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Virtualisation

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(11/12/2007 16:19:32)

EMC remet enfin Invista au goût du jour

Dans une version 2.0 très attendue, Invista, l'outil de virtualisation du stockage en réseau d'EMC, supporte enfin VMware officiellement et améliore nettement la fiabilité et les performances de la version précédente. Le logiciel Invista 2.0, qui est commercialisé dans la zone de 100 000 $ pour un volume de stockage de 10 To, administre des switches Brocade ou Cisco pour assurer la gestion et la migration dynamique des volumes. Cette version 2.0 exploite aussi des contrôleurs en cluster. Les éléments constitutifs d'un environnement Invista peuvent être éloignés les uns des autres de 500 mètres maximum. Les spécialistes du secteur considèrent que cette version 2.0 sonne l'heure de la maturité pour Invista. Elle supporte 8000 volumes virtuels, soit le double dont était capable la version 1.0. Toutefois, pour des raisons de rentabilité, Invista n'assure pas les fonctions de réplication pour lesquelles il faut toujours acquérir SRDF. Invista avait été lancé en 2005 à l'attention des gros consommateurs d'équipements de stockage qui utilisaient au moins cinq baies. Invista se pose en concurrent de SAN Volume Controller (SVC) d'IBM, de TagmaStore d'Hitachi Data Systems et aussi des produits de DataCore, de FalconStore et d'Incipient. A ce jour EMC revendique 200 utilisateurs d'Invista. (...)

(07/12/2007 15:11:47)

Sun administrera la virtualisation avec xVM Ops Center

A la suite de l'annonce de xVM, son propre hyperviseur fondé sur Xen pour architecture x64(*), Sun promet pour le début de l'an prochain xVM Ops Center 1.0, sa suite d'outils d'administration. Tous les grands acteurs du marché des serveurs ont bien compris que c'est au niveau de l'administration que se joue le gain de la nouvelle donne que constitue la virtualisation. Sur le papier, xVM Ops Center identifie et répertorie les serveurs, met à jour les firmwares, alloue des ressources matérielles, gère les hyperviseurs, attribue des ressources aux applications et supervise l'ensemble pour assurer une traçabilité des interventions. Cette suite est l'agrégation de différents outils qui existaient déjà chez Sun, avec une nouvelle interface écrite en Ajax. Si Sun propose xVM gratuitement sous licence GPL3, xVM Ops Center est lui payant. (*) L'architecture x64 est l'évolution en 64 bits de l'architecture x86 32 bits avec, en prime, des ajouts successifs dans les jeux de commandes des processeurs. Ajouts qu'AMD avait commencé à faire lorsqu'il fut le premier à proposer des processeurs x64. A l'époque, Intel prônait une rupture de comptabilité et la voie Itanium pour passer aux 64 bits. (...)

(05/12/2007 17:26:40)

La virtualisation menacerait de saturer les entrées-sorties

La virtualisation des serveurs commence à peine à se répandre que l'on découvre ses limites. La concentration des machines virtuelles sur un nombre restreint de serveurs physiques accroît fortement les besoins d'entrées-sorties. Le risque de saturation à ce niveau risquerait de limiter le niveau de performances. Xsigo, qui tente d'imposer sa solution de mappage virtuel des ressources de stockage, vient de produire une étude centrée sur les entrées-sorties en environnement virtualisé. Conduite auprès d'une centaine d'informaticiens employés dans autant de grands comptes américains, cette étude montre que pour 75% d'entre eux, un serveur qui héberge des machines virtuelles requiert sept ou plus E/S, alors qu'elles ne sont que deux à quatre sur des machines traditionnelles. De ce constat découlent les suivants : - 58% des informaticiens interrogés ont dû augmenter les E/S sur leurs serveurs virtualisés ; - 65% considèrent la simplification du câblage comme une priorité ; - 35% ont dû reconfigurer les connexions d'E/S au moins une demi-douzaine de fois au cours des douze derniers mois. Selon Xsigo, qui prêche bien sûr pour sa chapelle, l'ensemble de ces contraintes a d'importantes répercussions. Cela peut conduire à la mise en place de serveurs avec une taille de 4U, les 1U ne pouvant pas accueillir un nombre suffisant d'adaptateurs d'E/S. De plus, Xsigo affirme que "la connectivité limitée" des serveurs lames s'avère être un véritable handicap. A moins d'opter, bien évidemment, pour une virtualisation des E/S dont se chargerait à merveille le VP 780 I/O Director qui exploite Infiniband et ses 10 ou 20 Gigabit. Rappelons que, de leur côté, tant HP qu'IBM, les deux fournisseurs qui se partagent l'essentiel du marché des serveurs lames, proposent soit Virtual Connect (HP), soit Open Fabric Manager (IBM) qui permettent de virtualiser les E/S de leurs serveurs lames. (...)

(04/12/2007 14:46:05)

La plateforme de virtualisation de Sun disponible dès le 10 décembre

Annoncé au lendemain d'OpenWorld, xVM Ops Center, la console de gestion de virtualisation de Sun arrivera dès la semaine prochaine. En effet, la société en publiera gratuitement le code source dès le 10 décembre sur son site dédié : www.openxvm.org. Et le 8 janvier 2008, la version commerciale sera disponible pour tous. Gratuite, elle sera accompagnée par une offre de support allant de 100 à 350 $ par serveur administré. Pour l'instant, xVM Ops Center v1.0 permet d'administrer des serveurs x86 et Sparc tournant sous Linux et Solaris. Le support de Windows est prévu, mais aucune date n'a encore été officiellement annoncée. (...)

(28/11/2007 16:43:33)

VMWare Server 2 en bêta

VMWare lève le voile sur la bêta du successeur de VMWare Server, alias GSX. Gratuit, cet hyperviseur s'installe au-dessus d'un système d'exploitation (Windows, Linux) et non en dessous comme ESX Server, le fleuron de l'offre VMWare. VMWare Server, qui ne dispose pas de la batterie d'outils d'administration de son grand frère ESX, est donc moins résistant aux crashes. Depuis 2006, VMWare affirme que ce qu'il présente comme un outil d'initiation à la virtualisation a été téléchargé plus de 3 millions de fois. La plupart des licences (70%) ayant été activées par des PME. VMWare Server 2 pourra supporter une trentaine de versions de systèmes d'exploitation dont les principales distributions de Linux et les différents Window Server. Cette version permettra d'allouer jusqu'à deux coeurs de processeur par machine virtuelle, chacune pouvant se voir allouer jusqu'à 8 Go de mémoire. On ignore la date de disponibilité, il sera proposé avec un support payant dont on ignore aussi la tarification. (...)

(27/11/2007 15:28:09)

La virtualisation des postes clients est aussi à l'ordre du jour

Une étude de Forrester Research montre qu'au delà de la virtualisation des serveurs, celle des postes clients intéresse aussi de plus en plus. Sur 565 entreprises américaines et européennes interrogées, 18% auraient déjà implanté des logiciels de virtualisation pour leurs micro-ordinateurs et 8% prévoient de le faire l'an prochain. On trouve la plupart des sociétés intéressées parmi les très grands comptes ayant au moins 20 000 salariés. Certes, avec un taux d'adoption de 32%, la virtualisation des serveurs reste en tête, mais le remplacement des postes individuels par des lames intéresse 16% des entreprises. Les deux principales motivations pour la virtualisation des postes clients sont la réduction des coûts et la sécurité. (...)

(21/11/2007 17:34:23)

Microsoft prêt à supporter Windows Server sur tous les hyperviseurs

Microsoft se pose en rassembleur des hyperviseurs autour de Windows Server. Avec l'annonce de son programme Server Virtualization Validation, l'éditeur vient d'opérer un virage à 180° qui devrait satisfaire tous les utilisateurs. A compter de juin prochain, date à laquelle son propre hyperviseur Hyper-V sera disponible, Microsoft assurera en partenariat avec les sociétés intéressées le support de Windows Server virtualisé sur des hyperviseurs concurrents. Jusqu'à cette annonce, Microsoft n'offrait ce support qu'avec Suse de Novell en raison des accords d'interopérabilité qui lient les deux sociétés. Pour les autres, les utilisateurs devaient souscrire un contrat de support spécifique. Citrix, qui contrôle désormais XenSource, a été le premier à se réjouir de ce revirement. Mais Virtual Iron a aussi annoncé sa décision d'adhérer au programme de validation. Plus méfiant, VWMare précise être ouvert au principe et attendre des informations plus précises pour adhérer. La nouvelle attitude adoptée par Microsoft est à l'opposé de celle d'Oracle qui a lancé son offre de virtualisation en vouant aux gémonies celle des autres. (...)

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