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Virtualisation

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(12/02/2007 12:48:10)
La virtualisation séduit les data centers et les PME, indique Forrester
Née dans les années 60, la virtualisation - ou l'émulation de plusieurs applications ou systèmes d'exploitation sur un même ordinateur - séduit les data centers du 21e siècle. C'est en tout cas le résultat d'une étude menée par Forrester Research auprès de 1270 entreprises. Par rapport à 2005, l'intérêt pour la virtualisation s'est accru. Notamment en Amérique du Nord où 51 % des sociétés testent ou ont déjà déployé des technologies de virtualisation dans leurs data centers (contre 41 % seulement en 2005). En Europe, 35 % des sociétés ont des projets ou des déploiements de virtualisation (contre 30 % en 2005), et dans la zone Asie-Pacifique, elles sont 21 % (contre 23 % en 2005 ; selon Forrester cette baisse est due à un échantillon plus petit de sociétés asiatiques). Longtemps réservée aux grands comptes, la virtualisation - et ses économies d'échelle - suscite l'intérêt de toutes les tailles de sociétés. Ce sont même les plus petites d'entre elles qui s'y sont le plus intéressées en 2006. Ainsi 83 % des PME et 86 % des entreprises de taille moyenne ont déclaré étudier la virtualisation (contre respectivement 62 % et 60 % d'entre elles en 2005), alors que l'intérêt des grands comptes n'est passé que de 87 % à 92 % en un an. Une attraction bien comprise des éditeurs : VMWare comme XenSource ont des offres dédiées aux PME. (...)
(05/02/2007 23:00:23)Les TechDays de Microsoft France égalent le TechEd paneuropéen
Avec 4000 participants environ à la première journée de ses TechDays 2007, Microsoft France fait sans complexe jeu égal avec les événements européens, TechEd et ITForum. Débutée lundi matin, la conférence utilisateurs se déroulera au Palais des Congrès de Paris jusqu'à mercredi soir. Plus de 200 sessions sont proposées, dans leur immense majorité en français. C'est la première fois que Microsoft France propose un événement d'une telle ampleur, de façon totalement gratuite. Un ancien de Microsoft France, croisé dans les couloirs, ironisait ainsi : « Pendant longtemps, Microsoft nous reprochait le fait qu'il y ait peu de Français au TechEd. Mais entre un événement gratuit et en français et un événement payant en anglais, il n'y a pas photo. D'ailleurs on voit le résultat : il y a eu 13 000 inscriptions ! » Côté contenu, si Vista est évidemment une des vedettes des sessions, sous plusieurs coutures (interface graphique WPF, nouvel outil de script PowerShell, sécurité, supervision...), l'événement cible tout utilisateur informaticien potentiel, du développeur à l'administrateur système, en passant par le spécialiste des réseaux, des progiciels ou des bases de données. Microsoft a répertorié les sujets en 21 thèmes. (...)
(21/12/2006 17:19:33)Citrix rachète la technologie de diffusion temps réel d'Ardence
Le spécialiste du contrôle d'accès Citrix poursuit sereinement sa stratégie de croissance externe en se payant Ardence (100 employés, plus de 3000 clients), éditeur d'une technologie qui permet de diffuser en flux tendu (streaming) un OS et ses applications vers des clients légers, depuis un serveur central (concept du déport d'écran). Le montant de la transaction n'a pas été mentionné, mais l'opération devrait se finaliser au premier trimestre 2007. La technologie d'Ardence donnera la possibilité à Citrix de provisionner en temps réel un ensemble d'applicatifs, Windows ou Linux, vers des stations de travail sans disques durs. D'où, selon lui, une économie de coût d'administration et un environnement plus sécurisé. Couplé au produit-phare de la marque, Presentation Server, plate-forme de gestion d'applications centralisées, "les outils Ardence permettront aux administrateurs d'ajouter plus rapidement des serveurs à un ensemble de Presentation Server et favoriser la configuration dynamique des serveurs dans des centres de données". Pour construire son offre, Citrix s'est appuyé sur les rachats de notamment NetScaler en juin 2005 (optimisation des performances réseau) pour 300 M$, d'Orbital (optimisation WAN) pour 50 M$ et de Reflectent (supervision des performances) en mai 2006 pour 16,7 M$. (...)
(12/12/2006 14:35:16)Virtual Iron et XenSource défient VMware
Virtual Iron et XenSource viennent tout deux de mettre à jour une offre de virtualisation qui se veut bien plus économique que celle de VMware, avec l'ambition de rattraper l'éditeur dominant du marché. Virtual Iron vient en effet de présenter la version 3.1 de sa plate-forme de virtualisation pour entreprises, commercialisée à partir de 499 $ par support processeur, soit 80 % moins cher qu'une licence VMware équivalente, selon l'éditeur. De son côté, XenSource vient de mettre à jour son offre, avec une gamme complète de solutions de virtualisation pour entreprises, serveurs isolés et développeurs, à travers les produits XenEnterprise, XenServer et XenExpress. Le dernier produit est proposé gratuitement tandis que les deux premiers bénéficient d'une tarification agressive : 488 $ par serveur bi-processeur pour une licence annuelle de XenEnterprise, 750 $ par serveur bi-processeur pour licence perpétuelle de XenEnterprise, et 99 $ pour une licence annuelle de XenServer pour serveur bi-processeur. VMware Infrastructure 3 Enterprise est commercialisé à partir de 5 750 $ par serveur bi-processeur. VMware profite actuellement à plein du succès de la virtualisation. Son chiffre d'affaires a progressé de 86 % au troisième trimestre par rapport à la même période en 2005, à 188,5 M$. Virtual Iron et XenSource entendent bien profiter également de cette tendance. Simon Crosby, directeur technique de XenSource ne s'en cache pas : « notre intention est de couper l'herbe sous les pieds de VMware. » (...)
(05/12/2006 16:59:28)HP délocalise le poste de travail dans une lame
"Comment adresser les agences délocalisées, tout en gardant la même puissance qu'une salle des marchés?" C'est ainsi qu'Eric Jeanmougin, directeur WorkStation EMEA chez HP, présente le premier poste de travail lame du constructeur et également du marché. Etiquetée xw25p, la HP ProLiant WorkStation pose le concept d'une station de travail en lame accessible de façon déportée. Le projet voit le jour après une phase pilote d'un an "pour valider que les technologies soient en adéquation avec les besoins de clients", commente Eric Jeanmougin. Concrètement, la station de travail en lame repose sur le principe de dissocier la partie stockage, administration et applicative - insérés côté serveur sur une lame - , de leur contre-partie visualisation et manipulation - positionnée sur le poste client et représentée par les écrans (jusqu'à quatre), la souris et enfin le clavier. La liaison étant réalisée par le réseau de l'entreprise. La solution est notamment une alternative aux technologies de d'épart d'écran façon Citrix ou aux solutions de virtualisation de PC, telle que VDI de VMware. L'une des nouveautés de cette station est qu'elle s'insère dans l'infrastructure de châssis Bladesystem d'HP et que les pilotes de déport d'écran développés par la société sont censés permettre à des utilisateurs avancés, utilisant notamment la vidéo et la 3D, d'utiliser la station de travail à distance dans des conditions de performances acceptables. Pour cela, HP adosse son architecture sur un logiciel maison baptisé Remote Graphic Software (RGS), qui code et compresse les écrans graphiques (représentant les données) pour les "pousser" vers le poste client. Les actions réalisées depuis le poste client subissent également le même sort, pour être envoyées vers la lame. "Tout transite par le réseau et rien n'est stocké sur le poste client, commente Eric Jeanmougin, et ce, sans dégradation et sans aucune latence dans le traitement". Rejetant ainsi toute comparaison avec le client léger: "le poste de travail lame n'est pas multi-utilisateur. [Avec le système lame] Je garde mon environnement et je le délocalise dans un datacenter sans dégradation. Ce qui n'est pas le cas dans un environnement client/serveur. Il s'agit davantage d'une technologie complémentaire." Mobilité géographique et sécurité Assurément, l'architecture autour de la station de travail en lame adresse davantage les (très) grands comptes. HP met notamment en avant son positionnement pour les salles de marché, "un secteur qui a fait germer le projet", à travers un vaste déploiement de 255 postes chez la banque anglaise Lloyd. Outre la centralisation de l'administration bien connue avec les systèmes Blade, le poste de travail en lame se destine notamment aux entreprises délocalisées, disposant d'agences géographiquement clairsemées. Mais le principe doit également répondre aux problématiques de sécurité et de continuité d'activité, car "soit il permet le remplacement rapide d'une lame défectueuse, soit il autorise, notamment lors de déplacements, la poursuite de calcul côté serveur, sans y être connecté côté client". Enfin, il déplace le problème de dégagements de chaleur et de bruit, depuis le bureau vers la salle des machines, où il peut être alors traité. Et il peut également être utilisé comme outil de connectivité multi-sites et de travail collaboratif. Reste son prix. HP ne cache pas que l'ensemble représente un surcoût par rapport à un parc classique de postes de travail. " Entre 40% et 60%, précise Eric Jeanmougin, mais il offre un ROI (Return On Investment) bien plus intéressant". (...)
(30/11/2006 12:52:58)Novell ZENworks gère désormais les environnements virtualisés
Novell a dévoilé mardi 28 novembre trois nouveaux outils d'administration dans sa gamme ZenWorks, dont un spécifiquement conçu pour la gestion d'environnements virtuels. ZENworks Virtual Machine Management permet aux clients de la marque de déployer et d'administrer des machines virtuelles en environnement hétérogène. Le logiciel supporte à la fois les environnements de virtualisation de VMware et Microsoft, ainsi que l'hyperviseur Xen, que Novell embarque dans la dernière mouture de sa distribution Linux pour serveurs. Virtual Machine Management permet aussi de gérer les environnements virtualisés dans Novell Open Enterprise Server, son serveur hybride Linux/Netware. Le logiciel fonctionne sous Windows, Unix et Linux et permet de gérer les ressources virtualisées et de les affecter en fonction de règles prédéterminées. Opsware, IBM et CA ont présenté des outils similaires au cours des semaines écoulées. Parallèlement à l'annonce de ZENworks VMM, Novell a aussi lancé ZENworks Orchestrator qui permet d'automatiser l'affectation de ressources dans le SI en fonction de règles pré-établies. Le logiciel est notamment capable d'affecter des ressources en fonction de la performance mesurée des systèmes. Il peut aussi attribuer des ressources en fonction de la demande applicative. Enfin, Novell a aussi annoncé la disponibilité de ZENworks HPC (High Performance Computing) Management, un outil qui simplifie la gestion des applications Java dans un environnement de grille ainsi que la distribution des applications dans les environnements parallèles. Il est à noter que l'éditeur a également mis à jour ZENworks Asset Management en version 7.5. Cette mouture apporte notamment le support de Windows Vista et de SuSE Linux Enterprise Desktop 10. ZENworks Asset Management 7.5 est désormais facturé 33$ par poste administré. Le logiciel est disponible immédiatement, tandis que les trois nouveaux produits seront disponibles dans le courant du mois de décembre. (...)
(28/11/2006 13:00:56)CA unifie ses outils d'administration d'environnements virtuels et de clusters
Après IBM, CA s'attaque lui aussi à la gestion unifiée des environnements virtuels. L'éditeur, qui offrait jusqu'alors une palette dispersée de produits d'administration des ressources virtuelles, vient de consolider l'ensemble de ses outils dans Unicenter Advanced Systems Management (Unicenter ASM) r11.1. Cette solution permet de gérer depuis une console unique des environnements comme HP MC Service Guard, IBM HACMP, les partitions virtuelles sur les serveurs System p d'IBM (ex p-series), VMWare ESX Server et Microsoft Virtual Server. Le logiciel permet aussi de piloter les environnements de clusters de Microsoft, RedHat, Sun et Veritas. Parmi les fonctions d'Unicenter ASM figurent l'équilibrage de charge automatique dans les environnements complexes composés de plates-formes virtualisées et en cluster, l'allocation et le retrait dynamique de ressources ou encore le reporting. Le logiciel dispose d'un module de découverte, qui lui permet d'inventorier les ressources physiques et logiques disponibles sur le réseau, de les stocker dans la CMDB maison (Configuration management database, base répertoriant les ressources et leurs interrelations) et de créer une cartographie des ressources disponibles. Cette cartographie est remise à jour en continu, au fur et à mesure de l'ajout de ressources dans le réseau. Unicenter ASM s'interface avec Unicenter NSM (Network and Systems Management) avec lequel il partage ses concepts d'interface. (...)
(16/11/2006 17:46:06)TechEd ITForum 2006 : la virtualisation au coeur de Windows Longhorn
A Barcelone, où se tient actuellement le salon TechEd ITForum, Lemondeinformatique.fr a pu discuter avec Jim Ni, le responsable produit de la virtualisation chez Microsoft. Ce dernier a fait un point sur l'état des travaux du géant en matière de virtualisation de serveur. A court terme, la nouveauté est l'arrivée attendue au début 2007 du Service Pack 1 de Virtual Server 2005 R2. Ce Service Pack apporte notamment le support des architectures d'accélération matérielle développées par AMD et Intel pour leurs puces. Virtual Server 2005 R2 SP1 fonctionnera sur les versions 32 bit et 64 bit de Windows Server 2003 mais ne supportera que les systèmes clients 32 bit (Windows et Linux). Selon Jim Ni, il apportera des gains significatifs de performances, en particulier pour les environnements Linux. Virtual Server ne devrait ensuite plus guère évoluer jusqu'au lancement de l'hyperviseur Windows attendu au premier trimestre 2008, peu après le lancement de Windows "LongHorn" Server. Concurrent de l'offre VMware, l'hyperviseur de Microsoft nécessitera des processeurs 64 bit supportant la technologie VT-x d'Intel ou AMD-V d'AMD pour fonctionner. Il supportera l'allocation de 8 coeurs processeur maximun par machine virtuelle, contrairement à Virtual Server qui n'en supporte qu'un. L'ajout et le retrait dynamique de ressources (CPU et mémoire) sera aussi une fonction de l'hyperviseur. Ce dernier sera capable d'allouer dynamiquement des ressources aux OS clients, si ces derniers supportent le "hot-add" de ressources, ce qui sera le cas de Windows "LongHorn". Microsoft prévoit aussi des fonctions de déplacement "à chaud" de machines virtuelles d'un serveur à l'autre, à la manière de Vmotion chez VMware. Vers des conteneurs au sein de Windows? Une autre nouveauté de l'hyperviseur par rapport à Virtual Server sera la gestion des environnements SAN Fibre Channel, alors que la plupart des implémentations actuelles de Virtual Server s'appuient sur iSCSI. Il est à noter qu'en attendant l'hyperviseur Windows, les clients Virtual Server peuvent virtualiser leurs connexions SAN en utilisant le pilote spécifique vPilot développé par Emulex pour ses cartes Fibre Channel 4Gbit/s. Un dernier point confirmé par Jim Ni est que Microsoft étudie la possibilité de développer une couche de virtualisation d'OS similaire à la technologie de Virtuozzo ou à la technologie de conteneurs de Solaris. Ce point avait déjà été évoqué mardi par Bob Muglia, le vice-président de Microsoft, lors de son discours d'ouverture du TechEd IT Forum. Il faut toutefois noter que le géant n'en est qu'au niveau des études préliminaires et n'a pour l'instant publié aucune roadmap pour un tel développement. Jim Ni indique toutefois qu'une telle fonctionnalité serait particulièrement adaptée aux besoins des hébergeurs, l'un des grands marchés de Virtuozzo. (...)
(14/11/2006 17:24:31)64bit, virtualisation et iSCSI dans le périscope de Microsoft
Profitant de son salon TechEd ITForum qui s'est ouvert aujourd'hui à Barcelone, Microsoft a fait le point sur sa stratégie en matière de virtualisation et d'administration de systèmes. Bob Muglia, le vice-président de Microsoft, a également fait le point sur les développements en cours autour de Windows Server et d'Exchange. Après avoir sommairement présenté la version finale de Windows Vista, dont la production a commencé la semaine passée, Bob Muglia a concentré son intervention sur le portefeuille serveur de Microsoft. Selon lui, les développements menés actuellement par la firme partent de plusieurs constats techniques. Tout d'abord les plates-formes 64 bit se généralisent et apportent des avantages réels pour les utilisateurs. De ce fait, Exchange 2007, la prochaine mouture du serveur de messagerie de la marque ne sera disponible qu'en version 64 bit et Longhorn Server sera le dernier OS disponible en version 32 bit. L'ensemble des mises à jour ultérieures, et notamment celle qui verra arriver l'Hyperviseur Windows (nom de code "Veridian"), ne seront disponibles que pour les puces 64 bits. Bien sûr elles conserveront la possibilité de faire tourner des applications 32 bit. Ensuite Bob Muglia pointe du doigt la montée en puissance des environnements virtuels. Microsoft estime qu'à l'avenir toutes les applications tourneront dans des environnements virtuels et il prévoit trois offres de virtualisation. La première est la virtualisation de serveur au travers du futur Hyperviseur Windows, attendu en 2008. La deuxième est la virtualisation du système d'exploitation au travers d'une couche similaire à celle que propose aujourd'hui Virtuozzo. Microsoft entend offrir prochainement une telle offre, qu'il juge notamment bien adaptée pour les hébergeurs. Enfin, Bob Muglia met en avant la virtualisation d'applications au travers de son acquisition récente de Softricity. Pour l'instant, le géant a concentré ses efforts sur l'intégration de l'offre Softricity avec son offre d'administration de postes clients SMS. A terme, il pourrait intégrer le client Softgrid directement dans Vista. iSCSI le futur du stockage en réseau Le dernier point est la montée en puissance des technologies de connexions filaires et sans fil. Côté filaire, l'arrivée du 10Gigabit Ethernet devrait accélérer l'adoption d'iSCSI que Bob Muglia considère comme la technologie d'avenir pour le stockage en réseau et dont il prédit la généralisation à terme (le tout n'est bien sûr pas désintéressé, Microsoft ayant beaucoup investi dans iSCSI aussi bien dans Windows que dans Windows Storage Server). Côté sans fil, Bob Muglia prédit une ère de connectivité généralisé et juge nécessaire d'adapter ses produits à cette réalité. "Cela permet d'envisager la distribution de logiciels comme un service" précise-t-il. Bien sûr, Windows Server "LongHorn" sera "au coeur de ces évolutions" estime Muglia, qui pointe du doigt les améliorations qu'apportera le futur OS tant en termes de performances, de sécurité, de simplicité que d'administration. "Nous fournissons une fondation solide pour l'avenir avec Windows Server" a ainsi expliqué le vice-président de Microsoft en s'appuyant sur des démonstrations des outils de streaming d'application de Softricity, mais aussi sur une démonstration des nouveaux outils de management qui accompagneront LongHorn Server à son lancement. (...)
(08/11/2006 17:40:27)VMWorld 2006 : VMware montre son outil Fusion pour Mac
A VMWorld, VWware fait la démonstration de son outil de virtualisation pour MacOS X, connu sous le nom de code "Fusion". Actuellement en phase de bêta restreinte, Fusion est en quelque sorte la version Mac de VMWare WorkStation. L'outil apporte plusieurs améliorations par rapport à Parallels, le seul outil de virtualisation disponible à ce jour pour les Mac Intel. Comme son homologue pour Windows et Linux, il permet l'affectation de plusieurs c?urs processeurs physiques au sein d'une même machine virtuelle et supporte la plupart des systèmes 64 bit du marché. "Fusion" apporte aussi un support prototype de l'accélération de l'affichage 3D (via OpenGL) ainsi que l'accès à l'ensemble du catalogue d'appliances VMware existant. Comme VMware Workstation, Fusion nécessite la présence d'un OS sous-jacent, en l'occurrence MacOS X 10.4. En l'état actuel de ses développements, VMware n'a pas décidé de porter son hyperviseur ESX Server sur Mac. Expliquant que ce serait sans doute un projet intéressant et que certains clients avaient fait part de leur intérêt pour une version d'ESX tournant sur les serveurs XServe d'Apple, le chef de produit Mac de VMware a toutefois noté que le principal obstacle au projet reste le fait que la licence OS d'Apple n'autorise pas, à ce jour, l'exécution de son OS serveur au dessus d'une couche virtualisée. (...)
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