Flux RSS
Virtualisation
557 documents trouvés, affichage des résultats 211 à 220.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(27/08/2009 12:08:01)
La version 2 de l'administration d'Hyper-V de Microsoft arrive à l'heure
System Center Virtual Machine Manager (SCVVM) 2008 R2 de Microsoft vient d'atteindre le stade RTM (Release to manufacturer). SCVMM est l'outil d'administration de l'hyperviseur Hyper-V 2 annoncé par Microsoft en juin. Contrairement à la version précédente, la R2 arrive à la date annoncée et les grands clients finals pourront la télécharger dès le début octobre. SCVMM 2008 R2 joue un rôle clé dans les migrations à chaud (Live Migration) des machines virtuelles. Il progresse aussi dans la gestion des éléments de stockage. Il supporte la fonction CSV (Clustered shared volume) de Windows Server 2008 R2 qui permet une migration à chaud de machines virtuelles dans un cluster Windows Server sans aucun temps de latence. C'est aussi au travers de SCVMM 2008 R2 qu'Hyper-V sait tirer parti de VMDq (Virtual Machine Device Queues), fonction gravée par Intel dans le silicium destinée à décharger l'hyperviseur d'une partie de la gestion des entrées/sorties réseau. Cette version intègre un support, néanmoins partiel, de vSphere 4.0 de VMware. Elle reprend les fonctions que la précédente version d'Hyper-V supportait déjà pour VMware VI 3.5. Mais il semble que Microsoft consacre beaucoup d'efforts à superviser vSphere 4.0. (...)
(20/08/2009 11:58:03)Le bios des portables Vaio de Sony interdit la virtualisation
Le bios des PC Vaio de Sony désactive les extensions VT (virtualization technology) des processeurs Intel Core 2 Duo qui les animent. Cette extension est pourtant indispensable pour pourvoir profiter de la fonction de virtualisation de Windows XP sous Windows 7. Depuis cette découverte par les clients des portables Vaio, le groupe se perd en atermoiements. Il explique son choix par le fait que l'activation de l'extension VT menace la sécurité des machines... (...)
(17/08/2009 12:14:47)Citrix revendique le téléchargement de 150 000 XenServer
Citrix, qui met gratuitement à disposition XenServer, revendique le téléchargement de 150 000 versions de son hyperviseur pour serveur dans 80 pays. 100 000 versions 5.1 ont été téléchargées entre le mois de février et le 16 juin. A compter de cette date, la version 5.5 aurait été téléchargée à 50 000 exemplaires. L'éditeur précise que, selon lui, plus de 10% des entreprises du classement Fortune 500 (les 500 premières entreprises des Etats-Unis par le chiffre d'affaires) ont téléchargé et activé XenServer. Cet intérêt pour l'hyperviseur ne s'est pas encore traduit dans les résultats de son éditeur. Le CA généré par XenServer est englobé dans une catégorie "autres" dans laquelle ont trouve aussi la virtualisation du poste de travail XenDesktop et la réservation de ressources Provisioning Server. Cet ensemble de produits a vu son CA augmenter de 37% entre le premier et le second trimestre. Une belle progression, mais qui ne permet d'atteindre que 16,3 M$. Et l'activité autour de XenServer ne représente qu'une part -non précisée par l'éditeur- de cette somme. (...)
(13/08/2009 10:48:08)L'édition européenne de VMworld 2010 reportée de plusieurs mois
L'édition européenne de VMworld 2010, la conférence annuelle du géant de la virtualisation VMware, n'aura pas lieu au premier trimestre comme d'habitude, mais seulement au quatrième trimestre, quelques semaines après l'édition américaine. Chaque année, l'éditeur organise une édition américaine de sa manifestation en été avant de réunir les européens en début d'année suivante. Deux rendez-vous qui sont devenus des événements phares du monde de la virtualisation. Mais après la prochaine édition de VMworld qui se déroulera du 31 août au 3 septembre à San Francisco, il faudra donc cette fois attendre un an pour assister à une nouvelle édition. Sur Internet, les expressions de mécontentement sont quasi unanimes. Elles se cristallisent autour du fait que cette décision délaisse les acteurs européens. Non seulement, il n'y aura eu aucune manifestation d'envergure consacrée à la virtualisation pendant plus de 18 mois en Europe mais, de plus, l'édition européenne 2010 se tiendra dans l'ombre de sa grande soeur américaine. Si la motivation de VMware est de réaliser des économies, elle aura aussi des conséquences pour les acteurs européens de ce marché. Seront-ils nombreux à pouvoir s'offrir le déplacement aux Etats-Unis ? Sinon, pourront-ils voir leurs confrères américains et auront-ils la possibilité de rencontrer tous les fournisseurs ? Certains n'auront pas les ressources pour être présents à deux manifestations coup sur coup. Enfin, le quatrième trimestre est le moment ou se tient la manifestation TechEd de Microsoft. Même en bénéficiant du don d'ubiquité, d'un patron compréhensif et d'un budget illimité, difficile d'être en trois endroits à la fois : chez VMware, chez Microsoft et... au bureau. (...)
(11/08/2009 16:40:29)VMware achète SpringSource avec le cloud en perspective
VMware s'offre pour 420 M$ (86% en liquidités, le reste en action) SpringSource, éditeur de Spring, framework de développement d'application Java très largement utilisé, et du serveur d'applications modulaire dm Server. Fondés il y a cinq ans, SpringSource et les communautés qui gravitent autour sont aussi des contributeurs importants aux projets Apache et Eclipse. Le savoir-faire de SpringSource vient renforcer VMware dans le domaine du Paas "Platform as a service", autrement dit, du cloud computing. Dans la logithèque de SpringSource, la Tool Suite Eclipse de SpringSource devrait s'intégrer à VMware Workstation. Cela devrait donner un bel outil de paramétrage multi-environnement pour les développeurs. Quant à l'intérêt des appliances logicielles (serveurs virtuels) dm Server et tc Server (serveur Apache Tomcat), il tombe sous le sens : une entreprise disposant de machines en interne ou en externe pourra disposer d'une plateforme logicielle standardisée, redimensionnable à volonté. Au cours des mois précédant son rachat par VMware, SpringSource avait procédé à d'intéressantes emplettes. En novembre dernier, l'éditeur avait mis la main sur G2one, qui développe le langage dynamique Groovy, et, en mai dernier, SpringSource avait acheté les actifs logiciels d'Hyperic, éditeur d'une offre de supervision sous Java des performances applicatives. Un peu plus tôt en 2008, SpringSource avait aussi acquis Covalent (support Apache). Tant chez VMware que chez SpringSource, on affirme que ce rachat d'une entreprise fondée sur l'Open source par une autre très attachée au secret de ses lignes de code ne pose aucun problème. A preuve, SpringSource sera intégré sans être démantelé dans VMware. Il faudra attendre quelque temps avant de voir si l'opération réussit mieux que dans d'autres cas tel que celui de MySQL avec Sun, qui affichait pourtant l'Open Source sur son plastron. La transaction sera close au troisième trimestre et les premiers produits communs sont attendus pour janvier 2009. (...)
(05/08/2009 16:13:29)AMD fait migrer des machines virtuelles à chaud entre tous ses Opteron
AMD a fait la démonstration d'une migration à chaud de machines virtuelles entre des plateformes animées par des processeurs Opteron allant du bi-coeur Rev F (2006) au 12 coeurs Magny-Cours, attendu pour 2010, en passant par le quadricoeur Shanghai (2007) et l'hexacoeur Istanbul. AMD consacre d'importants efforts à promouvoir la possibilité de telles migrations entre des plateformes équipées de processeurs Opteron de générations différentes. Et ce, quel que soit l'hyperviseur utilisé. Son service marketing capitalise sur l'impossibilité théorique de déplacer une machine virtuelle entre des serveurs équipés de processeurs de différentes générations. Il omet de préciser que la fonction "Extended Migration" des processeurs Opteron repose sur le principe du plus petit dénominateur commun. Autrement dit, toutes les plateformes serveurs concernées doivent être paramétrées avec le jeu d'instructions du processeur le moins évolué afin que les machines virtuelles reposent toujours sur un socle perçu comme identique. (...)
(21/07/2009 17:02:21)Virtualisation : Microsoft fournit en GPL le code source de trois pilotes Linux pour Hyper-V
La reconnaissance de Linux par Microsoft, et partant son intégration avec Windows, a avancé d'un bon pas hier, avec la publication par Microsoft de 20 000 lignes de code sous licence GPL v2. Cette soumission de code à « la communauté du noyau Linux » inclut trois pilotes facilitant la virtualisation de Linux sur Hyper-V, le système de virtualisation de Windows Server 2008. Alfonso Castro, directeur de la stratégie d'interopérabilité chez Microsoft France, place ce mouvement dans la droite ligne des initiatives déjà engagées avec Novell ou la communauté PHP pour faciliter l'interopérabilité. En l'occurrence, précise-t-il, les entreprises y gagneront en termes de performances - puisque les systèmes Linux hôtes utiliseront des pilotes optimisés pour Windows Server - et d'administration - grâce à une console System Center unique pour les différents environnements virtualisés. Alfonso Castro espère d'ailleurs que la communauté Linux prendra acte de cette main tendue et qu'elle « réagira en développant des modules pour améliorer cette administration ». Si les équipes techniques de Microsoft n'en sont pas à leur premier geste de bonne volonté, cela passait surtout, jusqu'à présent, par la mise à disposition de protocoles sous des licences de type Community Promise, comme pour C#. Le choix de la GPL est tout nouveau, mais s'explique aisément : « On y était obligé dans la mesure où le noyau Linux est sous GPL v2 », indique Alfonso Castro. L'annonce a été faite au premier jour de la conférence Open Source organisée par O'Reilly, dont Microsoft est un des deux plus importants sponsors (avec Intel). C'est à l'occasion de ce même événement l'année dernière que la société dirigée par Steve Ballmer, connue pour ses prises de position très menaçantes envers le Libre, avait annoncé son intention de soutenir financièrement la communauté Apache. (...)
(23/06/2009 17:03:14)Sun sort une bêta de de sa VirtualBox 3
Sun lève le voile sur la version bêta de VirtualBox 3.0, son hyperviseur de type 2 pour le poste client. Techniquement importante, la portée de cette annonce est obérée par le mystère entretenu par Oracle sur l'avenir de cette technologie après la finalisation de son rachat de Sun. Hier, on apprenait que Virtual Iron, racheté par Oracle il y a un mois, disparaissait complètement. Sur la liste des caractéristiques de cette bêta, figure en tête la capacité a supporter 32 processeurs virtuels sur des machines dotées de processeurs avec les extensions de virtualisation matérielle VT-x d'Intel et AMD-V du constructeur éponyme. Juste après, on trouve le support d'openGL 2.0 destiné à l'accélération 3D pour les OS Windows, Linux et Solaris. A titre expérimental, cette bêta supporte aussi Direct3D 8 et 9 sous Windows. VirtualBox s'installe au dessus de Windows, Linux, MacOS, OS/2 et OpenSolaris. Il supporte des machines virtuelles sous Windows (de 2000 à Windows 7), Linux, Solaris, OpenBSD et MacOS. Originellement développé par la société allemande Innotek, VirtualBox fait partie de Sun xVM, l'offre de virtualisation du constructeur qui inclut aussi xVM Server (hyperviseur de type 1 -natif- d'origine Xen pour processeurs Solaris et x86-64), xVM Ops Center (outils d'administration pour datacenter virtualisé) et Sun VDI (Virtual Desktop Infrastructure), un connexion broker pour virtualiser les postes de travail à distance. (...)
(22/06/2009 14:44:43)Oracle tue Virtual Iron un mois après l'avoir racheté
Oracle fait disparaître Virtual Iron un mois après l'avoir acheté. Dans un courrier adressé aux revendeurs des solutions de virtualisation de Virtual Iron, Oracle leur annonce qu'il arrête les développements, qu'il ne fournira plus aucun nouveau client et qu'il sera interdit de vendre des licences supplémentaires aux clients actuels d'ici la fin du mois de juin. Virtual Iron était le seul, avec Citrix et Oracle / Sun, à proposer d'une technologie de virtualisation qui repose sur Xen. L'offre de Virtual Iron sera remplacée par l'environnement maison Oracle VM. Une fusion technique qui devrait prendre une douzaine de mois. Pendant ce temps, les utilisateurs de Virtual Iron ne pourront plus acheter de licences. Oracle s'est séparé de tous les salariés de l'éditeur à l'exception de la quinzaine d'entre eux qui a la charge d'un support qu'il est légalement obligé d'assumer. La politique de la terre brulée Selon la presse américaine, Virtual Iron comptait 2000 à 3000 clients dans le monde, nombre d'entre eux ayant acheté 500 à 1000 licences. Parmi eux, figurent le FBI et plusieurs fournisseurs d'accès Internet (ISP) américains et britanniques. Fin mai, LeMondeInformatique.fr s'interrogeait sur les motivations qui avaient poussé Oracle à racheter Virtual Iron. Ce n'était certainement pas l'appât du gain, la société ayant perdu 15,3 M$ sur un CA de 3,4 M$ en 2008. Nous nous demandions alors si ces motivations étaient d'ordre technologique ou stratégique. Désormais, la réponse est claire, Oracle appliquait une stratégie, celle de la terre brûlée. Cette coupe sombre n'augure rien de bon pour Sun xVM, l'offre de virtualisation de Sun, en passe d'être racheté par Oracle. D'autant que ce dernier a déjà fait savoir qu'il estime sa propre technologie meilleure que celle de Sun. (...)
(19/06/2009 15:54:35)Trois écueils à éviter pour virtualiser un datacenter, selon le Gartner
Si l'évolution des systèmes d'information vers la virtualisation parait irrévocable, les voies qui y conduisent n'en sont pas moins parsemées de chausse-trappes. Bien qu'il considère cette technologie comme essentielle à la mutation des datacenters, Philip Dawson, spécialiste de la virtualisation au Gartner, n'en garde pas moins sa lucidité. Pour lui, il est encore trop tôt pour tout virtualiser. « Il y a trois ans, j'ai écrit une note de trois pages sur ce qu'il ne fallait pas virtualiser. Les trois types d'écueil de l'époque restent d'actualité, même si les choses ont évolué dans le bon sens. » Ainsi, pour Philip Dawson, il ne faut pas tenter de virtualiser les environnements qui sont en contact avec des éléments "physiques". Il entend par là les applications qui doivent supporter des contraintes temps réel, telles que celles qui sont liées à la production industrielle, à la robotique et, aussi, aux marchés financiers. Même si elles se sont atténuées, ses réserves sur la virtualisation des environnements très transactionnels sont aussi toujours valables. "Beaucoup de progrès ont été faits pour adapter les entrées/sorties aux systèmes virtualisés. Mais d'autres sont encore nécessaires pour supporter d'importantes charges de traitement transactionnel. Si les périphériques PCI ont progressé en terme d'accroissement de la bande passante et de débit, la gestion de la cohabitation de plusieurs applications qui sollicitent toutes les entrées-sorties demeure perfectible. Pour les grosses applications transactionnelles, la virtualisation doit être utilisée davantage pour sa haute disponibilité que pour la consolidation." Le cas des applications de paiement électronique cumule à la fois les handicaps des applications transactionnelles et "physiques". Enfin, il reste la dimension "commerciale", autrement dit la politique de licence et de support des éditeurs vis-à-vis de la virtualisation. Ainsi, Microsoft "n'a encore rien fait de restrictif pour la virtualisation de ses applications. Mais il faut faire attention aux versions." En revanche, il est de notoriété publique qu'Oracle pratique une politique d'obstruction pour empêcher ses utilisateurs de virtualiser leurs applications sur des environnements concurrents. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |