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(21/06/2007 18:31:30)

Mix'07 Paris : Microsoft accueille une démo de Silverlight sur Linux

Au milieu d'une journée consacrée aux technologies Microsoft en général, et à Silverlight en particulier, Microsoft France a demandé à Miguel de Icaza, responsable du projet Mono chez Novell, de faire une démonstration de Silverlight sur Linux, grâce à Mono. Mono est en effet l'implémentation des technologies .Net sur Linux. Sachant que Microsoft a indiqué n'avoir aucune intention de porter lui-même Silverlight sur Linux, estimant suffisant de distribuer son moteur d'exécution d'interfaces sur Windows et sur Mac, Miguel de Icaza a jugé que son équipe pourrait s'en charger. Toutefois, a-t-il précisé, « quand Marc Jalabert [responsable de la division plateformes et écosystème de Microsoft France, NDLR] m'a appelé il y a trois semaines, on n'avait rien... » De fait, Miguel De Icaza a expliqué ne s'être intéressé à Silverlight qu'après l'annonce de la version 1.1 (encore en alpha), dans la mesure où la version 1.0 (en bêta) ne concernait que Javascript. C'est la version 1.1 qui installe le framework .Net et permet de développer en langages pour .Net. Au bout de trois semaines de développement (« jours et nuit »), l'équipe de Mono est donc parvenue à bâtir un prototype de Moonlight, alias Silverlight pour Mono. Demandant l'indulgence du public pour le design des démonstrations, Miguel De Icaza, revenant avec plaisir sur son poste sous Suse après un court passage sur un ordinateur sous Vista, a pu montrer quelques animations. « Pas très excitantes », de son propre aveu, mais qui avaient le mérite de démontrer la faisabilité de la chose. (...)

(21/06/2007 18:03:35)

Verifdiploma, nouvelle arme pour traquer les CV embellis

Certains recruteurs en rêvaient, Verifdiploma l'a réalisé : la nouvelle version de son service de recrutement est opérationnelle. Elle offre, entre autres fonctionnalités, la possibilité de vérifier les dires des candidats, à savoir qu'ils détiennent bien le diplôme qu'ils affirment avoir. La SA Diploma est née en 2000 et a ouvert son service en 2002. « Verifdiploma permet d'intégrer de façon systématique la vérification des diplômes dans votre process de sélection des candidats », peut-on lire sur le site. Le service dit donner accès à une information exacte souvent difficile à obtenir et protéger l'entreprise d'éventuels conflits avec un collaborateur que la jurisprudence protège. « En effet, celle-ci impose à l'employeur, s'il en a les moyens, de vérifier les informations fournies par le candidat avant son embauche ». Moyennant un abonnement au service, une entreprise peut savoir si le candidat figure parmi les « 1 998 438 diplômés » répertoriés, ou s'il appartient bien aux 336 650 personnes certifiées en TOEIC (avec notification du score obtenu). Le système a ses limites, notamment dans le domaine informatique. Les jeunes diplômés, par exemple, sont de plus en plus « pré-embauchés » lors du stage de dernière année, alors qu'ils sont encore dans leur école. Ils font leur choix par le biais des offres arrivées dans leur établissement. Il en est de même pour les ingénieurs en poste, « chassés » par des cabinets pour le compte de grandes sociétés de services dans un marché que l'on dit en pénurie. Enfin, la plupart des recrutements passent par différentes étapes, une fois le CV validé par le service RH : des experts techniques interroge le candidat, des tests technologiques peuvent être demandés et il paraîtrait aberrant de se proclamer expert d'une technologie que l'on ne maîtrise pas. Quant à la pratique d'une ou de plusieurs langues étrangères, un simple entretien dans la langue de Shakespeare ou de Lao-Tseu permet, aux plus suspicieux, de se faire une idée du potentiel du candidat. Jusqu'où peut-on et doit-on vérifier les informations données par un candidat ? « Protection supplémentaire des titres remis à leurs diplômés : c'est un moyen de mettre en valeur leurs diplômes, devant le nombre croissant de candidats qui s'affirment en possession d'un diplôme qu'ils n'ont pas (35 % d'après une étude du cabinet Florian Mantione de juin 2000) », indique Verifdiploma. Présentée ainsi, la méthode pourrait donc être légitime, même s'il n'existe pas de statistiques pour déterminer le nombre de CV truqués ni la graduation de « mensonges », chaque cabinet possédant ses propres chiffres... et ses propres méthodes de vérification. [[page]] On pourrait aussi rapprocher la démarche du système des concours dans la Fonction publique qui exige, pour tout candidat, le dépôt d'un dossier complet avec photocopies des diplômes (autrefois certifiées conformes) et un extrait du casier judiciaire. Mais c'est sur cette comparaison avec le public qu'il faut montrer les limites du système : une personne recrutée dans le privé n'est pas fonctionnaire. Elle n'a ni les mêmes droits, ni les mêmes devoirs, ni le même employeur. De plus, de nombreux recruteurs ont aujourd'hui affiné leurs méthodes pour déceler les péchés mortels ou véniels dans un CV et par ailleurs, si les mots-clés dans une candidature ne sont pas conformes, le progiciel la rejette automatiquement. Enfin, un travail de simple vérification ou de police (selon l'interprétation faite par les uns ou les autres) pose le problème de la confidentialité des données qui concerne chaque personne, candidate à un poste, ou non. Cette notion de préservation des données confidentielles doit être normée afin de ne pas être liberticide en ouvrant le champ à d'autres vérifications et qui pourraient concerner la vie privée, les éventuelles condamnations pénales ou la santé. Un problème de transparence vis-à-vis des candidats ? La loi est stricte, selon le code du travail, articles L 121-6 à L 121-8, tout recruteur a obligation d'informer le candidat qu'il aura recours à des vérifications s'il veut les faire. La Cnil reprend cette recommandation (21 mars 2002) : « La collecte de références auprès de l'environnement professionnel du candidat (supérieurs hiérarchiques, collègues, maîtres de stages, clients fournisseurs ...) n'est pas contraire aux dispositions de l'article 25 de la loi du 6 janvier 1978 dès lors qu'elle n'est pas faite à l'insu du candidat. En revanche, la collecte du nom et de l'adresse de références personnelles aux fins de diligenter une enquête dite « de moralité » serait excessive et contraire à la loi. » Enfin, on peut se poser la question de l'accord des diplômés sur la transmission de leur diplôme et sur la nature de cette transmission : fac-similé ou recherche à partir d'une publication au Journal Officiel ? Et que les universités ou écoles qui transmettent ces informations perçoivent-elles ? (...)

(21/06/2007 16:50:19)

Microsoft réserve la virtualisation de Vista pour les versions les plus chères

Malgré des mois de pression, Microsoft a changé d'avis au dernier moment. La veille de la fin de l'embargo qui empêchait les journalistes d'annoncer que toutes les versions de Vista pouvaient être utilisées dans un environnement virtuel, Microsoft est revenu sur sa décision. Du coup, tout le web américain parle de ce revirement qui ramène Microsoft à son point de départ : seule la licence des versions Business et Ultimate de Vista, autrement dit les versions les plus chères, autorise leur utilisation dans un environnement virtualisé. C'est un tollé général. Tout le monde s'interroge sur les raisons qui ont poussé Microsoft à revenir sur une annonce que tous les utilisateurs attendaient. Et les commentateurs de profiter de cette bourde de communication pour repointer du doigt l'explication fallacieuse de Microsoft pour interdire l'utilisation des Vista versions Home en environnement virtuel : la sécurité. C'est en invoquant ce mot magique que Microsoft avait justifié le fait que seules les versions les plus chères de Vista étaient autorisées à être installées en environnement virtuel. En réalité, le débat a dû faire rage dans les locaux de Microsoft entre les tenants d'un assouplissement de la politique de licence en cas d'utilisation virtuelle et les partisans d'une ligne dure dont l'attitude peut se résumer ainsi : un Vista utilisé, un Vista payé. Ce sont donc ces derniers qui ont gagné encore une fois. Il est vrai qu'ils défendent la plus grosse vache à lait du groupe. Dans les comptes de Microsoft, la marge brute de l'OS client est largement la plus importante de toutes. (...)

(21/06/2007 16:40:42)

Keyrus externalise les projets d'intégration de données

Keyrus, spécialisé dans le conseil et l'installation de systèmes d'analyse décisionnelle (Business Intelligence, BI), a mis en place une offre d'externalisation pour les projets d'intégration de données. C'est à partir de son centre de services « ETL Platform on demand », situé en Espagne, que Keyrus propose à ses clients européens de développer tout type de flux de données (intégration entre applications ou projets décisionnels), à partir des principaux outils d'ETL (extraction, transformation et chargement) du marché. L'objectif est de permettre une réduction des temps et des coûts de développement par un mode opérationnel simplifié (le client intervient seulement sur les phases de validation des processus métiers) et par le regroupement d'experts ETL et EAI (intégration inter-applicative) autour de la même plateforme. Comparé à la mise à disposition de compétences chez le client dans le cadre de projets « fermés », Keyrus considère que l'externalisation permet de mieux répondre en cas de pics d'activité et d'éviter d'avoir à facturer les services d'équipes figées, sans tenir compte du taux d'occupation des ressources. La société de conseil dit avoir déjà identifié, auprès de ses clients, près d'une dizaine de projets d'externalisation, à court terme. Le tout pour un budget prévisionnel dépassant le million d'euros. L'ouverture de ce centre de services par Keyrus fait suite à la conduite d'un projet de refonte des outils d'intégration de Sanitas (du groupe britannique BUPA), acteur de l'assistance sanitaire et médicale en Espagne. Depuis 2005, ce dernier a progressivement externalisé auprès de Keyrus différentes parties de ses processus ETL, notamment l'analyse technique, la programmation et les tests unitaires. L'entreprise a pu ainsi confier d'autres tâches à ses ressources internes. (...)

(21/06/2007 16:37:57)

Législatives : les machines à voter d'Aulnay-sous-Bois font planer le doute sur la sincérité du scrutin

Les machines à voter continuent de susciter polémiques et doutes. Après les remous observés dans plusieurs communes à l'occasion de l'élection présidentielle, c'est au tour des ordinateurs de vote installés à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) d'être mis en cause. Le collectif AulnayCitoyen, après avoir relevé de nombreuses irrégularités, vient ainsi de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel visant à l'annulation du scrutin qui a conduit l'UMP Gérard Gaudron à être élu dans la 10e circonscription. Hervé Suaudeau, le président d'AulnayCitoyen, explique au Mondeinformatique.fr que les appareils installés dans 38 bureaux de vote - fabriqués par Nedap - ne correspondent pas à l'agrément délivré par le ministère de l'Intérieur. Selon le président du collectif - par ailleurs informaticien au CNRS -, « le certificat exigeait la présence d'un dispositif audio à destination des non voyants, un accessoire indispensable constitutif de l'agrément ». Or, les machines d'Aulnay-sous-Bois étaient dépourvues de cet appareillage et, de fait, créaient une rupture d'égalité entre les citoyens face au vote. D'autre part, Hervé Suaudeau souligne que « deux tickets d'incidents et d'événements ont pu être examinés au cours des scrutins des 10 et 17 juin. Ils montrent que de nombreuses interventions ont eu lieu sur les machines, ce qui peut être constitutif d'une fraude. On veut que le Conseil constitutionnel examine de très près ces éléments. » Enfin, parmi la liste des irrégularités qu'AulnayCitoyen a soumises au gardien de la Constitution, figure également le non respect de plusieurs obligations légales. Les machines doivent, notamment, indiquer la date et l'heure sur les tickets de programmation, préalables à l'ouverture du scrutin, ce qui n'était pas le cas à Aulnay-sous-Bois, les mentions étant inscrites à la main. En outre, les présidents des bureaux de vote n'étaient pas en mesure d'apporter la preuve de l'authenticité des scellés garantissant l'intégrité des appareils. Les administrés nourrissant des craintes sur la sincérité du scrutin s'étaient tournés vers la municipalité entre les deux tours afin « de lui offrir une porte de sortie, confie Hervé Suaudeau. Nous nous sommes entretenus avec le maire (qui sera finalement élu le 17 juin, NDLR) et lui avons expliqué que la mise en place de machines illégales constituait une voie de fait. » Si l'édile a entendu les arguments avancés, il n'était pas question de faire machine arrière et de remplacer les machines par des urnes traditionnelles. La Ville était disposée à examiner attentivement le problème avec ses juristes, mais seulement à l'issue du second tour. "On passe de la démocratie à la technocratie » Le recours déposé le 19 juin par AulnayCitoyen ne se veut, pour autant, pas dirigé contre le nouvel élu. « Notre démarche répond à une question de principe et pas d'homme, précise Hervé Suaudeau. Entre les deux tours, nous avions décidé de nous tourner vers le Conseil constitutionnel, quelle que soit l'identité du futur élu. » Et la contestation de l'élection locale séquano-dionysienne n'est pas la finalité de la démarche entreprise : « On veut faire prendre conscience aux politiques que les machines sont anti-démocratiques. Dans une démocratie, le citoyen dispose du contrôle de son vote. Là, il doit faire confiance à des experts. On passe de la démocratie à la technocratie. Le temps gagné grâce aux machines ne vaut pas les doutes qui planent sur la sincérité du scrutin. » Sensible aux arguments avancés par AulnayCitoyen, Philippe Dallier, le sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois vient de déposer une proposition de loi visant à interdire les machines à voter. L'élu de la chambre haute estime que « rien ne permettra jamais de garantir que la sincérité du scrutin soit préservée. Ni les pannes inhérentes à tout système informatique, ni le risque de malversation ne pourront jamais être ramenés à zéro. » L'initiative de l'édile rappelle le contrat que la Crii-vote - une association bâtie sur la base du site ordinateurs-de-vote.org - a soumis aux aspirants députés : en paraphant le document, les candidats s'engageaient à déposer une proposition de loi pour la suppression des machines à voter s'ils étaient élus. (...)

(21/06/2007 15:44:29)

Mix'07 Paris : Le Monde reprend le Reader Kit Silverlight du New York Times

Le Monde sera bientôt lisible en mode connecté ou déconnecté dans un lecteur ad hoc, conçu avec la technologie Silverlight. Pour rappel, Silverlight est un substrat de la technologie .Net à télécharger et à installer dans des navigateurs sur Windows ou Mac afin de bénéficier des améliorations de l'interface Vista. Le New York Times a utilisé cette technologie pour concevoir un Reader offrant une meilleure ergonomie qu'une simple page Web ou qu'un PDF pour lire des articles sur écran. Microsoft en a fait la démonstration au public ce matin au Cirque d'Hiver, où se tient en ce moment le Mix'07 Paris. D'après Microsoft, un lecteur qui auparavant lisait 2 pages du NYT en ligne en lit aujourd'hui 7, une véritable potion magique pour un journal. Ce Reader Kit est aujourd'hui libre de droit, et Le Monde y a eu recours pour renouveler son offre. En mode connecté, les dernières nouvelles s'incrémentent dans une colonne à droite. (...)

(21/06/2007 15:43:04)

Mix'07 Paris : Microsoft ajoute une catégorie design à son programme Idees

Microsoft France a décidé d'étoffer son programme Idees, qui aide déjà une cinquantaine de jeunes entreprises françaises, en l'ouvrant au design. L'annonce a été faite aujourd'hui au Cirque d'Hiver, où Microsoft tient son Mix'07 Paris, un événement destiné justement à démontrer l'importance du design dans le logiciel et l'implication de Microsoft en la matière, au travers de Silverlight et de la suite d'outils de développement et de design Expression. Ce nouveau programme, baptisé « Idees de design », vise à « contribuer à la formation des futurs talents en nouant des partenariats avec les acteurs clés du secteur », et à « contribuer au développement des jeunes sociétés de design numérique, en leur apportant des moyens humains, marketing et techniques ». Est notamment partenaire de ce programme le Strate College Designers, dont le directeur Maurille Larivière est venu ce matin sur la scène du Cirque d'Hiver apporter sa caution à Microsoft. Il a toutefois peu parlé, rappelant seulement que le numérique, qui était auparavant une matière optionnelle de l'école de design, constitue désormais une part intégrante de l'enseignement. Par ailleurs, croisé dans les couloirs, le patron de Brainsonic indiquait de son côté avoir rejoint le programme Idees. Fournisseur de vidéos en flash pour nombre d'acteurs de l'industrie, Brainsonic est aussi un habitué des outils .Net, et considère qu'avoir une offre Silverlight à son catalogue est primordiale pour certains clients. Quand bien même le format d'Adobe devrait continuer de dominer le marché de la vidéo sur le Web pendant encore un certain temps. (...)

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