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Web 2.0
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(22/12/2009 15:33:02)
Twitter peut-être dans le vert grâce à ses accords avec Google et Microsoft
Twitter a été bien inspiré, cet automne, en scellant des accords avec Google et Microsoft pour indexer ses messages courts («tweets») dans leur moteur respectif de recherche sur le Web. Ces deux partenariats vont lui générer des revenus de plusieurs millions de dollars par mois, ce qui devrait conduire le site de micro-blogging à dégager un petit bénéfice cette année. Selon Bloomberg News, le contrat avec Google rapporterait 15 M$, tandis que celui signé avec Microsoft pour l'indexation dans Bing, permettrait au site de récupérer quelque 10 M$. De fait, la nouvelle fonction du moteur de Google permettant d'obtenir des réponses en temps réel remonte principalement des résultats venant de Twitter. En septembre dernier, Twitter a levé 100 M$ auprès de fonds d'investissement, ce qui a conduit à porter à 1 milliard de dollars la valorisation de la société californienne fondée en 2006. Le site compte désormais plus de 58 millions d'utilisateurs mensuels dans le monde, selon les évaluations de ComScore. (...)
(02/12/2009 11:49:04)L'Assemblée vote le très haut débit pour tous « à tarif raisonnable »
Poids de la télévision oblige, le débat entourant le vote de la loi visant à réduire la fracture numérique a surtout été monopolisé par le passage de la diffusion analogique à la diffusion numérique. Toutefois, le texte adopté par les députés dans la nuit de lundi à mardi derniers comporte aussi un volet essentiel pour les millions de Français qui ne peuvent accéder à Internet en haut débit faute d'équipement ou d'une couverture adéquate. Après le Sénat cet été, l'Assemblée nationale a en effet approuvé la proposition du sénateur Pintat, appuyée par les représentants des collectivités locales, de créer un fonds d'aménagement numérique des territoires. Le but de ce fonds, dont la gestion sera assurée par la Caisse des dépôts et consignations, sera d'aider les opérateurs à déployer les infrastructures nécessaires au très haut débit dans des zones où ce ne serait pas économiquement rentable de le faire seul (ou même dans le cadre d'efforts mutualisés). Un point qui avait été souligné par ces opérateurs, lors d'une discussion organisée par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, visant à convaincre les arbitres du Grand emprunt d'accorder une attention toute particulière à ce point, important à la fois du point de vue de l'aménagement du territoire, mais aussi du point de vue économique et social pour les personnes concernées. Le fonds d'aménagement numérique des territoires financera certains travaux de réalisation des infrastructures et réseau Le texte de loi adopté par les députés stipule : « Le fonds d'aménagement numérique des territoires a pour objet de contribuer au financement de certains travaux de réalisation des infrastructures et réseaux envisagés par les schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique [...]. Le comité national de gestion du fonds est constitué à parts égales de représentants de l'État, de représentants des opérateurs [...], de représentants des associations représentatives des collectivités territoriales et de représentants des collectivités ou syndicats mixtes ayant participé à l'élaboration de schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique. Ses membres sont nommés par décret. Le fonds d'aménagement numérique des territoires peut attribuer, sur demande, des aides aux maîtres d'ouvrage des travaux de réalisation des infrastructures et réseaux envisagés par les schémas directeurs territoriaux d'aménagement numérique lorsque les maîtres d'ouvrage établissent, suivant des critères précisés par décret, que le seul effort, y compris mutualisé, des opérateurs [...] ne suffira pas à déployer un réseau d'infrastructures de communications électroniques à très haut débit. Les aides doivent permettre à l'ensemble de la population de la zone concernée par le projet d'accéder, à un tarif raisonnable, aux communications électroniques en très haut débit. » Vers un abonnement à Internet « à tarif social » ? [[page]] Vers un abonnement à Internet « à tarif social » ? Les députés ont par ailleurs ajouté plusieurs articles demandant au gouvernement un bilan complet dans les six mois après la promulgation de la loi, sur Internet, ses usages, la génération Y (ou 'digital native'... « Dans les six mois suivant la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur le fossé numérique, afin d'apporter des précisions quant aux différentes catégories de la population n'ayant ni équipement informatique, ni accès à internet dans leur foyer. Ce document étudie également le rapport qu'entretiennent les « natifs du numérique » avec internet dans le but d'améliorer les connaissances quant aux conséquences, sur le travail scolaire notamment, de l'usage d'internet. Il dégage aussi les pistes de réflexion pour les actions de formation à destination de ces publics et veille également à identifier les acteurs associatifs oeuvrant pour la réduction du fossé numérique. » Un rapport mi-2010 sur la neutralité des réseaux et la conservation des données personnelles L'Assemblée aimerait aussi apparemment se pencher sur les tarifs de l'accès à Internet, et envisage un abonnement spécifique pour les plus démunis : le rapport que le gouvernement doit lui remettre devra en effet établir « les conditions de mise en service d'abonnements internet à tarif social ». De même, le texte indique que « avant le 30 juin 2010, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur la possibilité de mettre en place une tarification de l'accès à internet en fonction du débit réel dont bénéficient les abonnés ». Enfin, les députés demandent au gouvernement que ce fameux rapport aborde « la question de la neutralité des réseaux de communications électroniques, notamment lorsque ceux-ci bénéficient d'aides publiques », ainsi que « la conservation et l'utilisation par les personnes visées aux 1 et 2 du I de l'article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, des données à caractère personnel des utilisateurs de tels services, et les engagements susceptibles d'être pris par ces personnes permettant une protection accrue de ces données ». (...)
(30/11/2009 16:46:02)Un dirigeant de PME sur cinq recourt aux réseaux sociaux pour promouvoir son activité
Le site Web vitrine reste une valeur sûre pour les patrons de PME. Toutefois, les autres usages commencent à percer, à en croire une étude réalisée par l'Institut Sage (une émanation de l'éditeur aidant les PME à organiser leur développement) auprès de 200 dirigeants d'entreprises petites et moyennes début novembre. Ainsi, l'enquête révèle que « près d'un dirigeant de PME sur 5 (19%) utilise déjà les réseaux sociaux généralistes (Facebook, Ziki) ou professionnels (Viadeo, LinkedIn) pour promouvoir son activité, de manière régulière ou plus épisodique. Ils sont même 12% à avoir créé un blog pour parler de leur activité. » L'usage des réseaux sociaux par ces patrons de PME n'est pas encore conversationnel, comme le prône Luc Bretones, spécialiste du Web 2.0 professionnel, mais consacré au marketing et à la veille : « Parmi les usages les plus courants : promouvoir son activité (40%) et détecter des innovations intéressantes (47%). D'autres champs d'expérience sont explorés, en particulier suivre l'actualité de ses marchés (38%) et suivre l'actualité de la concurrence (36%). » Parmi les attentes : trouver des prospects, des partenaires et recruter des profils intéressants Néanmoins, l'appétit semble venir en mangeant à ces nouveaux entrants dans les outils du Web 2.0, qui en découvrent au fur et à mesure les diverses possibilités : « D'autres domaines sont toutefois explorés, de manière opportuniste ou expérimentale : trouver des prospects (36%), trouver des partenaires commerciaux ou financiers (36%), mais aussi animation d'une communauté d'utilisateurs ou de clients (23%) et recrutement car 21% des dirigeants de PME cherchent des profils intéressants sur les réseaux professionnels. » L'étude conclut toutefois qu'il n'y a pas encore de répercussions strictement commerciales des médias sociaux : « 93% des dirigeants interrogés déclarent ne pas avoir obtenu de résultats probants dans ce domaine. » D'une manière plus générale, l'étude menée par l'Institut Sage montre que « 92% des dirigeants de PME ne peuvent se passer d'Internet », et que « acheter (57%) et vendre (31%) sur Internet est une réalité pour les dirigeants de PME ». Bien souvent, ce n'est pas l'envie qui manque d'aller au-delà, notent les auteurs de l'étude. « Les raisons pour lesquelles Internet n'est pas encore utilisé dans tout son potentiel sont essentiellement liées à un manque de compétences et de temps en interne pour s'y consacrer. » (...)
(24/11/2009 17:12:15)Le réseau social professionnel LinkedIn ouvre ses API aux développeurs
Le réseau social professionnel LinkedIn ouvre ses interfaces de programmation (API) et lance une plateforme qui permettra aux développeurs d'intégrer LinkedIn dans des applications et sur des sites Web. Ces annonces succèdent à celles de partenariats avec Microsoft, IBM et RIM. Le réseau social va s'intégrer avec les messageries Outlook et Lotus Notes et une application mobile pour le terminal Blackberry devrait être disponible sous peu. Les développeurs peuvent d'ores et déjà s'enregistrer sur la plateforme developer.linkedin.com pour accéder aux forums de discussion et à des extraits de code (sample code), explique sur son blog l'un des vice-présidents de LinkedIn, Adam Nash. Parmi les personnes ayant aidé à tester la plateforme figurent des développeurs de l'utilitaire TweetDeck qui permet de rester en lien avec ses contacts via Twitter, Facebook, MySpace... Par ailleurs, LinkedIn a lui-même récemment indiqué qu'il pouvait désormais s'intégrer avec le site de micro-blogging Twitter. La semaine dernière, c'est l'éditeur Salesforce.com, fournisseur d'applications de CRM en ligne, qui annonçait sa propre application de réseau social, Chatter Collaboration. (...)
(20/11/2009 16:24:29)Twitter propose aux développeurs une API de géolocalisation... et un guide de bonnes pratiques
Plus besoin de préciser d'où on poste des messages dans Twitter, les applications pourront le faire d'elles-mêmes. Le service de micro-blogging a mis officiellement à disposition des développeurs une API de géolocalisation. Cette interface de programmation donne la possibilité de 'géotaguer' les messages (leur accoler une étiquette donnant leur position). La multiplication des clients Twitter pour smartphones dotés de puces GPS (iPhone en tête, mais aussi appareils sous Android) ouvre en effet des perspectives intéressantes, souligne Twitter, comme la possibilité de restreindre une recherche à des utilisateurs de la même région, ou de savoir qui est à proximité. Twitter est toutefois conscient que le principe pourrait ne pas plaire à tout le monde, et ne veut pas être pris pour cible. « Nous ne devrions jamais entendre d'utilisateur se plaindre qu'il ne savait pas que telle application 'géotaguait' automatiquement chaque message », écrit l'éditeur dans un guide des bonnes pratiques réalisé tout exprès. Une donnée personnelle sensible Avec une grande clairvoyance, Twitter explique aux développeurs dans ce guide : « Nous sentons que la plupart des utilisateurs se diviseront très vite en deux camps, ceux qui sont intéressés par la fonction ['geotagging'] et ceux qui ne le sont pas. » (sic) Twitter encourage donc les éditeurs d'applications à bien informer leurs utilisateurs au préalable, et pour plus de sécurité, la fonction sera désactivée par défaut. Les utilisateurs devront aller sur leur compte Twitter pour l'activer. Cela laisse toutefois en suspens une autre question délicate, celle de la conservation des données : chaque éditeur d'un client Twitter pourra en effet, si la fonction est activée, réaliser un historique complet des déplacements de l'utilisateur. Chacun devra adopter une politique spécifique en ce qui concerne cette épineuse question des données personnelles, estime Twitter. (...)
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