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(13/09/2011 11:27:03)
IBM fait évoluer sa solution de web analytique
IBM a décidé de renforcer sa suite d'analyse des comportements web et d'optimisation du marketing en ligne issue des récentes acquisitions de Coremetrics et d'Unica.
Selon le constructeur, Web Analytics et Digital Marketing Optimization optimiseront les campagnes marketing en ligne sur l'ensemble des canaux digitaux et mobiles. Grâce à un dépistage web plus approfondi, les entreprises pourront mesurer plus précisément l'appétence des visiteurs avec les produits et services disponibles en ligne, de définir quelles sont les campagnes marketing à lancer et d'élaborer des offres personnalisées en temps réel. Ainsi, elles comprendront plus rapidement les préférences et les tendances d'achat de leurs clients sur l'ensemble des médias numériques : sites web, réseaux sociaux, téléphones mobiles et tablettes numériques.
Segmenter les données issues de différents canaux
La suite logicielle d'IBM automatise les campagnes marketing en réalisant une segmentation pointue basée sur les données issues de différents canaux, et notamment de sources de données offline. Elle fournit des recommandations en temps réel sur les produits à pousser pour l'ensemble des canaux Internet, sur les bannières, les réseaux sociaux, les terminaux mobiles et l'e-mail. Des tests comparent les termes de requête afin de déterminer les termes les plus efficaces et les publicités associées, tandis que des indicateurs dressent un aperçu des performances clés en matière de meilleures pratiques, ainsi que des benchmarks métier correspondants. Enfin, la solution fournit une analyse approfondie de la durée de l'interaction qu'entretiennent les clients avec une marque, ainsi que du moment précis où chaque programme marketing est le plus efficace.
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Amazon refond son site pour les tablettes
Selon certaines informations, le site de e-commerce Amazon travaille actuellement sur le design de son site web qui sera également pensé pour les tablettes tactiles. Le Wall Street Journal a en effet révélé que le magasin en ligne était en train d'éliminer certains boutons et d'élargir le champ de recherche pour mieux répondre aux besoins des utilisateurs de terminaux mobiles. Le quotidien économique a précisé que le nouveau site n'était pour l'instant disponible qu'auprès d'un petit groupe d'utilisateurs et qu'Amazon n'avait pas souhaité faire de commentaires sur le design de son site. Pour les analystes du secteur, cette refonte trouvera son sens sur deux fronts : d'abord en visant le marché en plein essor des tablettes. Ensuite, en arrivant à peu près au moment où Amazon sortira sa propre tablette.
Une audience dopée par les utilisateurs d'iPad
« Cette refonte est tout à fait logique », considère Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research. Les interfaces mobiles faciles à utiliser sont devenues de plus en plus courantes. De plus, même si la plupart des achats seront réalisés à partir de PC plutôt que de tablettes, et ce, pendant un bon moment, il est sensé d'aller dans cette direction ».
Zeus Kerravala, analyste au Yankee Group, convient également qu'Amazon cherche à améliorer son site, en ayant les utilisateurs de terminaux mobiles à l'esprit. Pour lui, les gens veulent utiliser Amazon, partout où ils sont et quand ils le veulent. Ezra Gottheil a également estimé qu'une refonte concorderait avec le lancement de la tablette d'Amazon et que le support d'autres terminaux mobiles, comme l'iPad d'Apple était cruciale. « L'audience mobile d'Amazon proviendra surtout des utilisateurs d' iPad, même si la tablette d'Amazon est très réussie », a-t-elle assuré.
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Commotion, un réseau Internet autonome libre et gratuit.
Comme les récents événements survenus en Egypte et en Tunisie l'ont illustré, les dissidents du monde entier ont besoin d'une plate-forme sécurisée et fiable pour s'assurer que leurs communications ne peuvent pas être contrôlée ou coupées par des régimes autoritaires. À ce jour, les technologies destinées à contourner les communications bloquées ont porté principalement sur le développement des services qui s'exécutent sur des infrastructures de communication préexistantes. Libre et gratuit, le réseau autonome Commotion devrait pouvoir répondre aux attentes des dissidents. D'origine américaine, il est soutenu par l'Open Technology Initiative, une association qui milite pour le développement de logiciels libres
Relier des équipements Wifi au réseau en peer-to-peer
Commotion est une plate-forme Open Source de communication distribuée en mode « device-as-infrastructure » qui
permet à des équipements activés en WiFi (par exemple, les ordinateurs portables, les smartphones, les routeurs sans fil) d'être reliés directement (par les ondes WiFi) pour former un réseau de communication peer-to-peer. En s'appuyant sur une infrastructure maillée (MESH) et sans fil, Commotion contourne l'existant et est ainsi capable de soutenir les défenseurs des droits et organisations de la société civile qui travaillent autour du globe.
Tout d'abord, l'infrastructure distribuée du réseau ne permet plus aux gouvernements de perturber les communications en fermant les infrastructures de communication. Ensuite, Commotion améliore la sécurité des communications entre les militants en éliminant les points de contrôle centralisé, en autorisant directement la communication peer-to-peer, en agrégeant et en sécurisant les flux individuels de communication.
Commotion permet donc de se prémunir des gouvernements hostiles qui surveillent, perturbent ou stoppent des communications. La plate-forme peut être utilisée pour renforcer la sécurité des dissidents en autorisant des échanges en peer-to-peer.
Les utilisateurs de Commotion ont commencé à s'organiser autour de deux axes. Le premier est de mettre à niveau les ports client OLSR ( Optimized Link State Routing Protocol ), un protocole de routage destiné aux réseaux maillés, sans fil ou mobiles à partir de Windows, OS X, iPhone et Android. Cela permettra aux gens qui sont sur le terrain de créer un intranet communautaire à partir de périphériques existants. Le deuxième axe porte sur une technologie Tor (projet de routage en oignons) pour rendre la navigation anonyme.
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Facebook a versé 40 000 dollars de primes aux chasseurs de bugs
Trois semaines après avoir lancé Security Bug Bounty, programme qui récompense des hackers ayant trouvé des failles sur son site, Facebook a indiqué qu'il avait déjà versé plus de 40 000 dollars de primes aux chasseurs de bugs. Lundi dernier, le réseau social a déclaré que cette opération était une réussite, car elle avait réussi à mobiliser des experts de la sécurité du monde entier. « Nous avons pu nouer des relations avec un beaucoup d'experts en sécurité, dont le nombre ne cesse de croître, et entamé le dialogue avec des personnes de plus de 16 pays, dont la Turquie à la Pologne, passionnés par la sécurité sur Internet, » s'est réjoui Facebook dans un billet de blog consacré à ce programme.
Ces dernières années, les entreprises technologiques ont commencé à payer des hackers pour les encourager à rapporter tranquillement des bugs. Google et Mozilla, par exemple, fonctionnent avec des programmes similaires de primes sur la découverte de failles.
Des primes pouvant atteindre les 7 000 dollars
Facebook a indiqué qu'il payait 500 dollars par bug mais que la prime pouvait être plus importante en cas de problèmes exceptionnels. Le site a, par exemple, décidé d'accorder 5 000 dollars de primes à un pirate en raison de son « très bon rapport ». et également versé 7 000 dollars à un hacker qui avait fait remonter six problèmes de nature différente.
« A l'opposé, nous avons eu à traiter des rapports de bugs émanant de personnes qui étaient juste à la recherche de publicité, » a déclaré Facebook. Bien que la firme ait parlé de son programme de primes aux bugs en termes élogieux, Security Bug Bounty ne couvrira pas les centaines de milliers d'applications écrites par des tiers car, pour Facebook, « ce n'est tout simplement pas pratique ».
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Google+ ajoute une fonction « Ignorer »
Les membres de Google+ qui souhaitent ignorer un de leurs « amis » sont désormais en mesure de le faire grâce à une fonction supplémentaire. « Avec cette option, une seule étape suffit pour se débarrasser d'une notification indiquant ce que fait l'importun, ou pour se débarrasser d'un post que l'on ne veut pas voir. », a indiqué Olga Wichrowska, ingénieur logiciel chez Google, dans un billet de blog.
« Ainsi, à partir d'aujourd'hui, les utilisateurs de Google+ seront en mesure de pouvoir ignorer des gens, en plus de la fonction actuelle « Bloquer », qui, elle, est radicale. »
Elle a, en effet, rappelé que « bloquer » quelqu'un signifie qu'il sera retiré du cercle d'amis, que les personnes « bloquées » ne voient pas ce que l'utilisateur partage, ni ce quelles postent.
Possibilité de revenir sur sa décision
Kathleen Ko, également ingénieur chez Google, a pour sa part estimé que la fonction « ignorer » revenait à dire : «je ne suis pas intéressé. » et que, de la même façon que l'option de blocage, la personne ignorée ne serait pas informée de cette action. « Dans la vie réelle, il existe des personnes que vous ne connaissez pas, n'aimez pas, où dont vous ne souhaitez pas entendre parler », a poursuivi Olga Wichrowska. « Nous avons donc décidé de donner à nos membres la possibilité d'entretenir ce type de relations ».
L'option « Ignorer » sera disponible aux côtés de la fonction « Bloquer » à plusieurs endroits sur Google +. Les boutons apparaîtront dans les pages Cercles, le flux de notification et dans la barre Google +. Au cas où une personne amenderait son comportement ennuyeux, il est également possible de revenir sur l'option « Ignorer » en allant dans l'onglet « Autres actions » sur la page Cercles. Les membres de Google+ peuvent aussi revenir sur leur décision depuis la page Cercles, et y ajouter les personnes qu'elles avaient précédemment ignorées.
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Emeutes britanniques : Twitter, RIM et Facebook convoqués par les autorités
Hier, le gouvernement britannique a sollicité des entreprises IT pour faire le point sur les violentes émeutes qui ont eu lieu, au début du mois, dans les quartiers de Londres, Birmingham, Liverpool et Manchester, Theresa May, ministre de l'Intérieur a rencontré des dirigeants de Facebook, Twitter et RIM, dont les services ont été utilisés par les émeutiers dans plusieurs villes britanniques. Après les émeutes, le Premier ministre David Cameron a déclaré que le Royaume-Uni examinerait « dans quelle mesure il serait juste d'empêcher des personnes de communiquer via ces sites web et ces services quand nous savons qu'ils se préparent à commettre des violences, des crimes ou à semer le désordre ». Le fait que le Royaume-Uni puisse censurer des réseaux sociaux a suscité de vives critiques. Theresa May a quant à elle déclaré, dans un communiqué, que les discussions étaient tournées sur l'amélioration des capacités technologiques et légales dont peut disposer la police lorsqu'il s'agit de services qui sont utilisés à des fins criminelles Sans pour autant préciser si la fermeture des services web avait été évoqué dans ces conversations.
Selon Facebook, la ministre de l'Intérieur a donné le ton clairement en indiquant qu'il n'était pas question de restreindre les services Internet. « Nous avons établi le dialogue pour pouvoir travailler ensemble de façon à assurer la sécurité des gens et non pas sur les restrictions de services sur Internet», a indiqué le réseau social dans un communiqué. Le site à tout de même reconnu que, parfois, il fallait être plus vigilant ou réagir rapidement en cas de circonstances exceptionnelles, telles que les fusillades récentes qui ont eu lieu en Norvège ou les émeutes qui ont frappé le Royaume-Uni.
Surveillance des contenus 24h/24
« Lorsque nous avons affaire à ce type de situations, le contenu relatif à ces questions constitue une priorité», a déclaré Facebook. « En conséquence, l'équipe travaille sans relâche pour s'assurer que le temps de suppression de tels contenus est réduit et contrôle étroitement ce qui est à la limite de l'acceptable. Le site de Mark Zuckerberg a également fait savoir qu'il fournissait à ses équipes surveillant les activités des utilisateurs des rapports sur le contenu qui ne respecte pas ses règles et ce, 24 heures sur 24, partout dans le monde. La société dispose également d'une équipe dédiée qui aide la police britannique à utiliser son service dans le cas de graves affaires criminelles.
Le 16 août dernier, un tribunal britannique a condamné deux hommes à quatre ans de prison pour avoir incité aux émeutes sur Facebook. C'est la sanction la plus sévère infligée à ce jour pour mauvaise conduite et cette décision a d'ailleurs fait l'objet de fortes critiques.
Par ailleurs, Facebook a précisé, dans sa déclaration ,que son service avait également été utilisé dans le cadre d' actions positives, et que des groupes s'étaient constitués pour nettoyer des débris dans les rues après les troubles.
Pas de commentaires de la part de Twitter
De son côté, RIM, dont les smartphones BlackBerry sont très populaires auprès des jeunes britanniques, a qualifié les discussions de « positives et productives ». Si les jeunes adultes affectionnent la marque, c'est pour Messenger, une application de messagerie instantanée qui permet de diffuser des messages à plusieurs utilisateurs.
En revanche, Twitter n'a pas mentionné la réunion de jeudi avec le gouvernement. «Selon de nombreuses personnes, Twitter est perçu comme un moyen efficace pour effectuer des mises à jour et pour dissiper les rumeurs en temps de crise ou de situations d'urgence », s'est défendu le site de microblogging.
Illustration : Theresa May, ministre de l'Intérieur du Royaume-Uni. Crédit photo: Wikipedia
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