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(12/04/2006 17:49:23)

Recrutement : 40 000 embauches de cadres informaticiens en 2006

L'année 2006 s'avère plus que prometteuse pour l'emploi des informaticiens. Les entreprises envisagent de recruter 40 000 cadres dans ce métier cette année, selon l'Apec, soit autant qu'en l'an 2000 estime l'agence. Ces prévisions représentent une croissance de 43% des recrutements par rapport à 2005 (28 000 recrutements recensés en 2005) Elles font de l'informatique le domaine de compétences le plus convoité après la fonction commerciale. Elles confirment par ailleurs la reprise du marché et montrent un regain de confiance des entreprises. L'enquête emploi réalisée par l'Apec fin 2005 auprès d'entreprises de tout secteur souligne aussi que leurs recrutements se feront essentiellement en Ile de France, Rhône-Alpes et Provence Alpes Côte d'Azur, les régions qui représentent traditionnellement 75% de l'effectif cadre en France. Elle confirme en outre le regain d'intérêt qui se manifeste pour les jeunes diplômés depuis 2005. 58% des offres conduisent à des recrutements La tendance s'avère donc favorable. Toutefois les chiffres ne traduisent pas les créations nettes d'emploi du secteur qui tiennent compte des promotions et des départs (non communiqués). Ils ne reflètent pas par conséquent toute sa dynamique. L'Apec confirme par ailleurs que des poches de chômage persistent (taux de chômage estimé entre 4 de 5% des 300 000 cadres informaticiens) alors qu'il y a parallèlement des difficultés pour trouver certains profils d'informaticiens (par exemple des consultants Sap). Dans les recherches d'emploi, il convient par ailleurs de prendre les offres avec précaution. Toutes ne sont pas synonyme d'embauche. En 2005, l'Apec a ainsi recensé 48 000 offres d'emploi mais seulement 28 000 recrutements de cadres dans l'informatique, soit un taux de transformation de seulement 58%. Elle explique ce différentiel par deux phénomènes. D'abord par les plans de recrutement prévisionnels lancés simultanément par plusieurs SSII dans la perspective d'une réponse favorable à un même appel d'offre. A l'arrivée, il n'y a qu'une seule élue pour la réalisation du projet correspondant et un seul recruteur au lieu des cinq ou six qui ont publié des offres d'emploi. Ensuite par les entreprises qui publient des petites annonces pour se constituer des « Cvthèques » alors qu'elles n'ont pas de besoins immédiats. Rappelons que le Munci (mouvement pour une union nationale des consultants informaticiens) estime que « l'on peut compter en moyenne une création d'emploi nette pour 4 à 5 recrutements bruts et 8 a 10 offres d'emploi dans notre secteur ». (...)

(12/04/2006 17:48:41)

La Chine fait un pas vers les Etats-Unis en s'engageant à réduire le piratage

Le gouvernement chinois vient de s'engager à prendre des mesures pour lutter contre le piratage dans les domaines du logiciel et des divertissements. Une initiative qui s'inscrit dans le cadre de discussions avec les Etats-Unis, une semaine avant la visite du président chinois Hu Jintao à Washington. La Chine va notamment ouvrir des bureaux chargés de recenser des cas de piratage dans 50 villes et renforcera les moyens de lutte contre les atteintes à la propriété intellectuelle. Ces mesures ont été annoncées par la vice-premier ministre Wu Yi à l'occasion de sa tournée américaine et constituent un message lancé aux éditeurs d'outre-Atlantique, lesquels se plaignent fréquemment du faible cas fait par la Chine du piratage. A travers ces mesures, les Américains entendent en outre rééquilibrer la balance commerciale entre les deux pays, qui penche nettement en faveur de l'Empire du milieu. En 2005, l'écart entre les importations américaines et chinoises s'élevait à 202 Md$. Le gouvernement chinois imposera notamment que chaque ordinateur vendu soit pré-équipé d'un système d'exploitation doté d'une licence. Il s'est également engagé à endiguer les cas de piratage de CD et de DVD par les particuliers et à "poursuivre vigoureusement" les atteintes individuelles au droit d'auteur. Selon IDC, 90 % des logiciels utilisés en Chine étaient piratés en 2004. (...)

(12/04/2006 17:44:49)

Du rififi en allemagne contre la vente par l'Etat de données personnelles

Dans un communiqué, le groupe Gesellschaft für Informatik e.V. indique que "la combinaison du nom, de l'adresse et des informations biométriques pourrait conduire à des possibilités d'analyse et de surveillance dénuées de toute transparence". L'organisation s'en prend particulièrement aux parlementaires, qui ont débattu sur la vente à des entreprises de données personnelles pour participer au financement des passeports biométriques, prévus pour 2008. Initiés en novembre 2005, les passeports biométriques incluent une puce RFID contenant une photo du détenteur. A partir de 2007, les empreintes digitales de seront également embarquées puis, en 2008, d'autres données biométriques, dont l'iris et des informations génétiques. Selon Gesellschaft für Informatik, de telles données pourraient servir à divulguer de précieuses informations sur le titulaire du passeport et l'accès doit en être réservé au seul gouvernement à fin d'identification. Le gouvernement, de son côté, cherche des moyens de financement pour ce document dont le coût de production est estimé à environ 300 E par unité. (...)

(12/04/2006 16:53:33)

La technopole Rennes Atalante s'ouvre au grand large

L'accord entre les communautés urbaines de Rennes et du pays de Saint-Malo est bien concrétisé. La technopole de Rennes Atalante a désormais une antenne à Saint-Malo. La zone destinée à accueillir les entreprises, située à l'entrée de la ville sur la route de Rennes, est en cours d'aménagement. Mais l'hôtel de la technopole est déjà ouvert. Il propose aux entreprises technologiques des surfaces de bureau en location et des services partagés. Il est également destiné à favoriser les rencontres entre les différents acteurs des filières de biotechnologies marines et des technologies de l'information qui constituent les deux axes propres au territoire de Saint-Malo. Actuellement, trois entreprises technologiques et trois équipes de recherche de l'IUT de Saint-Malo - Université de Rennes 1 sont installées à l'hôtel de la technopole. Au début du mois d'avril, les parisiens ont pu mieux découvrir le Pays de Saint-Malo sur le parvis de la gare Montparnasse, avec des stands et la présence du Renard, réplique du dernier bateau corsaire de Robert Surcouf. Une manière pour les malouins de relier leur histoire aux entreprises d'aujourd'hui. (...)

(12/04/2006 16:52:53)

Les PME gardent le moral

Le baromètre mensuel BNP Paribas Lease Group - AFP de vitalité des PME-PMI confirme au mois de mars sa progression lente mais régulière. L'indicateur de chiffre d'affaires se situe ainsi à son plus haut depuis trois ans. En mars, 38% des PME ont vu leur chiffre d'affaires augmenter, contre 21% qui l'ont vu baisser. L'indicateur de rentabilité est également en hausse, même si le niveau global reste peu élevé. En revanche, les indicateurs d'emploi et d'investissement marquent un léger recul. La balance de l'emploi est cependant restée positive en mars, l'indice reflétant en fait les intentions de recrutement moins fréquentes à court terme. (...)

(12/04/2006 16:51:27)

MS Exchange en mode hébergé chez Jet Multimédia

Pour les PME souhaitant se décharger de l'administration de leur application de messagerie, Jet Multimédia propose une version hébergée de Microsoft Exchange au-dessus de laquelle le fournisseur propose une couche de sécurité comprenant un pare-feu, les fonctions antivirus et antispam de Trend Micro pour MS Exchange, ainsi qu'un accès à MS Outlook Web Access en mode sécurisé (SSL). Cette offre externalisée, baptisée Jet Hosted Exchange, est installée depuis un an dans le centre de données du prestataire (situé à Courbevoie, Hauts de Seine) et accessible 24 heures sur 24. Jet Multimédia estime qu'une solution de ce type revient presque dix fois moins cher qu'un achat de licences pour une PME souhaitant gérer entre cinq et vingt boîtes aux lettres. Pour distribuer cette offre, il a constitué un réseau d'une quinzaine de distributeurs qui couvre l'ensemble de l'Hexagone, lui-même disposant d'agences à Toulouse et à Lyon. (...)

(12/04/2006 16:50:45)

A.L.E.S s'appuie sur un progiciel métier intégré pour gérer son activité

La société A.L.E.S commercialise des équipements de sécurité et d'hygiène destinés aux locaux à usage professionnel, une activité qui demande une bonne connaissance du secteur du bâtiment. Dès la création de l'entreprise, sa dirigeante, Fabienne Mongin, souhaitait l'équiper d'une solution de gestion complète, « dans laquelle les informations sont saisies une seule fois et visibles par tous ». Le choix s'oriente vers un progiciel de gestion intégré fourni par Cegid, combinant des fonctions de comptabilité, de suivi des clients et des fournisseurs, de gestion commerciale ou encore de paie. Cette entreprise réunissant 16 collaborateurs apprécie notamment la connaissance de son métier par l'éditeur, capable de leur proposer des solutions « presque sur mesure ». Pour accompagner son évolution, la PME a adopté la nouvelle gamme de l'éditeur. Elle utilise aujourd'hui Cegid Business BTP. Adaptée au métier d'A.L.E.S, cette offre fournit des modules plus spécifiques, notamment pour gérer les études, les achats, les stocks ou les contrats. La modularité de l'offre permet à la société de s'équiper au fur et à mesure que ses besoins s'étendent. Cette année, la dirigeante envisage ainsi l'installation du module de gestion des interventions afin d'accompagner le développement des activités de service. (...)

(12/04/2006 16:50:05)

GemPlus propose une solution de sécurité conçue pour les PME

Le géant de la carte à puce, Gemplus, s'est penché sur les besoins des PME concernant la sécurité. Il fallait une solution simple à installer, qui prenne en compte les employés itinérants, et qui apporte un haut niveau de sécurité. La réponse s'appelle GemEvidence. Il s'agit d'une solution reposant sur un mot de passe à usage unique (OTP, one time password, dans le sabir technologico-marketing en vogue) destinée à protéger les réseaux locaux des attaques venant de l'extérieur et des vols d'identité. GemEvidence remplace les mots de passes classiques, souvent peu efficaces, par des mots de passe dynamiques, à usage unique. Concrètement chaque utilisateur dispose d'un petit boîtier grand comme une clé USB (le « GemEvidence Easy Token »), qui présente un bouton et un petit écran. En appuyant sur le bouton, on obtient un mot de passe qu'il n'y plus qu'à entrer sur l'ordinateur. Le logiciel serveur vérifie alors la validité de ce mot de passe. Gemplus propose une solution complète, qui comprend le logiciel serveur, les boîtiers individuels, le support et la maintenance. GemEvidence est conçue pour s'appuyer sur une infrastructure existante à base de produits de Microsoft : Windows Server 2003, SQL Server 2003, II Server 6.0 et Active Directory 5.2. (...)

(12/04/2006 12:59:06)

Microsoft lance la bêta de Windows Live Academic Search

Microsoft s'apprête à lancer Windows Live Academic, son moteur de recherche spécialisé dans les publications universitaires et académiques, en version bêta. Avec cet outil, le géant de Redmond s'attaque de front à son concurrent Google dont la déclinaison Google Scholar propose les mêmes fonctions. Des chercheurs et des bibliothécaires américains ont déjà pu tester le service de Microsoft. Selon ces premiers utilisateurs, Windows Live Academic s'avère efficace mais pas impressionnant. Et de lui reprocher notamment l'absence de possibilité de faire une recherche sur les citations dont un travail de recherche ou une publication a pu faire l'objet. (...)

(12/04/2006 12:58:16)

Le succès de l'ouverture du .EU déjà entaché

Cela ressemble à une véritable ruée vers l'or : les noms de domaines en .EU, accessibles aux particuliers depuis le 7 avril, ont fait l'objet de près d'un million et demi de demandes d'enregistrement au 12 avril à 12h22. Ce chiffre impressionnant cache d'importantes disparités entre les ressortissants des différents états de l'Union. Les Allemands arrivent en tête des demandeurs de domaines en .eu avec plus de 465 000 dépôts. Ils sont suivis par les Britanniques avec près de 300 000 domaines, contre un peu plus de 171 000 pour les néerlandais. A l'opposé, les français ne semblent pas gagnés par l'enthousiasme avec seulement 62 000 domaines, moins que les suédois (63 498), les chypriotes (73 490), et les italiens (86 483). Mais le succès des .EU est déjà entaché de problèmes techniques et de soupçons de manipulations peu avouables. En effet, les serveurs d'enregistrement de l'Eurid, responsable de la gestion du .EU, se sont effondrés le 7 avril au matin sous la charge des milliers de requêtes de noms de domaines, contraignant les dépositaires de noms de domaines au plus absolu bricolage. La règle du premier arrivé premier servi n'est en effet d'aucune utilité lorsqu'il devient impossible de vérifier la disponibilité d'un domaine. Aujourd'hui, le registrar GoDaddy évoque, par la voix de son P-DG Bob Parsons, des manipulations de concurrents pour favoriser leurs clients dans l'obtention d'un domaine. En principe, les registrars souhaitant revendre des domaines en .EU doivent s'enregistrer auprès de l'Eurid et faire un dépôt d'au moins 10 000 euros. Le système d'enregistrement de l'Eurid est conçu pour donner à chaque registrar un accès égal aux bases de données et des chances égales d'enregistrement d'un nom de domaine vacant. Selon Bob Parsons, des registrars auraient déclaré des filiales « fantômes » pour disposer de plusieurs places dans le système de file d'attente de l'Eurid et favoriser ainsi leurs clients : « ces registrars fantômes ont été créés pour détourner le rush du .eu », indique-t-il sur son blog. L'Eurid avait accrédité 1556 registrars pour l'ouverture du .EU lundi dernier. Parmi eux, certains affichent étonnamment les mêmes coordonnées, comme la petite dizaine de registrars nommés selon des noms de fleurs ou de fruits et installés à la même adresse à Starnberg, outre-Rhin. Bob Parsons demande à l'Eurid de suspendre les enregistrements de domaines en .EU jusqu'à que les registrars fantômes soient tous identifiés. De son côté, l'Eurid nie, par la voix d'un porte-parole, l'existence de telles sociétés écran : « Certains registrars ont le même propriétaire. Il y a des registrars européens qui ont des bureaux dans plusieurs pays et chaque filiale est un registrar, » a indiqué Patrik Lindèn, chargé de communication à l'Eurid. (...)

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