Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 3011 à 3020.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/08/2011 13:38:09)

Facebook s'empare de Push Pop Press, éditeur de livres numériques

Facebook vient  de faire l'acquisition de Push Pop Press, une start-up spécialisée dans l'édition de livres numériques interactifs, pour un montant non communiqué. Le réseau social a précisé qu'il ne prévoyait pas de se positionner sur le domaine des ouvrages numériques, mais qu'il intégrerait la technologie de Push Pop Press et certaines de ses idées, dans son propre service, sans pour autant fournir davantage de détails. « Nous sommes ravis de confirmer que nous avons acheté Push Pop Press, une startup dont les solutions innovantes  changent la façon dont on publie et consomme des contenus numériques », s'est réjoui Facebook dans un communiqué.

Co-fondée par Matas Mike et Kimon Tsinteris, anciens employés d'Apple, Push Pop Press a collaboré avec la société multimedia Melcher Media, ainsi  qu'avec l'éditeur Rodale pour sortir une première application baptisée « Our Choice ». Cet ouvrage interactif, écrit par l'ancien vice-président américain Al Gore, est disponible sur l'iPad, l'iPhone et l'iPod touch.

Il n'est  cependant pas prévu de publier de nouveaux titres ou de développer la plate-forme d'édition de Push Pop Press qui existe actuellement en version privée et bêta. L'ouvrage « Our Choice » restera toutefois disponible à l'achat, et ses bénéfices seront reversés au Climate Reality Project, organisation pour la protection du climat présidée par Al Gore.

Les idées et la technologie sur lesquelles s'appuie Push Pop Press seront intégrées à Facebook pour permettre aux utilisateurs du réseau social d'enrichir la façon dont ils pourront partager leurs histoires, ont indiqué les deux fondateurs sur leur site.

Illustration : L'ouvrage « Our Choice » d'Al Gore (crédit : Push Pop Press)

(...)

(03/08/2011 13:02:47)

Black Hat 2011 : de la reconnaissance faciale aux données privées

Selon des chercheurs présents à la conférence Black Hat sur la sécurité qui se tient cette semaine à Las Vegas (les 3 et 4 août), il sera bientôt possible, à partir d'une photo d'une personne prise avec un smartphone, de connaître, en quelques minutes, son numéro de sécurité sociale, plus une série de données privées, comme ses centres d'intérêts, sa préférence sexuelle et son niveau d'endettement. « La technique consiste à associer les visages d'individus pris au hasard à des images contenues dans des bases de données qui recèlent d'autres renseignements à leur sujet, et d'utiliser cette information pour trouver leurs numéros de sécurité sociale », explique Alessandro Acquisti, professeur à l'Université Carnegie Mellon, chargé de présenter ces recherches à la conférence et interrogé par nos confrères de Network World. Il doit prendre la parole demain jeudi lors d'une des nombreuses sessions proposées à Black Hat USA 2011.

S'il dispose du support logistique nécessaire, Alessandro Acquisti compte même faire la démonstration de cette technique pendant son intervention, en utilisant une application installée sur un smartphone qui exploite des bases de données hébergées dans le cloud et des logiciels de reconnaissance faciale. « La démonstration s'attachera à montrer comment trouver des numéros de sécurité sociale, mais d'autres informations comme la tendance sexuelle et l'endettement peuvent être également déduites », a t-il affirmé.

Ce que permet la surveillance numérique


Selon le chercheur, il s'agit de montrer qu'aujourd'hui, la surveillance numérique offre une passerelle qui permet, à partir de l'image d'une personne, d'accéder à des données personnelles. Selon lui, la technique ne peut aller qu'en s'améliorant du fait de l'évolution des technologies, et à mesure que ces outils de surveillance seront accessibles au plus grand nombre. Avec pour effet une réduction de plus en plus grande de l'espace privé. « C'est, je le crois et je le crains, l'avenir vers lequel nous nous dirigeons », a t-il déclaré. S'il admet que la méthode est loin d'être infaillible, il estime que les éléments pour aboutir à cette technologie se développent rapidement et pourraient être prêts pour être utilisés dans le monde réel dans un avenir prévisible. Il travaille sur des projections afin d'estimer le temps qu'il faudra pour que les technologies concernées soient assez développées pour être suffisamment fiables.

Trois orientations de recherches


Alessandro Acquisti fonde sa présentation sur trois orientations de recherches menées par son équipe. La première part des images postées sur Facebook par les utilisateurs pour faire état de leur identité. L'équipe a comparé les images de Facebook en utilisant les logiciels de reconnaissance faciale de PittPatt pour repérer d'autres photos de la même personne dans une autre base de données, celle d'un service de rencontres en ligne où les personnes s'inscrivent en général sous de faux noms. Une fois que le logiciel a établi le rapprochement, l'équipe a demandé aux intéressés de regarder les photos afin de déterminer le degré de précision du résultat. Ceux-ci ont retenu le meilleur choix réalisé par le logiciel de PittPatt pour chaque photo. Le logiciel a correctement identifié 1 membre sur 10 du site de rencontres, ce qui est, selon les chercheurs, une assez bonne performance compte tenu du fait que l'expérience s'est appuyée sur une photo unique, celle du profil Facebook « pour identifier la personne dont on connaissait l'identité ». En outre, l'étude n'a pris en compte que la meilleure reconnaissance faciale établie par PittPatt. « Si nous avions retenu les deuxièmes et troisièmes choix, cela aurait augmenté la précision », a t-il déclaré.

Dans la seconde expérience, l'équipe de chercheurs a photographié des étudiants au hasard et leur a demandé de répondre à un questionnaire. En attendant, leur photo a été comparée à d'autres bases de données en ligne pour identifier les étudiants en temps réel et trouver d'autres photos d'eux. Ils ont ensuite demandé aux étudiants de vérifier les photos trouvées : dans un cas sur trois, ils ont constaté que le rapprochement était correct.

La troisième expérience, qui est repartie des profils Facebook, a consisté à prédire les cinq premiers chiffres du numéro de sécurité sociale, puis de prédire les centres intérêts et les activités des individus. Cette dernière étape repose sur la mise en oeuvre d'un algorithme de prédiction du numéro de sécurité sociale qu'Alessandro Acquisti avait présenté au Black Hat il y a deux ans. A partir du lieu et de la date de naissance d'une personne, l'algorithme peut trouver les cinq premiers chiffres du numéro. L'algorithme essaye ensuite de deviner les chiffres restants, mais pour l'instant, il lui faut encore effectuer une centaine de tentatives pour obtenir un résultat fiable.

(...)

(03/08/2011 09:48:35)

L'Etat aurait trouvé des partenaires pour son cloud

Le gouvernement souhaite localiser des données en France, donc susciter des investissements en infrastructures sur le territoire national. Vendredi dernier, selon l'Agence France Presse, un accord aurait été signé entre l'Etat et un consortium de trois partenaires : Orange, Thalès, Dassault Systèmes.

Cet accord ne sera rendu public qu'à l'automne, après consultation des instances représentatives du personnel. Il s'agit en effet de transférer dans ce consortium des structures et des personnels, en datacenters, déjà existants. Le financement et la gouvernance du consortium restent également à définir.

(...)

(02/08/2011 16:45:43)

Rakuten, l'acquéreur de PriceMinister, met la main sur l'Allemand Tradoria

Le groupe japonais Rakuten est bel et bien lancé dans la constitution d'un groupe de e-commerce en Europe. Et ce, par croissance externe. Un an après le rachat du français PriceMinister, il acquiert 80% de l'allemand Tradoria. Cette société allemande fondée en 2007 traite avec 4 400 boutiques offrant 8 millions de produits. C'est une plate forme de e-commerce fournissant des solutions de boutique en ligne.

« L'an passé, nous avons vu d'importantes synergies avec le groupe Rakuten qui ont contribué à étendre nos activités respectives au niveau mondial et à stimuler la croissance, commente Pierre Kosciusko-Morizet, P-dg de PriceMinister. Nous sommes impatients de travailler aux côtés de Tradoria et de Rakuten, dans la construction de la plus forte plate-forme européenne de commerce électronique, offrant aux commerçants et aux consommateurs, une expérience sans faille et sans frontière ».

Illustration : le site Tradoria (...)

(02/08/2011 16:40:46)

Google et LivingSocial se paient des sites d'achats groupés

Dealmap, un agrégateur de sites d'achats en groupe, a déclaré lundi qu'il avait été racheté par Google pour un montant non communiqué. L'acquisition de la société californienne (installée à Menlo Park) pourrait aider Google à renforcer sa présence sur un marché où il a fait son entrée en juin dernier avec Google Offers. Dealmap rassemble des « bonnes affaires », des remises et des coupons issus de différentes sources et les positionne sur une carte des Etats-Unis. En plus d'offrir cette information à travers son site web et ses e-mails, la société propose des applications pour les téléphones Android et iPhone d'Apple et l'Ipad. Elle revendique plus de 2 millions d'utilisateurs.

« Nous sommes impressionnés par ce que l'équipe de Dealmap a accompli et sommes ravis de l'accueillir au sein de Google », a déclaré la firme de Moutain View dans un communiqué, en ajoutant : « Nous avons été enthousiasmé par le succès rencontrés par nos offres de commerce, et nous pensons qu'elles peuvent nous aider à développer de meilleurs produits et services pour les consommateurs et les vendeurs ».

Google Offers, réponse à Groupon, va s'étendre

Pour sa part, Dealmap a fait savoir qu'il continuerait à maintenir ses principaux produits et les services de ses partenaires. Mais la société a fait savoir qu'elle n'accepterait pas de nouvelles affaires sur son site web ou ses applications mobiles. Elle invite donc les « business owners » intéressés à soumettre leurs propositions directement sur Google Offers.  « Nous sommes prêts à partager davantage sur nos projets d'intégration et de transition, et  nous tiendrons nos partenaires et  consommateurs informés des  progrès effectués et des dernières actualités », a indiqué Dealmap.

Google a commencé à tester Google Offers en juin à Portland (Oregon). Sa réponse à Groupon couvre désormais plusieurs villes américaines, dont Portland, San Francisco et New York. L'éditeur  prévoit d'étendre ses services à Austin, Boston, Denver, Seattle et Washington DC.

Quant à LivingSocial, sociétée située à Washington DC et spécialisée dans les achats groupés et les bons de réduction, il se développe en Asie. La firme a déclaré lundi qu'elle  avait signé un accord définitif pour acquérir TicketMonster, un site de e-commerce social installé en Corée du Sud qui propose des offres quotidiennes et des achats instantanés, des événements et des forfaits touristiques à plus de 2 millions de membres en Corée et en Malaisie.

LivingSocial opère déjà dans 23 pays, y compris dans les Philippines, en Thaïlande et  en Indonésie où il a également réalisé des acquisitions.

(...)

(02/08/2011 15:39:01)

Quatre choses à savoir sur Edge d'Adobe

Afin de comprendre ce que le logiciel Edge (attendu pour 2012) fait et ne fait pas, voici une sélection de caractéristiques importantes de cette technologie d'animation pour le web mise au point par Adobe et basée sur HTML. Une pré-bêta du produit est proposée gratuitement au téléchargement depuis hier.

1 - Edge n'est pas destiné à « remplacer » Flash. Contrairement à ce dernier, requis pour lire des vidéos sur YouTube ou pour faire tourner des jeux sur Facebook, la technologie exploitée par Edge a été spécialement conçue pour exécuter des « animations simples, » comme celles utilisées pour les publicités en ligne. Ce qui est surtout remarquable, c'est qu'Adobe a incorporé du HTML5 dans Edge, la norme préférée et poussée par Apple comme alternative à Flash pour lire les vidéos sur le Web. Actuellement, les appareils mobiles d'Apple comme l'iPhone et l'iPad ne supportent pas le format Flash. Pour justifier ce choix, Steve Jobs, le PDG d'Apple, avait affirmé que Flash « plantait trop souvent et puisait trop d'énergie sur les batteries des appareils mobiles » pour être considéré comme un standard efficace pour l'Internet mobile. La grande nouvelle est donc qu'Adobe se met un peu au HTML5. En revanche, la question d'une norme vidéo HTML5 qui remplacerait Flash reste, elle, toujours d'actualité. « Avec l'arrivée de la nouvelle norme HTML5, le langage offre davantage de fonctionnalités, si bien que nous voyons des gens commencer à l'utiliser dans des domaines autrefois réservés à Flash », comme l'a déclaré Devin Fernandez, chef de produit Edge chez Adobe.

2 - Edge a été conçue avec l'Internet mobile à l'esprit. En réponse à d'autres critiques formulées par Apple, Adobe a affirmé qu'Edge avait été « conçu et testé pour fonctionner de manière fiable sur les plates-formes iOS et Android, les appareils compatibles WebKit et avec la plupart des navigateurs internet (Safari, Chrome, Firefox). » Ces dernières années, l'Internet mobile est devenu un service de base pour de nombreux utilisateurs. Adobe a voulu répondre à cet usage en apportant une norme d'animation fonctionnant aussi bien que sur un PC de bureau classique.

3 - Il existe plusieurs manières de créer des animations avec Edge. Les utilisateurs ont à leur disposition trois méthodes principales pour créer leurs propres animations avec Edge : en important des fichiers graphiques de formats différents et compatibles Internet, dont SVG, JPG, PNG ou GIF ; en ajoutant des « éléments d'animation» à des pages Web existantes en HTML à l'aide d'un script java qui, selon Adobe, « sait faire le tri entre le code HTML original et le code d'animation de Edge  » ; en créant ses propres animations à partir de zéro à l'aide d'une série d'éléments de construction au format HTML, texte et graphiques, récoltés sur Internet. Dans tous les cas, Edge travaille de concert avec les outils de design web professionnels d'Adobe, en particulier Dreamweaver CS5.5, Flash Professionel CS5.5 et Flash Builder 4.5 (et versions antérieures). Le nouvel outil vise les concepteurs qui cherchent un moyen efficace pour utiliser les standards du Web - HTML, Java Script et CSS -  pour créer du contenu animé avec des transitions, à l'image de ce que fait Flash.

4 - Edge est toujours en mode « preview ». Inutile donc de le chercher partout pour changer le monde du web la semaine prochaine. C'est la première incursion d'Adobe dans le HTML5 pour les animations, ce n'est donc pas encore prêt pour une utilisation de premier plan. L'éditeur américain a livré une pré-bêta au public afin d'avoir en retour « une évaluation et des commentaires qui l'aideront à façonner les caractéristiques et la feuille de route du format Edge de demain. » Néanmoins, on peut dire avec certitude que si Edge fait mouche auprès des développeurs Web et des utilisateurs du Net, Adobe va multiplier ses utilisations du HTML5 pour soutenir davantage de normes susceptibles de servir pour des applications vidéo et des jeux plus complexes. Même s'il a en parti hérité de Flash Professionel et d'After Effects, Edge est présenté comme un outil rapide et léger. Adobe pense que les utilisateurs finiront par utiliser Edge pour accomplir plus facilement et plus rapidement certaines tâches qu'ils font maintenant avec Flash.

Adobe Edge est disponible sur Adobe Labs, pour Windows et Mac. A noter que sur Mac, il faut disposer des versions 10.6 ou 10.7 d'OS X pour l'utiliser.

Crédit photo : Adobe

(...)

(02/08/2011 13:53:17)

Un cheval de Troie affectant Android enregistre les appels téléphoniques

Voilà qu'un malware touchant Android est maintenant capable d'enregistrer des conversations téléphoniques, si l'on en croit un expert en sécurité de l'éditeur américain CA. Alors qu'un précédent cheval de Troie, également découvert par CA, récupérait le détail des appels entrants et sortants et la durée de la communication, le malware identifié cette semaine enregistre la conversation au format AMR et la stocke sur la carte SD, ainsi que l'expliquent nos confrères de Network World.

Ce logiciel malveillant installe par ailleurs un fichier de configuration qui comporte des informations clés sur le serveur distant et les paramètres, relate dans un billet de blog Dinesh Venkatesan, chercheur en sécurité chez CA. Ce faisant, il semble suggérer que les appels ainsi enregistrés peuvent être téléchargés vers un serveur géré par un utilisateur malintentionné.

Dinesh Venkatesan a testé le cheval de Troie en question dans un environnement contrôlé avec deux émulateurs mobiles fonctionnant avec des services Internet simulés. Il a publié des captures d'écran des résultats obtenus. Il apparaît que le malware ne peut être installé que si le propriétaire du terminal sous Android clique sur le bouton « Installer » d'un message qui ressemble de façon frappante aux écrans d'installation des véritables applications.

Une fois que le malware et le fichier de configuration du serveur distant sont installés sur le terminal sous Android, le processus d'enregistrement et de stockage sur la carte SD se met en route dès que l'utilisateur effectue un appel téléphonique.

Appliquer des principes de sécurité de base

« Il est déjà largement reconnu que cette année sera celle des malwares sur mobiles. Nous recommandons donc aux utilisateurs de smartphones de raisonner de façon logique et de mettre en oeuvre les principes de sécurité de base lorsqu'ils surferont sur Internet et lors de l'installation de n'importe quelle application », conseille ainsi Dinesh Venkatesan.

Alors qu'Android procure davantage de flexibilité que l'iPhone en autorisant l'installation d'applications tierces, même celles qui n'ont pas été approuvées pour l'Android Market, cette liberté va de pair avec une prise de risque accrue. Les applications infectées par des malwares ont même été trouvées sur l'Android Market, mais les utilisateurs peuvent se protéger en installant des logiciels antivirus, de la même façon qu'ils le feraient sur un PC.

(...)

(02/08/2011 12:06:13)

Brève disponibilité de Skype pour iPad

Attendue pour la fin juin sur l'iPad d'Apple, la solution de téléphonie et de chat vidéo sur Internet Skype a été proposée hier soir sur les boutiques en ligne d'Apple avant d'être rapidement été retirée. C'est ce que Skype a indiqué dans un message posté sur Twitter, en précisant que l'application était sortie prématurément. « Nous savons que Skype pour iPad était attendu avec impatience et nous excusons pour la gêne occasionnée », a regretté la société basée à Luxembourg dans un deuxième message posté sur Twitter. Néanmoins, il n'est pas précisé si Skype pour iPad va être bientôt disponible. Une vidéo de l'application avait pourtant été mise en ligne en juin.

Dans une interview accordée en juin à TUAW, blog spécialisé sur Apple, Rick Osterloh,  vice-président en charge du design des produits grand public chez Skype, avait déclaré  que la version  pour iPad inclurait des fonctions de chat et d'appel audio et vidéo. Il a précisé que certaines caractéristiques propres à l'application pour PC et Mac, en particulier le partage de fichiers, ne fonctionnent pas dans la  version de Skype pour iPad en raison de la façon dont la solution gère les fichiers.

En mai dernier, Microsoft avait annoncé le rachat de  Skype  pour quelque 8,5 milliards de dollars. L'éditeur de Windows avait déclaré qu'il continuerait à soutenir les produits de Skype sur des plate-formes concurrentes. L'application Skype est déjà disponible sur une variété de plates-formes, dont le Mac et l'iPhone.

(Mise à jour) Skype for iPad est finalement arrivé sur l'iTunes App Store ce mardi 2 août.

Illustration : Message Twitter de Skype (crédit : D.R.)

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >