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(08/06/2011 10:38:13)
Dossier : Vos datacenters sont-ils prêts pour le cloud ?
Le datacenter est un actif stratégique pour une entreprise, il devrait l'être davantage avec l'arrivée massive des services clouds programmée sur plusieurs années. En effet, selon Markess International, 27% des entreprises françaises ont utilisé des services Cloud en 2010. Ce chiffre passera à 38% en 2011 et 49% en 2012. Dans ce contexte, les datacenters se doivent d'être opérationnels pour accueillir tous ces besoins. Mais, à en croire nos intervenants, c'est encore loin d'être le cas. Plusieurs défis restent à relever. Déjà, l'infrastructure informatique doit évoluer pour fournir un datacenter virtualisé doté d'outils d'orchestration. Ensuite, le centre de calcul réclame des méthodologies et des compétences nouvelles pas toujours faciles à appréhender. Enfin, le datacenter doit faire face au défi énergétique... (...)
(29/07/2011 16:37:23)RecapIT : Google+ encore et toujours, Apple roi du smartphone, Avant-premières de la BlackHat
Le mois de juillet va tirer sa révérence et le lecteur retiendra qu'un réseau social, Google +, a retenu une bonne partie de son attention. Cette semaine n'échappe pas à la règle avec en toile de fonds la bataille entre Facebook et Google. Ce dernier est pressé par les entreprises de créer des comptes spécifiques sur Google+ pour leur activité. De son côté, Facebook rappelle via une page dédiée « Facebook for Business » comment faire pour monter sa page entreprise et la faire fructifier. La firme de Mountain View a annoncé aussi l'acquisition de Fridge pour proposer à terme la fonction de reconnaissance faciale au sein de son réseau social. Facebook dispose déjà de cette option. Enfin, Google a justifié sa politique de gestion de profils en écartant les pseudos sur Google+.
Sur l'informatique pro, les sociétés continuent à miser sur le cloud avec un accent cette semaine sur l'Open Source à travers Dell et Nebula. Oracle a enfin dévoilé Java 7 et mis en avant MySQL 5.6.
Apple détrône Microsoft et un mobile pour voler une voiture
La mobilité était aussi au coeur de l'actualité. En début de semaine, la fondation Mozilla annonçait qu'un groupe de développeurs allait travailler sur la création d'un OS mobile (Boot to Gecko), à partir du code d'Android. Le site de commerce chinois Alibaba a annoncé lui aussi vouloir créer son propre OS mobile. Pour Nokia, on peut parler d'une « septimana horribilis » (semaine horrible) car les résultats financiers ont été très décevants au point que certains analystes s'interrogent sur le partenariat avec Microsoft, mais la firme finlandaise a aussi perdu sa suprématie dans les ventes de smartphones. Elle a été détrônée par Apple et Samsung.
Et pour terminer, la conférence BlackHat qui se déroule la semaine prochaine à Las Vegas, nous a dévoilé quelques morceaux choisis en matière de sécurité. Nous avons appris ainsi que les batteries des Macbook d'Apple pouvaient être piratés et entrer en surchauffe. Par ailleurs, des chercheurs ont trouvé un moyen de voler une voiture via un SMS en captant et modifiant le dialogue entre le serveur et la voiture.
Accord Google/Hachette sur la numérisation des livres épuisés
Les livres concernés représentent environ 70% du fonds de l'ensemble des maisons d'édition du groupe Hachette, soit entre 40 000 à 50 000 oeuvres "régies par le droit d'auteur français et qui ne sont plus commercialement disponibles". Il s'agit principalement de littérature générale et d'ouvrages de référence (encyclopédies Larousse et livres universitaires).
L'accord prévoit qu'Hachette aura le contrôle sur le choix des oeuvres exploitables en version numérique, et que l'éditeur pourra utiliser s'il le souhaite ces fichiers pour les exploiter en impression à la demande. La Bibliothèque nationale de France devrait quant à elle bénéficier de ces ouvrages numérisés.
Google indique avoir déjà numérisé en six ans plus de 15 millions d'ouvrages, sans avoir toujours obtenu au préalable l'autorisation de tous les éditeurs, mais espère "parvenir à des accords similaires avec d'autres éditeurs", selon le même communiqué.
Crédit photo : Robert Kneschke/shutterstock.com (...)(29/07/2011 15:57:49)Apple et Samsung évincent Nokia sur les ventes de smartphones
Plusieurs cabinets d'études s'accordent pour enterrer le règne de 15 ans de Nokia (avec le premier Communicator en 1996) dans le domaine des ventes de smartphones au deuxième trimestre 2011. Ainsi Strategy Analytics estime qu'Apple et Samsung sont les grands gagnants de ce chambardement. La firme de Cupertino dispose d'une part de marché de 18,5% (elle était en seconde position il y a un an avec 13,5%) et le constructeur coréen s'empare de la deuxième place avec 17,5% de part de marché. Nokia chute à la troisième place en passant de 38,1% au deuxième trimestre 2010 à 15,2% de part de marché au deuxième trimestre 2011.
Les ventes de smartphones de Nokia ont fortement chuté depuis l'annonce en février dernier de son accord avec Microsoft pour basculer ses smartphones sur Windows Phone au détriment de son propre OS Symbian. Au deuxième trimestre, la firme finlandaise a écoulé 16,7 millions smartphones, soit une baisse de 30% (23,8 millions d'unités un an plus tôt). En comparaison, le marché global des smartphones a progressé de 76,3% sur un an.
Apple, quant à lui, a plus que doublé ses livraisons d'iPhone à 20,3 millions d'unités contre seulement 8,4 millions un an plus tôt. Pour Samsung, l'augmentation a été encore plus spectaculaire, passant de seulement 3,1 millions de smartphones livrés au deuxième trimestre 2010 à 19,2 millions de terminaux au deuxième trimestre de cette année.
Le duo Windows 8/ARM pourrait insuffler un nouvel élan au marché des PC
Stagnant depuis plusieurs trimestres, le marché des ordinateurs portables pourrait être revigorée par l'arrivée des processeurs ARM, qui permettront de concevoir des machines plus légères avec une autonomie enfin adaptée la vie de tous les jours, prédisent les observateurs du secteur.
Aujourd'hui, la majorité des PC ordinateurs portables utilisent les processeurs x86 d'Intel et AMD. Mais les puces désignées par ARM sont plus petites et plus économes en énergie que les microprocesseurs x86, ce qui devrait aider les principales marques à repenser leurs ordinateurs portables avec des PC plus fins et des tablettes avec écran tactile, estiment les analystes. Dans le même temps cependant, ARM sera confronté à un certain nombre de défis pour réussir à s'imposer sur un marché où les utilisateurs sont obsédés par la recherche du meilleur rapport performances/prix.
ARM pour remettre en question la domination d'Intel
ARM est toutefois la première plate-forme ayant une bonne chance de briser la mainmise de l'architecture x86 sur le marché PC, estiment les analystes. D'ici 2015, les processeurs ARM seront utilisés dans près d'un quart des PC vendus dans le monde, selon le cabinet d'études iSuppli IHS. IDC prévoit de son côté une part plus modeste : 15 % en 2015. Les puces ARM dominent aujourd'hui sans partage les marchés des smartphones et les tablettes, mais l'arrivée de Windows 8 sur ARM va alimenter l'intérêt pour des PC portables ARM, a déclaré Matthew Wilkins, analyste chez iSuppli IHS. En 2013, Windows 8 sera disponible à la fois sur les processeurs x86 et ARM, tandis que les versions plus anciennes de Windows resteront scotchées avec l'architecture X86. «Les nouveaux produits attirent toujours l'attention. Si les ordinateurs portables à base d'ARM peuvent attirer les utilisateurs de [tablettes], ils pourraient relancer le marché des PC», a souligné l'analyste.
Gartner et IDC ont toutes deux rapporté des progressions modestes des ventes de PC au deuxième trimestre, alors que l'intérêt reste croissant pour les tablettes. Intel a d'ailleurs indiqué la semaine dernière que les ventes de PC vont croître de 8 % environ pour le reste de l'année, alors que sa précédente projection escomptait une hausse de 11 %.
ARM conçoit et licencie le design de processeurs pour les fondeurs, et ses dernières puces Cortex-A15 sont attendues dans les prochains smartphones et tablettes. Texas Instruments, Nvidia et Qualcomm ont exprimé déjà manifesté leur intérêt dans la fabrication de puces ARM pour ordinateurs portables. Pourtant aucun fabricant de PC n'a annoncé de PC portable sur base ARM.
Plus de puces offriraient plus de choix
La capacité d'exécuter Windows 8 sur plusieurs architectures processeurs multipliera les options d'achats en termes de prix et de performances sur le marché des ordinateurs portables, a déclaré Jeff Clarke, vice-président en charge des opérations mondiales chez Dell, lors d'une conférence réservée aux analystes à Austin au Texas. Jeff Clarke n'a toutefois pas indiqué si Dell allait construire un ordinateur portable animé par une puce ARM. Intel sent aujourd'hui la chaleur provoquée par la montée en puissance d'ARM, et pense plus que jamais à travailler sur l'amélioration de l'autonomie des batteries dans les ordinateurs portables, a souligné le dirigeant. La possibilité de construire des ordinateurs portables plus fins et plus légers avec des puces ARM ou x86 est une bonne chose pour l'industrie, dit Clarke. «Je pensais vraiment que l'annonce de la mort du PC était vraiment exagérée. Il va continuer à croître. Nous allons les rendre plus utiles», a indiqué Jeff Clarke.
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Pour contrer la menace croissante d'ARM, Intel a annoncé qu'il lancerait en 2013 des puces capables de rivaliser avec les produits d'ARM au niveau de la consommation d'énergie. Intel a également présenté une famille de PC portables appelés « ultrabooks », qui seraient un mélange déclaré des fonctionnalités des tablettes et des ordinateurs portables. Le fondeur de Santa Clara a également dévoilé des transistors 3D plus rapides et moins gourmands en énergie pour produire des puces gravées en 22 nanomètres à la fin de l'année.
Pour être complet, il est nécessaire de souligner que certains analystes restent très sceptiques quant aux chances d'ARM de déloger les puces x86 du marché des PC portables. De nombreux obstacles se dressent sur le chemin du designer. Il y a par exemple la question des pilotes des périphériques (imprimantes, scanners, caméras...) qui se connecteront aux ordinateurs portables ARM, a déclaré Nathan Brookwood, analyste chez Insight 64. Les anciens périphériques seront difficilement connectables puisque ces appareils n'ont pas été pensés pour l'architecture ARM. Très peu de fabricants de périphériques fourniront un pilote pour un périphérique de plus de trois ans.
Les unités de stockage externe seront peut-être les éléments les plus faciles à connecter aux ordinateurs portables ARM en raison de la généralisation de l'interface USB. Mais le développement de standards propriétaires tels que Light Peak d'Intel - adopté par Apple (Thunderbolt) et Sony pour leurs produits - pourrait limiter certains périphériques de stockage aux architectures x86, a précisé Nathan Brookwood.
Un hyperviseur livré avec dans Windows 8
Microsoft n'a pas parlé des problèmes de compatibilité entre les jeux d'instructions x86 et ARM dans Windows. L'éditeur veut peut-être faire quelque chose de très intelligent (émulateur, hyperviseur type 1, machine virtuelle...) dont il ne souhaite pas encore discuter, a ajouté l'analyste. Une porte-parole de Microsoft a d'ailleurs refusé de commenter ce point précis : les problèmes de compatibilité x86/ARM dans Windows 8.
Il y a aussi les problèmes de performance des processeurs ARM avec les programmes lourds développés à l'origine pour la plate-forme x86 comme les applications d'entreprise ou les jeux, estiment des analystes. Les puces ARM ont tendance à être moins puissantes que les processeurs x86, et l'absence de marge pour gérer des traitements exigeants réservera certaines applications à la plate-forme x86, a déclaré Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Il sera peut-être possible d'émuler des programmes x86 sur ARM, mais l'émulation pourrait demander trop de ressource. « Le résultat de la migration d'un processus x86 émulé sur une architecture ARM peut être au final aussi véloce ou plus lent, vous avez vraiment besoin de plus de performances a déclaré Dean McCarron.
Des challengers, comme Transmeta, qui a introduit une puce RISC de faible puissance pour les ordinateurs portables avec un émulateur x86, ont déjà échoué par le passé. Mais il y a eu des exceptions telles qu'Apple, qui réussit en douceur les passages de l'architecture 68000 au PowerPC, puis au x86. Les puces Intel proposaient suffisamment de puissance de calcul supplémentaire pour exécuter les logiciels PowerPC dans l'émulateur Rosetta.
ARM se concentre aujourd'hui sur les terminaux mobiles et les serveurs web
Jusqu'à présent ARM a toujours indiqué qu'il n'était pas axé le marché des PC en raison du coût et des défis posés pour détrôner l'architecture x86 de son perchoir. Il y a cependant déjà eu des tentatives des fabricants de PC pour pousser ARM sur le marché des PC. Il y a quelques années, des miniportables basés sur Linux et équipés de puces ARM, les smartbooks, avait émergé pour concurrencer les netbooks d'Intel mais sans succès. « Il y a eu beaucoup de tentatives pour promouvoir une architecture non-x86 dans l'industrie. A ce jour, elles ont toutes échoué », a déclaré l'analyste. Des architectures comme le MIPS et le 68000 de Motorola ont été abandonnées au bord de la route.
Il y a d'autres limites à l'architecture ARM comme le maximum supporté en mémoire vive et le non-support du 64 bits, estiment les analystes. L'ARM Cortex-A15 ne supporte que l'adressage mémoire sur 40 bits, et l'entreprise n'a pas répondu à nos questions l'intégration du 64 bits dans ses processeurs.
Toutefois, la performance n'est pas la seule préoccupation pour les utilisateurs qui décident d'adopter un nouveau produit, selon Matthew Wilkins, analyste chez iSuppli IHS. La stratégie ultrabook d'Intel peut être vue comme un moyen de maintenir la domination x86, en particulier pour les utilisateurs qui veulent un produit bon marché sous la forme d'une tablette ou d'un ordinateur portable avec une batterie longue durée, a ajouté l'analyste. « Nous n'en sommes qu'au début, avec un Windows 8 pas encore sorti. Nous croyons que des ordinateurs portables sur base ARM avec des performances acceptables et une bonne efficience énergétique vont susciter de l'intérêt », conclut Williams Wilkins.
Twitter intègre les tweets sponsorisés dans le flux d'actualités
Twitter teste différentes options pour mettre en avant les tweets sponsorisés, que d'aucun appelle de la publicité. Au printemps 2010, le site de microblogging avait introduit une fonction payante pour que les tweets des annonceurs apparaissent en premier dans les résultats de recherche de certains mots clés.
Twitter a annoncé sur son blog que les tweets sponsorisés des sociétés suivis par les utilisateurs iront directement dans la TimeLine (flux d'actualités). Ces messages seront estampillés d'une petite icône orange discrète pour mieux les discerner. Ils disparaîtront lorsque le fil d'actualités se mettra à jour.
Twitter va essayer cette fonctionnalité dans les prochaines semaines avec un petit groupe d'entreprises, dont Best Western, Dell, Groupon, HBO et JetBlue.
Un modèle économique en bonne voie
« Dès le début, notre philosophie autour de la publicité a été simple: nous mettons les utilisateurs en premier et nous nous efforçons ensuite de créer des produits qui enrichissent l'expérience Twitter de chacun » explique le site de microblogging.
Ezra Gottheil, analyste chez Technology Business Research, a déclaré que Twitter est sur la bonne voie en termes d'augmentation de ses revenus publicitaires. « D'une façon ou d'une autre, ils doivent augmenter la visibilité et le taux de clic. S'ils le font, les sponsors paieront pour cela. Intégrer les tweets sponsorisés dans le haut de la TimeLine va certainement augmenter la probabilité que les utilisateurs les voient » précise le consultant. Il complète en proposant à Twitter de mettre en surbrillance les publicités ciblés et pronostique un intérêt réel de ces messages pour la vente (réduction, coupon, etc) et l'annonce d'évènements. (...)
La double authentification de Google diffusée plus largement
Afin de mieux protéger les comptes de ses utilisateurs, Google a décidé de diffuser plus largement son système de double authentification. Ce dernier est disponible depuis février comme un service optionnel, mais uniquement en anglais. Le procédé de sécurisation combine un mot de passe et l'authentification via un code de vérification. Ce code est généré par une application Google sur iPhone, Android ou BlackBerry. Il peut être envoyé également à l'utilisateur par SMS ou diffusé vocalement par un automate. Le compte peut être consulté qu'après avoir entré ce code valable pour une session ou pour un maximum de 30 jours consécutifs.
Extension géographique pour les SMS et appels vocaux
Ce système de vérification avait été offert aux utilisateurs de Google Apps en septembre 2010 et avait été lancé en anglais pour les comptes Google en février 2011. S'il n'y avait aucune limitation géographique, Google prend désormais en charge plusieurs pays pour recevoir des codes par SMS et appels vocaux, pour les personnes qui n'utilisent pas l'application Google Authenticator sur un smartphone, a déclaré l'éditeur dans un e-mail. On pense notamment aux pays émergents où le parc de téléphonie mobile ne comprend pas beaucoup de smartphones.
Après 5 années conflictuelles, Java 7 arrive enfin
«Nous savons tous pour divers motifs politiques et commerciaux que cette version a pris un certain temps pour arriver », a admis Mark Reinhold , chef architecte Java chez Oracle, dans un webcast un peu plus tôt ce mois-ci. Selon les estimations d'Oracle, 9 millions de développeurs dans le monde utilisent Java. De son côté, Tiobe Software estime qu'il est le langage de programmation le plus largement utilisé dans le monde, devançant le C et éclipsant même le C + + avec deux fois plus d'utilisateurs. Plus de 3 milliards d'appareils exécutent du code, et il est déployé dans 97% des ordinateurs de bureau professionnels dans le monde. Chaque année, le runtime Java est téléchargé plus d'un milliard de fois.
Depuis qu'Oracle a mis la main sur Java, suite à l'acquisition de Sun Microsystems en janvier 2010, le langage de programmation est sous étroite surveillance et les relations tendues avec les différents acteurs du marché. En décembre dernier coup de tonnerre : l'Apache Software Foundation avait décidé de ne plus participer à la validation du Java Community Process, et affirmé qu'Oracle ne pilotait pas les spécifications futures de Java de manière ouverte. Oracle, quant à lui, a poursuivi Google pour ce qu'il considère comme une utilisation inappropriée de Java dans le système d'exploitation mobile Android.
Une remise à niveau bienvenue
La nouvelle version est « solide, mais il s'agit plus d'une version incrémentielle que de toute autre chose », a déclaré Mark Little, responsable de l'ingénierie middleware chez Red Hat, ainsi que l'interface avec le JCE (Java Community Process).
Cette nouvelle version intègre bon nombre des tendances qui ont déferlé sur le petit monde la programmation informatique au cours de la dernière décennie. Elle offre un support nettement amélioré pour le nombre croissant de langages dynamiques non-Java conçus pour fonctionner sur la machine virtuelle Java, tels que Scala et Groovy. Cette mouture dispose également d'une API (Application Programming Interface) pour simplifier l'exécution d'un programme à travers plusieurs coeurs de processeur. La gamme des actions que les programmes peuvent effectuer avec les systèmes de fichiers a été aussi améliorée.
La première version de Java a été lancée en 1995 par Sun Microsystems qui a ensuite mise le JCP en 1998 pour permettre aux parties tierces d'avoir leur mot à dire dans le développement du langage. En 2007, Sun a placé Java sous licence Open Source, GNU v2.
Les développeurs peuvent utiliser la version 7 de NetBeans IDE (Integrated Development Environment), ou IntelliJ IDEA 10.5, pour écrire des applications Java 7. Oracle mettra à jour son JDeveloper IDE pour Java 7 un peu plus tard dans l'année.
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