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(20/04/2006 17:07:02)

L'OCDE veut bouter le spam hors du monde

L'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques, ou club des pays riches du bloc occidental) s'est doté d'une "task force anti spam". Une task force qui vient de publier un document d'une impressionnante complétude venant de la part d'une organisation économique internationale, et portant le titre de "Oecd Anti-Spam Toolkit". Ne nous trompons pas. Il ne s'agit nullement d'une collection d'utilitaires réducteurs de pourriel, mais d'un historique et d'un panorama complet sur l'état du Spam dans le monde, les techniques utilisées, l'impact de cette calamité sur le commerce électronique et les nouveaux médias en général, et les moyens de combattre ce fléau, chaque solution étant critiquée avec objectivité. Ajoutons que l'OCDE offre également une série de liens d'informations propres au spam, et notamment une collection d'URL accédant aux textes anti-spam en vigueur dans les différents pays membres ou observateurs. Il est très intéressant de comparer les approches politiques des nations, qui vont du texte spécifique comme dans le cas des contrées anglo-saxonnes, jusqu'aux textes "fourre tout" destinés à noyer les amendements les plus discutables dans un déluge de définitions, ainsi notre "Loi pour la confiance dans l'économie numérique". Reconnaissons tout de même que son "article 22" est préférable au Can Spam américain. L'OCDE détient-elle la vérité ? Presque ! On retrouve là les exhortations traditionnelles prônant une entente et une coordination internationale, mais nulle mention n'est faite sur le rôle et la situation des pays en voie de développement. C'est là toute la différence entre la vision UIT du phénomène Spam et celle des pays industrialisés. Là où l'UIT réclame à cors et à cris une véritable prise de conscience politique et une volonté d'échange Nord-Sud constructive - le pollupostage profitant des fractures numériques - l'OCDE avance une montagne de dispositions légales discordantes et des approches techniques informatiques qui ne font jamais que "masquer" le problème. Ces deux visions ne sont pas antinomiques... tant que l'approche à court terme de l'OCDE n'hypothèque pas les visées à très longues échéances d'une UIT qui jamais ne distinguera une nation en fonction de son PIB. (...)

(20/04/2006 17:39:09)

Intel met ses mauvais résultats sur le dos d'une prétendue lenteur du marché des PC

Paul Otellini a tenté d'expliquer hier la chute des résultats d'Intel par le ralentissement du marché des PC. Le fondeur a annoncé un CA en recul de 5% à 8,9 Md$ et un bénéfice net de 1,3 Md$ en chute de 38%. Selon Intel, cette mauvaise performance s'explique par le ralentissement du marché des PC. Ses clients n'ont pas pu écouler tout leur stock de puces se qui s'est traduit en retour par une baisse de leurs achats de processeurs. Le problème est que cette explication est loin de convaincre les analystes. En présentant ce matin son baromètre trimestriel des ventes mondiales de PC, Gartner a souligné que la croissance mondiale des PC est resté forte au premier trimestre avec des ventes en hausse de 13,1%. Le cabinet d'analyse a également ajouté que les ventes de PC de bureau aux Etats-Unis avaient redécollé du fait de la concurrence accrue sur les prix. AMD qui a de son côté annoncé des ventes en hausse de 70% sur un an n' a pas non plus noté ce ralentissement du marché évoqué par Otellini. En fait, Gartner indique qu'AMD a gagné des parts de marché sur le n°1 mondial pour le 7e trimestre consécutif. Intel a notamment cédé du terrain à son concurrent sur le marché des serveurs et des PC de bureau, deux secteurs où ses ventes sont en chute de 21,2%, à 3,89 Md$. Seul le groupe mobilité a résisté avec des ventes en hausse de 22% à 2,35 Md$ Aux Etats-Unis, Intel a connu un trimestre houleux en partie du fait de la performance décevante de Dell, son principal partenaire, mais aussi de la forte hausse des ventes de PC à base de puces AMD dans les canaux de distribution grand public. Les ventes outre-atlantique ont reculé de 4%. Mais c'est en Europe que la situation s'est le plus dégradée avec un recul de 19% des ventes d'Intel en un an. L'Asie-Pacifique a également vu un recul des ventes de 2% avec toutefois un rayon de soleil au Japon (+8%). Intel estime toutefois que ses résultats devraient s'améliorer avec le lancement qu second semestre de sa nouvelle génération de puces, dont les performances devraient dépasser, sauf surprise, celles d'AMD. (...)

(20/04/2006 17:39:08)

Les résultats d'Apple dopés par l'iPod

Apple Computer a publié hier le deuxième meilleur résultat de son histoire, grâce notamment à la progression des ventes de son baladeur multimédia iPod. Pour son second trimestre fiscal, la firme à la pomme a réalisé un chiffre d'affaires de 4,4 Md$ et un bénéfice net de 410 M$ second, à comparer à des ventes de 3,24 Md$ l'an passé et un résultat net de 290 M$. Au cours du trimestre écoulé, Apple a vendu 1,1 million de Macintosh, et 8,5 millions d'iPod, soit une croissance 4% des ventes d'ordinateur et de 61% des ventes de baladeurs audio/vidéo. Apple indique que ses ventes de Mac à base de puce Intel ont pour la première fois dépassé celle des Mac à base de puces PowerPC, alors qu'une large partie de ses gammes reste encore équipée de puces Motorola et IBM. Nombre d'analystes misent sur une forte progression des ventes de Mac d'ici la fin de l'année avec notamment la migration des gammes iBook (portables grand public) et PowerMac (stations de travail) vers les puces Intel. (...)

(20/04/2006 12:45:40)

Ventes de PC : l'Europe, premier marché mondial

Les instituts Gartner et IDC s'accordent, à quelques décimales près, sur la croissance des ventes de PC au premier trimestre 2005 : pour le Gartner, la croissance s'élève à 13,1 % par rapport à la même période de l'année précédente ; IDC s'arrête sur une progression de 12,9 %. Au total, 57,1 millions de machines, PC fixes ou portables, se sont écoulées selon Gartner, contre 50,5 millions un an plus tôt. Toujours campé à la première place des vendeurs, Dell réalise toutefois une performance inférieure à celle du marché, en affichant une hausse de son activité de seulement 10,2 % selon les chiffres du Gartner. Le vépéciste américain signe là sa plus piètre réalisation depuis le troisième trimestre 2001. Son poursuivant direct, HP, en profite pour combler le fossé en réalisant une croissance de ses ventes de 22,5 %. HP s'accapare 14,9 % du marché, contre 16,5 % à Dell. Derrière, le chinois Lenovo se classe à la troisième place, suivi par Acer et Fujitsu. Pire encore pour Dell, ses ventes aux Etats-Unis n'ont pratiquement pas progressé au cours de la période considérée, se contentant d'un modeste 5,3 % de croissance selon IDC. Dans le même temps, le marché américain progressait de 7,4 %. C'est la première fois que le groupe de Michael Dell enregistre une croissance inférieure à celle de son marché d'origine. Fait significatif sur le sol américain : alors que les ventes de PC portables constituaient le principal moteur de la croissance au cours des périodes précédentes, ce sont les PC de bureau qui ont tiré les ventes sur le T1 2006 à la faveur d'une nouvelle épisode dans la guerre des prix que se livrent les constructeurs. C'est une constante depuis plusieurs trimestres : les marchés émergents, partant d'un taux d'équipement plus faible, affichent les progressions les plus spectaculaires. En témoignent les 24,6 % de croissance dans la région Asie-Pacifique, qui s'est montrée la plus dynamique sur les trois premiers mois de 2006 selon Gartner. L'Amérique Latine n'est pas en reste, avec une hausse des ventes de 22,9 %. La région du monde ayant enregistré le plus important volume de ventes est la zone Emea. Près de 19,1 millions de machines y ont trouvé acquéreur, soit 12,6 % de plus qu'un an auparavant selon Gartner. Plusieurs fabricants envisagent un deuxième trimestre encore plus dynamique dans cette région. Dernier enseignement des études Gartner et IDC, l'écart séparant les deux rivaux sur le terrain des processeurs, Intel et AMD, tend à se resserrer. (...)

(20/04/2006 10:17:06)

RFID : BEA s'allie à HP

Nouvelle association dans le RFID. C'est au tour de BEA de s'allier à HP, pour la fourniture de nouveaux systèmes basés sur la technologie de puces radio. Selon les termes du partenariat, BEA, expert en middleware, engagera sa gamme WebLogic RFID. HP, de son côté, aura à charge l'implémentation, le support et la vente de l'ensemble. L'objectif, selon les deux parties, est de fournir un système standard pour la gestion de l'ensemble de la chaîne logistique. L'offre commune sera proposée à l'échelle mondiale. Aucune autre modalité n'a été communiquée. Les alliances entre grands comptes autour du RFID se multiplient. Dernièrement, Sun s'est associé à SAP pour intégrer la gestion du RFID à Netweaver. Plus récemment, une étude pointait du doigt les risques de sécurité que pouvait représenter la technologie. (...)

(20/04/2006 10:13:41)

Oracle va proposer une plate-forme de services complète pour opérateurs

Oracle souhaite renforcer son offre pour les opérateurs télécoms. Suite à l'annonce du rachat de Net4Call, un éditeur spécialisé dans les plates-formes de services Parlay [une API standard pour l'interfaçage des applications informatique avec les services télécoms], Oracle va proposer une plate-forme complète de livraison de services (SDP ou service delivery platform) basée sur sa suite de middleware fusion. La plate-forme s'appuiera également sur les produits récemment acquis lors des rachats de HotSip (serveur SIP) et de Portal Software (progiciel de provisionning, de valorisation, de création de services et de selfcare pour opérateurs et FAI) et vise à offrir une solution complète en technologie SOA pour les opérateurs, les grands intégrateurs et les fournisseurs de services. Pour l'instant la plate-forme s'appuie sur la base Oracle 10g RAC (Real Application Clusters) ainsi que sur la base temps réel Oracle TimesTen in-memory acquise en juin avec le rachat TimesTen. HotSip fournit le support d'IMS tandis que les outils de Net4Call assurent l'interface avec les services réseaux historiques et avec les applications de réseau intelligent. La plate-forme SDP d'Oracle inclut aussi une série d'adaptateurs pour s'interfacer à des équipements réseaux. Elle devrait progressivement s'enrichir de nouvelles fonctions comme le contrôle d'appel commun aux architectures IMS et historiques, l'intégration avec des outils de facturation, la gestion des terminaux clients ainsi que d'une suite de services prêts à l'emploi hérités de Net4Call comme la fourniture de contenus mobiles, la fourniture de services VOIP ou de services de PABX virtuel (Centrex). Selon l'éditeur, sa plate-forme SDP fonctionnera aussi bien sur son middleware fusion que sur ceux de BEA et Jboss. (...)

(20/04/2006 10:12:09)

Solid va proposer une version libre de son moteur pour MySQL

Solid Information Technology va proposer une version libre de son moteur de base de données compatible avec MySQL. Solid est plutôt connu pour sa base de données embarquée SolidDB qui est utilisée par plusieurs géants des réseaux comme Siemens, Nortel Networks et Cisco Systems dans leurs équipements, mais aussi par HP pour son logiciel OpenView. Selon Paola Lubet une porte-parole de la firme le logiciel est également mis en oeuvre par près de 120 sociétés notamment dans le secteur financier pour la gestion de transactions en temps réel. MySQL a une structure modulaire qui permet à l'administrateur de choisir le moteur de données à utiliser selon le type d'application. MyISAM est le moteur par défaut mais de nombreux utilisateurs lui préfère InnoDB, qui est jugé plus fiable et plus performant. Avec SolidDB pour MySQL, Solid ne cache pas son intention de séduire de nouveaux clients :"InnoDB est un bon moteur" explique Paola Lubet, "mais il n'a été testé que pour des applications web. Nous venons du monde des applications critiques". Par exemple SolidDB permet de modifier la configuration d'une base sans interrompre son fonctionnement et il supporte la gestion de la sécurité par rôle, ce qui permet d'implémenter des politiques de sécurité plus rapidement qu'avec une gestion par utilisateurs. Solid livrera une bêta publique du code source de son moteur de données sous licence GPL en Juillet. Le logiciel est attendu pour le 4e trimestre. Un support payant sera assuré par l'éditeur à partir du lancement du logiciel. (...)

(19/04/2006 17:23:05)

Recrutement : Sylis reçoit à Bordeaux

Les initiatives de recrutement originales se multiplient. Signe que le marché est tendu et que certains candidats sont davantage occupés à comparer plusieurs opportunités d'emploi qu'à les chercher. C'est ce que confirme la SSII Sylis (CA 2005 123,7 ME, résultat net ) qui mise sur une soirée de recrutement pour séduire des informaticiens et renforcer ses effectifs en Aquitaine (entre 80 et 100 collaborateurs en mission chez des clients). Le 27 avril, elle les invite dans ses locaux de Bordeaux Pessac à venir rencontrer ses équipes autour d'un cocktail. L'objectif est de créer des contacts qualitatifs dans un cadre inhabituel et convivial. L'enjeu est certes de recruter - idéalement 5 personnes sur cette opération- mais aussi de se faire connaître et de travailler sur son image dans la région. Sylis attend une trentaine de personnes pour cette opération. Elle cible en particulier des informaticiens titulaires de diplômes de niveau Bac+ 4/5, ayant 3 à 5 ans d'expérience et des spécialités dans l'informatique décisionnelle, les nouvelles technologies et les mainframe (Cobol, PacBase, etc). Ceux qui sont intéressés recevront une invitation après avoir pris contact et envoyé leur CV à la SSII. L'opération s'inscrit dans une campagne de recrutement qui vise à pourvoir quelque 80 postes dans la région sur l'année. Sylis Aquitaine appartient à la division Grand Ouest de Sylis qui est pilotée par Nantes et inclut les implantations de Nantes, Bordeaux, Toulouse et de la région Paca. (...)

(19/04/2006 17:22:17)

Gestion de compétences : un référentiel européen en 2007

Le Cigref (club informatique des grandes entreprises françaises) travaille à l'élaboration d'un référentiel de compétences informatiques qui sera commun à la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne. Ce référentiel concernera essentiellement les métiers/missions que l'on peut trouver dans les directions des systèmes d'information des entreprises utilisatrices (par opposition aux SSII et fournisseurs d'informatique). Prévu pour être achevé en 2007, cet outil vise à fournir une base d'informations normalisée et commune aux sociétés pour faciliter la construction de leurs propres référentiels métier et leur gestion de compétences. Les informaticiens devraient s'y retrouver. En effet, la création de fiches de postes et de compétences précises dans ce futur référentiel pourront permettre de qualifier la capacité d'une personne à honorer une mission en se basant sur son expérience au delà du fait qu'elle possède par exemple tel ou tel diplôme, commente le Cigref. Par ailleurs, elles faciliteront la mobilité en proposant un langage commun de mesure des compétences. Enfin, elles aideront les organismes de formation à bâtir des cursus adaptés et reconnus sur un plan international en se basant sur ce référentiel. Le Cigref travaille avec le comité européen de normalisation (Cen) sur ce projet. Ils élaborent parallèlement un Cadre européen des qualifications (European Qualifications Framework - EQF) qui pourrait être présenté à l'automne. Il s'agit d'un outil complémentaire, destiné à décrire différents niveaux de qualifications ou d'expertise pour une fonction à travers des connaissances, des savoir-faire et des compétences (décrites en termes de résultats sur le plan personnel et professionnel). Globalement, ce type de document vise à clarifier les parcours conduisant à une qualification spécifique, les possibilités et les modalités de progression. Il sert de base de travail pour la création de référentiel métier. (...)

(19/04/2006 17:19:26)

Trimestriels IBM : la microélectronique et le middleware dopent le bénéfice

Le bénéfice net s'élève à 1,71 Md$, soit 21 % de plus que sur la même période de l'année précédente, et au-delà des estimations des analystes. Le chiffre d'affaires s'aligne à 20,7 Md$, en recul de 10 % sur un an. Une apparente contre-performance due à la prise en compte l'annéee dernière de la division PC. Une activité cédée au début 2005 au chinois Lenovo. En excluant les revenus tirés de cette division, la progression annuelle du CA reste stable. La division IBM Global Services, qui génère plus de la moitié des recettes du groupe, enregistre un revenu de 11,6 Md$ au premier trimestre, en baisse de 1 %. Pas d'inquiétude cependant pour Big Blue puisque, du côté des marges, la tendance est à la hausse : elles s'élèvent à 26,6 %, contre 24,3 % un an plus tôt. IBM a, par ailleurs, signé pour 11,4 Md$ de nouveaux contrats au cours de la période, un chiffre qui plafonnait à 10 Md$ au T1 2005. "Nous avons un bon rythme dans les signatures de contrats à court terme, explique Mark Loughridge, le directeur financier, et nous pensons que cela continuera au deuxième trimestre. A la fin 2005, les contrats à long terme étaient en hausse de 19 %. Nous en sommes maintenant à une croissance de 20 %" IBM semble profiter des efforts effectués pour vendre davantage de services en complément des fournitures de logiciels et de matériel. En février, Big Blue annonçait ainsi qu'il allait investir 1 Md$ sur trois ans dans les services et logiciels centrés autour de la gestion de l'information et porter le nombre de consultants spécialisés dans ce domaine de 15 000 à 25 000. La division matérielle, Systems and Technology, a généré un chiffre d'affaires de 4,4 Md$, en hausse de 3 %. Une progression due aux ventes d'éléments microélectroniques destinés notamment aux plateformes vidéoludiques, de serveurs xSeries et de périphériques de stockage. Dans l'ensemble toutefois, le ventes de serveurs se sont montrées décevantes, comme l'indique Mark Loughride, qui parle de "trimestre très léger". Une des raisons pourrait être l'introduction de nouveaux produits au cours du mois de février. Une initiative qui a pu reporter les décisions d'achats. Enfin, la division logiciels a généré un revenu de 3,9 Md$, en hausse de 2 % sur un an grâce à la bonne tenue des ventes dans le middleware, portées par l'intérêt des consommateurs pour des déploiements SOA. Big Blue n'a pas communiqué de prévision pour son deuxième trimestre. (...)

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