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(26/08/2011 09:20:25)

Facebook abandonne Places, mais pas la géolocalisation

Outre le fait de déployer des fonctions de partage et de contrôle des données similaires à celles de son concurrent Google+, Facebook a également décidé de supprimer Places, son service de géolocalisation. Ce dernier va être modifié et ne sera plus seulement  limité aux smartphones. En effet, Facebook offrira à ses utilisateurs la possibilité de partager l'endroit où ils se trouvent à partir de n'importe quel PC et tablettes. Parmi les autres fonctionnalités figure également la possibilité de rajouter son emplacement sur des photos, sur les statuts et sur des messages.

L'idée est d'ajouter du contexte sur l'emplacement indiqué que les internautes souhaitent partager au lieu de « checker » leur  arrivée dans leur café préféré plusieurs fois dans la même semaine. « Maintenant, lorsque les utilisateurs cliqueront sur « Check In », ils seront dirigés vers leur statut et auront  l'occasion d'ajouter des éléments contextuels et d'indiquer où ils sont, avec qui ils se trouvent où encore ce qu'ils font », a  indiqué un représentant de Facebook à nos confrères de PCWorld.

Un modèle différent par rapport à celui de Foursquare

L'idée est très différente de celle mise en oeuvre dans le modèle Foursquare où l'on s'enregistre pour faire savoir à ses amis où l'on est, profiter d'affaires dans l'endroit où l'on se trouve et gagner des bons de réduction Foursquare. Facebook utilise le modèle de localisation adoptés par les autres réseaux sociaux comme Twitter, où l'on ajoute des données relatives à la localisation sur les messages que l'on publie plutôt que de partager la localisation juste pour le plaisir de le faire.

Places peut bien s'arrêter, mais Facebook indique qu'il continuera à permettre aux entreprises de proposer des coupons virtuels aux utilisateurs s'ils s'enregistrent sur un endroit particulier dans Facebook. La seule différence est que Facebook proposera seulement des affaires en lien avec la localisation effective de l'utilisateur plutôt que de proposer différents « deals » le long du chemin à parcourir.
On ne sait pas bien si Facebook a abandonné Places  parce que le service  ne disposait pas d'une interaction suffisante avec ses utilisateurs, à l'opposé de Foursquare ou de Gowalla . Ou si Facebook souhaite  juste faire évoluer son concept de géolocalisaion. Trois ans seulement après sa création, Foursquare vient d'être valorisée 600 millions de dollars dans le cadre d'une levée de fonds de 50 millions de dollars.

Illustration: Crédit photo: Facebook

(...)

(24/08/2011 13:57:16)

Facebook revoit sa politique de confidentialité

Facebook a décidé d'effectuer une série de modifications relatives à la conception de son site pour que ses membres puissent contrôler leurs options de confidentialité. Cette question avait soulevé les critiques de Google au moment du lancement, en juin dernier, du réseau social, Google + « Nous avons réalisé une série d'améliorations qui font qu'il sera plus facile de partager les messages, les photos, les tags et autres contenus avec les personnes que vous voulez », a indiqué Facebook dans un billet de blog. Grâce à ces changements, il sera désormais possible depuis son mur ou sur sa page de profil de régler les paramètres de visibilité de ses statuts, photos ou autres éléments. Jusqu'à présent ces contrôles existaient mais ils figuraient sur une section distincte dans les  paramètres du profil.

Un menu déroulant pour répertorier les accès

Chaque élément du profil d'un utilisateur disposera d'un menu déroulant qui répertoriera le niveau d'accès actuel. D'autres options seront également disponibles pour le modifier. Ce menu déroulant se développera au fil du temps afin d'inclure des petits groupes de personnes avec lesquelles les utilisateurs souhaitent partager des informations, comme des collègues de travail, des listes d'amis ou des groupes dont ils sont membres ». a précisé Facebook sur son site. Autre amélioration : le fait de pouvoir changer rétroactivement une publication d'un message sur son profil. Il sera également  possible de voir à quoi ressemble son profil et ses messages vus par n'importe quelle personne. Grâce à la refonte de la fonction géolocalisaion, un lieu pourra être ajouté à n'importe quel contenu sans avoir besoin d'un smartphone. Enfin, le site annonce un changement de terminologie, le terme «tout le monde», étant remplacé par celui de «public». «

Complexité des options de confidentialité et de partage des données

Depuis le lancement de Google +, la firme de Moutain View avait affirmé que son réseau social présentait une manière plus simple, et plus efficace que Facebook  pour contrôler des contenus.
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L'éditeur avait déclaré que, sur Facebook, les options de  confidentialité  et les contrôles de partage des contenus étaient trop complexes et peu pratiques, et que les membres du réseau partageaient souvent, et par inadvertance, des données avec un public plus large que prévu.

Bradley Horowitz, responsable produits de Google +   a estimé que Google méritait une partie du crédit suite aux modifications réalisées par Facebook.« Je considère que c'est une bonne nouvelle à la fois pour les utilisateurs et également pour nous mêmes » , a-t-il déclaré  lors d'une entrevue webcast avec Tim O'Reilly, PDG de O'Reilly Media, mardi après-midi. «Cela montre l'impact que Google + peut avoir dans le monde et cela relève la barre en matière d'attentes et de normes concernant la vie privée », a t-il ajouté.

Greg Sterling, analyste pour le compte du cabinet  Sterling Market Intelligence a pour sa part déclaré que si Google + pouvait avoir motivé Facebook à faire évoluer son site, ce dernier avait cependant essuyé des critiques similaires au cours des années par d'autres sources, y compris par ses propres membres.

Mais, quelle que soit la raison, Facebook ne joue pas de fausses notes en ayant décidé de procéder à ces modifications.  «Le fait de rendre tous les contrôles de confidentialité plus explicites et disponibles sur une base plus granulaire est une excellente nouvelle », a déclaré l'analyste. « Les contrôles de confidentialité n'étaient visibles que dans la section Paramètres, et n'ont donc pas été utilisés autant ni aussi judicieusement qu'ils auraient dû l'être, »  a-t-il ajouté. « Ces changements sont certes, tardifs, mais ils sont les bienvenus et sont très positifs pour les internautes. »

Selon Greg Sterling, Il sera intéressant de voir quel impact ces changements auront sur Google +, qui  est actuellement en période de test. Pour lui, les « Cercles » de partage de contenu ont été considérés comme  l'une des meilleures armes de Google +  contre Facebook.
On estime que Google + compte 25 millions de membres, alors que Facebook réunit  à lui seul plus de 750 millions d'internautes.

(...)

(17/08/2011 20:14:25)

Les brevets de Motorola aideront-ils Google à protéger Android

L'OS mobile de Google a été attaqué de toutes parts ces derniers mois. D'abord, un procès intenté par Oracle, qui s'est peu à peu complexifié et dans lequel les dommages ont été évalués par certains jusqu'à plusieurs milliards de dollars de dommages. Ensuite, des plaintes déposées par Apple à l'encontre de plusieurs fabricants de terminaux sous Android, parmi lesquels HTC et Samsung. Enfin, Microsoft qui réclame des redevances à ces fabricants en déclarant qu'il possédait des brevets liés à l'OS de Google.

Dans ce contexte, l'acquisition de Motorola Mobility, fabricant de smartphones et détenteurs de plus de 24 500 brevets, pourrait aider à protéger Google et ses partenaires de futures actions en justice d'Apple et d'autres. Mais il est peut-être trop tard pour aider les fabricants de terminaux à faire face à des procès déjà engagés et cela n'aidera pas Google à affronter Oracle qui l'accuse de violation de brevets Java. Ce procès doit démarrer en octobre.

Motorola apporte son ancienneté dans le sans-fil


Google n'a jamais vraiment pris la peine de se constituer son propre portefeuille de brevets et il a été pris au dépourvu par la « course aux armements » qui a prévalu dans l'industrie du sans-fil. La semaine dernière, il s'est déchaîné contre ses concurrents, accusant Microsoft, Apple et d'autres, d'essayer d'imposer une « taxe sur les brevets » autour d'Android pour stopper la progression galopante de l'OS.

Le bonus de 63% offert lundi sur le titre Motorola Mobility n'a donc pas surpris les observateurs. Larry Page a d'ailleurs clairement expliqué que les brevets qu'il récupérait ainsi l'aideraient à se renforcer contre les attaques qu'il qualifie d'anti-concurrentielles.

Pour Alexander Poltorak, PDG de General Patent Corp, le portefeuille de brevets de Motorola agira de façon dissuasive envers les sociétés qui envisagent de faire un procès à Google ou à l'un de ses partenaires. « Ils vont maintenant y réfléchir à deux fois avant de déposer une plainte, parce qu'ils peuvent être certains que Google répliquera », affirme-t-il.

Ce rachat va donner du poids à Google, considère aussi Jonathan Goldberg, analyste à la Deutsche Bank. Motorola figure parmi les plus groupes ayant le plus d'ancienneté dans le sans-fil. Son portefeuille de brevets est solide et crédible.

Négocier un accord en cas de procès


« Je pense qu'un grand pas a été franchi », estime de son côté David Mixon, juriste spécialisé dans les brevets chez Bradley Arant Boult Cummings. Il s'attend à ce que Google pousse un gros soupir de soulagement lorsque la transaction sera effectivement réalisée. « Il y a eu surenchère dans la vente des brevets Nortel et ce fut le fait du consortium mené par Microsoft et Apple. Ils ont clairement ressenti une certaine pression. »

Si Google est visé par un autre procès, les brevets de Motorola l'aideront à négocier un accord et à récupérer une licence pour Android, ajoute Alexander Poltorak. Cette licence pourrait également s'étendre aux fabricants de terminaux exploitant l'OS mobile. « Si Google obtient une licence pour son OS, alors tous ceux qui utiliseront Android en bénéficieront de la même façon. »

Si un concurrent s'en prend plutôt à un partenaire de Google, ce dernier pourra transférer temporairement la possession de quelques brevets Motorola au fournisseur attaqué afin qu'il puisse se défendre, avance Alexander Poltorak.

Cela ne jouera pas le rôle de bouclier, estime Florian Mueller


Pourtant, parmi les spécialistes, tout le monde ne partage pas cet avis. Certains doutent de l'effet dissuasif des brevets. Florian Mueller, auteur du blog FOSS Patents, rappelle qu'Apple a déjà attaqué Motorola Mobility pour violation de brevets. Pour lui, l'argument Motorola n'est pas assez solide pour dissuader d'un procès.

« Cela ne servira pas de bouclier protecteur pour Android, écrit-il. Il signale que Motorola a déjà grillé ses meilleures cartouches dans des procès contre Apple et Microsoft avec apparemment peu d'impact. Mais Motorola avait alors tiré le premier, précise Alexander Poltorak. Il avait attaqué Apple en octobre en l'accusant de violer 18 de ses brevets et l'avait poursuivi devant l'ITC (United States International Trade Commission). « Apple n'avait d'autres choix que se défendre », souligne Alexander Poltorak. Ce à quoi Florian Mueller répond que Motorola s'attendait à un procès de la part d'Apple et que le sien constituait une action défensive. Pour lui, l'acquisition de Motorola a été réalisée par Google en désespoir de cause.

Monnaie d'échange inutile face à Oracle


Il y a en tout cas une chose sur laquelle s'entendent les observateurs : il est peu probable que le rachat de Motorola aide Google dans son procès contre Oracle. L'acquisition ne pourra être effective qu'à la fin de cette année ou début 2012, alors que le procès Oracle est programmé pour débuter dans onze semaines.     (.../...)

(crédit illustration : Google)

[[page]]Le groupe de Larry Ellison n'évolue pas dans le domaine du sans-fil. Les brevets de Motorola ne constitueraient pas une monnaie d'échange utile dans ce cas. Par ailleurs, rappelle le juriste David Mixon, Oracle a non seulement attaqué pour atteintes à ses brevets, mais aussi pour violation de copyright.

Toutefois, pas plus Jonathan Goldberg, de la Deutsche Bank, que David Mixon ne perçoivent le dossier Oracle comme destructeur vis à vis d'Android. Oracle veut au contraire que l'OS mobile prospère afin de pouvoir en récupérer des royalties, avance David Mixon. Et les poches de Google étant bien garnies, il peut faire face aux énormes dommages et intérêts que lui réclamera Oracle si cela s'avère nécessaire, estime pour sa part Jonathan Goldberg. «  La façon dont Google va s'y prendre pour protéger l'écosystème dans son ensemble constitue pour moi un souci plus important », ajoute-t-il.

Une avancée, mais qui ne constitue qu'une étape


On ne sait pas si les brevets de Motorola vont aider les fabricants de terminaux sous Android à se débarrasser des procès qui leur sont intentés. Cela dépend de la rapidité avec laquelle Google va finaliser son rachat. Et cela dépend aussi de la nature des brevets effectivement détenus par Motorola, rappelle David Mixon.

Samsung a déjà vu les ventes de sa tablette Galaxy Tab 10.1 bloquées en Europe par un tribunal allemand (qui est depuis revenu sur sa décision, se jugeant non compétent pour les marchés situés en dehors de ses frontières). Il est bien possible que le constructeur sud-coréen ait envie de conclure un accord avec Apple sur ce sujet avant que l'acquisition de Motorola Mobility par Google soit achevée, estime Alexander Poltorak.

Quoi qu'il en soit, Google a fait un pas important dans la bonne direction. C'est un accord significatif, mais il ne constitue qu'une étape du processus, conclut Jonathan Goldberg, de la Deutsche Bank.

(...)

(11/08/2011 15:31:17)

Facebook renforce ses outils de sécurité pour mobiles

Le réseau social Facebook est en train de mettre à jour certains de ces outils de sécurité en ajoutant Mobile Social Reporting et Mobile Password Reset pour mieux configurer les paramètres de sécurité. L'outil Social Reporting permet aux utilisateurs nomades de résoudre des problèmes liés aux messages, aux profils et aux contenus affichés sur Facebook. "Par exemple, si vous n'aimez pas une photo de vous prise et publiée par quelqu'un d'autre, vous pouvez employer la fonction Social Reporting pour lui demander de la supprimer", explique Facebook, sur sa page consacrée à la sécurité.

Facebook est également en train de lancer la fonction Mobile Password Reset ("réinitialisation du mot de passe") afin d'aider les personnes qui se retrouvent interdites d'accès à leurs propres comptes. "Vous pouvez dorénavant choisir l'adresse mail à laquelle seront envoyés vos liens de récupération de compte", dixit Facebook, "et nous proposons des moyens supplémentaires pour confirmer votre identité".

Les deux nouvelles fonctions sont actuellement en phase de tests sur m.facebook.com. Support for Mobile Social Reporting sera adapté à tous les types d'appareils au cours des prochains mois. La fonction Password Reset pour mobiles sortira au fur et à mesure, au gré des retours des utilisateurs.

Bon démarrage pour Facebook Messenger

Par ailleurs, moins  de 48 heures après son lancement,  l'application de messagerie instantanée de Facebook s'est hissée à la tête du classement des téléchargements d'applications gratuites dans la boutique iTunes Store.  Elle permet aux membres du réseau social de contacter plusieurs personnes simultanément. Les messages groupés peuvent être envoyés simultanément aux contacts du téléphone et aux listes d'amis Facebook. L'application met à jour les messages en temps réel et intègre des fonctions de partage de photos et de tagging géolocalisé.

Même si Facebook Messenger n'est pas en pole position au classement des applications gratuites pour les smartphones Android, elle a tout de même été installée entre 500.000 et 1 million de fois et obtenu 838 notes, pour aboutir à une moyenne de trois étoiles et demi.

Illustration : Mobile Password Reset  et Mobile Social Reporting sur m.facebook.com. Crédit photo : Facebook

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(11/08/2011 10:39:46)

La fonction d'ajout de photo se déploie sur Twitter

Petite innovation hier sur Twitter avec la possibilité de poster n'importe quelle image depuis son ordinateur en complément à son message de 140 signes maximum. Jusqu'à présent il fallait forcément passer par un service annexe (comme TwitPic ou yFrog par exemple) pour joindre une photo à son texte. Maintenant, il suffit de cliquer sur l'icône "photo" (sous le champ texte et à gauche de l'icône "localisation"), puis de parcourir le contenu de son disque dur et de choisir son image. Sa taille est limitée à 3 Mo et sa résolution adaptée au panneau de détails.

Une fois l'image ajoutée, le décompte de signes se mettra à jour, le lien occupant plusieurs caractères (adresse de type "pic.twitter.com/codephoto"). Notez que les photos sont hébergées par Photobucket, sans avoir à s'inscrire sur leur site.

Annoncée au printemps, cette fonctionnalité débarque progressivement en France à partir de ce mercredi. De nombreuses options sont prévues d'ici la fin de l'année, comme la possibilité de visualiser les galeries d'images envoyées par les utilisateurs.

Crédit illustration : Twitter

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(10/08/2011 16:42:56)

Baidu ferme son site de microblogging

Le plus important moteur de recherche chinois, Baidu, s'est retiré du marché des services de type Twitter dans son pays en annonçant qu'il allait fermer ses sites de micro-blogging. Baptisé Baidu Talk, le site avait été créé pour que le géant puise sur le marché en pleine essor des sites de microblogging. Lancé en septembre dernier, le service se positionnait comme une plate-forme communautaire intégrant des fonctionnalités similaires à celles de Twitter. Il avait tenté de se démarquer de la concurrence en exigeant que tous ses membres s'inscrivent sous leurs vrais noms.

Au cours des trois premiers mois de son fonctionnement en version bêta, le site comptait plus d'un million d'utilisateurs enregistrés. Mais après l'avoir laissé en ligne pendant presque un an, Baidu a finalement annoncé cette semaine qu'il allait en suspendre tous les services d'ici la fin du mois. Le groupe chinois a refusé de donner les raisons précises qui l'ont conduit à fermer son service. Dans un communiqué, la firme a déclaré que Baidu Talk lui avait permis d'acquérir une expérience précieuse en matière de services liés aux réseaux sociaux. Elle a également ajouté que les caractéristiques de Baidu Talk seraient incorporées à d'autres produits.

Micro-blogging en Chine : dominé par Weibo et Tencent

En Chine, le marché des sites de micro-blogging est dominé par deux autres grandes entreprises locales du Net : d'une part le portail Sina et son propre service de micro-blogging, baptisé Weibo, qui compte 140 millions de membres, de l'autre Tencent, un site qui dispose d'un service de jeu en ligne et d'une messagerie instantanée et qui réunit 160 millions d'utilisateurs. Si Baidu Talk a échoué à gagner du terrain sur le marché chinois, c'est partiellement en raison de sa date de sortie. « Le service a été lancé alors que ses concurrents avaient déjà commencé à acquérir une part importante du gâteau »,  a déclaré Mark Natkin, directeur général du cabinet de conseil Marbridge Consulting.

« Le moteur de recherche chinois a également lutté pour créer des produits à succès en dehors de son coeur de métier. » Baidu a en effet tenté de combiner son moteur de recherche avec l'e-commerce en créant le site Youa. Mais le portail n'est pas parvenu à gagner une part importante sur le marché Internet national. En avril, Baidu  a donc décidé de migrer la partie e-commerce de son site vers d'autres plateformes et a fait de Youa un site sur les styles de vie. Le groupe aura davantage de succès soit par le biais de partenariats ou en aidant des sociétés à gérer des produits qui se situent en dehors de la sphère des moteurs de recherche, a précisé Mark Natkin. C'est notamment le cas de Qiyi.com, un site de vidéo en ligne chinois, qui a été  lancé en avril 2010 et dont Baidu détient une participation.

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(09/08/2011 11:44:35)

Twitter s'offre le site de partage Bagcheck

Le site de micro-blogging Twitter vient d' acquérir Bagcheck, un service en ligne qui permet aux internautes de  créer des listes de sujets qui les intéressent, tels que les appareils photos qu'ils ont utilisés ou leurs remèdes favoris contre le rhume, pour ensuite les partager avec d'autres. On ne savait pas encore très bien au moment de l'annonce comment Bagcheck s'inscrivait dans la stratégie de Twitter, mais il apparaît que, grâce à ce rachat, l'entreprise peut désormais compter sur les talents d'ingénieur de Sam Pullara, l'un des co-fondateurs de Bagcheck, anciennement responsable technologique chez Yahoo.

Troisième rachat de l'année pour Twitter

Le site Bagcheck restera opérationnel, du moins pour l'instant, mais « comme pour toute acquisition, les choses peuvent évoluer », a indiqué l'entreprise dans un billet de blog. Les conditions de l'acquisition n'ont pas été divulguées, et Twitter n'a pu être joint pour commenter cette information. L'autre co-fondateur de Bagcheck, Luc Wroblewski, qui a également travaillé auparavant chez Yahoo, a quitté l'entreprise pour travailler sur « un projet important »

En plus de laisser ses membres partager et commenter leurs listes, Bagcheck dispose d'une dimension commerciale. Lorsque les gens créent des listes, ou  « sacs virtuels », comme les appelle le site, chaque entrée comporte un lien qui renvoie vers un site de e-commerce où d'autres personnes peuvent acheter le même article.

Bagcheck est l'une des quelques acquisitions réalisées par Twitter cette année. En mai, le site de micro-blogging avait racheté la société de publicité en ligne AdGrok et s'était emparé le même mois de TweetDeck, un service de gestion des comptes.

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(09/08/2011 09:36:40)

Internet mobile : Forte progression du nombre de connexions au niveau mondial

Fin 2011, le nombre de connexions à Internet via une plateforme mobile va atteindre les 5,6 milliards (+11% en un an) à travers le monde, générant 314 milliards de dollars de revenus (+22,5%) selon le cabinet de conseil Gartner. Le nombre de connexions (téléphones, tablettes...) et de données échangées ne cessent de croitre, entrainant le développement d'une économie de plus en plus importante. A terme, Gartner prévoit que le nombre total de connexions mobiles devrait atteindre 7,4 milliards en 2015, pour des revenus globaux de 552 milliards de dollars. Pour Jessica Ekholm, analyst chez Gartner, "le trafic des données mobiles va encore progresser de manière significative tant que les offres vont tendre vers le haut débit et que les gens vont continuer de migrer vers les smartphones et les tablettes multimédias."

Gartner a déterminé quatre principales raisons à la hausse du trafic : la progression du nombre de connexions, le développement de l'accès haut-débit, la démocratisation des smartphones et des applications liées.

Illustration : Crédit phoro : SVLuma/shutterstock.com

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