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Virtualisation
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(16/06/2009 16:08:03)
Les sept conseils du Gartner pour réduire les coûts des datacenters
"Supprimer un seul serveur x86 permet d'économiser 400 dollars juste en frais d'électricité" explique Rakesh Kumar, vice president du Gartner Group. Très dans l'air du temps, le cabinet de consultants indique sept pistes pour réduire les coûts des datacenters dans des délais de 12 à 18 mois. Ces idées se déclinent ainsi : rationaliser les équipements, consolider les sites, gérer les coûts électriques, renégocier les contrats, optimiser les ressources humaines et la politique d'équipement et, enfin, virtualiser. Rationaliser les équipements peut paraître une évidence, mais le Gartner souligne que cet effort a aussi des répercussions positives sur la gestion d'inventaire, l'optimisation des contrats de licences et la réduction de la consommation électrique. Le cabinet met en avant une économie de 5 à 10% sur les coûts d'équipements. Dans sa liste de conseils, le Gartner évoque aussi le rallongement des durées d'amortissement des matériels, tout en rappelant que les coûts de maintenance peuvent grimper avec l'âge de ces derniers. Mieux vaut trouver le bon équilibre. Au niveau des datacenters cette fois, et non plus uniquement des serveurs, une démarche de rationalisation se traduira par la consolidation des sites. Cette opération peut déboucher sur une réduction de 5 à 15% du budget informatique total. Dans ce cas, les économies portent sur les loyers des bâtiments, mais aussi sur la disparition de ressources redondantes, qu'elles soient matérielles ou humaines. En ces temps de pénurie de compétences, le Gartner tiens néanmoins à préciser qu'il faut réfléchir à deux fois avant de décider une réduction des effectifs. La consolidation de datacenters permet par ailleurs de réduire le nombre de licences, de contrats de support et de diminuer le plan de reprise d'activité. La virtualisation fait bien évidemment partie des démarches préconisées par le Gartner. Elle est en particulier le meilleurs moyen pour consolider des datacenters et cristallise nombre de réductions de coûts énumérées par le cabinet de consultants. Sachant qu'elle réclame un important effort d'administration et une attention particulière pour la gestion des licences logicielles. Néanmoins, elle permet, en réduisant le nombre de serveurs, d'atteindre un gain net dès 24 mois, sans parler d'économies d'énergie pouvant aller jusqu'à 82% et de surface allant jusqu'à 86%. La concentration des serveurs, en particulier avec les lames, se traduit par ailleurs aussi par une consommation électrique au mètre carré en forte hausse et, en corollaire, par des besoins de climatisation supérieurs. Le Gartner, comme de nombreux constructeurs, conseille de laisser la température dans les salles machines à 24 degrés. A ce niveau, il rappelle aussi certaines techniques de climatisation à faible -voire très faible- coût : l'air ambiant, l'organisation des rangées de serveurs suivant des paramètres thermiques et, l'utilisation de serveurs de nouvelle génération, dont il est possible de contrôler l'activité. La Gartner n'oublie évidemment pas dans sa liste de conseils la renégociation de contrats avec les fournisseurs. De même, il évoque inévitablement les coûts de personnel. Pouvant atteindre 40% du budget IT, ils s'exposent aussi à des arbitrages parmi lesquels l'appel à des emplois délocalisés figure en bonne place. (...)
(10/06/2009 18:17:22)Hyper-V 2.0 de Microsoft se rapproche d'ESX 4.0 de VMware
Avec la version 2.0 d'Hyper-V, Microsoft comble une partie des manques de la version 1.0. Les fonctions de son hyperviseur se rapprochent de celles d'ESX 4.0, au coeur de l'architecture vSphere de VMware. Parmi les améliorations apportées à la version 2.0 d'Hyper-V, Live Migration est la plus attendue. Elle permet enfin de procéder à des migrations à chaud des clusters sous Windows Server 2008 R2 d'un maximum de 16 noeuds. Du coup, cette même fonction d'Hyper-V pour différentes générations de processeurs du même fournisseur perd un peu de son intérêt. L'hyperviseur de Microsoft identifie les extensions des jeux d'instructions des processeurs utilisés par les machines virtuelles, ce qui permet de choisir celles qui accepteront une migration intergénérationnelle sans dommage. Hyper-V fait aussi appel aux ressources de Windows Server 2008 R2 pour son gestionnaire de fichiers en cluster (CSV, Cluster Shared Volumes) qui est l'équivalent de VMFS chez VMware. Hyper-V 2.0 sait gérer 32 processeurs logiques (contre 24 pour la V 1.0) sur les 256 qu'admet Windows Server 2008 R2. Tout comme VMware, il supporte la translation d'adresse de second niveau (SLAT), dernière amélioration apportée à la gestion mémoire par Intel (Extended Page Tables) et AMD (Nested Page Tables). Utile au quotidien dans les datacenters ayant de fortes variations d'activité, la fonction Core parking permet de regrouper les machines virtuelles en sommeil (idle) sur un coeur de processeurs pour pouvoir arrêter les autres. En procédant ainsi, la réduction de consommation électrique est notable. Pas encore de commutateur virtuel Si on lui adjoint SCVMM 2008 R2 (System Center Vitual Machine Manager), Hyper-V sait aussi tirer parti de VMQd (Virtual Machine Device Queues), fonction gravée par Intel dans le silicium qui décharge l'hyperviseur d'une partie de la gestion des I/O réseau. Toujours dans la perspective d'accélérer les connexions réseau, Hyper-V supporte désormais les "jumbo Ethernet Frame" (transit de paquets de 9000 octets au lieu de 1500). Un ajout qui ne concerne encore qu'une minorité de configuration réseau. En revanche, Hyper-V ne dispose pas (encore ?) d'un commutateur virtuel comme VMware vSwtich. Enfin, Hyper-V 2.0 accepte la manipulation de VHD (Virtual Hard Disk) pendant le fonctionnement d'une VM. VMware n'accepte que l'ajout. (...)
(05/06/2009 17:32:38)Windows Server 2008 R2 et Hyper-V 2.0 prévus fin octobre
Microsoft prévoit de livrer au même moment, fin octobre prochain, Windows 7, son prochain OS client, et Windows Server 2008 R2, son système d'exploitation pour serveurs. Réservée aux clients OEM, la RTM (Release to manufacturer) devrait être disponible à partir du mois prochain. Il faudra également attendre l'approche de l'hiver pour une mouture "packagée". Celle-ci inclura la version 2.0 d'Hyper-V, l'hyperviseur de Microsoft, qui soufflera alors sa première bougie. Une version autonome d'Hyper-V 2.0 et aussi promise un mois plus tard. Hyper-V 2.0 est très attendu car cette nouvelle version de l'outil de virtualisation de Microsoft devrait enfin permettre la migration à chaud des machines virtuelles. Pour le moment l'éditeur n'a communiqué aucun prix. (...)
(04/06/2009 11:01:51)Les entreprises veulent des clients virtualisés ressemblant de très près à un poste classique
Une étude sur la virtualisation des postes clients, conduite à la demande d'Intel et de Citrix auprès de quelques centaines de décideurs informatiques américains en 2007 et 2008, indique que la stratégie de ces deux fournisseurs correspond à leurs attentes. Le contraire eut été étonnant. L'enquête souligne aussi que les gestionnaires de parc attendent avant tout de ces approches un meilleur contrôle du poste client. L'enquête a le mérite d'embrasser la diversité des approches techniques désormais incluses dans la notion fourre-tout de "virtualisation des postes clients". Depuis que ce vocable est à la mode, s'y trouvent regroupés les "terminal services", les services hébergés, les flux (streaming) d'applications et de systèmes d'exploitation ainsi que la virtualisation du poste client proprement dit. C'est cette dernière approche, alors que la décevante croissance des autres est loin d'indiquer une généralisation de leur adoption, qui semble recueillir le plus de suffrages pour l'avenir. On notera, en particulier, que le streaming d'applications n'a connu que 1% de croissance entre 2007 et 2008. Les entreprises veulent des postes "virtualisés" qui auraient tous les avantages des micros, y compris la portabilité, mais sans les inconvénients. Ces contraintes d'administration et de sécurisation qui plombent les budgets des DSI. Ca tombe bien. Tant Citrix, en association avec Intel, que VMware et d'autres oeuvrent à produire des hyperviseurs de type 1 (natif) pour poste de travail. C'est sur cette brique de base que se construira ce que l'étude appelle des "client-based virtual containers". A la différence de ceux pour serveurs, les hyperviseurs de type 1 pour postes de travail doivent intégrer des fonctions complexes pour, en résumé, gérer l'interopérabilité des données entre les OS présents et supporter le partage de l'affichage avec, en sus, la contrainte d'interagir avec les couches basses des micros (interface USB, etc.) et de s'adapter à une foultitude de drivers. Ces postes de travail d'un nouveau type présenteraient l'avantage de faciliter tant la vie de leurs utilisateurs que de ceux qui les administrent. (...)
(25/05/2009 18:02:13)Virtualisation : le banc d'essai vApus Mark I relativise les performances des Intel Xeon 5500
Un nouveau banc de mesure de l'évaluation vient d'apparaître. Mis au point par le Sizing Server lab (un laboratoire universitaire hollandais), vApus Mark I est destiné à mesurer les performances d'applications lourdes virtualisées sous différents hyperviseurs. Très étonnants, les premiers résultats, réalisés sous ESX 3.5 de VMware, portent sur la comparaison des performances des Xeon 5500 (Nehalem) avec les autres processeurs d'Intel et leurs concurrents de chez AMD. A l'aune de vAPUs Mark I, le gain de performances qu'apporte la génération Nehalem n'est pas aussi net que celui que l'on peut constater avec VMmark, l'outil de benchmarking de VMware. Là où le test VMmark trouve une différence de performance de plus de 100% entre Xeon 5570 et Opetorn 8389, vApus Mark I ne trouve que 21% d'écart. Les testeurs soulignent qu'ils ont réalisé leur mesure avec ESX 3.5 et non avec l'ESX 4 de vSphere. Un choix logique étant donné qu'ESX 4.0 est encore loin d'être l'hyperviseur majoritaire en entreprise. Or, seule cette version 4.0 d'ESX sait tirer profit des Extended Page Tables (ETP) des Xeon 5500. Tout aussi étonnant, alors que si l'on prend en compte les chiffres du VMmark, un biprocesseur Xeon 5500 affiche des performances nettement supérieures à celle d'un quadriprocesseur Opteron, ce n'est plus le cas avec vApus Mark I. (...)
(25/05/2009 15:33:01)Oracle refuse le support de ses logiciels à d'autres hyperviseurs x64 que les siens
Oracle durcit sa position vis-à-vis des hyperviseurs x86 concurrents des siens (Oracle VM, Sun xVM et, désormais, Virtual Iron qu'il vient de racheter). Après avoir entr'ouvert la porte au support de ses applications sur ces hyperviseurs (ESX, Hyper-V, XenServer...), l'éditeur a fait brutalement machine arrière. Selon le Burton Group, qui suit cette "affaire" pas à pas, Oracle a, le 8 mai dernier, précisé que le support qu'il apporte à ses logiciels sur des hyperviseurs tiers exclut désormais formellement ceux sur plateforme x86/x64. Par ailleurs, selon le New York Times, Virtual Iron qui a levé plus de 65 M$ depuis sa création a réalisé en 2008 un CA de 3,4 M$, en hausse de 128% par rapport à l'exercice précédent. Mais au prix de près de 18 M$ de charges d'exploitation. Son exercice s'est donc soldé sur une perte nette de 15,3 M$. Oracle n'a donc pas acheté Virtual Iron pour la qualité de ses résultats financiers mais, probablement, pour des raisons tactiques ou technologiques. Et sans doute à bas prix. (...)
(15/05/2009 17:23:29)Les plateformes de virtualisation représentent près de 20% des serveurs livrés
En 2008, le nombre de serveurs livrés en Europe pour servir de plateforme de virtualisation a augmenté de 26,5% en 2008, affirme IDC, pour atteindre le chiffre de 358 000 unités, soit plus de 18% des livraisons totales (19,5 millions). En 2007, les serveurs destinés à la virtualisation ne représentaient que 14,6% des livraisons. En 2010, IDC estime que ce taux devrait atteindre 21%. Sachant que les dépenses en serveurs baissent mais que chacun peut faire tourner plusieurs VM (machines virtuelles), IDC pense que dès cette année, on comptera 10% de plus de VM que de serveurs physiques livrés. C'est, bien sûr, le développement de la virtualisation sur l'architecture X64 qui explique cette forte accélération. IDC souligne que l'accroissement du parc virtualisé entraîne la nécessité de s'équiper en outils d'administration adéquats. Sans une gestion précise, la virtualisation peut entraîner une dangereuse prolifération ("sprawling") des VM. Les directions informatiques risquent de perdre le contrôle de leur création et de leur utilisation. La virtualisation a aussi des conséquences sur la répartition des rôles et des tâches au sein des équipes informatiques. Les barrières physiques disparaissant, les responsables des différentes activités (administration, gestion des serveurs, du réseau et du stockage) doivent ré-inventer des organisations et des méthodes de travail adaptées. IDC constate aussi que les fournisseurs, conscients que la virtualisation va entraîner une diminution relative du nombre de machines vendues, révisent leur stratégie en conséquence afin de trouver d'autres sources de revenus. (...)
(13/05/2009 17:46:07)Oracle s'offre Virtual Iron
C'était dans l'air. Oracle vient d'annoncer le rachat de Virtual Iron, le dernier des spécialistes indépendants de l'hyperviseur. Cette acquisition, dont le montant reste confidentiel, confirme qu'Oracle, indépendamment de son rachat de Sun, voit dans l'hypervision un moyen d'accroître son indépendance vis-à-vis des fournisseurs de systèmes d'exploitation. Dans un monde où plus de neuf serveurs sur dix reposent sur l'architecture X64, le géant californien devrait utiliser la virtualisation pour s'émanciper de Windows Server, le principal OS sur ce type de machines. L'éditeur s'étant déjà positionné depuis deux ans sur le marché Linux en proposant un clone de RHEL, tout comme l'hyperviseur maison Oracle VM, Virtual Iron utilise la technologie de Xen. Sa dernière version, baptisée Extended Enterprise Edition 4.5, n'a pas grand-chose à envier aux autres itérations de Xen en terme d'administration et de gestion des machines virtuelles. Virtual Iron a bénéficié de 65 M$ de capital-risque. Il revendique 2000 clients, essentiellement des PME-PMI américaines, qu'il touche au travers d'un réseau de distribution. En France, les principaux distributeurs de Virtual Iron sont au nombre de trois : Realisations Microelectroniques et Informatiques SA (RMI), en Meurthe et Moselle, Tryade, en Loire-Atlantique, et, en région parisienne, Non Stop Systems.
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Oracle s'entr'ouvre aux hyperviseurs tiers
Oracle a, très discrètement, adouci son attitude vis-à-vis des hyperviseurs concurrents du sien, selon le Burton Group qui cite l'éditeur. Le cabinet fonde son constat sur une mise à jour sur le site de support d'Oracle. Mais, seuls les clients de l'éditeur qui disposent d'un droit d'accès peuvent le consulter. Selon Burton Group, Oracle admet que son PGI (ERP) E-Business Suite, versions 11i et R12, porté sur un environnement virtualisé concurrent (VMware ESX, Microsoft Hyper-V, etc.) est désormais "supporté", mais pas "certifié". Oracle s'explique : en cas de problème sur une plateforme virtualisée, ses équipes de support tenteront de le reproduire sur une plateforme physique afin d'aider les clients à résoudre leurs difficultés. Si le problème n'est pas résolu -c'est-à-dire si Oracle met en cause la plateforme de virtualisation - le client devra alors se tourner vers le fournisseur de son hyperviseur. Les optimistes peuvent considérer cette annonce d'Oracle comme un premier pas vers une politique de licence équitable qui prendra en compte les processeurs virtuels pour toutes ses applications. Les pessimistes ne peuvent que constater que le SGBD proprement dit d'Oracle n'est pas concerné par ce signe d'ouverture et qu'il reste beaucoup de chemin à parcourir. Le rachat de Sun, et de ses technologies de virtualisation, n'indique pas cette direction. Pas plus que la toute récente absorption de Virtual Iron.
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En moyenne, un administrateur gère près de 80 machines virtuelles
Combien de machines virtuelles un administrateur système est-il capable de gérer ? En ces temps de vaches maigres et de mutation technologique dans les datacenters, la question vaut de l'or puisque plus de 53% des responsables informatiques interrogés par le cabinet d'étude américain EMA (Enterprise management associates) voient dans la virtualisation le moyen crucial de réduire les coûts d'administration et de gestion. 43% d'entre eux la jugent "importante". De plus, le ratio administrateur/machine virtuelle est un bon indicateur de l'efficacité d'un service informatique. C'est aussi le poste budgétaire le plus facilement ajustable. Le coût salarial de l'ajout d'une machine virtuelle varie entre 452 $ et 3770 $ Selon les données recueillies par Andi Mann, consultant chez EMA, il faut, en moyenne, un administrateur pour 77 machines virtuelles. Mais l'écart type derrière ce chiffre est significatif. Ainsi, un ratio de 155 machines virtuelles par administrateur n'est pas rare. Mais certains responsables ne s'occupent que de 18 machines virtuelles quand d'autres ont la charge de 1800. Passé au crible d'un coût salarial de référence de 68 000 $ pour l'administration d'un datacenter, le ratio machine virtuelle / administrateur se traduit par d'importants écarts sur le coût unitaire d'ajout d'une machines virtuelle. Pour les services informatiques les plus automatisés, l'ajout d'une machine virtuelle revient à 452 $. Pour ceux qui sont moins performants, une machine virtuelle supplémentaire revient à 880 $ et peut atteindre la somme vertigineuse de 3 770 $ dans le pire des cas. Selon Andi Mann, les outils d'administration jouent un rôle important dans la "productivité" des administrateurs. 39% des entreprises interrogées utilisent des logiciels de suivi des configurations, ce qui évite les modifications sauvages. 37% font appel à des outils d'inventaire pour vérifier l'utilisation des équipements et des licences logicielles achetés. 36% se servent d'outils de gestion de capacité pour optimiser la répartition de charge des machines virtuelles. 27% n'hésitent pas à s'équiper de systèmes de télétravail pour intervenir à distance jusqu'au niveau matériel le plus bas des serveurs. Enfin, 24% administrent leurs environnements virtualisés avec les outils de VMware (Infrastructure, vCenter), de Citrix (XenCenter) et de Microsoft (VMM). Un taux étonnamment bas. (...)
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