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(02/07/2009 16:32:22)

Vendu pour 7,8 M$,The Pirate Bay fait amende honorable, au grand dam des internautes

« Oui, c'est vrai. The Pirate Bay devrait être racheté par Global gaming factory X », ont confirmé hier les fondateurs du site d'échange de fichiers Torrent sur leur blog. The Pirate Bay passe dans le giron d'une entreprise suédoise spécialisée dans les jeux sur Internet pour un montant de 7,8 M$. « Beaucoup de gens sont inquiets. Nous ne le sommes pas, et vous ne devriez pas l'être non plus », se sont ensuite empressés d'ajouter les propriétaires du site de téléchargement. « Sur Internet, beaucoup de choses meurent si elles n'évoluent pas, nous ne voulons pas que cela se produise [mais] nous ne pouvons pas financer la croissance du site », peut-on encore lire sur le blog. Les dirigeants de The Pirate Bay estiment avoir confié les commandes du navire « aux bonnes personnes, ayant les capacités d'exploiter le site ». Ils précisent qu'une partie des bénéfices de la vente seront reversés à des associations de défense de la liberté d'expression. Des centaines de réponses n'ont pas tardé à affluer. Les utilisateurs de TBP ont manifesté leur désaccord et leur inquiétude quant à la pérennité et au futur positionnement du site. Sous la contrainte, le site a mis à la disposition des mécontents un outil de désinscription. Global gaming factory X souhaite trouver des moyens pour payer les détenteurs de droits d'auteur et les fournisseurs du contenu téléchargé via The Pirate Bay. En cinq années d'existence, The Pirate Bay est parvenu à attirer de nombreux visiteurs, se propulsant ainsi dans la catégorie des 100 sites les plus consultés dans le monde. Après un procès qui a débouché sur la condamnation des quatre fondateurs pour piratage (3,9 M$ de dommages et intérêts), le site est à la recherche d'un modèle économique qui soit à la fois rentable et légal. Un défi que ses fondateurs ne sont pas parvenus à atteindre. (...)

(26/06/2009 17:01:37)

La mort de Michael Jackson submerge Internet

En marge de l'émoi suscité par son annonce, le décès de Michael Jackson a également eu des répercussions sur certains sites. La nuit dernière, le trafic Internet a massivement augmenté sur Google, Twitter ou encore le site de la BBC, allant jusqu'à les paralyser temporairement. La Press Association (agence de presse nationale en Grande-Bretagne et en Irlande) rapporte que les requêtes « Michael Jackson » ont proliféré sur Google dès l'annonce de son hospitalisation d'urgence. A tel point que pendant une trentaine de minutes les serveurs du site de recherche en ligne ont automatiquement considéré qu'ils étaient victimes d'une attaque magistralement orchestrée et ont redirigé le flux vers d'autres pages. Le site de la BBC a, quant à lui, observé une augmentation de son audience de 48% vers 4 heures du matin et sur Wikipedia le profil du chanteur a été modifié plus d'une centaine de fois. Du jamais vu. Quant à Twitter, les messages de fans ou, au contraire, de détracteurs du chanteur, n'ont jamais autant fleuri sur le site de micro-blogging depuis l'élection de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Ethan Zuckerman, membre du Berkman Center for Internet and Society d'Harvard, note que 15% des messages de son Twitter parlent de Michael Jackson. Un taux trois fois plus important que ceux enregistrés par la grippe porcine ou les événements en Iran. Depuis ce matin, la moitié des thèmes abordés parlent du roi de la Pop. Twitter a également profité des défaillances d'autres sites comme AOL, indisponible pendant quarante minutes. Quelque 4000 internautes se sont rués en même temps sur Twitter pour vérifier si Michael Jackson avait bien tiré sa révérence. (...)

(25/06/2009 13:32:23)

Les entreprises ne surveillent pas assez leur réputation sur les réseaux sociaux

Deloitte encourage les entreprises à tenir compte des risques engendrés par la fréquentation des réseaux sociaux par leurs salariés. 74% des 2000 personnes interrogées par le cabinet d'études estiment en effet qu'il est facile de nuire à la réputation d'une marque via des sites comme Facebook, Twitter ou YouTube, et ce même de manière non intentionnelle. 37% d'entre elles ne tiennent pourtant pas compte de l'impact que leurs commentaires, photos et autres vidéos postés sur ces sites peuvent avoir sur leurs collègues, leurs patrons ou leurs clients. Du côté des dirigeants, 58% ont conscience des risques mais, dans les faits, seuls 15% ont mis en place des solutions pour y remédier, notamment en termes de communication et de prévention. Ce qui ne signifie pas pour autant que les comportements changent. La moitié des salariés interrogés n'a nullement l'intention de modifier sa manière d'utiliser les sites communautaires, et ce quelles que soient les préconisations de l'entreprise. 24% d'entre eux ignorent si leur employeur a mis sur pied une politique à ce sujet, et seuls 15% déclarent l'approuver. Dirigeants et salariés sont également divisés sur les avantages que la fréquentation des réseaux sociaux peut apporter à l'équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. 56% des dirigeants estiment qu'ils améliorent la balance entre les deux, contre 31% chez les employés. En termes de taux de fréquentations, 44% des personnes interrogées ne se connectent jamais à des réseaux sociaux, 10% une fois par semaine et 45% plusieurs fois. Elles sont peu nombreuses à le faire depuis le lieu de travail (21%) et affirment le faire essentiellement pour des raisons professionnelles. 29% des salariés interrogés avouent que le contexte économique les pousse à être plus prudents dans leurs messages sur les réseaux sociaux. 7% confient avec eu connaissance de licenciements faisant suite à un comportement sur Internet jugé « inadapté » par l'employeur. (...)

(24/06/2009 13:19:47)

MySpace supprime 300 postes et ferme quatre bureaux

MySpace va supprimer 300 postes en dehors des Etats Unis, soit les deux tiers de ses effectifs, alors que le site communautaire parlait de 30% il y a quelques jours à peine. La société a également annoncé qu'elle allait fermer quatre bureaux, sans toutefois préciser lesquels. La France pourrait être concernée (avec l'Argentine, le Brésil, le Canada, l'Espagne, l'Inde, l'Italie, le Mexique, la Russie et la Suède - le Japon et la Chine ne sont pas menacés). MySpace souhaite concentrer ses activités au sein de trois bureaux, à Londres, Berlin et Sydney. « Nos effectifs ont trop gonflé et ont entravé notre fonctionnement, a commenté Owen Van Natta, PDG du groupe depuis deux mois. Nous voulons nous recentrer sur l'innovation, nos utilisateurs et nos produits. » Filiale du groupe américain News Corp (depuis 2005) détenue par le milliardaire Rupert Murdoch, MySpace a longtemps été le réseau social plébiscité par les internautes américains. Avec 200 millions de membres Facebook l'a dépassé en termes de popularité, aux Etats-Unis comme dans le monde. Ces sites éprouvent toujours beaucoup de difficultés à bâtir un modèle économique solide et à monétiser leur audience. (...)

(23/06/2009 08:07:09)

Dassault Systèmes investit 3 millions d'euros dans Bluekiwi

BlueKiwi Software, éditeur d'une plateforme de réseaux sociaux d'entreprise, réalise une levée de fonds de 4,7 millions d'euros. Sofinnova Partners, investisseur de la première heure dans la startup avec 5,3 millions de dollars à sa création il y a 3 ans, continue de faire confiance à Bluekiwi, cette fois-ci à hauteur de 1,7 millions d'euros. Par ailleurs, le numéro un français du logiciel, Dassault Systèmes, participe pour 3 millions d'euros dans cette levée de fonds. Carlos Diaz et Christophe Routhieau, les deux fondateurs de la jeune pousse, demeurent majoritaires. Les liens entre Bluekiwi et Dassault Systèmes ne sont pas nouveaux. L'éditeur de PLM (Product lifecycle management) a en effet été le premier client de la startup. Dès 2006, avant même la disponibilité de l'offre de réseau social de cette dernière, le directeur général des ventes de Dassault Systèmes, Arnaud Poujardieu, avait décidé d'adopter le concept pour ses équipes. En octobre 2008, il a finalement rejoint Bluekiwi en tant que DG... En plus de sa participation au capital de la jeune pousse, Dassault Systèmes signe aussi un partenariat technologique et commercial avec celle-ci. Comme précisé par le géant du logiciel français, Bluekiwi « bénéficiera de la technologie de Dassault Systèmes et de sa présence à l'international. » (...)

(23/06/2009 08:07:32)

L'administration publique ouvre un portail personnalisable

Après le portail du Sénat fin mai et celui du gouvernement au début du mois de juin, c'est au tour des services administratifs en ligne de s'offrir un relooking. Jeudi dernier, Eric Woerth, ministre du Budget, des Comptes et de la Fonction publique, et la direction générale de la modernisation de l'Etat ont officiellement lancé Mon.service-public.fr, un portail pour effectuer ses démarches administratives. Déclinaison personnalisable du site général « service-public.fr », cette page permet à l'internaute de s'authentifier une fois pour toute (avec un identifiant et un mot de passe qu'il aura choisis) et de naviguer d'une administration à l'autre (pôle emploi, retraite, allocations familiales, sécurité sociale, logement, justice...). Il doit remplir une série de champs concernant ses informations personnelles (état civil, adresse...). Chaque catégorie se divise en trois parties : services en ligne, actualités et guide des droits et démarches. L'accès aux télé-services de l'Administration via ce portail reste toutefois facultatif. Du côté des administrations, l'adhésion des autorités partenaires au télé-service est tributaire de l'envoi préalable d'une « déclaration de conformité à un acte réglementaire » à la CNIL. Le site comporte également un espace confidentiel de 20 Mo où les usagers peuvent stocker des pièces justificatives ou des documents reçus de la part des services en ligne dans le cadre de démarches administratives. Avec l'onglet « ma communauté », cet espace personnel prend des allures de réseau social : il est possible d'inviter des amis ou des membres de sa famille dans ses contacts et de leur transférer des documents en un clic. Pour sécuriser l'environnement, les données sont chiffrées et les accès ainsi que les transmissions d'informations sont traçables car sauvegardés dans un historique. L'usager reste libre de rectifier ou de supprimer ses données. Elles sont automatiquement conservées pendant une durée de 36 mois. Au-delà de ce délai et après deux mails d'avertissement, le compte est supprimé et les informations sont détruites. (...)

(22/06/2009 14:56:32)

SQLI muscle son pôle formation avec le rachat d'Aston Education

Le pôle formation de SQLI s'agrandit avec le rachat d'Aston Education, un spécialiste des technologies Microsoft basé à Bagneux et à Boulogne-Billancourt. Ce rachat, d'un montant de 1,8 M€, permet à la SSII française d'enrichir son catalogue de formations de 200 cours supplémentaires, qui recouvrent diverses technologies comme le décisionnel, le Web 2.0, les ERP, l'Open Source, le SaaS, le Cloud Computing, Java et Microsoft. « Nous avons sélectionné Aston Education pour son expertise dans la gestion des formations et aussi parce qu'elle est la seule société à être agréée par Microsoft en France pour délivrer des formations concernant l'ensemble de l'offre de l'éditeur, des logiciels les plus basiques aux solutions les plus pointues (comme Sharepoint) », explique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier de SQLI. Les deux dirigeants d'Aston Education, Marc Augier et Jean-François Castelluccia, prennent la tête de SQLI Institut, le pôle formation du groupe. Cette entité compte désormais 200 consultants (dédiés, comme le veut le modèle économique de SQLI, ou occasionnels, comme le pratique Aston Education en faisant appel à des prestataires externes) et devrait réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 7 M€ en 2009. La SSII possède désormais douze centres de formation en France et en Suisse. Malgré un contexte économique difficile (résultat net en recul de 40% en 2008), la SSII maintient sa politique de croissance externe et réalise sa treizième acquisition depuis 2005. D'ici à la fin de l'année, SQLI n'exclut pas la possibilité de procéder à d'autres opérations pour se renforcer sur des marchés verticaux comme SAP (un pôle que la SSII a récemment agrandi avec l'intégration de Naga Conseils), la santé (plus particulièrement l'informatisation des processus de soins en hôpital) et le MCO (maintien en conditions opérationnelles), qui s'adresse essentiellement aux secteurs militaire, de l'énergie et du nucléaire. Pour l'ensemble de l'année, la SSII table sur un léger repli de son chiffre d'affaires. Au premier trimestre 2009, le CA (qui n'inclut pas Naga Services) s'établit à 38,9 M€, en baisse de 2,7% sur un an. (...)

(22/06/2009 14:22:57)

Hadopi : vers un filtrage a priori des commentaires ?

La loi Création et Internet pourrait avoir comme conséquence inattendue d'obliger les sites d'information à filtrer les commentaires de leurs lecteurs. Conçu comme le prolongement des promesses faites lors des Etats généraux de la presse écrite, le chapitre VI de la loi dite Hadopi définit notamment les conditions permettant à une publication d'obtenir le statut d'entreprise de presse en ligne. Parmi les critères retenus figure « la maîtrise éditoriale [du] contenu ». Sans trop entrer dans les détails, la loi renvoie à un décret qui précisera « les conditions dans lesquelles un service de presse en ligne peut être reconnu, en vue notamment de bénéficier des avantages qui s'y rattachent ». Le projet de décret que nos confrères d'Electronlibre.info ont pu se procurer, daté du 16 juin, réitère l'obligation de maîtrise éditoriale attaché au rôle d'éditeur du service de presse en ligne. Mais il s'aventure sur un terrain qui risque de faire se lever de nombreux boucliers en incluant dans le champ de ce qui soit être éditorialement maîtrisé les « messages postés diffusés sur les espaces de contribution personnelle ». Selon le projet de décret, l'éditeur est censé « mettre en oeuvre les dispositifs appropriés pour éviter la mise en ligne de contenus illicites » dans ces commentaires. En d'autres termes, c'est une obligation de modération a priori qui planerait sur les éditeurs de sites de presse. Ce dessein est d'autant plus surprenant - choquant, objecteront certains - qu'il s'inscrit en contradiction avec la teneur originelle de la loi Création et Internet. Dans son article 27-II, elle précise ainsi que « le direction ou le codirecteur de publication ne peut pas voir sa responsabilité pénale engagée comme auteur principal s'il est établi qu'il n'avait pas effectivement connaissance du message avant sa mise en ligne ou si, dès le moment où il en a eu connaissance, il a agi promptement pour retirer ce message ». D'un côté, donc, une loi prévoyant une modération a posteriori ; de l'autre, un décret d'application tablant sur un filtrage a priori. Cette seconde voie, si elle est retenue, serait inévitablement vue comme participant d'une volonté plus large de contrôle du Web manifestée à plusieurs reprises par le gouvernement avec Hadopi, le projet Loppsi 2, les poursuites intentées par Nadine Morano contre les commentateurs d'une vidéo la représentant sur Dailymotion, etc. Selon notre confrère Emmanuel Parody, le ministère de la Culture pourrait avoir décidé de faire machine arrière. Sur son fil Twitter, l'éditorialiste indique ainsi qu'un nouveau projet de décret introduit la possibilité de modération a posteriori. Il se calquerait donc sur la teneur de la loi qu'il est censé aider à appliquer. Nulle trace de ce nouveau texte n'est cependant visible, pour l'heure. (...)

(16/06/2009 15:31:19)

Dell dope ses ventes grâce à Twitter

Si le service de micro-blogging Twitter peine à trouver un modèle économique viable, ce n'est pas le cas de certains de ses utilisateurs. Ainsi, Dell a réalisé plus de 3 millions de dollars de chiffre d'affaires en vendant ses produits reconditionnés sur Twitter@DellOutlet. Ce fil de discussion - dont les ventes sont réservées au canal américain - a été lancé en juin 2007 et rassemble désormais près de 600 000 suiveurs (cela en fait l'un des cinquante fils de discussion les plus populaires du réseau social). Dell utilise Twitter pour poster des annonces sur son matériel reconditionné, émettre des coupons de réductions, ou lancer des invitations à des ventes privées. Sur les 3 millions de chiffres d'affaires réalisés, 2 millions l'ont été directement via Twitter et 1 million provenait d'autres ventes sur le site général de Dell, où les visiteurs étaient entrés via un lien sur Twitter. Ce modèle économique est si profitable que Dell le décline désormais en versions pour particuliers (@DellHomeOffers) et pour les PME (@DellSmBizOffers), et en versions localisées pour l'Irlande, le Royaume-Uni, l'Australie, le Brésil, la Chine, le Japon ou la Corée. Si ces ventes restent marginales dans le chiffre d'affaires global de Dell, elles intéressent très fortement Twitter qui cherche encore et toujours un moyen de monétiser son audience. Stefanie Nelson, responsable de l'activité Twitter et porte-parole de Dell, a ainsi indiqué que le réseau social s'était rapproché d'elle pour avoir son retour d'expérience. En vue de la création d'outils spécifiques pour les forces de vente des entreprises ? (...)

(15/06/2009 16:52:49)

Un week-end twitpocalyptique, ou le bug de l'an 2000 appliqué à Twitter

2 147 483 647. C'est le nombre de twitts qui terrorisait, jusqu'au week-end dernier, les inconditionnels de Twitter. Celui au-delà duquel le réseau de micro-blogging devait connaître une Twitpocalypse, c'est-à-dire un 'bug de l'an 2000' appliqué à ce service 2.0. De fait, il y eut des ratés. Mais, comme au 1er janvier 2000, bien moindres que ce que certains avaient prédit. Le moteur de Twitter n'a pas cessé de fonctionner quand le nombre de twitts a dépassé le nombre fatidique. En revanche, un certain nombre de clients pour Twitter, notamment pour iPhone et Mac, ont été inopérables pendant plusieurs heures. Ainsi, Twitteriffic, conçu pour le smartphone d'Apple, ne pouvait plus être utilisé, et Tweetie, développé pour Mac OS, proscrivait la rédaction de nouveaux messages. Ce dysfonctionnement tire son origine dans la façon dont sont archivés les twitts. Chaque message hérite d'un numéro d'identification unique. Et le nombre de 2 147 483 647, qui a été atteint vendredi, correspond au plus grand entier signé qu'un système 32 bit peut manipuler, soit (231)-1. Lorsque le total des twitts émis depuis l'entrée en service de Twitter a atteint cette limite, certains clients ont reçu des micro-messages identifiés par un nombre n'entrant pas dans la plage de ceux que leur code les autorisait à prendre en considération. Ce n'est donc pas Twitter qu'il convient de mettre en cause, mais les développeurs des clients tiers, qui ont conçu leurs applications sur une base de 32 bit et avec des entiers signés. S'ils avaient opté pour des entiers non signés - c'est-à-dire en excluant de fait les nombres négatifs - ils auraient permis à leurs outils d'accepter deux fois plus de twitts avant de planter. La démarche eut été frappée du sceau du bon sens étant donné qu'il était peu probable que le nombre de twitts soit négatif. Les clients déficients fonctionnent de nouveau, leurs développeurs ayant appliqué les corrections nécessaires. Celles-ci consistent à basculer soit vers un adressage construit sur la base d'entiers non signés, soit vers une identification en 64 bit. Dans ce dernier cas, et en considérant que les entiers sont non signés, Twitter pourra enregistrer quelque (264)-1 messages avant qu'une nouvelle Twitpocalypse survienne à nouveau. Soit 18 446 744 073 709 551 615 twitts. (...)

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