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(03/03/2008 15:29:40)

Microsoft aurait minoré les configurations "Vista Capable" pour rendre service à Intel

Les mauvaises nouvelles s'accumulent autour de Vista qui n'avait pourtant pas besoin de cela. Des faits gênants pour Microsoft viennent étayer le bien-fondé de l'action collective qui réclame des dédommagements pour tous les Américains qui ont acheté un micro-ordinateur sur la foi d'une étiquette annonçant la machine "Vista Capable". C'est ainsi qu'un courriel de John Kalkman, directeur général de Microsoft en charge des OEM (original equipment manufacturers), évoque le fait que sa société a inclus dans la liste des machines "Vista Capable" des configurations équipées du composant graphique 915 d'Intel afin, semble-t-il, d'améliorer les résultats du fondeur en donnant un coup de pouce promotionnel à ce composant graphique. Connaissant le niveau médiocre des performances de ce type d'adaptateur graphique qui exploite la mémoire centrale comme mémoire vidéo et la voracité de Vista en matière d'affichage, on comprend le profit que comptent retirer les plaignants de ce paradoxe. Autre perle cueillie dans l'impression dossier remis par les plaignants, ce message d'un membre du conseil d'administration de Microsoft qui explique à Steve Ballmer qu'il ne mettra pas à jour sa machine sous Vista et qui s'étonne : "Je ne comprends pas qu'un produit dont le développement a pris tant de temps dispose d'aussi peu de drivers"... L'explication est sans doute donnée dans une présentation réalisée par Dell en mars 2007. Des slides y dénoncent les changements de dernières minutes dans le code de Vista qui ont annihilé le travail des développeurs de drivers... A tel point qu'il n'était possible que de proposer un OS "bancal". Mais faut-il tirer ainsi sur une ambulance ? A entendre Microsoft, la question ne se pose pas puisque Vista est un succès. Un succès inversement proportionnel à la facilité avec laquelle on peut encore se procurer Windows XP. A compter de juin, lorsqu'il ne sera plus possible d'acquérir XP, le succès de Vista sera donc total. Il doit tout de même être possible d'améliorer encore ce succès. Surtout chez tous ceux qui ont encore le choix de ne pas s'équiper de Vista. Pour convaincre ceux-là, le prix ne doit pas être un handicap. Microsoft a donc décidé la semaine dernière de baisser les prix de vente au détail de son nouveau système d'exploitation. Pour Microsoft, l'explication est limpide : "Nous avons alors constaté qu'en baissant le prix de 30 % en moyenne, le chiffre d'affaires correspondant augmentait de 80 %." (...)

(28/02/2008 16:12:17)

Microsoft lance officiellement sa famille de serveurs 2008

Habitué aux lancements de produits tonitruants, Microsoft n'a pas dérogé à la règle en rassemblant développeurs et administrateurs systèmes pour un grand show à Los Angeles, à l'occasion du lancement de SQL Server 2008, Visual Studio 2008 et Windows Server 2008. Mais Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a bien pris soin de mettre en avant non pas ces produits eux-mêmes, mais leurs utilisateurs, qu'il a appelés « le coeur et l'âme de l'industrie informatique ». Le show était d'ailleurs sous-titrés « heroes happen here », et des vidéos un tantinet larmoyantes ont émaillé le lancement, afin de montrer comment des utilisateurs pouvaient devenir des héros en recourant aux technologies Microsoft. Côté produit, il faut préciser que ce lancement simultané est surtout symbolique : il s'agit de montrer que Microsoft franchit une étape dans l'informatique d'entreprise. Car ce lancement a aussi quelque chose de fictif, dans la mesure où seul l'atelier de développement Visual Studio est véritablement disponible. Il manque en effet à Windows Server une pièce essentielle, à l'heure où la virtualisation constitue un argument de poids, justement, dans la décision de déployer un système d'exploitation serveur : l'hyperviseur Hyper-V n'arrivera que dans quelques mois. Steve Ballmer lui-même a insisté sur l'importance de cet élément, en expliquant que Microsoft s'engageait à « démocratiser la virtualisation ». Pour le CEO de Microsoft, la virtualisation devrait pouvoir être adoptée « par 90 à 100% des serveurs, et non 5 à 7% comme actuellement ». Quant à l'évolution de la base de données, on ne l'attend que cet automne. Les détails des produits eux-mêmes ayant été largement dévoilés, les démonstrations sur scène étaient presque superflues. Surtout pour le public français, qui a eu droit à un lancement en avant-première lors des TechDays. Dans un entretien vidéo exclusif avec LeMondeInformatique.fr, Steve Ballmer estime que les ventes de Windows Server 2008 pourraient dépasser celles de Windows Server 2003 d'ici un an ou deux. (...)

(27/02/2008 16:49:56)

Microsoft poursuivi pour des PC pas si "Vista capable" que cela

Un juge américain vient d'élever au rang d'action collective la procédure engagée par des consommateurs qui affirment avoir été abusés en 2006 par le slogan "Vista Capable", qu'avait octroyé Microsoft à des PC qui n'étaient capables que de supporter la version Home Basic de Vista. Les consommateurs auraient acheté un PC sous XP croyant pouvoir ensuite installer Vista dans toute sa magnificence et non la version Home Basic, dépourvue des fonctionnalités emblématiques de la voracité de cet OS. Le juge a entendu les plaignants, non pas sur le fondement d'un sous-dimensionnement des systèmes pour faire tourner Vista dans une configuration digne de ce nom, mais sur le fait que les micros auraient été vendus plus cher grâce à ce slogan. L'action collective (Class action) est une procédure qui permet à tous ceux qui ont acheté un PC sous XP avec la mention "Vista capable" de se joindre à la partie civile. Cette procédure n'existe toujours pas en droit français malgré les demandes réitérées des associations de consommateurs. C'et ainsi que, condamné fin 2005 à 534 M€ d'amende pour entente illicite sur les prix, les trois grands opérateurs mobiles français échappent toujours au remboursement des sommes volées à leurs utilisateurs. (...)

(27/02/2008 16:17:29)

Bruxelles inflige à Microsoft une nouvelle amende record de 899 M€

899 M€. C'est le montant record de la nouvelle amende infligée à Microsoft par la Commission européenne. L'éditeur été condamné pour n'avoir pas rempli les obligations imposées par la Commission en mars 2004. La décision de 2004, qui a été confirmée par le Tribunal de première instance en septembre dernier, estimait que Microsoft avait abusé de sa position dominante (au sens de l'article 82 du traité CE) et que l'entreprise était tenue de divulguer des spécifications d'interfaces pour assurer une parfaite interopérabilité entre les serveurs de groupe de travail d'une autre marque et les PC et serveurs Windows, et ce à un prix raisonnable. Ce qu'elle n'a pas fait en temps et en heure. Même si Microsoft avait finalement accepté, le 22 octobre 2007, de se plier aux exigences de Bruxelles, la Commission a donc décidé de condamner l'éditeur pour le caractère excessif des redevances qu'il imposait aux éditeurs tiers jusqu'à cette date. Soit, une amende de 899 M€, la plus salée jamais prononcée par l'exécutif européen. Et ce n'est pas la très récente ouverture des principales API annoncée récemment par Microsoft qui auront suffit à attendrir la Commission. « C'est la première fois en cinquante années de politique de la concurrence dans l'UE que la Commission a dû infliger une amende pour non-respect d'une décision en matière d'ententes », a déclaré Neelie Kroes, commissaire chargée de la concurrence. « J'espère que la décision d'aujourd'hui clôt un chapitre sombre du dossier de Microsoft relatif au non-respect de la décision de la Commission de mars 2004 et que les principes confirmés par l'arrêt du Tribunal de première instance de septembre 2007 dicteront la conduite future de Microsoft ». A la suite du procès de 2004, Microsoft avait été condamné à verser 497 M€ d'amende pour abus de position dominante. A l'époque, la Commission avait notamment enjoint Microsoft de publier les détails techniques de ses protocoles de communications embarqués dans les OS serveurs. Au regard des prix pratiqués pour l'obtention des informations d'interopérabilité, jugés déraisonnables, par Bruxelles, l'éditeur avait été condamné à une amende supplémentaire de 280,5 M€ l'année dernière. La nouvelle condamnation de Microsoft n'a pas tardé à susciter de multiples réactions, à commencer par celle de l'April, l'ardente association défendant le Libre. Dans un communiqué, elle félicite Bruxelles et estime qu'il « aurait été inacceptable qu'une firme qui a violé les règles de la concurrence européenne, en toute connaissance de cause et pendant plusieurs années, voie ses sanctions financières revues à la baisse ». La décision de la Commission ne marque cependant pas la fin des ennuis de Microsoft avec les 27. Mi-janvier, Bruxelles ouvrait en effet deux nouvelles enquêtes contre le groupe de Redmond, toujours liées à l'interopérabilité de Windows avec d'autres produits et à l'intégration de certains outils dans les OS. (...)

(26/02/2008 17:14:06)

VMworld 2008 : VMware peaufine la virtualisation du poste de travail

« Le bureau virtuel est le futur de la virtualisation. » Diane Greene, PDG de VMware, à l'occasion de VMworld 2008 à Cannes, annonce clairement la couleur. La virtualisation du poste de travail est bien un créneau sur lequel la société avance. Et elle compte bien développer ses offres existantes, Virtual Desktop infrastructure (VDI) et ACE sur ce marché très prometteur. IDC estime que le marché de la virtualisation du desktop devrait dépasser le milliard de dollars d'ici à 2011. Si Diane Greene juge cette analyse « agressive », la société poursuit ses expérimentations sur le segment. VMworld 2008 a ainsi été témoin de la démonstration en avant-première de deux technologies sur lesquelles VMware travaille. Côté utilisateur d'abord, Offline VDI permet de travailler sur son environnement de travail virtualisé depuis un serveur distant, en mode déconnecté. Une fois reconnecté, la machine virtuelle est copiée sur le serveur, assurant la synchronisation de l'ensemble. Côté administrateur, Scalable Virtual Image permet la configuration et le déploiement de plusieurs images de machines virtuelles à partir d'un master central. « Cela permet de gérer tout les desktops virtualisés à partir d'une unique image. De plus, il réduit les besoins en stockage », ajoute Jerry Chen, directeur d'Enterprise Desktop chez VMware. Dans la foulée, VMware a annoncé intégrer les technologies de Thinstall, société rachetée en début d'année et qui permet d'exécuter en toute sécurité une application sans installation, technologie devenue pour l'occasion Application Virtualization Technology. « La combinaison de toutes ces offres desktop constitue le futur du VDI, explique Jerry Chen. Les pays émergents peuvent par exemple être une cible ». (...)

(26/02/2008 10:15:02)

Windows Server 2008 pourrait faire basculer les entreprises vers le 64 bits

Le lancement d'une nouvelle famille de serveurs Windows cette semaine va déclencher un vaste mouvement d'adoption des versions 64 bits de Windows Server, estiment les analystes. Steve Ballmer, le directeur général de Microsoft, va lancer mercredi des mises à jour majeures de ses produits, le système d'exploitation Windows Server 2008 - dont la sortie est prévue pour la semaine prochaine - et la base de données SQL Server 2008, attendue pour le troisième trimestre, après des retards. Le besoin de puissance pour la virtualisation Comme leurs versions précédentes, ces nouveaux produits seront fournis à la fois en versions 32 bits et 64 bits. Mais plusieurs facteurs font cette fois-ci que plus de clients devraient choisir les versions 64 bits. On citera la disponibilité des serveurs x86 avec des jeux d'instructions 64 bits et la tendance à la consolidation et à la virtualisation. Le basculement aura lieu graduellement étant donné que la plupart des entreprises ne devraient pas déployer ces produits à grande échelle avant 2009. Mais cela marquera une étape de maturité significative pour les produits serveurs de Microsoft arrivant après les Unix 64 bits de Sun, IBM ou de HP dans les centres informatiques. Tirer le meilleur parti des serveurs 64 bits « Cela va faire pencher la balance vers plus de déploiements en 64 bits », relève John Enck, vice-président et analyste chez Gartner. L'évolution sera amenée par le désir des clients de tirer le meilleur parti de leurs serveurs 64 bits, « ce qui signifie utiliser un système d'exploitation 64 bits ». [[page]]De plus, Microsoft a déclaré qu'il s'agirait de la dernière grande mise à jour de Windows Server proposée à la fois en 32 et 64 bits. Assumer les futures applications A l'ère de la virtualisation, « N'importe qui effectuant un déploiement serait fou de ne pas au moins considérer quand et où, un système d'exploitation 64 bits fera l'affaire », déclare quant à lui Al Gillen, vice-président d'IDC. « Il s'agit de se donner les moyens d'assumer les futures applications sur vos serveurs avant qu'ils ne soient retirés dans cinq ans ». IDC est même un fervent partisan de Windows Server 64 bits, appelant le manque d'enthousiasme des entreprises l'« une des plus grandes opportunités ratées ». A la fin de 2007, IDC estime qu'à peine 10% des clients Windows Server utilisaient la version 64 bits de Windows Server 2003. Fin 2010, cette valeur devrait atteindre 50%, grâce à Windows Server 2008. En 2010, 75% des licences vendues devraient être des versions 64 bits de Windows. (...)

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