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(09/01/2006 17:47:39)
Un spammeur américain condamné à payer 11,2 Md$ à un FAI
Jugement historique aux Etats-Unis contre un spammeur du nom de James Mc Calla. Une cour de justice de l'Iowa vient de le condamner à payer 11,2 Md$ à CIS Internet Services, un FAI de la région. Outre ces dommages et intérêt, le spammeur est également interdit d'Internet pour une durée de trois ans. CIS avait intenté un procès après avoir reçu quelque 280 millions de spams vantant les mérites de casinos, sites pornographiques et autres services d'aides contre l'endettement. Le dirigeant de CIS, Robert Kramer n'est pas à son premier procès, puisqu'en 2004, il avait gagné contre 300 spammeurs qui avait inondé son réseau de 10 millions de messages en une seule journée. James Kramer rappelle que les petits FAI sont largement victimes des envois de spams qui occupent et perturbent leur bande passante de façon illégale. Si Kramer ne se fait aucune illusion quant à ses chances de percevoir un jour le montant de l'amende, il espère que ce type de procès fera réfléchir. Reste qu'une grande partie des spammeurs sont implantés dans des pays étrangers où il est difficile, voire impossible, de les atteindre juridiquement. (...)
(09/01/2006 17:46:52)Google présente son pack logiciel... un caillou dans Windows
Lors du CES de Las Vegas, Google a présenté son Google Pack destiné aux internautes. Ce pack regroupe 13 logiciels à télécharger gratuitement, à l'exception de l'Antivirus Norton, qui n'est gratuit pour une période de 6 mois. L'internaute peut choisir de télécharger l'ensemble du pack ou simplement quelques logiciels. On trouve parmi ces produits des outils maison comme Picasa - logiciel de gestion d'image - ou encore Google Earth - cartographie - ainsi que des logiciels émanant de partenaires tels que Mozilla avec Firefox, RealNetwoks ou encore Adobe et son Reader 7. Un ensemble somme toute assez cohérent si ce n'est l'absence notable d'un outil bureautique. Suite aux accords récents entre Google et Sun, on pouvait s'attendre à trouver OpenOffice.org. Il semblerait que la mise à disposition de ce logiciel soit prévue prochainement. En attendant, le message envoyé à Microsoft est clair même si pour l'instant la piqûre ne provoquera guère plus que quelques démangeaisons au géant. Malgré tout, grâce à sa popularité et au concept de tout en un, Google pourrait bien réussir à favoriser l'émergence de certains logiciels libres ou concurrents directs de Microsoft auprès du grand public. (...)
(27/02/2006 17:54:14)Restructuration HP : deux syndicats appellent à la grève
La CFDT et la CGT ont lancé un appel à la grève aux salariés de HP France pour ce mardi 10 janvier. Alors que le soufflet médiatique et la mobilisation de la classe politique sont largement retombés depuis la proposition de la direction de troquer des suppressions de postes contre plus d'heures travaillées, les syndicats tiennent à rappeler au bon souvenir des observateurs que le dialogue social est grippé. Pour Laurent Viallard, délégué central CGT, et salariés de HP CCF, cinq points justifient cet appel à la grève. En premier lieu le nombre de postes supprimés - 940 -, même s'il a été revu à la baisse, reste trop élevé : "au vu des résultats de la filiale française, un seul emploi supprimé serait injustifiable, note le syndicaliste. Depuis le début nous estimons qu'un maximum de 740 postes, soit une projection de la moyenne européenne, devrait être proposé par la direction". Surtout, c'est la répartition des suppressions d'emplois qui désole les syndicats. Certains sites sont particulièrement exposés, à l'instar de l'Isle d'Abeau qui devrait perdre 36 % de ses effectifs ; certaines catégories d'emplois le sont également : les non cadres seraient 35 % à être concernés par le plan social. Les syndicats regrettent ensuite l'absence d'un véritable plan de départ anticipé, comme cela avait été le cas lors des deux précédents plans sociaux. "Aujourd'hui, le volet prévoyant les départs anticipés établit des critères conduisant à une population éligible restreinte et à des conditions très peu favorables" explique Laurent Viallard. La renégociation des accords RTT est un autre point suscitant l'ire des syndicats. "Après la dernière réunion de négociation, on va vers dix jours de travail supplémentaires par an. Le tout sans augmentation de salaire. Cela sera un événement dans l'histoire du travail en France : travailler plus sans gagner plus" déplore le délégué CGT. Le quatrième point évoqué par l'intersyndicale concerne la préservation des conditions de travail des salariés qui resteront à l'issue du PSE. Les syndicats réclament un bornage des heures de travail quotidienne, que la direction semble à l'heure actuelle décidée à refuser, préférant le forfait jour sans référence horaire. Enfin, la CFDT et la CGT appellent à la grève pour protester contre l'absence d'augmentation de salaires décentes. "Les augmentations proposées ne permettent même pas de suivre l'inflation, morigène Laurent Viallard. La direction prévoit simplement des augmentations au mérite pour inciter certains salariés à ne pas se porter volontaires au départ". (...)
(09/01/2006 17:45:17)Faille WMF : Microsoft défend sa position
Microsoft contrôlait parfaitement la situation. C'est le message que l'éditeur de Redmond à chercher à communiquer à l'occasion d'un webcast visant à défendre sa position dans la gestion de la crise WMF. Rappelons que l'éditeur de Redmond avait initialement programmé la sortie du correctif officiel au 10 janvier, avant de le précipiter, jeudi dernier. « Les exploits ne se sont pas répandus aussi rapidement que certains membres de la communauté le laissait entendre. C'est pour cela que Microsoft jugeait bon d'attendre la finalisation des tests du correctif ainsi que la garantie de son fonctionnement, avant de le publier » explique Debby Fry Wilson, directeur du développement chez Microsoft, en ripostant dans la foulée aux invectives des experts. A la découverte de la faille, poursuit-elle, Microsoft a suivi sa « protocolaire » procédure d'urgence baptisée Software Security Incident Response Process. Une procédure qui prévoit notamment la formation d'une équipe dédiée à l'analyse de la faille ainsi qu'au développement du correctif. « C'est ainsi cette même équipe qui a finalisé la rustine publiée jeudi. Microsoft a dans la foulée travaillé en collaboration avec les FAI pour les aider à bloquer l'accès aux sites infectés, puis avec les éditeurs d'anti-virus de façon à enrayer la propagation ». Une série de mesures, qui, selon elle, ont contribué à diminuer progressivement la propagation des exploits, permettant ainsi à Microsoft de se donner du temps pour développer une solution viable. (...)
(27/02/2006 17:53:58)Sun entend détailler ses revenus logiciels
Jonathan Schwartz, le patron de Sun Microsystems, a profité du Consumer Electronics Show qui se tenait la semaine passée à Las Vegas pour annoncer que Sun a décidé de détailler les comptes de sa division logicielle lors de la publication de ses prochains résultats. "Nous allons prochainement détailler les résultats de notre activité logicielle", a expliqué Schwartz, en précisant qu'actuellement la société ne donne des détails que sur ses activités systèmes, stockage et services. Les dirigeants de Sun sont régulièrement critiqués pour la position adoptée par la société de ne pas détailler ses revenus logiciels et notamment les revenus de licence issus de Java. Selon Schwartz, la vraie valeur de Java pour Sun n'est toutefois pas dans les licences, mais dans le fait que la technologie tire les ventes de systèmes du constructeur. "Je peux vous assurer que les revenus que nous percevons sur les licences n'est qu'une fraction de ce que nous percevons sur les équipements d'infrastructures qui font tourner les réseaux [mobiles ou multimédias]", a ainsi expliqué Schwartz. Sun perçoit des revenus sur l'ensemble des téléphones mobiles embarquant une JVM, ainsi que sur l'ensemble des cartes JavaCard du marché de même que sur les prochains disques Blu-Ray, dont le moteur d'interactivité, BD-Java, est basé sur la technologie de Sun. (...)
(27/02/2006 17:51:55)L'Europe de la R&D : innovante mais à la traîne
Et si le pays d'Europe le plus efficace dans le domaine IT était Malte, cette petite île de 400 000 habitants ? En réalité, tout dépend des indicateurs utilisés. Exportation de technologie, innovation, dépenses en R&D ou développement du haut débit, chaque domaine apporte une réponse différente. Les pays scandinaves excellent dans les télécoms, l'Allemagne dans les brevets, et d'autres dans l'exportation de technologie. Malte, membre de l'UE depuis mai 2004, tire une plus grande part de ses revenus du secteur IT que les autres pays européens, selon Eurostat, le service de statistiques de la Commission européenne. Les biens et services IT représentaient ainsi 55,9 % des exportations maltaises en 2004. En Irlande, où le gouvernement a déployé nombre d'efforts pour attirer des fabricants pan-européens, des distributeurs et des services à destination des fabricants IT - dont Apple, Dell et Intel -, la haute technologie ne représente que 29,1 % des exportations. En comparaison, les Etats-Unis tirent 27 % de leurs revenus à l'exportation du secteur IT, et le Japon 22,8 %. Au Royaume-Uni ce taux s'élève à 22,7 %, 20 % en France et 14,8 % en Allemagne. La définition du high-tech retenue par Eurostat dépasse le simple champ de l'informatique : elle inclut également la fabrication de produits électroniques, pharmaceutiques, d'instrumentation médicale et aéronautique. Le secteur des services est en revanche presque exclusivement lié au IT : il comprend les activités relatives aux télécoms et à l'informatique, ainsi que la R&D. Malte ne compte que 290 fabricants IT. L'Italie en a plus de 34 600, ce qui fait d'elle le pays européen recelant le plus d'entreprises de haute technologie. Ce chiffre est deux fois plus élevé qu'en Allemagne et représente 6,3 % du nombre total d'entreprises sur le territoire. En dépit toutefois de ces dizaines de milliers d'entreprises, les sociétés IT italiennes sont plus petites et génèrent une valeur moyenne de production inférieure d'un tiers à celle rencontrée en Allemagne. L'Allemagne se distingue particulièrement dans la proportion de ses entreprises de fabrication oeuvrant dans le secteur IT. Sur les 196 702 fabricants allemands, 19,8 % se situaient dans le secteur public en 2002, soit bien plus que la moyenne européenne - 6,3 %. Curieusement, les entreprises de fabrication IT généraient un revenu annuel légèrement inférieur - en moyenne 6 ME par société - à celui de leurs homologues des secteurs de moindre technologie - 7ME. Les 11 866 fabricants IT du Royaume-Uni, soit 7,2 % de l'ensemble des entreprises, se montraient plus productives au cours de la même année, avec des revenus annuels moyens de 10 ME, contre 4 ME dans le secteur hors IT. Même constat en France : les 6,5 % d'entreprises de haute technologie généraient un revenu moyen de 9 ME, alors que le reste des sociétés de fabrication plafonnaient à 4 ME. R&D : objectif 3 % du PIB Les dépenses moyennes en R&D dans l'Union européenne atteignaient 1,9 % du PIB en 2004, contre 2,59 % aux Etats-Unis et 3,15 % au Japon. En Europe, 54 % de ces dépenses étaient financées par les entreprises, le reste par les gouvernements. Aux Etats-Unis, 63 % de la R&D étaient issus d'un financement des sociétés, un taux qui s'élevait à 75 % au Japon. La Commission européenne a fixé l'objectif de dépenses en R&D se hissant à 3 % du PIB à l'horizon 2010. Les Etats-membres sont-ils proches de ce but ? Pas de problème pour les pays scandinaves : la Finlande dépense 3,51 % de son PIB en R&D et voit cette dépense augmenter de 4 % annuellement. En suède, la R&D représente 3,74 du produit intérieur mais diminue de 2,1 % par an. Le pays remplit cependant largement l'objectif fixé par l'exécutif européen. Le budget R&D du Danemark s'élève à 2,63 % du PIB et croît de 4,3 % chaque année. En Allemagne, les dépenses en R&D sont proches de celles observées au Danemark : elles représentent 2,49 du produit intérieur brut mais se progressent que de 0,8 % annuellement. Une croissance insuffisante pour permettre à Berlin d'atteindre le seuil des 3 % en 2010. Plus délicate encore sera la tâche de la France : ses dépenses en R&D stagnent autour de 2,5 % du PIB, la moitié provenant de l'industrie. Paris entend toutefois augmenter la part du secteur privé dans ces dépenses à travers une série de mesures incitatives, notamment le label Carnot. Le Royaume-Uni n'a pas publié de chiffres pour 2004. Cependant, au cours des quelques années précédentes, ses dépenses en R&D demeuraient proches de la moyenne européenne, à 1,9 %, moins de la moitié provenant du secteur privé. Les Etats-Unis, principaux détenteurs de brevets en Europe Le nombre de brevets déposés annuellement s'avère un instrument pratique pour mesurer l'innovation. Il convient néanmoins de le nuancer en ce qui concerne l'Europe : la majorité des trouvailles est relative aux logiciels, or ceux-ci échappent à la brevetabilité comme l'a décidé le Parlement européen en juillet 2005. Au-delà des logiciels, les chercheurs parviennent toutefois à breveter de nombreuse inventions entrant dans le champ de l'informatique et des télécoms. Entre 2000 et 2004 le nombre de brevets accordés par le Bureau Européen des Brevets (EPO) a presque doublé, passant de 2 819 à 5 615. L'Allemagne, au cours de cette période, est le pays à avoir déposé le plus grand nombre de brevets IT - 741 - devant la France - 466 - la Finlande, le Royaume-Uni et la Suède. Mais dans le jeu européen des brevets, les acteurs du Vieux continent font figure de nains. En 2004, l'Epo a accordé 1 749 brevets IT à des postulants américains et 1 192 à des Japonais. Ces deux pays concentraient près des deux-tiers de l'ensemble des brevets décernés en 2000. si cette proportion a, depuis, diminué, Japon et Etats-Unis s'accaparaient encore, en 2005, la moitié des brevets en Europe. (...)
(06/01/2006 17:25:23)France Télécom renonce à acquérir Telindus
France Télécom n'acquerra pas le belge Telindus. L'opérateur français, qui s'était engagé dans la bataille pour la reprise de son homologue du plat pays, et se frottait à l'appétit de Belgacom, également candidat au rachat, a annoncé qu'il retirait son offre. L'offre publique d'achat, initiée par Belgacom - à 13,5 E par titre -, avait donné lieu à une succession de surenchères de la part des deux protagonistes. La dernière proposition de Belgacom - 22 % plus élevée que son offre initiale - semble avoir découragé l'opérateur historique français. "France Telecom a décidé de ne pas surenchérir et de retirer son offre, les critères stratégiques et financiers de son projet industriel pour l'acquisition de Telindus n'étant plus réunis", a indiqué le groupe. (...)
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