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Web 2.0
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(12/10/2009 11:53:48)
Google et Bing pourraient exploiter les Tweets des internautes
Selon AllThingsD, le blog technologique du Wall Street Journal, le site de microblogging Twitter serait en négociations séparées avec Google d'une part, et Microsoft d'autre part. Il s'agirait de permettre aux moteurs de recherche Google et Bing des deux éditeurs de remonter les « tweets » (messages de 140 caractères publiés via Twitter) dans les réponses aux requêtes des internautes. Différents scénarios de rémunération du site de microblogging - quelque 54 millions de visiteurs par mois-, sont envisagés, si l'on en croit AllThingsD : un paiement de plusieurs millions de dollars à Twitter et diverses solutions de partage des revenus obtenus grâce aux informations issues de ses Twitts. Reste quelques obstacles de taille, devenus familiers dans le monde du Web 2.0. Pour commencer, ni Twitter, ni Google, ni Microsoft ne semblent s'être interrogés quant à un possible refus des utilisateurs du microblogging de voir leurs publications ainsi exploitées. Et même dans le cas extraordinaire où ils accepteraient d'un même élan, Twitter ne semble aucunement avoir prévu de partager ses gains avec eux. (...)
(01/10/2009 16:16:11)SAP et Salesforce.com montrent des applications exploitant Google Wave
La plateforme de collaboration Wave, de Google, suscite aussi l'intérêt d'éditeurs d'applications professionnelles tels SAP et Salesforce.com. Tous deux viennent en effet de montrer des prototypes d'applications qui exploitent cet environnement combinant des fonctions de partage de documents et de messagerie instantanée pour communiquer en temps réel. Comme prévu, Wave a été livré hier, mercredi 30 septembre, à quelque 100 000 utilisateurs. Jusque-là, seuls les développeurs pouvaient y accéder.
SAP Research, l'entité de recherche de l'éditeur allemand d'ERP, a ainsi créé avec l'équipe de développement de SAP NetWeaver une application, baptisée Gravity. Alexander Dreiling, directeur de programme au sein de SAP Research, a publié une vidéo en ligne pour en illustrer le fonctionnement.
Gravity permet de développer des modèles de processus dans le cadre d'une fusion entre deux entreprises (dans l'exemple choisi, une compagnie d'assurance et une banque). Les modèles sont ensuite exportés dans la solution de gestion des processus métier (BPM) de SAP pour y être peaufinés.
De son côté, Salesforce.com a conçu une extension à son offre qui se sert de Wave pour le service client. Là aussi, c'est une vidéo qui détaille l'information sur le blog des développeurs de l'éditeur californien, spécialisé dans les outils de CRM en ligne.
On y voit de quelle façon un client qui contacte un service de support va utiliser Wave pour engager un dialogue avec un robot. Dans la foulée, l'application ouvre un dossier d'incident dans Salesforce. Si le robot ne peut pas répondre à la question du client, ce dernier pourra demander à entrer en contact avec un agent qui rejoindra la « conversation ».
Wave n'est pas encore prêt pour l'épreuve du feu
Sur le blog de l'équipe de développement de Wave, Stéphanie Hannon, responsable produit, révèle que Google réfléchit déjà à une extension de la plateforme permettant de vendre ces applications en ligne.
L'analyste Stephen O'Grady, du cabinet RedMonk, reconnaît que la technologie Wave est plutôt intéressante, même si, en l'état actuel des choses, il considère qu'elle ne répond pas véritablement aux besoins des entreprises. « Sa prise en main doit être améliorée, tant pour les éditeurs indépendants que pour les entreprises », juge-t-il en ajoutant qu'il s'agit encore d'une technologie peu abordable pour des utilisateurs peu techniques. « Google devrait travailler avec des partenaires pour en extraire les éléments inutilement complexes et exposer uniquement les fonctionnalités métiers nécessaires ».
Google a admis, dans un blog interne, que Wave en était toujours au stade du développement et n'était pas encore prêt pour l'épreuve du feu. Certaines fonctionnalités doivent encore être ajoutées. (...)
Google propose de commenter les sites Web dans leur marge
Le moteur de recherche Google intègre une nouvelle fonctionnalité, Google Sidewiki. Cette barre de tâches qui s'installe sur le côté de la fenêtre de navigation permet de laisser un commentaire sur un site Internet. Le commentaire est ensuite visible par les autres internautes utilisant Google Sidewiki. Face au risque de se retrouver noyé dans les commentaires, Google a conçu un algorithme censé privilégier les plus pertinents plutôt que les plus récents. Google Sidewiki est disponible pour les navigateurs Mozilla Firefox et Internet Explorer et devrait arriver prochainement pour Google Chrome et les autres navigateurs. (...)
(25/09/2009 15:25:29)Twitter valorisé 1 Md$ selon le Wall Street Journal
Twitter serait sur le point de lever 100 M$ auprès de plusieurs fonds d'investissement, selon le Wall Street Journal, qui précise que cela valoriserait l'éditeur du service de microblogging à 1 milliard de dollars. D'après une personne proche du dossier citée par nos confrères, les investisseurs auraient appliqué la même méthode de calcul que pour Facebook, évalué 15 Md$ pour ses 300 millions d'utilisateurs. Twitter, qui devrait compter 25 millions d'adeptes d'ici à la fin de l'année, avait été valorisé lors du précédent tour de table, en début d'année, 225 M$. Bien qu'il ait récemment changé ses conditions d'utilisation afin d'accueillir de la publicité, Twitter n'a toujours pas affiché de revenus, ni de modèle économique. (...)
(24/09/2009 17:03:20)Seuls 2% des DRH recrutent par le biais des réseaux sociaux
Très prisés par les internautes, les réseaux sociaux numériques ne sont pas encore considérés par les entreprises comme des outils stratégiques ayant un impact sur leur organisation. C'est ce que fait apparaître la première édition d'un baromètre réalisé par Novamétrie et Digital Jobs sur les stratégies RH et les réseaux sociaux. Celui-ci combine une phase qualitative menée auprès de 27 directeurs des ressources humaines de grandes et moyennes entreprises (Areva, Cegid, Bouygues Telecom, SFR, Axa, IBM, TF1, Sephora, Groupama, PSA...) et une phase quantitative conduite auprès de 260 collaborateurs du 11 août au 14 septembre. Il apparaît d'emblée que les utilisateurs ont une perception plutôt technique et pragmatique des réseaux sociaux. Ils les voient comme un carnet d'adresses interactif, pour dynamiser leur réseau et débouchant sur des opportunités de carrières et de progression sociale. Mais ils ne sont que 12% à estimer que leur entreprise a mis sur pied un programme mature sur ce terrain et 13% seulement à constater une mise en oeuvre dans ce sens. A l'inverse, 45% affirment que leur entreprise n'a pas mené de réflexion dans ce domaine. En matière de recherche d'emploi, si 82% des collaborateurs sondés pour le baromètre considèrent que les réseaux sociaux externes sont un moyen efficace de trouver un poste, seuls 5% disent avoir déniché de cette façon celui qu'ils occupent actuellement. Quant aux DRH, ils ne sont que 2% à admettre utiliser les réseaux sociaux pour recruter. Selon Novamétrie/Digital Jobs, ils seront 10% à le faire en 2011. Des DRH plus enclins à développer des réseaux sociaux internes Pour les DRH, les réseaux sociaux sont d'abord (dans 80% des cas) un vecteur d'image et de communication pour l'entreprise. Un tiers d'entre eux n'ont de réflexion stratégique sur l'attitude à avoir vis-à-vis des réseaux sociaux externes, de type Viadeo ou LinkedIn. La moitié dit avoir tenu quelques réunions sur le sujet, en particulier pour répondre aux problématiques de la diversité en matière de recrutement. Seul un cinquième des DRH ont ébauché une stratégie, là encore, en liaison avec le recrutement. En revanche, ils semblent plus enclins à développer des projets sur les réseaux sociaux en interne, autour de l'intranet d'entreprise, par exemple, des blogs métiers ou des 'séminaires virtuels'. Il y a en réalité deux typologies d'entreprise, relève Christophe Excoffier, de Novamétrie : « Le modèle d'entreprise est déterminant pour la mise en place de ces outils ». Il distingue celles qui ont acquis une culture 'numérique'. « Celles-ci sont plus ouvertes et fonctionnent en mode projet, tandis que les autres sont plus classiques dans leur organisation, avec un système de décision pyramidale ». L'un des critères déterminant pour la mise en place des réseaux sociaux, c'est la façon dont s'organise la circulation de l'information dans l'entreprise. Les collaborateurs pointent les usages controversés des réseaux sociaux Les DRH sont par ailleurs plutôt bien avertis de la présence sur les réseaux sociaux de leurs collaborateurs. Ces derniers sont à 92% présents sur les réseaux externes et les 2/3 utilisent des réseaux internes. Seuls 20% des DRH disent ne pas savoir si les employés fréquentent des réseaux sociaux ou affirment ne pas s'y intéresser. Mais les collaborateurs témoignent aussi des usages controversés des réseaux sociaux externes en entreprise, qui va de la dégradation de l'image à la divulgation d'informations stratégiques. Questions délicates auxquelles s'ajoute la nouvelle porosité des frontières entre vie professionnelle et vie personnelle. Les collaborateurs sont donc favorables à un code de bonne conduite. Ils sont 86% à juger qu'il n'existe pas de charte d'utilisation des réseaux sociaux dans leur entreprise. « Il y a une sorte d'urgence dans ce domaine », constate Christophe Excoffier, de Novamétrie, en rappelant que les collaborateurs ont une vraie expertise des réseaux sociaux. « Ce sont eux les experts de ces outils ». (...)
(22/09/2009 10:48:55)Facebook sonne le glas de Beacon et admet certains problèmes sur le site
Lancé il y a un peu plus de deux ans, Beacon, le programme de ciblage marketing de Facebook, est désormais mort et enterré. Après l'ouverture d'une action collective en août 2008 pour violation de la vie privée par son outil, Facebook a préféré trouver un terrain d'entente avec les parties impliquées plutôt que d'entamer une action en justice. Aux termes de cet accord, la société s'engage à éliminer complètement tous les vestiges de Beacon. Elle versera également 9,5 millions de dollars pour la création d'une fondation indépendante de financement de projets visant à promouvoir les causes de la vie privée et de la sécurité en ligne. Selon les termes de l'accord, jusqu'à un tiers du montant de cette somme pourrait toutefois être utilisé pour payer les avocats de vingt des plaignants. Avant d'entrer en vigueur, cet accord devra néanmoins être ratifié par le tribunal du district de Californie à San Jose, où la plainte avait été initialement déposée. Facebook admet rencontrer certains problèmes sur le site Facebook a par ailleurs confirmé hier, lundi 21 septembre, que certains de ses utilisateurs avaient rencontré des problèmes d'utilisation sur son site au cours des quelques derniers jours : des difficultés pour ouvrir une session, des contenus qui n'apparaissent plus, l'impossibilité de voir certains profils et des messages d'erreur lors de la publication de contenus. « Nous travaillons pour résoudre ces inconvénients », a indiqué brièvement le centre d'assistance. Facebook évoque des problèmes techniques sur les données gérées en cache. (...)
(16/09/2009 16:48:30)Facebook passe la barre des 300 millions de membres
Mark Zuckerberg l'a bien entendu annoncé sur sa page Facebook : son réseau social compte désormais plus de 300 millions de membres. Le PDG et fondateur de l'entreprise a également précisé que sa capacité d'auto-financement (cash flow) était devenue positive. Facebook a, qui plus est, atteint cet objectif un an plus tôt que prévu. « Même si 300 millions de membres représente une quantité imposante, ce n'est qu'un début pour Facebool puisque nous voulons 'connecter tout le monde'» , clame sans complexe le jeune patron. Avec la l'élargissement de sa base d'utilisateurs, il doit aussi faire face à des "défis à la fois drôles et importants". Le site se doit de devenir plus efficace et plus performant, a-t-il expliqué, faisant sans doute allusion, entre autres, à son Facebook Lite récemment présenté. (...)
(15/09/2009 17:19:03)Web 2.0 et 'serious gaming' : 92 dossiers sélectionnés dans l'appel à projets
La secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet, a présenté ce matin les résultats de l'appel à projets sur le Web 2.0 et le 'serious gaming' lancé le 27 mai dernier dans le cadre du plan de relance, avec la DGCIS (*). Sur 166 dossiers déposés pour le 'serious gaming', 48 ont été retenus et sur les 340 projets proposés autour du Web 2.0, 44 ont été sélectionnés. La majorité des dossiers proposés pour le 'serious gaming' concernait à part égale la conception d'outils et les logiciels de serious games proprement dits. 15% étaient consacrés à la réalisation de plateformes d'étude des usages. En toute logique, les sujets de l'enseignement et de la formation se sont taillé la part la plus importante (19%) juste devant la santé et la médecine (14%). Les 48 projets retenus représentent un budget total de 48 M€. Les demandes d'aides proviennent essentiellement de PME et vont de 184 k€ à 577 k€. Pour le Web 2.0, une quarantaine de projets concerne le développement de services Web innovants dans les systèmes d'information des entreprises et des administrations, et une dizaine d'autres s'intéresse à l'utilisation astucieuse des données publiques. Les candidats ont utilisé une imposante palette de sujets parmi lesquels les réseaux sociaux grand public, le Web sémantique, l'identité numérique, les mondes virtuels, la vie citoyenne, la musique ou le recrutement. Les aides demandées vont de 75 k€ à 800 k€. Un Donjons & Dragons pour enseigner les sciences Parmi les projets sélectionnés, Donjon et Radon, du studio Ad-Invaders, s'inspire du jeu de rôle Donjons & Dragons pour sensibiliser les plus jeunes aux sciences. Dans ce jeu, un élève qui veut se débarrasser d'un monstre en cuivre qui le menace, devra par exemple trouver l'acide susceptible de détruire son attaquant. Des codes-barres ou des puces RFID permettent aux objets physiques et aux objets du jeu d'interagir pour construire un univers virtuel en réalité augmentée. Outre Ad-Invaders, le laboratoire LIP6 de Paris 6, le rectorat de Créteil, un Think Tank de l'ENS et Microsoft participent à cette aventure. Autre sélectionné, Medi:kids de CCCP va chercher du côté des Pokémons pour accompagner les enfants hospitalisés lors de leur séjour dans l'établissement ou d'un parcours de soin traumatisant. Cet univers facilite par ailleurs la communication entre les enfants, leurs parents et les soignants. Deux PME valenciennoises et trois entités médicales participent au projet. Côté Web 2,0, Citypulse, proposé par la FING (Fédération Internet Nouvelle Génération), élargit le concept de la montre verte présentée avant l'été. La plateforme glane, pour les fédérer, les informations issues de différents capteurs de qualité de l'air, du niveau de bruit, d'émissions électromagnétiques ou autre, quelle que soit leur origine. Ces données, mises à disposition sur un mode libre et rendues anonymes, serviront à des cartographies de la pollution, par exemple, ou à la création de nouveaux services. Sur le sujet, la FING travaille entre autres avec le laboratoire Paragraphe/Situ de Paris 8, les entreprises FaberNovel et Xilabs, et l'opérateur SFR. NKM a rappelé qu'elle considérait ces deux appels à projet comme un point de départ, et non un point final. Ainsi, d'autres appels sont en cours ou ont eu lieu dans le domaine du numérique : Proxima Mobile, pour l'Internet mobile, clos le 14 septembre, et une commande publique autour du 'serious gaming' pour la formation des auto-entrepreneurs. « Et je compte bien utiliser l'ensemble de la liste des dossiers qui ont été déposés, a par ailleurs ajouté la ministre. Nous avons un vrai réservoir d'idées et de contacts. » Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, ces appels aident aussi à mieux mettre en avant le monde du numérique et ses particularités. Elle s'est ainsi réjouie d'avoir pu parler 'serious gaming' en conseil des Ministres... (*) Direction Générale de la Compétitivité, de l'Industrie et des Services (...)
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