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Web 2.0

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(10/11/2009 16:30:22)

Le réseau social professionnel LinkedIn se met à Twitter

Le réseau social professionnel LinkedIn rejoint à son tour le canal « twitter ». Il vient d'annoncer un partenariat avec le site de micro-blogging afin d'instaurer une interaction entre leurs services en ligne. Ces fonctions seront progressivement accessibles au cours des tout prochains jours. Ainsi, lorsqu'un utilisateur de LinkedIn choisira son statut, celui-ci sera communiqué dans la foulée aux personnes qui le suivent sur Twitter, et diffusé dans le même mouvement aux services de recherche en temps réel tels que Twitter Search et le moteur Bing, de Microsoft. A l'inverse, lorsqu'un utilisateur enverra un message sur Twitter, celui-ci sera communiqué aussi à ses contacts LinkedIn. L'équipe de LinkedIn juge pertinent de permettre à ses inscrits de relayer via Twitter la diffusion d'informations professionnelles. (...)

(09/11/2009 15:54:42)

Facebook capte 5% du temps passé sur le Web

Le réseau social Facebook totalise 5,1% du temps passé en ligne par les internautes à l'échelle mondiale, selon une étude dévoilée par le cabinet spécialisé comScore. Le réseau social américain, qui compte désormais plus de 300 millions de membres, se classe dans le top 5 des sites les plus consultés, derrière Microsoft, Google et Yahoo. Selon comScore, les membres de Facebook ont passé au total près de 1,4 milliard d'heures sur ce site au mois de septembre 2009, soit une progression de 193% en un an. Avec cette moyenne de 5,1% du temps global passé en ligne (un chiffre qui grimpe à 6% en Amérique du Nord, 6,6% en Europe, et même à 8% sur la zone Afrique/Moyen-Orient contre seulement 2,4% pour la région Asie/Pacifique), le site fondé il y a cinq ans par Mark Zuckerberg arrive en quatrième position des sites les plus fréquentés. Les sites de Microsoft totalisent 14,5% du temps passé sur le net Microsoft est en tête de ce classement, avec 3,9 milliards d'heures (+43% sur un an) passées en septembre par les internautes sur ses nombreux sites (Hotmail, MSN, Windows Live, Bing.com, etc.). Le géant du logiciel s'adjuge ainsi 14,5% du temps passé en ligne dans le monde (16,8% en Europe, et 35,9% en Amérique latine). Google, bien qu'étant le moteur de recherche le plus populaire de la Toile, arrive en deuxième position avec 2,5 milliards d'heures (+48%). Le roi de la recherche en ligne capte 9,3% du temps passé en ligne par les internautes en septembre. Le portail Yahoo! est troisième avec près de 1,7 milliard d'heures (-14%) et 6,3% du temps passé en ligne (seulement 2% en Europe, contre 11,2% en Amérique du Nord). Facebook est quatrième devant Tencent, un service de messagerie instantanée chinois, qui totalise 10,7% du temps passé en ligne en Asie (près de 900 millions d'heures). Suivent le portail américain AOL, le site de ventes aux enchères eBay, Fox Interactive Media, le moteur de recherche chinois Baidu.com, et le portail Lycos. Au total, 1,2 milliard d'internautes âgés de 15 ans et plus ont passé, en septembre 2009, près de 27 milliards d'heures en ligne (+24%), selon comScore. (...)

(05/11/2009 16:17:41)

Second Life ouvre une version Entreprise en bêta

Le succès de Salesforce.com a visiblement donné des idées à Linden Lab, l'éditeur de Second Life. Cet univers virtuel en 3D n'était certes pas consacré au jeu, néanmoins, il évolue désormais clairement du côté professionnel. Linden Lab estime que 1 400 entreprises ou autres organisations professionnelles recourent à Second Life pour des réunions ou des sessions de formation. Afin de leur faciliter la tâche - et d'y trouver au passage une rémunération - Linden Lab prévoit de lancer au premier semestre 2010 une édition Second Life Enterprise, dont le programme bêta est désormais ouvert. Ce Second Life Enterprise pourra être déployé au sein du réseau des entreprises, à l'abri donc des pare-feu. Cette garantie de sécurité « permet un accès partagé aux informations propriétaires, aux prototypage et aux documents de formations en toute sécurité », explique Linden Lab. Jusqu'à 800 collaborateurs d'une entreprise peuvent ainsi se retrouver de façon virtuelle, sous leur vrai nom. Une conférence de trois jours et 200 participants Outre l'intérêt d'importer ou de créer du contenu et d'échanger des documents, ces réunions dans Second Life évitent des déplacements coûteux en temps, en argent et en productivité, indique encore l'éditeur, qui cite IBM. L'Academy of Technology d'IBM, qui compte 330 personnes chargées de réfléchir aux futures technologies et à leurs usages, avait identifié l'intérêt de recourir aux univers virtuels. Le test effectué avec Second Life - qui a tout de même nécessité plusieurs mois de collaboration entre IBM et Linden Lab - s'est révélé concluant. La conférence virtuelle a duré trois jours et a réuni plus de 200 participants, qui avaient tous été formés auparavant au maniement des avatars dans Second Life. Une économie de 320 000 dollars Au final, « IBM estime avoir économisé plus de 250 000 dollars en frais de déplacement et autres frais de conférence et plus de 150 000 dollars en gains de productivité supplémentaires (étant donné que les participants étaient déjà à leur poste de travail et qu'ils pouvaient donc retourner immédiatement à leur occupation) ». Si l'on soustrait à cela un investissement initial de 80 000 dollars, cela représente une économie de 320 000 dollars par rapport à l'organisation d'une véritable conférence. Linden Lab rentabilisera son investissement pour les entreprises d'abord en leur facturant cette version spécifique (à partir de 55 000 dollars) mais aussi en instituant une place de marché, Second Life Work Marketplace. Comme chez Salesforce.com, les éditeurs partenaires pourront y proposer leurs développements afin d'enrichir les possibilités offertes par la plateforme et de coller au mieux aux besoins des entreprises. (...)

(27/10/2009 15:15:05)

Selon une étude Morse, les réseaux sociaux nuiraient à la productivité en entreprise

Facebook et Twitter néfastes pour les entreprises ? On s'en doutait à titre personnel, des études le prouvent maintenant. Une étude anglaise réalisée par le cabinet d'analyse Morse sur plus de 1 460 employés révèle que 57% d'entre eux utilisent les réseaux sociaux pour des motifs personnels pendant leur temps de travail. Elle estime qu'ils passent en moyenne 40 min/jour sur les différents sites de réseautage. Ces distractions coutent une semaine de travail par employé et par an, soit 1,5 milliard d'euros pour la Grande-Bretagne. « La popularité des réseaux comme Twitter ou Facebook a considérablement grandi ces deux dernières années et ce phénomène s'accompagne de la tentation de visiter ces sites pendant les heures de bureau » indique Philip Wicks, un consultant de Morse. « L'arrivée de ces sites dans l'environnement professionnel est une gangrène pour la productivité ». Les dirigeants ne doivent pas faire l'autruche face à ces comportements déplacés, ils doivent plutôt mettre en place et renforcer leur charte d'usages. Une menace pour la sécurité ? En outre, un tiers des employés anglais disent qu'ils ont vu des informations sensibles sur leurs entreprises publiées sur des réseaux sociaux alors que 76% révèlent que leur patron n'a pas instauré de charte d'usages pour Twitter. Plus de quatre sur cinq ont également déclaré qu'ils étaient inquiets de cliquer sur un lien menant à site malveillant en suivant les liens postés sur les sites de réseautage. Morse explique que sans la mise en place de règles claires, les dirigeants acceptent une réduction de la productivité, ainsi que des risques de sécurité ou de dégradation de la marque. Le cabinet Morse a été commissionné par l'institut de sondage TNS Group pour conduire cette étude. D'autres études arrivent aux mêmes conclusions. En juillet, le cabinet d'analyse Nucleus (basée à Boston) avait publié une étude expliquant que les entreprises qui ne verrouillaient pas l'accès à Facebook perdaient moyenne 1,5% de leur productivité globale. De plus, 77% des employés qui possédaient un compte personnel sur Facebook l'utilisait pendant les heures de travail. Limiter ou interdire les réseaux sociaux ? « Après des années à alerter employés sur les dangers provenant des clics sur des emails ou sites web inconnus, ces derniers peuvent involontairement baisser leur garde en cliquant sur des liens de Twitter ou d'autres réseaux sociaux » ajoute Philip Wicks. « Il est primordial que les entreprises fassent de leur mieux pour se protéger en rappelant les dangers. Toutefois, les réseaux sociaux peuvent faciliter les rapports entre employés et clients, s'ils sont bien intégrés. C'est pourquoi les entreprises doivent trouver le juste équilibre en matière d'usage chez les employés entre l'engagement et la productivité». Certains sont toutefois plus radicaux. Début octobre, une étude commanditée par Robert Half Technology (spécialisée dans le recrutement informatique) montrait que les entreprises commençaient à se préoccuper des réseaux sociaux dans leurs bureaux. L'étude signalait que 54% des sociétés américaines ont purement et simplement interdit l'usage de sites comme Twitter, Facebook, LinkedIn et MySpace au travail. Avant d'en arriver là, il est peut-être préférable de faire preuve de pédagogie et de réfléchir à l'apport des réseaux sociaux (des intranets plus conviviaux en fait) pour améliorer la communication interne de l'entreprise. (...)

(22/10/2009 09:58:35)

La crise accélère l'usage du web 2.0 en entreprise

Si les budgets en webmarketing BtoB sont relativement plus modestes en France qu'au-delà de ses frontières, les entreprises de l'Hexagone comme leurs voisines investissent davantage dans les techniques du marketing 2.0. La crise mondiale n'est qu'un catalyseur de ce phénomène, souligne une étude internationale menée par le Benchmark Group. Sur les 112 entreprises sondées dans sept pays, 23% avouent que la conjoncture ne fait qu'accélérer un processus déjà enclenché depuis plusieurs années, qui vise à modifier en profondeur les relations entre les marques et les consommateurs. Pour près d'un tiers des sociétés, les budgets se portent sur les vecteurs Internet offrant une visibilité précise sur le ROI. Blogs et sites interactifs plutot que micro-blogging Un tiers des services marketing BtoB ont ainsi déjà mis en place des sites en web 2.0 avec des plateformes de partage de contenus (Youtube, DailyMotion...) ou simplement des sites interactifs auprès de communautés (forums, blogs...). Et cette proportion devrait doubler en 2010. En revanche, le micro-blogging (type Twitter) semble avoir atteint un plafond en ce qui concerne les responsables marketing. Déjà utilisé par 20% des entreprises, ce type de services n'a attiré que 5% des sociétés qui ne l'avaient pas déjà adopté. Les mondes virtuels, eux, semblent devenus sans intérêt pour les services marketing interrogés : aucune ne prévoit d'investir dans les Second Life et autres métaverses peuplés d'avatars. Des réticences quant aux coûts Malgré cet engouement pour le webmarketing participatif, certaines sociétés s'interrogent encore sur l'usage de ces sites en raison du surcoût, selon elles, engendré par l'animation et la modération de ces environnements (pour 71% des entreprises françaises). Les technologies du web 2.0, vantées comme des instruments de dialogues entre entreprises et consommateurs, sont détournées de leur origine. Une grande majorité des sociétés interrogées avouent que ces environnements servent essentiellement à améliorer l'image de marque de l'entreprise et à drainer davantage de trafic. Cependant, 19% d'entre elles utilisent le web 2.0 pour intégrer le consommateur aux décisions. (...)

(20/10/2009 17:43:32)

NKM veut des élus 2.0 face aux citoyens 2.0

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, a présenté ce matin 20 octobre le programme des "ateliers de l'élu 2.0". Elle souhaite ainsi inciter les parlementaires à blogger, twitter, poster, communiquer par ce biais. Les sessions serviront à présenter les outils de ce passage au 2.0, mais aussi et surtout, à expliquer aux parlementaires l'intérêt des blogs et des réseaux sociaux et à lever les freins qui font encore obstacle à la démarche. Nombre d'élus ont eu, par exemple, des expériences décevantes avec le Web 1.0, alors que d'autres ne voient dans le Web 2.0 qu'un jeu pour adolescents en mal d'occupation. Les parlementaires sont donc conviés à assister aux journées (*) organisées par le secrétariat d'Etat à la Prospective et au Développement de l'économie numérique, avec des spécialistes du domaine comme Daniel Kaplan, président de la FING (Fondation Internet nouvelle génération), observateur des usages d'Internet, ou encore Richard Descoings, directeur de Sciences Po Paris, conseiller d'Etat, à l'origine de la consultation nationale 'Lycée pour tous'. « Tous les parlementaires peuvent s'inscrire à un ou plusieurs ateliers, à condition d'être présents personnellement, indique Nathalie Kosciusko-Morizet, mis à part les présidents de groupe qui peuvent se faire représenter. » Michèle Delaunay (députée PS), Yannick Favennec (député UMP), Alain Lambert (sénateur UMP) et Pierre Moscovici (député PS), témoignent dans une vidéo de leur propre expérience du Web 2.0. Sur le Web 2.0, il y a une demande de spontané et de transparence « Internet chez les élus, on en parle beaucoup, mais on le pratique peu, reprend NKM. Et plutôt chacun de son côté, qui plus est. Sur le Web 2.0, il y a une demande de direct par les internautes, de spontané, de transparence. En un mot, d'authentique. » Connue aussi pour ses Twitts et sa page Facebook, la ministre a présenté quelques leçons tirées de sa propre expérience. « Les internautes ne supportent pas que l'élu ne communique pas en temps réel, explique-t-elle. Ils n'acceptent pas non plus que l'élu ne publie pas lui-même, mais fasse faire le travail par ses assistants. C'est véritablement un nouvel espace démocratique en construction. » La communication des élus via un blog ou des billets sur Twitter ou Facebook présente des intérêts évidents : échange direct avec le citoyen, démocratie interactive, etc. Mais elle soulève aussi des craintes vis-à-vis de populations peu connectées. On imagine principalement les difficultés des plus anciens, des ruraux ou encore des habitants de la banlieue, par manque d'accessibilité ou par crainte de la technologie. Dans la vidéo de témoignages qui sera présentée aux participants, Pierre Moscovici précisait : « j'ai 52 ans, il y a deux ans, je n'avais jamais touché un ordinateur. C'est vraiment très simple de s'y mettre ». Ce qui a permis à NKM de confirmer que parmi les inscrits (environ 20 parlementaires par module), tous les âges, toutes les régions, et tous les profils sont représentés. A noter qu'une 'hotline' sera assurée par le secrétariat d'Etat, afin d'accompagner les élus dans le Web 2.0 après leur passage dans les ateliers. Du coté des citoyens, des élus ruraux rassurent sur l'intérêt des habitants de province. La ministre, également maire de Longjumeau, affirme dialoguer régulièrement avec ses administrés sur Twitter. La secrétaire d'Etat évoque même en exemple ce qu'elle qualifie d'aspect positif d'Hadopi. La polémique soulevée par la loi ainsi dénommée a fait naître un intérêt, voire même une expertise, de certains internautes sur le fonctionnement du Parlement. (*) 21 octobre, 4 novembre, 18 novembre, 25 novembre 2009 (...)

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