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(12/05/2011 16:07:14)
Dossier : De la collaboration aux réseaux sociaux dans les entreprises
Aujourd'hui, le RSE est plutôt considéré comme un outil complémentaire à la plateforme collaborative. Demain, ce même réseau social pourrait devenir le socle de la nouvelle plateforme collaborative en entreprise. Fort de ce constat, les offres se multiplient entre les pures players et les fournisseurs de plateformes standards historiquement centrées sur l'email et le document qui ajoutent cette brique « sociale ». Des problèmes d'interopérabilités apparaissent...aussi.
Pour consulter ce sujet, rendez-vous dans notre espace Dossiers (...)(01/08/2011 18:54:21)
Microsoft condamné à payer 70 M$ à Alcatel-Lucent
Microsoft a été condamné à payer 70 millions de dollars à l'équipementier réseau Alcatel-Lucent dans le cadre d'un litige sur les brevets courant depuis plusieurs années et qui, à une époque, aurait pu coûter 1,5 milliard de dollars à Microsoft. Un jury de San Diego a rendu son verdict vendredi dernier dans cette affaire où Microsoft est accusé d'avoir violé des brevets dans plusieurs produits, et notamment dans Outlook. L'action en justice a été intentée par Lucent en 2003, avant sa fusion avec Alcatel.
En 2007, un jury du même tribunal avait condamné Microsoft à payer 1,5 milliard de dollars à Lucent pour cette infraction. Le juge avait annulé cette décision, arguant que Microsoft n'avait enfreint qu'un seul des deux brevets en cause, et que le second était détenu conjointement par un institut de recherche européen, de sorte que le tribunal n'avait pas les compétences pour se prononcer. Lucent avait alors fait appel, mais une cour d'appel fédérale avait confirmé la décision du tribunal.
Microsoft réfléchit à l'étape suivante
Les deux entreprises ont ensuite statué sur la plupart des plaintes, mais certaines sont restées en suspend et les opposants se sont de nouveau retrouvés au tribunal. La somme réclamée à Microsoft a fini par se monter à 511 millions de dollars avant qu'un nouveau procès soit demandé. Le dernier en date est survenu après que le Federal Circuit (juridiction qui traite les appels) a ordonné la mise en place d'un nouveau procès sur les dommages, renversant le jugement initial de plus de 500 millions de dollars pour le même brevet, a déclaré Microsoft dans un communiqué.
« Le verdict d'aujourd'hui reflète une tendance positive dans le droit des brevets et dommages associés issus des précédents avis du Federal Circuit dans ce cas-ci et dans d'autres », a déclaré Microsoft dans un communiqué. « Toutefois, nous continuons de soutenir que la loi actuelle demande une répartition réelle des dommages et intérêts lorsque l'infraction concerne une petite fonctionnalité d'un produit riche en fonctionnalités. C'est à cette lumière que nous examinons le verdict et les prochaines étapes de cette affaire. »
Nos confrères d'IDG News Service indiquent qu'une porte-parole de Microsoft a refusé de dire si cela signifiait que la société allait déposer un recours. De leur côté, les porte-paroles d'Alcatel-Lucent n'ont pu être joint pour commenter cette information.
Crédit illustration : D.R.
Facebook versera 500 dollars, ou plus, aux chasseurs de bugs
Facebook a décidé de rémunérer les hackers qui trouveraient des bugs pouvant affecter les services de son site, à condition que ces problèmes soient signalés en premier aux équipes techniques du réseau social. En lançant le programme web « Security Bug Bounty », Facebook emboîte ainsi le pas à Google et Mozilla.
Pour les bugs liés à la sécurité - par exemple les failles XSS (cross site scripting) - la société proposera une prime de 500 dollars. Pour les failles plus importantes, Facebook payera davantage, mais sans préciser cette fois de montant précis. A partir de vendredi, le site lancera White Hats (https://www.facebook.com/whitehat/), un portail où les chercheurs pourront s'enregistrer et signaler des bugs.
300 000 dollars de primes versés par Google
De son côté, Google offre entre 500 et 3 000 dollars de primes, selon la gravité de la faille. La firme de Mountain View a commencé à payer début 2010 pour les bugs trouvés sur son navigateur, puis a étendu son programme en novembre dernier à d'autres domaines. Selon un porte-parole de Google, cette démarche a aidé la firme à découvrir un grand nombre d'erreurs de programmation au cours des huit derniers mois, dont la plupart dans des produits moins connus. « Nous sommes très heureux du succès de notre programme de récompense, a déclaré un représentant de la firme dans un e-mail. Nous avons déjà payé 300 000 dollars et nous avons pu voir un échantillon de bogues intéressantes ».
En attendant, les équipes de sécurité de Facebook sont déjà fortement engagées dans le dialogue avec des chercheurs en sécurité. La société est contactée par des hackers entre 30 à 50 fois par semaine. Les informations fournies par ces derniers ont permis de déclencher entre un à trois « bugs actions », par semaine, a indiqué Alex Rice, responsable des produits sécurité chez Facebook « La plupart des attaques sont de type XSS (cross-site scripting) ou CSRF (cross-site request forgery) », a-t-il ajouté. « Ce sont deux erreurs très communes de programmation web pouvant être utilisées par des escrocs pour tromper des membres de Facebook. »
Crédit photo : Arvind Balaraman - freedigitalphotos.net (...)
Semestriels Econocom : chiffre d'affaires en léger recul
Econocom publie les chiffres (provisoires) de son 1er semestre 2011. Deux lectures sont possibles. Dans la première, le chiffre d'affaires consolidé a doublé passant de 361 à 765 millions d'euros, c'est évidemment avec le rachat d'ECS. Mais, à périmètre comparable, le CA a baissé de 2%, c'est dû au désengagement de plusieurs activités, explique la société.
Econocom souligne le dynamisme de ses activités commerciales et les résultats positifs du rapprochement mené avec ECS. Les principaux objectifs, progression forte du résultat opérationnel courant et hausse du CA annuel (qui passerait à 1,4 milliard d'euros), sont confirmés.
(...)
LulzSec : le jeune soupçonné d'être Topiary libéré sous caution
Sous le coup de cinq chefs d'accusation, le jeune homme de 18 ans identifié par la police comme le porte-parole des groupes de hackers Anonymous et Lulz Security, s'est présenté aujourd'hui devant un tribunal londonien. Il a été libéré sous caution.
Jake Davis s'était fait arrêter mercredi dernier dans les îles Shetland. La police le soupçonne d'être la personne connue sous le nom de Topiary, informant via Twitter sur les fréquentes attaques en déni de services et vols de données perpétrés par Anonymous et LulzSec.
Il est notamment accusé d'avoir conspiré avec d'autres pour mener ces attaques DDOS contre le site web Serious Organised Crime Agency (Soca), une institution britannique ayant une mission similaire à celle du FBI américain. On lui reproche aussi des accès non autorisés à un système informatique, d'inciter à l'infraction et de complot.
La police a déjà arrêté plusieurs personnes soupçonnées d'être impliquées dans les campagnes de LulzSec et d'Anonymous qui s'en sont notamment pris aux sites SonyPictures.com et Fox.com. Un jeune homme de 19 ans a été arrêté le 20 juin à son domicile en Grande-Bretagne (dans l'Essex). On lui reprochait d'avoir participé aux attaques contre Soca.
Crédit illustration : Robert McMillan (IDG News Service)
Logiciels financiers : Fimasys absorbé par Linedata
L'éditeur français Linedata, spécialisé dans les logiciels de gestion d'actifs, de l'épargne d'entreprise, de l'assurance et du crédit, a indiqué avoir finalisé le rachat de son compatriote Fimasys, ainsi qu'ils l'avaient conjointement annoncé le 11 juillet dernier.
Cotée sur Euronext, la société Linedata figure au Top 10 des éditeurs français (classements Truffle 100 et Global Software Leaders). Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 136,2 millions d'euros en 2010 et de 64 M€ au premier semestre 2011 (*). Ses activités couvrent l'Europe, l'Amérique du Nord et l'Asie. Elle compte 700 clients qui opèrent dans 50 pays. Le groupe est issu en 1998 du rapprochement de trois sociétés : GSI Division des Banques, Line Data et BDB Participation.
Se renforcer sur le marché de l'épargne salariale
Linedata a acquis 100% du capital de Fimasys, éditeur lui aussi de logiciels financiers. Ce dernier évolue dans une quinzaine de pays. Il a totalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros dont la moitié réalisé à l'international. Avec ce rachat, Linedata compte faire jouer des synergies pour renforcer sa position et celle de Fimasys sur les marchés des crédits et de l'épargne salariale. Dans ce domaines, les éditeurs comptent des clients communs et le président du Directoire de Linedata, Anvaraly Jiva, a rappelé dans un communiqué que leurs équipes respectives se connaissaient bien et avaient déjà identifié des complémentarités fonctionnelles et techniques de leurs solutions.
En juin dernier, le président de l'Afdel, l'association française des éditeurs de logiciels, soulignait la nécessité, pour les acteurs français, de renforcer leur taille pour pouvoir constituer des groupes capables de peser plus lourd à l'échelle européenne et mondiale.
Au cours des précédents mois, une concentration s'était déjà amorcée sur le secteur des progiciels financiers. Début 2010, le Français Viveo a été racheté par Temenos. En novembre dernier, le Britannique Misys a absorbé l'Irlandais Sophis.
(*) en retrait de 8,3%* par rapport au premier semestre 2010 (-6,8% à taux de change constant)
Adobe montre Edge, l'outil HTML5 qui empiète sur Flash
Semant les graines de ce qui pourrait potentiellement venir perturber le succès et les revenus récurrents dont il bénéficie avec ses outils d'animation Flash, l'éditeur américain Adobe vient de livrer une pré-bêta du logiciel Edge, conçu pour assembler des contenus dynamiques sur le Web en s'appuyant sur HTML5 et les standards ouverts associés. « Il s'agit d'outils destinés aux designers qui veulent construire des contenus interactifs en recourant à des standards du web », a expliqué Devin Fernandez, responsable produit chez Adobe.
Traditionnellement, ces utilisateurs se servaient de Flash ou d'un produit concurrent tel que Silverlight, de Microsoft, pour ajouter des éléments interactifs aux pages web, sous la forme de « splash screen » (ces pages qui s'affichent pour faire patienter l'internaute pendant le chargement d'un logiciel), de graphiques dynamiques, de vidéos courtes ou de bannières publicitaires. Adobe estime que 99% de tous les ordinateurs desktops disposent du logiciel qui permet d'exécuter ces fichiers Flash.
Au cours des dernières années toutefois, le W3C (World Wide Web Consortium) et d'autres organisations équivalentes ont développé différentes spécifications pouvant être utilisées pour réaliser des contenus Internet riches de même nature. Et les fournisseurs de navigateurs web intègrent ces standards (comme HTML5, JavaScript, CSS et les Canvas tags) dans leurs logiciels, ce qui supprime la nécessité de faire appel à un plug-in séparé tel que le lecteur Flash.
Adobe n'a pas non plus été aidé par Apple dont le PDG, Steve Jobs, a critiqué Flash le jugeant trop bogué et conseillant aux développeurs de passer à HTML5.
Flash et HTML5 vont continuer à coexister
« Davantage de traitements qui étaient précédemment réservés à Flash sont maintenant effectués avec des standards web, reconnaît Devin Fernandez. Nous considérons qu'aider à tirer profit de HTML5 peut constituer une énorme opportunité pour notre société ».
Le nouvel outil utilise HTML5, CSS et JavaScript pour insérer des contenus web animés directement sur une page HTML. Dans une approche similaire à celle de l'outil de développement Flash, Edge permet à un développeur de modifier les attributs d'une image ou d'un élément HTML en fonction d'une durée préétablie, l'image web qui en résulte offrant alors l'impression d'être animée.
Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Al Hilwa, analyste chez IDC, spécialisé sur le développement d'applications, estime qu'Adobe a déjà montré qu'il pouvait facilement adopter de nouvelles tendances. « Cela montre qu'il peut rester le premier fournisseur d'outils quelle que soit la technologie utilisée », considère-t-il. « Il y a très peu d'acteurs qui soit autant qu'Adobe en phase avec les besoins et la sensibilité des designers. Il apporte le modèle historique familier à de nombreux développeurs Flash vers l'univers de HTML5 et de JavaScript, tout en conservant l'intégrité du code ».
Adobe ne s'attend pas à ce qu'Edge supplante totalement Flash, au moins pas dans un futur proche. « La technologie Flash restera un composant clé pour des usages spécifiques tels que la vidéo haut de gamme ou les jeux, précise Devin Fernandez. HTML5 et Flash vont sans aucun doute continuer à coexister. Chez Adobe, nous allons donc continuer à travailler sur des solutions portant sur ces deux axes. Les utilisateurs décideront sur quelle technologie ils veulent s'appuyer ».
La preview de Edge peut être téléchargée gratuitement. Adobe prévoit de livrer la version commerciale définitive en 2012, pour Windows et MacOS.
Crédit photo : Adobe
Indicateur Apec : +71% pour les offres de cadres IT sur un an
D'après l'indicateur mensuel de l'Apec, qui suit les évolutions du marché de l'emploi par fonction, le volume des annonces à destination des informaticiens a de nouveau augmenté en juin 2011. En effet, sur cette période, le nombre total des offres d'emploi cadres adressées à l'Apec a progressé de 52% par rapport à juin 2010 pour atteindre 48 307 offres. Sur ce total, 13 241 offres concernaient des postes à pourvoir dans les fonctions informatiques (soit 28%). Cela représente une progression de 48% dans ces métiers par rapport au mois dernier et de 71% sur douze mois, c'est à dire sur la période de juin 2010 à mai 2011, par rapport à la période de juin 2009 à mai 2010.
+ 128% pour les offres destinées aux directions informatiques
La demande en compétences web, sites et portails Internet continue d'augmenter fortement : +151% sur les douze derniers mois, soit quelque 1 706 propositions déposées sur le site de l'Apec en juin dernier pour un total de 16 169 postes cumulés sur douze mois. Autre fonction marquée par une hausse importante : les directions informatiques qui ont crû de 128% pour totaliser un peu plus de 3 637 postes à pourvoir. Le nombre de propositions réservées à la fonction Maîtrise d'ouvrage et fonctionnel ont elles aussi progressé de 89% en un an pour totaliser plus de 14 000 postes. Egalement à la hausse, la filière exploitation et maintenance (+ 52% et 6 786 postes).
Avec 4 554 offres confiées à l'Apec au cours du mois dernier et 49 560 annonces comptabilisées au cours des douze derniers mois (+ 54%), la catégorie « Informatique de gestion » reste celle qui regroupe le plus grand nombre d'offres. Suivent les propositions en « Systèmes, réseaux et données », qui ont augmenté de 80% depuis un an pour regrouper 25 033 postes entre juin 2010 et juin 2011.
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