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Virtualisation

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(16/04/2007 17:40:54)

Ubuntu triple ses possibilités de virtualisation

Plus populaire pour ses capacités sur le poste de travail, la distribution Linux de Canonical, Ubuntu, est aussi compétente dans le monde des serveurs. C'est du moins ce que veut rappeler son promoteur quelques jours avant la sortie de sa version 7.04, baptisé Feisty Fawn. Pour cela, les capacités de virtualisation de cette nouvelle version ont été mises en avant. « La virtualisation s'impose dans les salles de serveurs, et nous avons fait de son ajout l'une des priorités de notre dernière version explique Jane Silber, directrice des opérations de Canonical. Nos utilisateurs veulent du choix et une facilité d'utilisation. En conséquence, qu'il serve d'hôte ou de système d'exploitation hébergé, Ubuntu 7.04 supportera les outils de virtualisation commerciaux comme VMWare, et les projets Open Source comme Xen et KVM (Kernel-based Virtual Machine). » Pour supporter les outils de VMWare, Feisty Fawn va s'appuyer sur paravirt-orps, un projet Open Source jusqu'ici négligé des distributions mieux implantées sur le marché des serveurs. Celles-ci, telles Red Hat Enterprise Linux ou Suse Linux Enterprise Server de Novell, lui préfèrent en effet Xen. Selon Mark Shuttleworth, directeur exécutif de Canonical, Xen nécessite l'implantation d'un noyau dédié à son usage, contrairement à paravirt-orps ou KVM qui peuvent se contenter d'un même noyau : « Cela rend difficile de travailler avec Xen. J'espère que dans la prochaine version, les développeurs de Xen s'impliqueront. » De plus, grâce à KVM, Ubuntu peut tirer parti des aides matérielles à la virtualisation AMD-V et Intel VT. Cette nouvelle version d'Ubuntu n'offrira un support complet que pendant 18 mois. Pour profiter d'un support de cinq ans similaire à celui de la version actuelle, il faudra attendre octobre et le lancement de la version 8.04. A noter que depuis un an, Ubuntu supporte l'architecture Sparc des serveurs Sun. (...)

(13/04/2007 16:30:13)

Microsoft retarde les mises à jour de ses outils de virtualisation

Finalement, ni la version bêta de Viridian, ni le premier service pack pour Virtual Server 2005 ne seront disponibles à temps. La première est repoussée à la seconde moitié de 2007 (soit en juillet au plus tôt), et la deuxième au deuxième trimestre 2007 bien qu'il soit déjà bien entamé. Ces annonces faites par Mike Neil, responsable général de la stratégie de virtualisation de Microsoft, ne remettent toutefois pas en cause les dates finales des lancements de ces logiciels. La version commerciale de Viridian sera bien disponible dans les 180 jours suivant le lancement de Longhorn, lui aussi annoncé pour la seconde moitié de 2007 sans plus de précision. Et pour ceux qui ne peuvent attendre le service pack de Virtual Server 2005, Mike Neil leur conseille de télécharger une Release Candidate qui devra être disponible avant la fin du mois d'avril. Ce SP1 permettra de faire tourner trois nouveaux systèmes d'exploitation : Suse Linux Enterprise Server 10, Solaris 10 et la version CTP de « Longhorn Server ». Mais également de faire tourner des machines virtuelles 64 bits sur des serveurs 32 bits et de tirer profit des assistants matériels à la virtualisation tels que AMD-V et Intel VT. Pourquoi un tel retard ? Selon Mike Neil, la version actuelle de Viridian doit améliorer ses performances et sa capacité à monter en charge. Viridian devrait être capable de prendre en charge des processeurs 64 bits, ce qu'aucun de ses concurrents ne sait faire selon Mike Neil. Il devra également gérer des environnements beaucoup plus dynamiques avec notamment des branchements « à chaud » de processeurs, de mémoire ou de disques. (...)

(11/04/2007 16:45:43)

Citrix virtualise le poste de travail

Avec son Citrix Desktop Server 1.0, Citrix transforme le poste de travail Windows en service à la demande. Ce logiciel permet d'envoyer des environnements de travail entièrement personnalisés vers n'importe quel type de plateforme (client léger, PC ou Mac) accessible par le Web, et ce, que l'utilisateur final soit dans les locaux de l'entreprise ou chez lui, sur son ordinateur personnel. De plus, l'utilisateur peut choisir de stocker ses fichiers soit sur le disque dur de son ordinateur, soit sur l'espace de stockage virtuel qui lui est réservé sur le serveur de son entreprise. Pour Citrix, les coûts de gestion des postes de travail dans les grandes entreprises peuvent atteindre jusqu'à 5000 dollars par an, principalement pour adapter le parc à des systèmes d'exploitation toujours plus gourmands. Selon la société, le Citrix Desktop Server réduirait ces coûts de 40 %, puisque les services informatiques peuvent ajouter de la puissance de calcul, de la mémoire ou de l'espace de stockage directement dans la salle de serveurs sans se déplacer jusqu'au poste de travail. Le Desktop Server sera disponible avant l'été et reviendra à 75 $ par utilisateur. En attendant, Citrix commercialise dès à présent la huitième version de son distributeur d'application NetScaler. Cette nouvelle version intègre un réseau privé virtuel SSL et un pare-feu Web. Elle dispose également d'une méthode plus simple pour établir les règles de configuration et d'un moyen de surveiller l'utilisation d'une application par un utilisateur final. NetScaler 8.0 est commercialisé à partir de 17 500 $. (...)

(06/04/2007 18:13:35)

La virtualisation ouvre une brèche dans la sécurité des entreprises selon Gartner

« De nombreuses organisations se trompent en pensant que la méthode pour sécuriser des machines virtuelles doit être la même que pour sécuriser n'importe quel système d'exploitation » avertit Neil MacDonald, vice-président du Gartner Group. « L'application simple des technologies et des meilleures pratiques pour la sécurité des serveurs physiques ne suffit pas à protéger les machines virtuelles. » Le cabinet d'études Gartner Group prévient ainsi que si les sociétés adoptent la virtualisation trop rapidement, elles risquent de mettre en danger leur systèmes d'information. Dans certains cas, les meilleurs outils pour sécuriser des machines virtuelles n'existent pas encore. Le cabinet prédit que si rien n'est fait d'ici là, 60 % des environnements virtualisés en 2009 seront moins protégés que leurs équivalents physiques. En effet, la couche logicielle utilisée pour mettre en oeuvre la virtualisation, et plus particulièrement les hyperviseurs, représente un système additionnel privilégié qui devra être protégé en tant que tel. Pour éviter d'avoir des systèmes trop exposés, Gartner recommande de penser à la sécurisation des machines virtuelles avant même leur déploiement, voire avant de choisir les fournisseurs et les logiciels qui seront utilisés. Plusieurs points sont particulièrement à surveiller, comme la distribution des patches vers les machines virtuelles sans passer par le système hôte ou les possibilités de communications non détectées entre deux machines virtuelles. Or, pour l'instant, les outils d'administration proposés manquent de maturité dans ces domaines. Neil MacDonald précise : « Cela prendra plusieurs années avant que les outils et les revendeurs évoluent, et que les organisations adaptent leurs processus et les compétences de leurs employés. La connaissance des risques et les coûts à prévoir pour y remédier doivent faire partie de toute discussion sur le bénéfice de la virtualisation. » (...)

(06/04/2007 17:27:07)

Une CTP de Longhorn à trois semaines de la bêta 3

Microsoft a publié hier une édition CTP de Longhorn, le successeur de Windows Server 2003. Les CTP (Community Technology Preview) sont destinés à une sélection de testeurs, qui devront donner leur sentiment avant la publication de la bêta suivante. Or en l'occurrence, la bêta 3 de Longhorn est prévue pour le 25 avril, indique Alain Le Hégarat, responsable marketing de la division plateformes d'entreprises de Microsoft France. Une CTP à cette date signifie peut-être un glissement de date. Normalement, le calendrier est le suivant, explique Alain Le Hégarat : « La RC [Release candidate, donc version théoriquement finale, NDLR] en août, la RTM [Release to manufacturers, envoyée aux partenaires, NDLR] en novembre, pour un lancement en grand planifié en février. » Les grands comptes français seront directement concernés le 21 mai, avec le lancement du programme « early adopters », pour lequel Microsoft a déjà commencé à recruter. Le programme concernera une petite vingtaine de clients, qui seront invités pour des présentations en amont au Technology Center de Microsoft à Paris, et bénéficieront d'un support personnalisé (visites d'un consultant sur place, et hotline). Ils devront mettre en place chez eux deux ou trois des huit scénarios de mise en oeuvre définis par Microsoft France. Windows Server Longhorn pourra ainsi être déployé pour le clustering, la protection de réseaux, la consolidation, etc. (sachant que pour chaque rôle défini dans Longhorn, il existe une option d'installation en mode 'core', pour n'installer que les composants strictement nécessaires au rôle). (...)

(09/03/2007 16:49:30)

Virtualisation : VMWare doute de la stratégie de ses concurrents

Etrangement, VMWare doute de la stratégie adoptée par ses compétiteurs sur le marché de la virtualisation. Pour Diane Greene, PDG de l'éditeur (filiale d'EMC), les systèmes d'exploitation qui font de la virtualisation passent à côté de l'intérêt de cette technique. « Traditionnellement, le système d'exploitation gère le matériel et les applications. Une fois que vous utilisez un hyperviseur, c'est lui qui prend en charge le matériel et non le système d'exploitation proprement.dit. Certes Windows et Red Hat vont installer des outils de virtualisation dans leurs prochaines versions, mais une partie de leur valeur ajoutée sera perdue en faisant cela, » a-t-elle affirmé hier, lors de la conférence Stanley Morgan Technology à San Francisco. Cette attaque arrive alors que Red Hat Entreprise 5 sera disponible la semaine prochaine et que la nouvelle version de Windows Server, Longhorn, est attendue pour l'automne prochain. Ces deux systèmes d'exploitation intégreront un hyperviseur, un outil logiciel permettant aux environnements virtuels d'accéder aux ressources du système comme l'environnement natif. Si Red Hat n'a pas souhaité répondre à cette sortie, Microsoft s'est fendu d'une réponse écrite. « La gestion des ressources a toujours été une part des systèmes d'exploitation. Aujourd'hui des vendeurs comme Sun, Novell et Red Hat incorporent la virtualisation dans leurs systèmes d'exploitation », explique Patrick O'Rourke, responsable produit senior pour Windows Server. « Nous investissons à travers tout Microsoft pour proposer à nos clients des produits de virtualisation du poste de travail à la salle de serveur. Tous les biens, virtuels ou physiques, peuvent ainsi être administrés à partir d'une seule plate-forme. » La guerre des mots continue en attendant que les utilisateurs fassent leur choix. (...)

(28/02/2007 18:52:59)

VMWare reproche à Microsoft de s'imposer sur le marché de la virtualisation

Annoncée comme l'une des technologies phare de 2007, la virtualisation est désormais l'enjeu d'une énième plainte contre la position dominante de Microsoft sur le marché des systèmes d'exploitation. Cette fois, la plainte, informelle, émane de VMWare. Lundi dernier, l'éditeur a mis en ligne sur son site un document prouvant comment la nouvelle politique de licence de Microsoft visait à contraindre ses clients à utiliser ses outils de virtualisation maison. Pour Srinivas Krishnamurti, directeur produit de VMWare, ce texte a pour but de « montrer que les termes de ces licences ne sont pas du meilleur intérêt pour l'utilisateur final. Nous espérons que l'industrie évoluera pour fournir un environnement bien plus ouvert et interopérable dans le domaine de la virtualisation. » Dans son livre blanc, VMWare retient sept points en particulier, comme l'obligation d'avoir un support client de haut niveau pour installer Windows dans des environnements virtualisés par un logiciel tiers, ou l'interdiction pour des tiers non licenciés d'utiliser l'API de Longhorn Server qui gère la communication entre Windows et l'hyperviseur. Un dialogue ouvert aux futurs licenciés La réponse de Microsoft n'a pas tardé et Mike Neil, directeur général de la virtualisation chez Microsoft, précise que : « Pour encourager l'interopérabilité, nous partageons publiquement nos technologies et avons publié une série d'API pour tous nos produits de virtualisation commercialisés actuellement, ainsi que fourni la documentation sur l'API de l'hyperviseur inclus à la prochaine version de Windows Server. Nous désirons avoir un dialogue ouvert avec l'industrie, et nous discuterons avec toute société désireuse d'avoir des licences pour de prochains produits. » En rappelant au passage les bonnes relations commerciales qu'entretient pour l'heure EMC, la société-mère de VMWare, avec Microsoft. (...)

(28/02/2007 12:26:50)

Ingres lance officiellement son appliance base de données sur Linux

Ingres a officiellement lancé le résultat de son projet Icebreaker, sous le nom... Ingres Icebreaker. Il s'agit d'une « applicance virtuelle », autrement dit le couplage, prêt à l'emploi, de deux logiciels serveurs Open Source : la base de données Ingres 2006 et une distribution Linux adaptée fournie par rPath. Avantages avancés par l'éditeur : la solution est légère - elle n'inclut que les composants de Linux nécessaires pour faire tourner l'application, ce qui correspondrait à 20% à peine du système d'exploitation total ; elle supporte les offres de virtualisation de VMWare comme de XenSource, et peut être dupliquée rapidement sur n'importe quel serveur ; Ingres assurera la maintenance de l'ensemble comme s'il s'agissait d'un seul logiciel. Depuis sa séparation avec CA en 2005, Ingres avait renoué avec ses clients, notamment au travers de clubs utilisateurs, peaufiné une nouvelle version de sa base de données, et expliqué sa stratégie Open Source (voir ci-dessous Sur le même sujet). L'éditeur se sent prêt désormais à poursuivre d'autres opportunités de marché. Ingres vise en premier lieu les fournisseurs d'applications hébergées, qui peuvent avoir besoin de monter rapidement des environnements de production. L'éditeur espère également que des partenaires se serviront d'Icebreaker comme support pour des appliances spécialisées, en y intégrant par exemple des applications de décisionnel. Icebreaker est disponible sous licence GPL 2, gratuitement ou au travers de l'abonnement au service de maintenance. (...)

(15/02/2007 15:31:35)

Le directeur du labo Open Source de Microsoft s'explique sur les travaux avec Novell

Sam Ramji, directeur du laboratoire Open Source de Microsoft, a publié sur Port 25, le blog du labo, une note expliquant la nature des travaux menés avec Novell, dans le cadre du partenariat signé entre les deux éditeurs. Sam Ramji s'étend ainsi longuement sur les besoins en matière d'interopérabilité pour consolider des serveurs Linux et Windows sur une même machine. Et notamment sur les essais à mener avec les standards, WS-Federation et WS-Management. « Un certain nombre de personnes m'ont approché au sujet de ce projet, écrit-il, pontifiant : 'si vous [Microsoft] implémentiez simplement ces spécifications comme elles sont écrites, vous n'auriez pas besoin de faire tout ce travail'. En fait, cela relève d'une méconnaissance de l'ingénierie logicielle et de l'intéropérabilité. » (...)

(13/02/2007 17:15:44)

Microsoft et Novell feront serveurs communs, et plus si affinités

Windows et Linux peuvent-ils cohabiter en paix ? Selon Steve Ballmer, PDG de Microsoft, et Ron Hovsepian, PDG de Novell, la réponse est oui. Les deux sociétés ont annoncé une série de développements logiciels afin d'assurer que les deux systèmes d'exploitations puissent se partager un même serveur physique sans friction. Ainsi, Windows Virtual Server 2005 service pack 1, attendu pour le printemps, permettra la virtualisation sous SuSE Linux Enterprise Server 10. Et la prochaine version de Windows Server, le fameux Longhorn, non seulement permettra la virtualisation sous SuSE Linux, mais l'acceptera avec son hyperviseur intégré. Ce qui devrait lui permettre de tourner plus vite qu'avec une émulation classique. En retour, l'hyperviseur Open Source Xen, intégré à SuSE Linux Enterprise Server 10, reconnaîtra également Longhorn comme un système d'exploitation invité privilégié. « Nos clients voulaient des méthodes pour faire fonctionner Linux et Windows ensemble », explique Bob Tenczar, directeur produits pour Windows Server chez Microsoft, « Et la consolidation de serveurs était l'une de leurs premières préoccupations. » Ce n'est pas la seule, et la virtualisation n'est que l'un des quatre axes de collaborations futurs entre Novell et Microsoft. La gestion des services Web, l'interopérabilité des annuaires et des formats de documents sont également au menu des discussions. Cette alliance, et en particulier le fait que Novell accepte de payer pour utiliser les brevets et licences de Microsoft, n'est pas du goût de tous. Certains membres de la Free Software Foundation (FSF) ont même été si choqués qu'ils ont retardé la sortie de la GPL (General Public Licence) v3. Ils voudraient que celle-ci puisse restreindre les facultés de Novell pour distribuer certaines mises à jour faites sur des secteurs clés de Linux (ou de Xen). Interrogé par Reuters, le porte-parole de la FSF Eben Moglen a indiqué que la version 3.0 devrait être disponible avec un mois de retard en mars, mais sans indiquer si des restrictions seront mises en place. (...)

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