus de 5 M$ Le Top 30 des contrats de Red Hat comporte quatorze contrats de plus de 1 M$ et un de plus de 5 M$, a précisé Charlie Peters, le vice-président exécutif et directeur financier de la société. Vingt-trois contrats concerne Red Hat Enterprise Linux (RHEL) 5 Advanced Platform et les huit autres JBoss. L'un de ces contrats avait été signé au départ pour le déploiement d'un environnement virtualisé. 59% des ventes de Red Hat sont réalisées sur le continent américain, tandis que 29% se font en Europe et 15% sur la région Asie-Pacifique. La durée moyenne d'un contrat est de vingt-deux mois, selon l'éditeur. Le cloud computing progresse [[page]] Le cloud computing progresse Au cours du dernier trimestre, Red Hat a gagné un certain nombre de contrats sur des projets liés au cloud computing, a reconnu le PDG Jim Whitehurst. Selon lui, un éditeur aurait signé un contrat à 6 chiffres pour utiliser RHEL comme système d'exploitation pour mettre à disposition son logiciel sous la forme d'un service sur le cloud d'Amazon (EC2, Elastic Computing Cloud). Pour son quatrième trimestre fiscal, Red Hat prévoit de réaliser un chiffre d'affaires compris entre 191 M$ et 193 M$. Les performances du troisième trimestre l'ont amené à relever ses estimations annuelles de 10 M$. L'éditeur pense que le chiffre d'affaires de son exercice fiscal 2010 se situera entre 743 M$ et 745 M$. Jim Whitehurst décèle un potentiel important de revenus pour le future avec ses solutions de virtualisation, à la fois du nouvel hyperviseur KVM, de la dernière version de RHEL, et des outils d'administration Red Hat Enterprise Virtualization. Il considère que sa suite d'administration est bien moins chère que celle de ses concurrents. Il pense toutefois que le nombre d'abonnements sera limité sur le trimestre entamé, les clients potentiels étant en phase de test du nouveau logiciel. La contribution de ces produits au chiffre d'affaires ne démarrera vraiment qu'avec le prochain trimestre fiscal. (...)
(15/12/2009 16:29:25)Microsoft s'offre des outils d'automatisation des processus IT pour le cloud
Pour renforcer ses outils de gestion des environnements virtualisés, Microsoft vient de racheter l'éditeur canadien Opalis Software. Installé à Toronto, celui-ci a développé des logiciels d'automatisation des processus IT, Opalis Integration Server, qui viendront compléter les capacités de gestion des datacenters de la suite d'administration System Center de Microsoft, pour les environnements physiques, virtuels et de cloud computing. Brad Anderson, vice président de la division Management & Services de Microsoft, explique sur l'un des blogs TechNet de l'éditeur que les logiciels d'Opalis facilitent la tâche des équipes informatiques en automatisant les processus IT complexes avec l'objectif de réduire les coûts d'administration et les temps d'intervention. « C'est particulièrement important pour nos clients qui mettent en place des environnements virtuels très automatisés et évolutifs. » Et de citer Gartner qui prédit qu'en 2010, au moins 50% des tâches d'automatisation et de workflow autour des infrastructures de serveurs virtualisées s'appuieront sur des outils de type 'Run Book Automation' (RBA). Opalis, distribué en France par 2SI Systèmes Distributeur exclusif des logiciels Opalis en France, la société française 2SI Systèmes explique que ces outils permettent d'automatiser les tâches récurrentes techniques ou métiers, au travers de scénarios construits sans codage, via une interface graphique. Sur l'Hexagone, 2SI Systèmes revendique quelque 150 implémentations de l'offre : surveillance d'applications critiques ou métiers, de serveurs de fichiers, de circuits d'impression, de bases de données, de sites Web... Selon Brad Anderson, Microsoft aurait retenu Opalis parce que ses logiciels sont simples à utiliser et à déployer et qu'ils donnent rapidement des résultats. Ces outils s'intègrent déjà avec la suite System Center et ils vont permettre à cette dernière de s'interfacer avec d'autres infrastructures logicielles, notamment celles de CA, BMC et HP. L'offre comprend des workflows prépackagés pour les tâches les plus courantes de l'administration d'un datacenter : automatisation du guide d'exploitation, gestion du cycle de vie d'une machine virtuelle, prise en charge des tickets d'incident. Une majorité de clients d'Opalis seraient aussi des utilisateurs de System Center, assure Brad Anderson. L'éditeur canadien va continuer à assurer la maintenance de sa base installée. Rappelons par ailleurs que Microsoft a annoncé la semaine dernière qu'il fusionnait ses divisions Windows Azure et Windows Server. (...)
(30/10/2009 13:13:19)Le portail de téléchargement de VMware Fusion 3.0 saturé
Mardi dernier, VMware a annoncé la disponibilité de son offre Fusion 3.0. Mais très vite, le numéro un mondial de la virtualisation a émis une alerte sur son portail de mises à jour, invoquant un nombre gigantesque de demandes. Fusion 3.0 est un logiciel de virtualisation qui permet à Windows, et à d'autres systèmes d'exploitation hôtes, de s'exécuter sur MacOS X pour Intel. Parmi les problèmes recensés, il était difficile d'obtenir les codes d'activation des nouveaux produits. Dans un billet de blog, Pat Lee, directeur des produits pour desktop chez VMware, a publié une clé pour un essai de 30 jours, comme solution provisoire. "La demande a dépassé toutes nos attentes et le portail de mise à jour de Fusion n'a pas pu y faire face," a-t-il expliqué dès mardi après-midi. Nous avons déjà satisfait des milliers de demandes de mises à jour et de nombreuses personnes disposent donc déjà du produit. Je présente mes excuses à ceux qui veulent absolument le télécharger rapidement et rencontrent des problèmes." Pour Rob Enderle, consultant indépendant, "VMware est principalement une entreprise qui s'intéresse aux serveurs et n'est pas vraiment habituée à la quantité de demandes que peut générer une offre desktop populaire. On passe de centaines de téléchargements pour une application serveur à plusieurs millions. Il semble que VMware n'ait pas été préparé à cela." Il ajoute que l'éditeur a peut-être sous-estimé la demande parce que Paul Maritz, son CEO, a très longtemps travaillé chez Microsoft et qu'il a présumé que ses équipes étaient préparées à une telle quantité... alors qu'elles ne l'étaient pas. (...)
(27/10/2009 14:33:21)Avec Deep Security, Trend Micro renforce les options de sécurité pour la virtualisation
Trend Micro a dévoilé une version de son logiciel Deep Security, servant à la fois de pare-feu et de système de protection pour le serveur VMware ESX. L'éditeur a ajouté une fonctionnalité de virtualisation au niveau de l'hyperviseur pour protéger plusieurs machines virtuelles fonctionnant sur un même serveur. Auparavant, Deep Security fonctionnait uniquement dans le système d'exploitation invité de la machine virtuelle comme « une enveloppe de sécurité autour de la machine virtuelle », explique Mohamed Wael, Vice président de Trend Micro. Désormais avec Deep Security 7.0, nous offrons également une plateforme virtuelle qui utilise l'interface de programmation VMsafe de VMware. Les responsables informatiques peuvent aussi utiliser le pare-feu/IPS (Système de prévention des intrusions) au niveau de l'hyperviseur. « Les clients veulent une solution unifiée, mélangeant et rassemblant », estime Mohamed Wael. Les utilisateurs ont la possibilité de déployer le pare-feu/ISP Deep Security depuis la console Deep Security ou depuis le VMware Center. A l'origine, Deep Security n'était qu'une start-up canadienne créée par Mohamed Wael. Elle appartient depuis moins d'un an à Trend Micro, qui poursuit ses efforts pour améliorer la sécurité de son data-center. Neil MacDonald , analyste en sécurité chez Gartner, a signalé lors d'un symposium sur la protection des machines virtuelles, que Trend Micro était connu plutôt comme un éditeur traditionnel d'antivirus. Toutefois, il salut l'initiative de l'éditeur à proposer aux entreprises davantage d'alternatives pour sécuriser leur environnements virtualisés. Il a ajouté que Trend Micro pourrait jouer le rôle de trublion dans ce marché, déclarant qu'il appréciait que les éditeurs multiplient les initiatives. La sortie de Deep Security 7.0 comme une plate-forme d'applications virtuelles jette les bases pour ajouter plus de fonctionnalités de sécurité, telles que des capacités contre les virus, dans les futures versions, selon Trend Micro. La solution Deep Security de Trend Micro 7.0, sera commercialisée en novembre, à partir de 2.000 dollars. (...)
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