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Web 2.0
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(07/08/2009 16:54:04)
Les attaques contre Twitter révèlent la fragilité de son infrastructure
La rançon du succès sur le Web est sans nul doute l'intérêt porté par les pirates. Twitter, et dans une moindre mesure Facebook et Google, en ont fait les frais hier, jeudi 6 août. Les stars du web 2.0 ont subi, chacune leur tour, des attaques en déni de service (envoi en masse de demandes d'informations à un site afin d'en saturer les serveurs) qui les ont paralysées une partie de l'après-midi. Twitter est resté silencieux une très grande partie de la journée alors que Facebook et Google n'ont vu leurs services interrompus que très peu de temps. « Nous avons rendu un accès total à la plupart des internautes », explique Facebook sur son site. L'entreprise précise qu'elle continue néanmoins de surveiller de près la situation. Elle ne donne pas de précisions détaillées sur le type d'attaque qu'elle a subie, se contentant de renvoyer sur l'article de Wikipedia sur le déni de service. Personne ne sait aujourd'hui si les attaques qui ont concerné le réseau social sont liées à celles qui ont mis Twitter à genoux. Même constat pour le déni de service qui a atteint une partie du service qui redirige des URL de partenaires Google vers les sites ou les blogs Google. La coïncidence des événements conduit néanmoins les trois entreprises à enquêter ensemble sur le sujet. La source de l'attaque encore inconnue Sur son site, Facebook estime que les attaques auraient été dirigées contre un seul individu plutôt que contre les sites proprement dit. La victime serait un blogueur géorgien appelé Cyxymu avec des comptes sur Facebook, mais aussi Twitter, LiveJournal, Blogger et YouTube. La méthode du rouleau compresseur pour écraser un puceron, en quelque sorte. Certains observateurs invoquent d'autres explications. « Si on scrute les forums de hackers, il est clair que Twitter les énerve au plus haut point », indique ainsi Richard Stiennon, fondateur du cabinet d'étude sur la sécurité IT-Harvest. « Twitter est venu de nulle part. Les hackers détestent ça. Ils ont toujours utilisé les forums et l'IRC pour communiquer, et tout à coup, le reste du monde a son propre outil avec Twitter. » [[page]] Pour lui, la montée en puissance de Twitter - et la réaction violente contre lui - rappellent ce qui s'est passé dans les années 90 quand AOL est devenu prédominant et que les utilisateurs experts ne le considéraient comme rien d'autre qu'un BBS (Bulletin board system) amélioré. Cette fois encore, il s'agirait de montrer que Twitter est insignifiant. Autre interprétation encore, celle de Roger Thompson, directeur de la recherche chez AVG Technologies, éditeur de logiciels de sécurité, qui estime que ces attaques auraient un rôle éducatif : il s'agirait de montrer le danger des botnets (réseaux de PC sous contrôle d'un pirate) et la fragilité des sites du Web 2.0. Twitter, le plus affecté, doit absolument renforcer son infrastructure Quelle que soit l'explication de ce qui s'est passé hier, tous les observateurs du monde de la sécurité s'accordent à dire que Twitter, le plus touché, doit renforcer son infrastructure s'il souhaite continuer à croître sans subir de nouvelles attaques (il compte déjà près de 30 millions d'utilisateurs uniques). Pour Richard Stiennon, 10 M$ devraient suffire à doubler la capacité transactionnelle du site, avant d'ajouter qu'à la place de Twitter, il quadruplerait directement cette capacité. Pour Barrett Lyon, l'ancien CTO (directeur technique) et co-fondateur de BitGravity, spécialiste des attaques en déni de service, « Twitter a besoin de son propre réseau autonome, de plusieurs sources différentes de bande passante et de plusieurs couches de sécurité ». Il rappelle que Twitter s'appuie sur un seul fournisseur pour se connecter au backbone Internet et qu'il s'agit de NTT Communications, à Tokyo. « J'imagine qu'au niveau de la répartition de charge dans leur ferme de serveurs, rien n'avait été configuré pour faire face à ce type d'attaque, continue-t-il, sans quoi cela ne se serait même pas vu. » L'expert rappelle que Facebook, qui a une infrastructure bien plus robuste, n'a quasiment pas subi de dommages. Et pour Roger Thompson, Twitter doit se dépêcher de s'améliorer, car de nouvelles attaques pourraient bien le cibler dès la rentrée de septembre. (...)
(24/07/2009 13:51:59)Le CA annuel de Microsoft chute pour la première fois en 23 ans
Microsoft a publié hier des résultats annuels fortement ébranlés par la crise économique ainsi que par la chute des ventes de PC (-5% pour le deuxième trimestre selon Gartner) et de serveurs. Le chiffre d'affaires s'établit à 58,44 Md$, en recul de 3% par rapport à 2008, une année où l'éditeur est parvenu à faire croître son CA de 18% (60,42 Md$). Le bénéfice net perd 18 points, pour atteindre 14,57 Md$. Pour le quatrième trimestre, le ralentissement est encore plus brutal : le CA perd 17%, à 13,10 Md$ alors que les analystes tablaient sur 14,37 Md$ et le bénéfice net dégringole de 29% (3,05 Md$). Microsoft explique cette contre-performance par un ensemble de facteurs, en plus de la conjoncture économique ambiante. L'éditeur bataille notamment pour se faire une place sur Internet (lancement de Bing, le moteur de recherche qui veut concurrencer Google, disponibilité en ligne de la suite bureautique Office...). Ses efforts lui ont coûté la bagatelle de 2,2 Md$ sur l'ensemble de l'année. Microsoft a également dû préparer la sortie de Windows 7 (prévue le 22 octobre prochain), faire face à des frais juridiques (193 M$), à des dépréciations d'investissements (108 M$) et à des charge liées aux plans de licenciements (40 M$). En septembre 2008, l'éditeur a pourtant conclu un premier trimestre dans le vert , mais il se déclarait « prudent pour la suite » tout en annonçant un plan de réduction des coûts. Las, cela n'aura pas suffit. Pour la première fois en 23 ans d'existence l'éditeur a publié avril dernier un CA trimestriel dans le rouge, suivi d'un dernier trimestre guère plus reluisant. (...)
(23/07/2009 17:04:11)Xoopit tombe dans l'escarcelle de Yahoo
Yahoo vient de racheter Xoopit, une startup californienne qui développe des outils de gestion de photo et de contenu pour les webmails, et permet également de les publier sur des réseaux communautaires. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé, mais le Wall Street Journal parle de 20 M$. Lors de la publication, hier, des résultats trimestriels - plutôt décevants - du portail, Carol Bartz, PDG du groupe, a indiqué que le groupe souhaitait développer davantage de services pour ses utilisateurs. Et de présenter dans la foulée une nouvelle version du portail, personnalisable par les internautes. Yahoo en remet une couche aujourd'hui en mettant la main sur une jeune pousse qui a conçu des applications pour Gmail, le service de messagerie de Google, grand rival de Yahoo. Sur leur blog, les fondateurs de Xoopit ont indiqué que le service resterait actif pour les utilisateurs de Gmail, du moins pour le moment. (...)
(23/07/2009 14:16:42)Amazon diversifie ses activités en rachetant Zappos pour 847 M$
Historiquement spécialisé dans la vente de livres, de DVD, de jeux vidéo et de produits électroniques, Amazon cherche à diversifier ses activités. Le cybermarchand a annoncé hier le rachat de l'Américain Zappos.com, pour un montant de 847 M$. Créé il y a dix ans, cette société du Nevadas emploie près de 1 300 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires d'un milliards de dollars en 2008. Elle vend par Internet des vêtements et des chaussures. Amazon a déjà essayé d'aborder le secteur du prêt-à-porter, mais sans le succès escompté. Les directions des deux groupes ont indiqué qu'aucun licenciement n'était prévu dans le cadre de cette acquisition. Amazon a réalisé chiffre d'affaire de 19,17 Md$ en 2008, en hausse de 29%. (...)
(22/07/2009 16:08:28)Les actionnaires de Vignette approuvent le rachat par Open Text
Les actionnaires de Vignette ont voté hier en faveur de l'acquisition de la société par Open Text pour un montant de 321 M$. L'acheteur canadien, spécialiste de solutions de gestion de contenu (ECM), continuera à soutenir les logiciels conçus par l'éditeur américain, y compris les anciennes versions de Vignette Content Management, mais n'a pas stipulé s'il souhaitait développer de nouvelles gammes sous ce nom. Même interrogation en ce qui concerne les « produits combinés » qu'Open Text proposera désormais à ses clients. Le groupe n'a pas précisé comment il intégrerait les logiciels Vignette dans sa propre offre, se contentant d'expliquer qu'il offrira de nouvelles fonctionnalités e-business orientées Web, pour « répondre aux nouvelles exigences sociales et aux médias numériques », a explique John Shackleton, PDG d'Open Text. Suite au rachat de Vignette, Open Text prévoit une restructuration du groupe. Les modalités de réorganisation ainsi que d'éventuelles conséquences sur les effectifs seront dévoilées le 27 juillet prochain. (...)
(22/07/2009 14:31:53)Trimestriels : Yahoo se maintient avec peine et relifte son portail
Yahoo a publié hier ses résultats pour le deuxième trimestre de l'année. Le chiffre d'affaires perd une nouvelle fois 13% pour s'établir à 1,57 Md$. Le portail explique cette baisse par le ralentissement du marché de la publicité en ligne (-13% également) ainsi que celui des services payants comme le téléchargement en ligne (-8%). Le bénéfice net en revanche retrouve de légères couleurs puisqu'il grimpe de 8% à 141 M$ alors que le portail avait démarré l'année avec un résultat net en chute de 78%. Sur le semestre en revanche, les résultats sont catastrophiques (CA en baisse de 13%, bénéfice en chute de 69%) et contrastent étrangement avec l'optimisme de Carol Bartz, PDG de Yahoo: « Compte tenu de l'environnement économique, je suis satisfaite de ses résultats », a-t-elle en effet déclaré. Yahoo indique que son bénéfice net aurait pu atteindre les 229 M$ s'il n'avait pas été touché par divers frais de restructuration engendrés par les licenciements de 700 personnes (65 M$), soit 5% des effectifs, et par la revente de Kelkoo pour le quart de son prix d'achat (moins de 100 M€) en novembre 2008. En excluant ces éléments, le chiffre d'affaires du groupe n'aurait du baisser « que » de 6%. Yahoo relooke son portail à la sauce Web 2.0 Yahoo reste sous pression pour redonner un souffle à ses sites, fortement écrasés par la concurrence de l'hégémonique Google que rien n'arrête, pas même la crise économique. Yahoo a d'ailleurs profité de la publication de ses résultats pour présenter une version relookée de son portail. La nouvelle page est personnalisable par l'internaute, sur PC comme sur mobile. Elle comporte une série de favoris sur la gauche de l'écran, comme les incontournables Facebook, eBay et autres MySpace. Pour le prochain trimestre, Yahoo table sur un CA compris entre 1,45 et 1,55 Md$. Une acquisition par une partie ou l'intégralité du portail par Microsoft reste une voie de secours pour Yahoo, selon les analystes. (...)
(21/07/2009 16:03:31)IPernity lève 1 M€ et fait son introduction sur le marché libre
La startup française IPernity (de la contraction entre IP et 'eternity') a fait hier son entrée par cotation directe sur le marché libre d'Euronext Paris après avoir levé un million d'euros le 15 juin dernier. Cette levée de fonds, réalisée auprès de 128 investisseurs particuliers, a pu se faire dans le cadre de la loi Tepa* (Travail, emploi et pouvoir d'achat). Près de 870 800 actions sont désormais cotées au tarif de 8,74 €, soit un capital de 7,6 M$ au total. Les investisseurs détiennent 12,47% des titres de la société. Une dizaine d'actions ont symboliquement été vendues, le but de l'opération n'étant pas de procéder à une augmentation de capital mais à « rassurer les 128 investisseurs privés qui nous ont fait confiance. Avec cette cotation, ils ont la garantie de pouvoir revendre leurs titres dans cinq ans, en bénéficiant de la réduction d'impôts corrélative à la loi Tepa », explique Christian Conti, DG délégué d'IPernity. Créé en 2007 par Christophe Ruelle, fondateur du moteur de recherche Echo (ancêtre de Voila.fr, revendu à France Télécom en 1999) et d'e.Stat.com (cédé à Médiamétrie), IPernity est un site de partage de contenu : photos, vidéos, textes, blogs... Pas question pour autant d'entendre parler de comparaison avec FlickR, YouTube et autres Facebook. IPernity se définit comme un « réseau social dédié au patrimoine numérique » qui mise sur le long terme. « Contrairement à YouTube, les vidéos ne sont destinées à faire du buzz de manière éphémère, mais à être stockées et partagées sur une longue période », explique Christian Conti. Quant à FlickR, Christophe Ruelle le décrit comme « un service de référence, qui a défriché les nombreuses possibilités offertes par le Web 2.0, mais surtout destiné aux passionnés de photographie, alors qu'IPernity s'adresse à un public familial. » Disponible en treize langues, IPernity compte actuellement 100 000 membres, essentiellement en Allemagne (25%), en France (22%) et aux Etats-Unis (15%). Entre 3 et 4% des inscrits ont également souscrit à l'abonnement Premium proposé par la société. D'un montant de 1,99 € par mois, cet abonnement donne accès à un espace de stockage illimité. D'ici à 2014, IPernity vise les 600 000 abonnés payants, une chiffre d'affaires de 30 M€ et une marge opérationnelle de 30%. La société (cinq salariés pour le moment) compte sur la levée de fonds pour recruter des ingénieurs ainsi que deux personnes dans le marketing. IPernity souhaite également développer de nouveaux outils et services pour ses utilisateurs, mais refuse d'apporter davantage de détails sur leur teneur. IPernity a été élu « meilleur site de partage » (parmi 50 000 sites) aux Open Web Awards organisés par le blog spécialisé Mashable.org. *Votée en 2007, la loi Tepa permet aux investisseurs privés de bénéficier d'une réduction d'impôts (à hauteur de 75%) s'ils soutiennent financièrement des PME innovantes. (...)
(21/07/2009 15:34:15)Hadopi II : l'Assemblée nationale rendra sa copie en septembre
L'Assemblée nationale devait examiner aujourd'hui le nouveau projet de loi instaurant la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet, autrement dit Hadopi II, version remaniée d'Hapodi après la censure du Conseil constitutionnel. Les députés ne devront finalement pas digérer avant les vacances le gros pavé validé par le Sénat et agrémenté des 894 amendements déposés par l'opposition. Le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, a en effet décidé ce matin de reporter le vote à la rentrée prochaine. Officiellement, l'Assemblée manque de temps pour examiner correctement le texte, le bâtiment étant en travaux de réfection à partir de la semaine prochaine. Dans les faits, les députés de la majorité comme de l'opposition étaient très peu nombreux. Les débats ont donc d'abord été repoussés à cet après-midi avant d'être définitivement ajournés. « Ce projet de loi commence sous de mauvaises auspices, a ironiquement commenté le socialiste Patrick Bloche. Le Président de la République a dit qu'il irait jusqu'au bout. Visiblement sa majorité a du mal à le suivre. » La prochaine session extraordinaire est prévue pour le 14 septembre prochain. (...)
(17/07/2009 16:09:36)Trimestriels Google : bénéfice net en hausse de 19%
Google continue de surprendre en publiant des résultats trimestriels dépassant les attentes des analystes. Le chiffre d'affaires progresse certes très modestement (+3%) pour atteindre 5,52 Md$, mais le bénéfice net grimpe de 19 points par rapport à la même période de l'année dernière, à 1,48 Md$. En soustrayant les commissions et autres frais que Google paie à ses partenaires publicitaires et distributeurs, le CA s'élève à 4,07 Md$, soit 0,01 point de plus que les prévisions. Le bénéfice de l'action est passé de 4,63 $ à 5,36 $ en un an, alors que les analystes tablaient sur une valeur n'excédant pas les 5,05 $. « Ces bons résultats prouvent l'endurance de notre modèle économique et met en lumière les efforts réalisés pour diminuer les dépenses », a expliqué Eric Schmidt, PDG du groupe. Google est en effet parvenu à faire baisser ses coûts de fonctionnement en les faisant passer de 1,64 Md$ à 1,54 Md$. En mars dernier, Google a notamment supprimé 200 postes en ventes/marketing afin de rationnaliser les ressources. Eric Schmidt s'est montré confiant pour l'avenir, « nous sommes en bonne position pour [appréhender] la reprise économique », a-t-il commenté. Dans le détail, les sites mêmes de Google génèrent 66% du CA du groupe, soit 3% de plus que l'année dernière. Pour le reste, ce sont essentiellement les sites partenaires - via le programme AdSense - qui contribuent à alimenter les revenus du moteur de recherche (1,68 Md$, en hausse de 2% par rapport à 2008). Plus de la moitié du chiffre d'affaires de Google est réalisée en dehors des Etats-Unis, essentiellement en Grande-Bretagne (13%). (...)
(16/07/2009 14:49:16)Twitter à nouveau piraté, les informations dérobées exposées sur le Web
Décidément, Twitter n'en finit plus d'attirer les pirates. Cette fois, ce ne sont pas les comptes de ses utilisateurs qui ont été victimes d'une attaque, mais certains documents confidentiels qui se sont retrouvés à la vue de tous sur le Web. À l'origine de cet exploit, un pirate, Hacker Croll, a trouvé le mot de passe d'un employé administratif de Twitter. Il a alors pu accéder à l'ensemble des données conservées par le réseau de micro-blogging sur Google Apps, y compris des renseignements hautement sensibles comme les informations relatives aux noms de domaines appartenant à Twitter, des numéros de cartes bancaires, des contrats ou les contacts de personnalités. Plutôt que de conserver toutes ces données à l'intérieur de ses propres systèmes informatiques, Twitter s'est laissé séduire par le cloud computing, mais a négligé la sécurité. Ses employés, dont Evan Williams, le directeur exécutif, ont allègrement mélangé outils privés et outils professionnels, permettant ainsi à Hacker Croll de profiter d'une brèche dans l'un des secteurs pour accéder aux informations de l'autre. Bien qu'il n'ait rendu son exploit public que depuis quelques jours, le pirate a réalisé son coup d'éclat en mai dernier. Depuis, tous les employées de Twitter ont dû changer leurs mots de passe de sécurité. Et Biz Stone, le PDG, va une nouvelle fois renforcer la sécurité informatique de sa société. (...)
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