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Virtualisation

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(26/03/2009 17:57:12)

AMD migre une machine virtuelle entre des Opteron de générations différentes

Par le biais d'une vidéo, AMD fait la démonstration de la migration à chaud d'une machine virtuelle sous ESX de VMware entre trois générations de processeurs Opteron : deux quadri-coeurs 65 et 45 nm et son prochain hexa-coeurs, Istanbul. L'exercice est loin d'être trivial. La migration à chaud d'une machine virtuelle, un des principaux atouts de la virtualisation, se heurte encore aujourd'hui à une restriction de taille. Elle ne peut se faire qu'entre serveurs dotés du même modèle de processeur. Tant AMD qu'Intel ont ajouté à leurs dernières générations de processeurs des extensions pour faire sauter cette limitation. En position de challenger, AMD est celui des deux qui communique le plus sur le sujet, mais Intel est aussi sur la brèche. Les hyperviseurs ne sont pas égaux devant la migration inter générations Bien entendu, la migration entre générations sera effective uniquement d'une génération n à toutes celles qui la suivent. De plus, tous les hyperviseurs ne sont pas sur un pied d'égalité pour supporter ce type d'opérations. Pour Hyper-V, dépourvu pour l'instant de migration à chaud, la question ne se pose pas. Dans le cas d'ESX, AMD et Intel coordonnent Enhanced vMotion (ESX 3.5 Update 2) avec les extensions de leurs processeurs. Chez AMD, il s'agit d'Extended Migration et de Rapid Virtualization Indexing, deux fonctions qui font partie d'AMD-V. Chez Intel, VT FlexMigration joue le même rôle au sein du jeu d'instructions Intel VT-x. En novembre dernier, AMD avait utilisé l'hyperviseur KVM, depuis adopté par Red Hat pour faire la démonstration d'une migration de machine virtuelle entre deux plateformes serveurs hétérogènes animées, d'un côté, par un Intel Xeon E5420 et, de l'autre, par un AMD Opteron. Difficile de faire plus éclectique. A l'époque, tant Intel que VMware, mis devant le fait accompli, avaient considérablement minimisé la portée de l'exercice... Sur Xen, Guillaume Le Tyrant, directeur marketing produit chez Citrix France, confirme que la fonction, si elle est présente dans la version open source, n'est pas intégrée dans Xen Server. (...)

(26/03/2009 17:36:40)

Nehalem et virtualisation au coeur de l'offre Dell

Après Cisco, c'est au tour de Dell d'adopter le Nehalem dans sa nouvelle gamme de serveurs Poweredge, 11e du nom. Mais l'effet est plutôt tombé à plat car Intel compte encore garder le secret sur le détail de ses puces jusqu'à la semaine prochaine. Le Nehalem, devenu Xeon 5500, est un quadri-coeur plus performant et moins gourmand en énergie, il est conçu en 45 nm, gère davantage de mémoire et est optimisé pour la virtualisation. C'est à peu près tout ce que l'on sait du nouveau bébé. Dell a donc enrichi sa gamme de serveurs, mais aussi son offre de stockage et enrobe le tout avec un ensemble d'outils d'administration. L'arrivée de Cisco sur le marché, quelque peu effacée par les rumeurs de rachat de Sun par IBM, a néanmoins poussé les constructeurs, dont Dell, à procéder à des annonces groupées. Un moyen sans doute de notifier au nouveau venu qu'ils sont toujours bel et bien dans la place. Cinq serveurs plus adaptés à la virtualisation Une tour (T610), deux lames (M610 et M710) et deux serveurs en rack (R610 etR710). Ainsi se décline la nouvelle offre PowerEdge de Dell qui, comme le Unified connected system de Cisco, parie sur la virtualisation. Pour ce faire, les nouveaux serveurs disposent au choix d'un hyperviseur Citrix, Microsoft ou VMware. Dans le même but, ils sont dotés d'une quantité de mémoire maximum de 192 Go pour les configurations les plus puissantes et d'une capacité d'entrées/sorties accrue. Dell a aussi amélioré la performance énergétique de ses nouveaux modèles avec un design approprié et des ventilateurs plus efficaces. Le serveur en rack R710 consomme ainsi en moyenne 46 watts de moins que la gamme précédente. Le constructeur explique enfin avoir mis l'accent sur un design plus convivial. Ainsi, dans les cinq nouveaux modèles, les composants sont disposés de la même façon. Par ailleurs, sur tous les PowerEdge, Dell propose désormais DMC (Dell management console), une console d'administration unique pour l'ensemble de ses actifs matériels ou virtuels (contre neuf produits différents précédemment). Celle-ci s'appuie sur la technologie Altiris de Symantec. Elle gère les serveurs matériels et virtuels, réalise des diagnostics, surveille les OS et réalise des mises à jour applicatives. Les serveurs embarquent aussi, sur une simple carte SD, des pilotes, des mises à jour et des outils d'administration et de roll back évitant la livraison des CD avec la machine. Une fois définies, les configurations peuvent être sauvegardées chez Dell pour un déploiement jusqu'à deux fois plus rapide selon le constructeur. Du SSD dans les EqualLogic PS6000 Les cinq nouveaux systèmes de stockage EqualLogic PS6000 ont eux-aussi été conçus pour s'adapter aux environnements virtualisés. Ils disposent ainsi de contrôleurs de nouvelle génération. Dédiés, ils tirent le meilleur parti de disques SSD qui ne sont pas forcément parmi les plus chers et gèrent jusqu'à 4 ports Gigabit Ethernet. Les systèmes s'appuient sur des processeurs plus rapides et disposent de deux fois plus de mémoire cache. Ils adoptent le Raid 6 et sont prêts pour le vStorage de VMware. Enfin, l'administration SAN HQ est capable par exemple d'une intégration avancée de SAN dans Hyper-V de Microsoft. (...)

(26/03/2009 17:27:38)

Sun livre la version 3 de sa Virtual Desktop Infrastructure

Avec l'arrivée de la version 3 de sa Virtual Desktop Infrastructure (VDI - virtualisation des postes de travail) qui repose sur des serveurs Sparc ou x64 sous Solaris 10, Sun apporte des améliorations tant au niveau de l'intégration en environnement hétérogène qu'avec ses propres technologies. Dans le monde Microsoft, VDI supporte désormais le protocole réseau RDP de Microsoft ainsi que son Active Directory. Côté VMware, Sun annonce une meilleure intégration. Au niveau de l'environnement Sun, VDI 3.0 reconnaît le gestionnaire de fichiers dernier cri ZFS et OpenStorage. Le constructeur associe cette dernière fonction à la possibilité de réduire nettement l'espace de stockage, mais sans prendre la peine d'expliquer comment. (...)

(24/03/2009 16:34:10)

vCMA administre VMware à partir d'un téléphone mobile

En avril, VMware proposera la version bêta de vCenter Mobile Access (vCMA) pour administrer un environnement VMware à partir d'un simple téléphone mobile. Le logiciel disposera d'alarmes diverses, de la localisation de machines virtuelles, de la gestion de leur déplacement à chaud, du lancement d'une sauvegarde, etc. vCenter Mobile Access (vCMA) est associé à l'appliance virtuelle vCMA server, qui réside sur le serveur. L'application web vCMA pourrait fonctionner sur les principales plateformes de Smart GSM : Symbian, iPhone, BlackBerry, Android et Windows Mobile. Si tant est que l'on accepte de s'en remettre à un écran de quelques centimètres de diagonale pour réaliser des tâches cruciales. (...)

(24/03/2009 14:22:28)

Suse Linux Entreprise 11 sous le signe de la cohabitation avec Microsoft et de la virtualisation

Novell livre la version 11 de Suse Linux Entreprise (SLE), deux ans après la version 10. Issue d'OpenSuse 11, SLE est la distribution supportée par Novell auprès des entreprises. Elle traduit à la fois les liens qui unissent Novell à Microsoft et l'effort de l'éditeur pour s'adapter à la virtualisation des serveurs. SLE est proposée en deux versions. Une pour serveurs, Suse Linux Enterprise Server (SLES), et une pour poste individuel, Suse Linux Enterprise Desktop (SLED). Les deux reposent sur la version 2.6.27 du noyau Linux. Deux fonctions de SLE 11 s'expliquent par la collaboration entre Novell et Microsoft. On y trouve ainsi pour la première fois Mono, qui permet de faire tourner sur Linux des applications écrites pour le framework .Net, ainsi que son dérivé MoonLight, version Linux de Silverlight 2.0, client riche que Microsoft pose en concurrent de Flash/Flex d'Adobe. Novell confirme aussi son attachement à l'hyperviseur open source Xen 3.3 soutenu à la fois par Citrix et Microsoft. Une façon de se démarquer de Red Hat qui a annoncé le mois dernier faire de l'hyperviseur KVM (Kernel-based virtual machine) son prochain cheval de bataille. Toujours dans le domaine de la virtualisation, SLES 11 devrait prochainement recevoir le Studio Appliance Toolkit qui permettra à des entreprises ou des éditeurs tiers de créer des 'appliances' virtuelles avec un JeOS (Just Enough Operating System), version minimaliste de SLES. Moonlight, OpenOffice et Firefox en standard dans Sled 11 Novell compte aussi enrichir ses pilotes paravirtualisés (Virtual Machine Driver Pack) pour Windows Server 2003 et 2008, Windows XP, Vista et, également, pour REHL 4 et 5. SLES 11 intègre aussi de nouvelles extensions pour la haute disponibilité. Quant à la version desktop, SLED 11, elle marque un net progrès en termes de facilité d'utilisation, en particulier dans la dimension multimédia avec la présence de Banshee et, aussi, de MoonLight. Elle est aussi livrée avec la dernière version d'Evolution, client mail professionnel compatible avec Microsoft Exchange. SLED utilise la version 2.24 de l'interface Gnome et la 4.1.3 de KDE. L'OS est livré avec les versions 3.0 d'OpenOffice et de Firefox. (...)

(17/03/2009 17:36:16)

Les systèmes UCS de Cisco utilisent un accès unique au réseau et au stockage

Cisco fabrique des serveurs. Cette fois, la rumeur est devenue annonce. Mais quelques détails techniques s'imposent. Pour commencer, plutôt que de serveurs, il s'agit en quelque sorte de datacenters prêts à l'emploi en châssis, modulaires et évolutifs. La popularité de la virtualisation et celle de sa petite soeur, la consolidation, ont inspiré Cisco. Son infrastructure s'appuie sur l'utilisation combinée de serveurs physiques et virtuels et sur l'idée d'une augmentation de la capacité de traitement au fur et à mesure de l'évolution des besoins de l'entreprise. L'UCS (Unified Computing system) se compose de quarante châssis maximum dans chacun desquels se logent jusqu'à huit serveurs. Un calcul rapide conduit donc à une limite haute de 320 machines par configuration. Ces serveurs B-Series « made in Cisco » sont des machines banalisées articulées autour du quadri-Xeon d'Intel, le Nehalem. La puce devrait d'ailleurs être officiellement disponible à la fin du mois de mars. A cette occasion, le voile sera levé sur une technologie développée par Intel avec l'aide de Cisco et qui devrait permettre d'étendre la mémoire disponible dans des limites jamais atteintes. Des limites qui seront aussi précisées à l'occasion de l'annonce de la disponibilité du Nehalem. Cet outil d'extension de la mémoire est indispensable à l'UCS, comme le précise Eric Debray, responsable datacenter pour Cisco France. « Cette capacité est importante pour trois raisons. Elle permet de gérer davantage de machines virtuelles, de traiter des fichiers plus gros et d'utiliser des types de mémoire moins chers si besoin. » Le réseau et le stockage accessibles au travers d'un 'Network Fabric' Les châssis d'un UCS intègrent donc uniquement des serveurs et sont débarrassés des encombrants câblages et commutateurs réseaux. Pour ce faire, Cisco exploite son 'Network Fabric', module de deux commutateurs FCoE (Fibre Channel over Ethernet) de la famille Nexus. C'est au travers de ce module que chaque serveur se connecte aussi bien au réseau qu'au système de stockage. Chaque noeud intègre en effet deux cartes de connexion identiques pour la redondance, mais surtout des cartes capables de traiter à la fois des trames Fibre Channel et Ethernet. L'UCS est destiné à des environnements virtualisés. VMware est un des partenaires principaux de Cisco sur le sujet, mais le constructeur ne néglige pas Microsoft et son Hyper-V. C'est avec le premier néanmoins qu'il a mis au point un commutateur logiciel capable de mixer serveurs physiques et virtuels. « Le réseau est partie intégrante du processus, rappelle Eric Debray, même quand on souhaite migrer des machines virtuelles d'un serveur physique vers un autre, par exemple. » Enfin, Cisco installe aussi dans son UCS son outil d'administration unique de l'ensemble du système, UCS Manager. Il prédéfinit des profils de service pour certains types d'applications qui définissent les ressources d'infrastructure dont ces dernières ont besoin. Ces profils peuvent être réaffectés à volonté d'un serveur à l'autre pour une répartition de charge optimisée. Une offre disponible au deuxième trimestre L'offre sera disponible au deuxième trimestre 2009, sans plus de précision pour l'instant. Sa commercialisation passera par les partenaires du constructeur soumis à la certification ATP (Advanced technology partner). « Cela sera forcément plutôt réservé à des acteurs ayant des compétences à la fois dans le réseau et les serveurs, insiste Eric Debray. Mais Cisco va faire un gros investissement pour les accompagner. Sur le datacenter, nous avons aussi des équipes de vente traditionnelles qui, en plus des compétences réseau ou serveur, ont des compétences sur les applications, les ERP par exemple, le câblage, la consommation électrique, etc. Aujourd'hui, le marché du datacenter représente 85 Md$ et Cisco n'en a que 9% à travers les technologies réseau. Avec notre nouvelle offre, ce marché pourrait représenter jusqu'à 20 Md$ supplémentaires pour nous. » (...)

(16/03/2009 19:10:38)

Cisco lance son offre serveurs, façonnée pour le datacenter

Entouré d'un impressionnant aréopage de grands patrons de l'IT, John Chambers, PDG du géant des réseaux Cisco, a procédé à l'annonce tant attendue de ses serveurs. Le système (ne l'appelez surtout pas « lame ») s'appelle Unified Computing Sytem (UCS). Le principe : réunir en un seul lieu l'ensemble des éléments d'infrastructure nécessaires à la mise en oeuvre d'un datacenter au sein d'un système unique mixant serveurs physiques et virtuels. A la façon d'un datacenter prêt à l'emploi et extensible, il regroupe la puissance de calcul, l'accès au stockage en réseau et la virtualisation. Multi-chassis, UCS inclut les serveurs B-Series de Cisco conçus à base de x86 (des Nehalem pour les premières moutures) et d'une connexion 10 Gigabit Ethernet à faible latence. Il accueille jusqu'à 320 machines et plusieurs milliers de machines virtuelles. Chaque module du système intègre des éléments facilitant l'administration globale de l'ensemble au travers de l'outil d'administration de Cisco, UCS Manager. Par ailleurs, l'allocation dynamique de ressources s'exécute au travers de profils de services prédéfinis privilégiant ainsi les applications et le métier de l'entreprise. Le Cisco UCS 6100 Series Fabric Interconnects, structure unique d'interconnexion, relie quant à lui l'ensemble des éléments du système. Il évite ainsi les câbles, adaptateurs et autres commutateurs qui se multiplient habituellement dans les datacenters. Les configurations détaillées de l'offre ne seront dévoilées qu'en avril. Windows et Linux, vSphere de Vmware et Hyper-V de Microsoft Parmi les acteurs majeurs qui ont participé au développement de cet environnement, Intel est un partenaire de choix puisque les systèmes de Cisco s'appuient sur ses puces. Mais les deux géants ont également travaillé ensemble sur la capacité des UCS à étendre la quantité de mémoire disponible pour tel ou tel service. Une fonction particulièrement utile avec la virtualisation. A ce propos, VMware et Microsoft assurent la compatibilité de leurs hyperviseurs respectifs sur le système. Le premier avait également annoncé récemment un switch virtuel avec Cisco. Le second est, quant à lui, également impliqué au travers de l'ensemble de ses systèmes d'exploitation qui tourneront sur la nouvelle machine. Linux n'est pas exclu puisque RHEL de Red Hat et Suse de Novell sont au programme. Quant à BMC, habitué de l'administration de systèmes hétérogènes, il a adapté son environnement pour gérer l'UCS et ses différents modules physiques, virtuels, de calcul, de stockage, etc. Enfin, green IT oblige, Cisco assure que son système aura besoin de moitié moins d'électricité et moitié moins de refroidissement qu'un environnement lames classique. L'intégration de l'ensemble à elle seule explique un besoin moindre d'alimentation électrique, par exemple. Mais le constructeur a aussi travaillé sur la circulation de l'air dans le châssis et l'efficacité des alimentations. (...)

(11/03/2009 17:14:37)

Stratus couple la virtualisation à la tolérance aux pannes, pour les PME

Stratus Technologies, spécialiste américain des systèmes x86 redondants, annonce la livraison gratuite de la version Foundation (entrée de gamme) de VMware Virtual Infrastructure 3 (VI3) avec ses ftServers. Cette promotion, qui représente une économie de 900 € HT environ, doit s'achever fin juin. L'intérêt de cette offre est simple : associé à VI3 Foundation, la redondance des éléments standards des ftServers permet d'obtenir un niveau de fiabilité sur un seul serveur Stratus supérieur à celui d'une configuration composée de machines x64 standards en cluster. En effet, pour Thierry Seror, directeur général de Stratus France, le couplage ftServer /VI Foundation assure une continuité de fonctionnement des machines virtuelles. Un cas de figure difficile à reproduire avec une configuration matérielle standard en cluster qui réclame un redémarrage des machines virtuelles, lequel se déroule en séquence. De plus, le couplage d'un ftServer avec VI Foundation permet aux PME d'éviter l'acquisition d'une configuration de deux serveurs, chacun avec leur licence ESX, l'OS, un SAN, des commutateurs et la version Standard de VI 3 (2700€ HT, première version de VI 3 à supporter la migration des machines virtuelles à chaud). Le prix de cet ensemble est bien plus élevé que les 35 000 € annoncés par Stratus pour une configuration opérationnelle avec sa baie de stockage en attachement direct (lire encadré). Au-delà de la cible des PME, Thierry Seror voit se préciser le marché des grands comptes qui, une fois achevée la phase de virtualisation de leurs serveurs d'infrastructure, réalise que la panne matérielle d'une configuration virtualisée paralyse l'équivalent d'une salle machine composée d'au moins une douzaine de serveurs physique. Par ailleurs, aux Etats-Unis et en Allemagne, Stratus commence à proposer une solution 100% logicielle appelée Avance qui ajoute la redondance à la virtualisation. Basé sur le code de l'hyperviseur XenServer de Citrix, Avance est vendu aux environs de 5000 dollars pour coupler deux serveurs x64 standards (HP, Dell....). Là encore, le but est d'abaisser le ticket d'entrée de configurations virtualisées résistantes aux pannes. (...)

(10/03/2009 18:05:29)

Citrix Essentials affinera la gestion des ressources sous Hyper-V

Du côté Microsoft, l'administration de virtualisation s'appelle System center Virtual machine manager (VMM 2008) avec son sur-ensemble System Center . Du côté Citrix XenCenter, elle a pour nom Essentials. Depuis fin février, et la collaboration de leurs éditeurs, les deux environnements sont appelés à cohabiter, voire à s'entraider sur des sites virtualisés avec, à la fois, Hyper-V de Microsoft et XenServer de Citrix. Un schéma fourni par Citrix donne un bon aperçu théorique de la future imbrication des deux environnements. Il faudra toutefois attendre fin avril pour qu'Essentials, disponible d'ici deux semaines, exploite toutes ses fonctions sur Hyper-V. Pour Guillaume Le Tyrant, directeur marketing produit chez Citrix France, il apportera des capacités d'optimisation à VMM 2008 et à System Center. Essentials pour Hyper-V au même prix que pour XenServer "Soixante dix clients français ont installé System Center Virtual Machine Manager (VMM 2008) depuis sa disponibilité" annonce Geneviève Koehler, chef de produit System Center chez Microsoft France. Chez Citrix, Guillaume le Tyrant décompte une soixantaine d'installations de XenCenter " dans des configurations de quatre à cinq serveurs". Les deux s'accordent à considérer qu'Essentials permettra une gestion plus fine des ressources virtualisées en environnement Microsoft. Comme on pouvait s'en douter, la question du prix d'Essentials sur plateforme Microsoft concerne davantage Citrix. Guillaume Le Tyrant promet que le prix d'Essentials for Hyper-V ne sera pas plus élevé que celui pour XenServer. Or ce dernier est gratuit et SCVMM est payant. Citrix fera donc un effort. (...)

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