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Virtualisation

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(11/05/2009 18:28:40)

Virtualisation : Oracle fait grincer des dents chez VMWare

Le refus d'Oracle de supporter officiellement d'autres hyperviseurs que le sien fait grincer des dents. Chez EMC, la maison mère de VMware, deux vice-présidents ont pris la plume sur leur blog pour appeler les utilisateurs à une fronde contre la politique d'Oracle. L'éditeur, qui rechigne à accorder son support sur ses logiciels installés en VM, pratique aussi une politique de prix très dissuasive. Même si la VM Oracle n'utilise qu'une partie des processeurs physiques disponibles, Oracle facture l'ensemble de la configuration. Par exemple, même si une VM Oracle n'utilise que deux processeurs sur les huit présents, le prix à payer sera celui pour utiliser les huit. Il est ainsi très difficile de faire usage de VMware VMotion (déplacement des VM) sans enfreindre les licences accordées par Oracle. En mars dernier, les analystes du Gartner ont pondu une note sur le sujet. Ils préviennent que si les utilisateurs ne respectent pas scrupuleusement les règles édictées par Oracle, ils s'exposent à des surcoûts conséquents. Ils expliquent que l'attitude d'Oracle exige d'y regarder à deux fois avant de se lancer dans une opération de virtualisation et d'envisager des solutions alternatives comme le portage sur un autre serveur ou la mise en place de configurations parallélisées. Oracle a aussi choisi de proposer son propre hyperviseur, Oracle VM, en choisissant le code open source Xen. En mars dernier, il a renforcé son hyperviseur avec Oracle Enterprise Manager 10g Release 5 (10gR5), une suite de gestion des VM. Le projet de rachat de Sun par Oracle et la déclaration de Larry Ellison d'avoir une offre globale qui s'étend de "la base de données au disque" montre que l'éditeur n'est pas près de changer d'attitude. Dans la corbeille de Sun, Oracle va récupérer l'ensemble xVM qui se compose d'un hyperviseur, d'un outil d'administration (Ops Center), d'un gestionnaire de connexion (VDI) et d'un outil de virtualisation des postes de travail (VirtualBox).

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(06/05/2009 16:52:44)

Citrix transforme l'iPhone en client léger pour applications d'entreprise

Dans sa vague d'annonces, Citrix, qui investit Las Vegas cette semaine pour son Synergy Show, place sous les feux de la rampe l'extension au monde des mobiles de son savoir-faire sur les clients légers. La compatibilité emblématique de Citrix Receiver avec l'iPhone et la ressemblance de Dazzle, futur outil de mise à disposition des applications, avec l'AppStore d'Apple permet à Citrix de mettre en avant la modernité de son offre dans un monde IT professionnel décrit comme arc-bouté sur un modèle client-serveur rigide et coûteux à administrer. Présenté en 2008 comme une extension du protocole de présentation ICA, qui fonde l'offre client léger de Citrix depuis des années, Citrix Receiver est disponible sur iPhone et Windows. Des mises à jour des anciennes versions d'ICA pour Symbian, Windows Mobile et MacOS X sont attendues. Le portage sur Android, le système d'exploitation de Google, est aussi prévu. Ce client léger "universel" permet d'afficher des applications virtualisées soit par XenApp, Citrix Desktop ou XenServer. Cela permettra à des utilisateurs profesionnels d'accéder aux applications d'entreprise depuis leur terminal préféré. Côté serveur, Citrix promet, d'ici la fin de l'année, Dazzle. Il prendra en charge la mise à disposition des applications en fonction de règles préétablies et la gestion de leur activation. Il sera adossé à une logithèque baptisée Citrix Merchandising Server. Citrix Receiver et Dazzle seront mis à disposition gratuitement auprès des clients de Citrix. (...)

(21/04/2009 17:57:03)

Avec vSphere 4, VMWare englobe la virtualisation du stockage et du réseau

VMWare annonce que vSphere 4, le successeur de Virtual Infrastructure 3 (VI 3) sera disponible en juin. Autour d'un hyperviseur ESX 4.0 entièrement refondu, l'éditeur décrit un environnement, lui aussi, profondément modifié. Pour résumer, là où VI 3 était centré sur les serveurs, vSphere 4 étend les avantages de la virtualisation à l'ensemble des ressources annexes, autrement dit le stockage et le réseau. Cette avancée dans la décorrélation entre les couches matérielles et logicielles devrait contribuer, selon Réza Malekzadeh, directeur produits et marketing senior chez VMware EMEA, à libérer les directions informatiques du poids du coût d'entretien de l'existant. Aujourd'hui, elles ne peuvent consacrer que 5% de leur budget à l'amélioration de leur infrastructure alors qu'elles doivent en dépenser 43% à sa maintenance. Les 53% restants étant dédiés aux applications (30% pour leur maintenance et 23% pour leur amélioration). Si les premiers éléments de vSphere arrivent en juin, ils ne seront pas tous là ensemble. VMware entretient soigneusement le flou sur les fonctionnalités qui seront totalement opérationnelles au début de l'été et les autres. "Toutes les fonctionnalités de vSphere seront livrées d'ici à la fin de l'année, indique Réza Malekzadeh. D'ici là, les autres produits de VMware seront aussi mis à niveau pour vSphere." Entrée en scène de la notion de cloud computing Notons que le terme de VDC-OS (Virtual data center OS) a disparu au profit de celui de cloud OS. L'éditeur le préfère au précédent, car il lui permet d'intégrer la virtualisation dans la notion plus large de cloud, qui englobe aussi les ressources mises à disposition par des prestataires extérieurs. Bien qu'elles soient toutes liées aux caractéristiques de l'hyperviseur ESX 4 (voir tableau), les fonctions de vSphere 4.0 sont découpées en trois segments : vCompute, vStorage et vNetwork. vCompute est au coeur de l'hyperviseur tel qu'on le connaît déjà. Ses capacités d'optimisation des ressources CPU et mémoire (par l'entremise du DRS, Distributed Resource Scheduler) sont étendues. DPM (Distributed Power Management) peut activer ou désactiver des serveurs sous vSphere en fonction de la charge de traitement. A cela, s'ajoute une dimension pour l'optimisation des ressources de stockage et réseau qui donne naissance à vStorage et à vNetwork. vStorage annonce l'ajout à l'hyperviseur de fonctions pour gérer la surallocation de volumétrie (thin provisioning). Elles dispensent donc d'utiliser les outils proposés par les fournisseurs de stockage. vNetwork étend à toute une infrastructure virtualisée le rôle joué par le switch virtuel présent dans ESX 3.5. Le vNetwork Distributed Switch permettra à une VM de conserver ses attributs réseau en se déplaçant d'un serveur à un autre virtualisé sous vSphere. Le Cisco Nexus 1000V, qui peut jouer le rôle d'un vNetwork Distributed Switch, présente aussi l'avantage d'être administrable par les responsables réseau comme ils le font avec d'autres produits Cisco. La haute disponibilité grâce à des environnements virtualisés en miroir Parmi les autres améliorations apportées par vSphere, on notera VMware Fault Tolerant. Alors que HA (High Availability) de VI 3 permettait de relancer des VM en cas de défaillance, Fault Tolerant va un cran plus loin : il crée un environnement à tolérance de panne entre des configurations matérielles classiques (sans redondance ni cluster) en maintenant deux environnements virtualisés en miroir. Le volet le moins précis de l'annonce de vSphere est celui qui porte sur la sécurité. Même si le jeu d'API VMsafe est disponible depuis plusieurs mois, McAfee semble être le seul à proposer un produit finalisé. (...)

(16/04/2009 17:52:07)

La virtualisation en croissance de 55% en Europe, selon Gartner

Impressionnant. Le Garner estime que l'ensemble des marchés des logiciels de virtualisation devrait croître de 55% cette année, à 512 M$. Une hausse à deux chiffres qui tranche dans le paysage IT où, partout ailleurs, il est question de récession. Le cabinet d'analystes décompose ce marché en trois segments : la gestion des serveurs virtualisés, celle de leur infrastructure et, enfin, celle des postes clients (HVD, Hosted Virtual Desktop). Par HVD, le Gartner entend une virtualisation complète des postes de travail (OS et applications) sur serveur. Constatant que les hyperviseurs en tant que tels sont en passe d'être intégrés aux serveurs avec les OS (et inclus dans leur prix d'achat), le Gartner souligne la forte croissance de la demande de leurs outils de management (+54% à 245 M$). Les outils d'infrastructure progressent, quant à eux, de 33% à 211.5 M$. Enfin, la virtualisation du poste client, partie de moins de 13 M$ en 2008, devrait bondir de 335% à 56 M$. Ce qui ne représente toutefois que 11% du marché total. Le Gartner précise que ces chiffres ne tiennent pas compte de toutes les prestations annexes associées aux projets. Même si les estimations du cabinet d'étude concernent l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique, le Vieux-Continent concentre 88% de l'activité, soit 451 M$ (+54%). Trois pays mènent le bal avec 61% du marché à eux seuls. En tête, le Royaume-Uni (23%) et l'Allemagne (22%) se sont distingués en accueillant parmi les plus importants déploiements de postes de travail virtualisés. Ils sont suivi par la France avec 16%. Sans qu'aucun d'entre eux n'atteigne 10%, l'Italie, les Pays-Bas, l'Espagne et la Suisse totalisaient une part de marché de 23%. (...)

(14/04/2009 09:43:09)

Les outils d'administration de HP à l'heure de la virtualisation

HP adapte les outils d'administration de sa suite BSA (Business Service Automation) au goût de la virtualisation. Les évolutions de Storage Essentials et d'Operations Orchestration résultent en grande partie de l'intégration du savoir-faire d'Opsware, acheté 1,6 Md$ en juillet 2007. Storage Essentials trace désormais les machines virtuelles des environnements VMware. L'outil indique aux administrateurs où sont situées les machines virtuelles ainsi qu'une cartographie des éléments de stockage qu'elles utilisent. A partir de là, il est possible de réallouer les ressources non utilisées. Le produit intégrera ensuite Hyper-V de Microsoft, puis XenServer de Citrix. Storage Essentials s'occupe aussi de réserver automatiquement des ressources de stockage. Operations Orchestrator automatise quant à lui l'allocation des environnements virtualisés. A partir de modèles prédéfinis, il guide les administrateurs dans la configuration des éléments de stockage, du réseau et des serveurs virtualisés. HP affirme qu'Operations Manager accélère et standardise ces processus. Operations Orchestrator s'interface avec les consoles d'administration de VMware Virtual Infrastructure, d'Hyper-V et de XenServer. Administrer les environnements virtualisés devient vital La virtualisation des serveurs s'étend à un nombre de plus en plus grand de datacenters et ce marché est présenté par les cabinets d'étude comme le seul promis à une progression cette année. C'est donc en toute logique que HP fait évoluer Storage Essentials et Operations Orchestration pour faciliter la gestion des machines virtuelles. Un point crucial, tant la prolifération de ces dernières et leur difficulté d'administration risquent de transformer des économies potentielles en une explosion incontrôlée des coûts d'exploitation. Une des causes principales de ces problèmes résulte du décalage entre l'état d'avancement de la virtualisation des serveurs et celle des éléments qui s'y rattachent, les entrées/sorties, le réseau et le stockage. (...)

(09/04/2009 16:37:25)

OVF 1.0 promet la portabilité totale des machines virtuelles

Le format OVF 1.0 (Open Virtual Machine) vient de voir le jour. Ce conteneur XML, qui assure la portabilité des machines virtuelles (VM), est un pas intéressant vers une véritable virtualisation des applications. OVF est l'indispensable sésame pour que le terme "appliance virtuelle" prenne tout son sens. L'empaquetage d'une machine virtuelle dans une enveloppe OVF est supposé garantir sa portabilité entre différents environnements en assurant son intégrité et l'automatisation de sa manipulation. Le conteneur OVF emballe les formats de machines virtuelles propres aux hyperviseurs de VMware (VMDK), de Citrix, Microsoft et Virtual Iron (VHD) ainsi que celui de KVM, choisi par Red Hat (QCOW pour QEMU Copy-On-Write). OVF y ajoute la description des paramètres nécessaires à l'allocation de ressources pour leur fonctionnement. Le projet Kensho de Citrix repose sur l'exploitation d'OVF Pour l'instant, Citrix est le seul éditeur à avoir fait un usage marketing d'OVF. En juillet dernier, il avait pré-annoncé le projet Kensho, outil de portage des machines virtuelles qui repose sur l'exploitation d'OVF. On notera que Kinsho privilégie les environnements Citrix, Microsoft et Linux (version 1.1 du projet) et qu'il semble exclure celui de VMware. Du côté du libre, depuis l'automne dernier, IBM soutien le projet Open-OVF qui vise à créer une boite à outils sous licence Eclipse. Open-OVF se focalise sur les hyperviseurs Open Source Xen et KVM. Lancé en 2007, le projet OVF a été mené à bien sous la houlette de la DMTF (Distributed Management Task Force), association professionnelle fondée en 1992 qui regroupe les plus grands noms de l'industrie qui y collaborent autour de la standardisation des outils d'administration. Le schéma CIM (Common Information Model) est le standard le plus connu de la DMTF. C'est à travers lui que tous les équipements informatiques transmettent les informations qui les concernent. OVF s'inscrit dans le cadre plus général de VMAN (Virtualisation Management Initiative). (...)

(31/03/2009 18:17:47)

Nehalem fait (enfin) sa sortie officielle

Cette fois, il est là. Le processeur Nehalem d'Intel est officiellement disponible sous son vrai nom, le Xeon 5500. On avait presque oublié qu'il n'avait pas fait sa sortie dans le grand monde, puisque depuis plusieurs semaines, nombreux sont les constructeurs à avoir présenté des machines qui exploitent ces nouvelles puces : Apple et Lenovo pour les postes de travail, Cisco, Dell, HP et IBM pour les serveurs. La ligne complète de Xeon 5500 se décline en 17 versions, des quadri-coeurs pour la plupart avec 4 à 8 Mo de cache de niveau 3. Leurs fréquences s'échelonnent entre 1,86 et 3,20 GHz et Intel présente une série de mesures impressionnantes. Le nouveau Xeon affiche ainsi des performances de calcul en entiers de 240 SPECint_rate_base2006 et en virgule flottante de 194 SPECfp_rate_base2006 (sur Primergy de Fujitsu). L'exécution d'Oracle 11g sur un ProLiant DL370 de HP donne 631 766 tpmC et le test du module de gestion commerciale SAP SD sur serveur IBM System x 3650 M2 montre une capacité à gérer 5 100 utilisateurs. Du côté de la virtualisation, la puce obtient 23,55 pour 16 « mosaïques » (ensembles de six machines virtuelles) au test VMmark (mesure des performances en virtualisation) sur plusieurs plateformes. Il faut dire qu'Intel a porté une attention toute particulière au sujet. La fin du Front Side Bus Outre sa conception en 45 nm et l'utilisation du nouvel isolant high-K metal gate, Intel a truffé sa puce d'innovations technologiques. Les constructeurs de serveurs l'avaient laissé entendre et le fondeur confirme : le 5500 sera un bien meilleur gestionnaire de mémoire que ses prédécesseurs, une des raisons qui en ferait une puce particulièrement adaptée à la virtualisation. Le Nehalem tire ses capacités d'un contrôleur mémoire installé directement sur la puce. Le Front Side Bus qui jouait l'intermédiaire entre processeur et mémoire a définitivement disparu. Par ailleurs, le processeur sait désormais gérer de la DDR3 et un total de 144 Go. Pour mieux s'adapter à la virtualisation, Intel propose aussi une nouvelle génération de sa propre technologie VT (Virtualization Technology) et une assistance matérielle à la gestion des entrées/sorties. Des outils censés doubler les performances de la virtualisation et réduire de 40% les délais de latence en la matière. Le TurboBoost, lui, règle la fréquence des coeurs en fonction de la charge qui leur est allouée. Les processeurs travailleront ainsi au-dessus de leur fréquence nominale (jusqu'à 3,33 GHz) pour accélérer certaines tâches, et a contrario, seront mis en veille afin de consommer un minimum lorsqu'ils n'ont rien à faire (10 watts). Un focus particulier sur la performance énergétique [[page]] Parmi les autres outils qui augmentent les performances, l'hyper-threading exécute jusqu'à huit threads (instructions élémentaires) par Xeon 5500. Le QPI (QuickPath Interconnect) de son côté, permet une connexion plus rapide avec les autres processeurs et composants de la machine. Pas de surprise en outre, Intel s'est focalisé sur la performance énergétique de son Xeon 5500. Il est donc capable de s'installer dans un mode veille très économe grâce au Turboboost, mais aussi de se remettre en fonctionnement beaucoup plus rapidement, préservant là encore l'énergie. Les interrupteurs électriques intégrés (Power Gates) savent, eux, désactiver l'alimentation de certains coeurs. Avec l'Intelligent Power Technology, l'OS peut aussi placer les processeurs, les chipsets et la mémoire dans leur état le moins gourmand pour une tâche donnée. Intel estime que dans une même enveloppe énergétique, un serveur à base de Xeon 5500 devrait être 2,25 fois plus performant que ses prédécesseurs. La plate-forme serveur Verari Systems VB1305 équipée du Nehalem obtient un score de 1943 ssj_ops/watt dans le cadre de la mesure de rendement énergétique SPECpower_ssj2008 (mesure du rendement énergétique). Un record si l'on en croit Intel. Ce test fait travailler tous les éléments du serveur, y compris en exploitant le multiprocessing, installe une machine virtuelle Java, un compilateur JIT, etc. Le fondeur livrera des versions à 95, 80 et 60 watts pour des modèles en rack ou des lames. (...)

(27/03/2009 16:59:35)

Un hyperviseur natif en vue chez Parralels

Parralels prévoit de livrer un hyperviseur natif d'ici la fin de l'année. Moins médiatisé que ses concurrents, Parralels représentait tout de même la deuxième part en valeur du marché de la virtualisation l'an dernier, selon IDC. Loin derrière les hyperviseurs de VMware (78% de part de marché), Virtuozzo s'est tout de même octroyé 16% de part de marché. La société est surtout présente sur le marché des hébergeurs. Son projet d'hyperviseur de type 1 viendra compléter l'offre actuelle qui repose sur une technologie de containers. Celle-ci a le mérite d'offrir une meilleure granularité que l'approche de l'hyperviseur natif dont le point fort est en revanche le meilleur isolement des VM. Cet hyperviseur de type 1 devrait supporter jusqu'à huit coeurs, 64 Go de mémoire et seize interfaces réseau virtualisées. Parallels prévoit de fondre dans un seul produit ses deux approches, celle de l'hyperviseur de type 1 et celle qui utilise des containers. Contrairement aux environnements de VMware, Microsoft et Citrix qui reposent principalement sur un hyperviseur gratuit et des suites complètes d'administration payantes, Parralels prévoit de vendre son futur produit avec des fonctions d'administration et d'automatisation. Rappelons que, fin 2007, la société SWSoft, qui édite Virtuozzo, s'est donné comme nom Parallels qui n'était jusque là que celui de son hyperviseur de type 2 pour environnement Apple. (...)

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