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(15/07/2009 17:12:00)

Les sites en .tel ont un moteur de recherche, Qwista

Apex Ltd, une startup londonienne qui propose des outils de marketing en ligne, a lancé Qwista, un moteur de recherche uniquement réservé aux sites ou pages Web dont le nom de domaine se termine .tel. Qwista pioche dans sa propre base de données en se servant d'un algorithme conçu par Apex Ltd, capable d'effectuer des recherches dans n'importe quelle langue. Les résultats de recherche se présentent sous la forme de fiches avec une liste de renseignements qui varie en fonction de la requête : site Web, adresse, numéro de téléphone, mots-clés (informations commerciales), brève description ou même code d'accès pour se connecter à une page Internet officielle. Petit plus : en bas à droite on trouve un onglet vCard qui permet d'ouvrir et d'enregistrer la fiche du contact directement dans son carnet d'adresses, avec l'ensemble des renseignements qui y figurent. Qwista se targue de fournir à l'internaute des résultats plus précis et plus immédiats, sans l'obliger à visionner une dizaine de pages avant de trouver le contact qu'il cherche. Dans les faits, le moteur de recherche est assez brouillon et plutôt fastidieux. Qwista propose certes moins de pages que Google mais elles ne sont pas forcément beaucoup plus pertinentes. Beaucoup de sociétés ne sont pas référencées dans Qwista, l'extension .tel étant commercialisée seulement depuis le mois d'avril dernier. A titre comparatif, en tapant la recherche site:.tel sur Google, on obtient seulement 380 000 réponses contre 20,1 milliards pour le .com et près de 500 millions pour le .fr. (...)

(10/07/2009 17:04:00)

Jolicloud lève 4,2 M$ pour développer son OS destiné aux netbooks

Jolicloud, une start-up qui développe un système d'exploitation personnalisable pour ordinateurs portables, vient de réaliser une première levée de fonds d'un montant de 4,2 M$ auprès d'Atomico Ventures et de Mangrove Capital Partners. Lancé il y a quelques semaines à peine par Tariq Krim, le créateur de Netvibes, Jolicloud s'adresse au marché des netbooks, un secteur également convoité par Google et son Chrome OS, présenté il y a quelques jours et prévu pour l'année prochaine. Le système d'exploitation développé par Jolicloud est construit autour d'un noyau Linux, distribué par Ubuntu. Son interface a été conçue pour les mini PC et permet d'accéder à une série d'applications Web via le cloud. Il est compatible avec les écrans tactiles. Les 4,2 M$ récoltés par la start-up lui permettront de développer son OS (disponible en version alpha 2 depuis le 26 juin), de financer son programme de développeurs et d'élargir son réseau de partenaires. L'OS devrait être commercialisé d'ici à la fin de l'année sous forme de clé USB, à un tarif encore inconnu. Niklas Zennström, confondateur du fonds d'investissement Atomico Ventures mais également Skype (service de téléphonie par Internet), de Kazaa et de Joost, Michael Jackson, associé de Mangrove Capital Partners et ancien directeur général de Skype, et Gilles Semoun (PDG de Fotopedia) rejoignent le conseil d'administration de Jolicloud. (...)

(08/07/2009 11:26:27)

Fin de bêta pour Gmail et les Google Apps

Après 5 ans, Google a annoncé le mardi 7 juillet que son service de messagerie en ligne n'est plus à l'état de bêta. Google Agenda, Google Docs et Google Talk ont eux aussi été débarrassés de leur étiquette bêta mardi, alors que Google mettait à jour les éléments de sa suite GAPE (Google Apps Premier Edition) vers un statut 'produit fini'. Pour autant, produit fini ne veut pas dire développement terminé. « Vous continuerez à voir ces applications évoluer et se doter de nouvelles fonctionnalités, mais ces dernières seront testées de manière très approfondies avant d'être implémentées », précise Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. C'est au niveau entreprise que ce changement pourrait avoir le plus d'impact, l'étiquette bêta en refroidissant plus d'une. « Pour beaucoup trop d'entreprises intéressées commercialement par Gmail, la mention 'bêta' était comme un néon qui clignotait 'Amateur, amateur'... fait remarquer Matt Cain, analyste Gartner. Les entreprises ne veulent pas mettre les parties les plus critiques de leur communications sur un code bêta. Supprimer cette étiquette enlève l'un des plus gros obstacles qui empêchaient encore Google de s'attaquer aux entreprises. » Gmail et Google Agenda disposent depuis 6 mois d'un support hors-ligne, d'un accès BlackBerry, de l'intégration des listes de contacts et de la synchronisation avec le logiciel Outlook. D'un point de vue sécurité, l'acquisition de Postini en 2007 répond au besoin des entreprises. Google y ajoute aujourd'hui des fonctionnalités à but professionnel, telles que la réplication de messages. Dans les semaines à venir, il sera possible de déléguer son compte mail à des assistants, et de mettre en place des politiques de conservation de mails. Ces nouvelles fonctionnalités n'auront pas de conséquences sur le prix actuel de GAPE (50 dollars par utilisateur). « Bien qu'ayant commencé un peu lentement dans le marché de l'e-mail commercial, Google apprend vite et prend de l'inertie. Dans 2 ans, ça sera un vrai, crédible et agressif concurrent pour Microsoft et IBM », estime Matt Cain. (...)

(07/07/2009 16:51:54)

Facebook vise les 500 M$ de chiffre d'affaires en 2009

Facebook, le site communautaire aux 200 millions de membres, sera-t-il un jour rentable ? Oui, selon Marc Andreessen, membre du conseil d'administration de la société depuis un an. Dans un entretien accordé à Reuters, le créateur de Mosaic (premier navigateur Internet) et de Netscape affirme que Facebook devrait réaliser un chiffre d'affaires de 500 M$ en 2009 et que dans cinq ans les revenus du site se compteront en milliards de dollars. D'après Marc Andreessen, Facebook aurait même déjà dû franchir la barre du milliard de revenus si la société s'était davantage mobilisée pour monétiser son audience. Il estime néanmoins que Facebook (au même titre que Twitter, dans lequel il a investi) a eu raison de se concentrer sur sa base utilisateurs pour l'étoffer, sans être obnubilé par l'argent comme l'a fait MySpace. Longtemps chouchouté par les internautes, le réseau social racheté en juillet 2005 par le milliardaire Rupert Murdoch (pour 580 M$) a trop mis l'accent sur la vente de publicités et a négligé le développement de sa plateforme, entrouvrant une brèche dans laquelle Facebook n'a pas manqué de s'engouffrer. Marc Andreessen vient par ailleurs de lancer un fonds d'investissement avec Ben Horrowitz, son associé depuis des années. Ce fonds est doté d'un capital de 300 M$. Il servira à financer des jeunes pousses du secteur IT, à hauteur de 300 000 $ pour les sociétés qui viennent de se lancer et de 15 M$ pour celles qui sont déjà bien positionnées. Au cours de sa carrière de mentor, Marc Andreessen a notamment investi dans les réseaux sociaux Ning, LinkedIn et Digg. Depuis le décollage de l'audience de Facebook, de nombreux investisseurs ont injecté des millions de dollars dans le site, comme Microsoft (240 M$), les fonds Accel Partners et Peter Thiel, le milliardaire chinois Li Ka-Shing (60 M$) ou encore le Russe Sky Digital Technologies (200 M$ en mai dernier). Le site communautaire a toujours refusé de communiquer le moindre résultat financier. (...)

(06/07/2009 16:24:40)

La justice déboute l'INA dans son action face à Youtube

L'INA n'aura pas réussi à faire entendre ce qu'il considère comme légitime. Alors que l'Institut national de l'audiovisuel s'était tourné vers les juridictions judiciaires pour que cesse la diffusion sur Youtube de centaines de vidéos issues de son catalogue, le tribunal de grande instance de Créteil n'a pu que se déclarer incompétent pour connaître de cette affaire. En l'espèce, l'INA reprochait au service de partage de vidéos de Google d'utiliser un outil de filtrage des contenus - VideoID - largement perfectible. Et d'arguer que sa propre technologie - Signature - s'avérait bien plus efficace et devait, sur injonction du juge, être expérimentée sur Youtube. L'instrument permet aux producteurs de vidéos de signer numériquement leurs clips - c'est-à-dire d'apposer une empreinte pour revendiquer la paternité de la vidéo - afin de proscrire leur diffusion sur des canaux non autorisés. Pour légitime qu'apparaissait la demande de l'INA, elle outrepassait néanmoins les prérogatives du magistrat. Il ne lui revient pas, a-t-il expliqué au demandeur éconduit, de se prononcer sur un tel différend et il ne saurait, au regard de ses compétences, ordonner la mise en place de tel ou tel outil de filtrage. L'INA, quoique débouté, n'en a pas fini avec Youtube. Le TGI de Créteil doit encore se pencher sur le fonds de l'affaire et examiner le délit de contrefaçon dont l'INA accuse Youtube. Cette fois, ce n'est pas simplement le recours à telle ou telle technologie d'empreinte numérique qui est en jeu, mais des dommages-intérêts censés réparer le préjudice créé par l'utilisation indue de centaines de vidéos. Soit, potentiellement, plusieurs millions d'euros. (...)

(03/07/2009 16:34:14)

Bing plus rapide que Google pour intégrer Twitter dans ses résultats

Google coiffé au poteau. L'incontestable et hégémonique numéro un de la recherche en ligne vient de se faire griller la politesse par Microsoft, l'outsider qui monte depuis le lancement de Bing, son nouveau moteur, et qui a commencé à y intégrer des messages issus de Twitter. Sur le blog consacré à Bing par l'éditeur de Redmond, un billet souligne la volonté de l'éditeur d'ajouter une dose de données en temps réel dans les résultats des requêtes. Twitter est certainement l'acteur du Web qui correspond le mieux à cette exigence, comme l'ont prouvé les innombrables tweets mis en ligne à l'occasion des attentats de Bombay, des événements en Iran ou de la mort de Michael Jackson. Pour l'heure, tous les tweets ne sont pas indexés, loin s'en faut. Seuls quelques membres influents du réseau de micro-blogging ont actuellement le privilège d'apparaître dans les résultats des recherches effectuées sur Bing. Il en va ainsi de l'ancien vice-président américain Al Gore ou de l'éditorialiste du Wall Street Journal Kara Swisher. Au total, quelques centaines de personnalités sont prises en compte, essentiellement en fonction du nombre d'internautes abonnés à leurs tweets et du volume de leur production. Les requêtes « @algore » ou « Al Gore tweets » ou « Al Gore Twitter » affichent ainsi une page de résultats faisant apparaître les tweets les plus récents de l'ancien candidat à la Maison Blanche. L'inclusion de Twitter dans Bing devrait permettre au moteur de Microsoft de refaire une partie de son retard sur ses devanciers, Yahoo et, loin devant, Google. Déjà, en troquant Live Search par Bing, Microsoft a légèrement redressé la tête sur ce marché, en gagnant un point de parts de marché entre avril et juin, à 8,23% aux Etats-Unis. Google, quant à lui, caracole en tête avec 79,07% du marché. Le même Google pourrait, selon l'Express, intégrer lui aussi les messages publiés sur Twitter dans les résultats des requêtes effectuées sur son service d'actualités. D'ici là, les internautes peuvent y accéder en dotant leur navigateur Firefox de l'extension Greasemonkey et en y greffant un script dédié. (...)

(03/07/2009 11:44:56)

USI 2009 : Joël de Rosnay prédit la généralisation des échanges pair à pair

Dure tâche que d'ouvrir la seconde édition de l'Université des SI (USI 2009), organisée par Octo Technology en ce début juillet, quand en juillet 2008 Michel Serres avait si brillamment éclairé la lanterne des informaticiens, qu'ils soient dirigeants (boss, dans le langage Octo) ou codeurs (geeks). C'est Joël de Rosnay qui cette année s'est attelé à la tâche, avec plus ou moins de bonheur. Le conseiller de la présidence de la Cité des sciences et de l'industrie a en effet rappelé des évolutions de la société du numérique qui sont - ou devraient être - des évidences pour le public de l'USI : la généralisation des équipements mobiles et connectés, le poids de la longue traîne (le cumul de faibles audiences dans le temps dépassant largement des pics d'audience momentanés), les comportements liés au Web 2.0 (personnalisation, collaboration...), la nécessité de surfer protégé (par des outils de sécurité) et avec prudence et discernement... Mais au-delà de ça, remettant en jeu son titre d'expert en futurologie, Joël de Rosnay s'est risqué à quelques prédictions. S'attardant sur le succès des échanges de fichiers musicaux en pair à pair, il a affirmé : « Je vous prédis que le peer-to-peer va atteindre cinq secteurs : la banque, l'assurance, le consulting, l'éducation et l'énergie. » Pour la banque, Joël de Rosnay cite l'exemple du micro-crédit, appelé à se développer, car quand « les gens se prêtent entre eux, les taux d'intérêt sont plus bas et les dossiers moins compliqués à monter ». Pour l'assurance, Joël de Rosnay explique que c'est ainsi que cela a débuté : « La Lloyds a commencé avec des armateurs qui s'assuraient entre eux. » Pour le consulting, le cofondateur d'AgoraVox mise tout naturellement sur la montée en puissance du « crowdsourcing », autrement dit l'intelligence collective pour apporter des solutions à un problème. Pour l'éducation, Joël de Rosnay envisage une « coéducation citoyenne participative », expliquant qu'une certaine candidate à la présidence de la République lui a « piqué le thème ». Enfin, pour l'énergie, il voit venir le jour où « les gens revendront à leurs voisins l'énergie qu'ils feront », ce qui entraînera l'apparition d'un nouveau métier, celui de courtier en énergie. Joël de Rosnay critique Hadopi à mots à peine couverts Cette liste de prédictions se basant sur le succès du P2P, Joël de Rosnay n'a pu s'empêcher une petite pique à l'égard du gouvernement et de la loi Création et Internet (instaurant l'Hadopi). Les nouvelles façons de faire du business, dit-il, reposent sur deux éléments majeurs, l'audience d'un site Web et le bruit fait autour. Une conviction qu'il a formalisée sous l'équation suivante : « flux + buzz = bizz ». Et d'ajouter : « Les jeunes musiciens l'ont très bien compris, mais pas les législateurs qui réfléchissent à un monde fermé. » Enfin, mettant en garde contre les dangers de manipulation des images ou des identités numériques pouvant conduire à ce qu'il appelle du « révisionnisme numérique », Joël de Rosnay a appelé à l'élaboration d'une nouvelle éthique, « l'infoéthique ». (...)

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