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(19/09/2007 15:48:54)
Microsoft publie le SP3 d'Office 2003
Même si Office 2007 est là, Microsoft n'en oublie pas les utilisateurs d'Office 2003. Il met dès aujourd'hui mercredi 19 septembre à leur disposition un ensemble de mises à jour - le Service Pack 3 - pour corriger 450 bogues de sécurité et améliorer la compatibilité avec Windows Vista et Office 2007. Parmi les nouveautés, on retrouve la lutte contre l'ingéniérie sociale en permettant aux administrateurs de paramétrer quels types de fichiers et de macros pourront utiliser les salariés. Toutefois, Microsoft prévient que malgré ses tests de compatibilité avec des logiciels émanant d'éditeurs tiers (comme Hyperion ou SAP), certains patchs pré-installés peuvent poser des problèmes de compatibilité avec ce service pack, notamment ceux faisant appel à des fonctions Active X ou COM. (...)
(18/09/2007 17:21:46)Réactions mitigées à l'annonce de la condamnation de Microsoft
L'annonce de la confirmation de la condamnation de Microsoft par la justice européenne hier lundi 17 septembre a provoqué un tonnerre de réactions dans la sphère Open Source. Si chacun s'accorde à dire qu'il s'agit là d'une véritable avancée, tantôt pour les consommateurs européens, tantôt pour les logiciels libres, le monde de l'Open Source reste encore dubitatif quant à la suite des événements. Pire, certains s'interrogent, pessimistes, sur l'application de la décision du tribunal. Cela changera-t-il finalement le paysage de l'informatique ? La Commission doit transformer C'est notamment le cas de l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique Libre) qui dans un communiqué, attire l'attention sur l'impuissance de la Commission à faire appliquer les sanctions. « L'April teint [...] à signaler que si après des années la Commission européenne n'a toujours pas obtenu de Microsoft qu'elle se conforme à ses injonctions, on voit mal comment l'autorité de régulation des mesures techniques (ARMT) pourra en France y parvenir surtout vu les limites de son champ d'intervention. » Et de pointer du doigt la Dadvsi. Dans cet même ordre idée, la FFII (Fondation pour une infrastructure informationnelle libre) explique que Microsoft « exploitera les brevets logiciels pour conserver son monopole sur le marché des technologies de l'information ». Pour Pieter Hintjens, président de la FFII, visiblement amer, « la décision semble positive mais est en retard de cinq ans. Pendant ce temps, Microsoft a fait du lobbying en faveur des brevets logiciels en Europe et acheté des brevets sur de nombreux concepts triviaux. » Benjamin Henrion, membre de la FFII à Bruxelles, raconte que ce sont bien les brevets logiciels qui serviront de tremplin à Microsoft, tout en minimisant l'impact de la décision du tribunal. « Microsoft devra au pire seulement payer l'équivalent d'un ou deux mois de profit. » Chez Red Hat, éditeur de distribution commerciale de Linux, on « encourage fortement la Commission à prendre les mesures requises pour assurer l'exécution rapide d'une solution qui donne un accès large et équitable aux informations relatives à l'interopérabilité de Microsoft avec tous ses concurrents [...] ». Plein feu sur la Commission donc. Un coup de frein à l'innovation Autre son de cloche radical pour Mathieu Laine, maître de conférences à Sciences Po, qui déclare, dans une tribune « Arrêt Microsoft : coup de frein à l'innovation ! » publiée dans Les Echos du 18 septembre, que « en confortant la Commission européenne, le tribunal de Luxembourg donne en réalité un mauvais signal au entreprises innovantes en Europe, et entretient une vision erronée de ce qu'est véritablement la concurrence. » Et de conclure : « Confirmer la condamnation de cette entreprise revient à appuyer des deux pieds sur le frein de l'innovation en Europe. A l'heure de la compétition globalisante, nous n'avions vraiment pas besoin de cela. » (...)
(17/09/2007 17:15:59)L'UE confirme la condamnation de Microsoft (mise à jour)
Le couperet est tombé. Après trois années riches en rebondissements, la justice européenne a rendu son verdict dans le cadre du procès antitrust qui l'oppose à Microsoft. La Cour a bien confirmé en appel, à une exception près, la décision prise par la Commission européenne en 2004 : l'éditeur de Redmond est condamné pour abus de position dominante en Europe et versera les quelque 497 M€ d'amende prévus. Le Tribunal européen (Court of First Instance), basé à Luxembourg, a ainsi validé les deux points clés ordonnés par la Commission. Primo - et c'est une question qui selon le communiqué de l'UE n'implique aucune interprétation -, la Cour donne raison à la Commission dans le dossier sur l'interopérabilité. « La Cour confirme que le degré d'interopérabilité nécessaire requis par la Commission est bien fondé et qu'il n'y a pas l'illogisme entre ce degré d'interopérabilité et les mesures prises par la Commission », indique le communiqué de l'UE. Ce point de litige avait été parsemé de rebondissements. Dans son verdict de 2004, la Commission avait imposé à Microsoft de dévoiler et de partager avec les autres éditeurs et constructeurs les informations techniques (comme les protocoles) de façon à améliorer l'interopérabilité entre les systèmes extérieurs à Windows. Microsoft avait freiné des quatre fers pour prendre en compte cette mesure, suscitant à maintes reprises l'ire de la commissaire en charge du procès, Neelie Kroes (voir notre dossier), laquelle estimait abusif le refus de se soumettre aux contraintes imposées par Bruxelles. Aujourd'hui, la Cour de justice « rejette l'argument de Microsoft qui expliquait que le degré d'interopérabilité demandé par la Commission vise en réalité à permettre aux concurrents du marché des serveurs de fonctionner comme Windows et ainsi, de leur permettre de cloner ou reproduire ses produits ». En revanche, toujours dans le chapitre interopérabilité, la Cour a rejeté la décision de la Commission de désigner un mandataire indépendant, estimant notamment que le corps executif européen n'a pas le pouvoir d'imposer à Microsoft la présence d'un mandataire (monitoring trustee) et de lui en répercuter, en partie, les coûts. Media Player et vente liée Deuxième point confirmé par la Cour de justice, l'intégration par défaut de Windows Media Player à Windows. La Cour valide le fait que cette vente liée induit des liens abusifs entre l'OS et l'application qu'elle considère comme indépendante. Elle estime également que « cette pratique a permis à Microsoft d'obtenir un avantage sans pareil quant à la distribution de son produit et d'assurer l'omniprésence de Windows Media Player sur les PC clients à travers le monde, dissuadant ainsi les utilisateurs d'user les media players tiers, et les revendeurs OEM de pré-installer ces mêmes outils sur [leurs] PC ». La Cour du Luxembourg, enfin, précise dans un dernier point que Microsoft sera également tenu de commercialiser une version de Windows dépourvue de Media Player. « Il est clair que Microsoft conserve le droit de continuer à offrir une version de Windows avec le Media Player et qu'il est seulement demandé de rendre disponible un OS sans Media Player, une mesure qui n'implique pas [d'imposer] des modifications aux pratiques techniques actuelles de Microsoft mais seulement le développement de cette version [appauvrie] de Windows. » Dans une téléconférence, Brad Smith, l'avocat principal de Microsoft, a déclaré être très attentif à la décision de la Cour de justice, et dit qu'il appréciait notamment le point relatif au mandataire. Tout en soulignant les efforts que Microsoft a réalisés depuis les début du procès et des débats constructifs tenus avec la Commission en un an, Brad Smith ouvre la porte : « Nous allons étudier attentivement cette décision et s'il y a d'autres exigences auxquelles nous pouvons nous conformer, nous le ferons. » Aucun mot en revanche sur une éventuelle poursuite de la procédure devant une autre instance européenne. Une énième étape dans la procédure ? Cette confirmation en appel peut, en effet, n'être qu'une étape dans la longue procédure juridique. Microsoft pourrait se tourner vers la Cour de Justice des Communautés européennes, dans les deux mois à partir de la notification du premier appel, pour interjeter un nouvel appel dans l'hypothétique espoir de faire flancher le tout puissant exécutif européen. (...)
(13/09/2007 09:31:37)Sun va livrer ses serveurs équipés de Windows Server
Sun va distribuer ses serveurs 64 bit avec Windows Server préinstallé, ont annoncé Microsoft et Sun ce 12 septembre. Le constructeur livrera ses premiers serveurs dotés de Windows Server 2003 d'ici trois mois. Si la ligne de serveurs 64 bit de Sun peut faire tourner Windows Server comme Solaris - l'OS maison -, jamais les machines n'avaient été livrées avec l'OS de Microsoft. Les deux sociétés, longtemps concurrentes, ont également indiqué qu'elles collaboreraient en faveur du développement technique de Windows Server sur le matériel 64 bit de Sun. Une volonté qui passera, notamment, par l'ouverture d'un centre d'interopérabilité basé sur le Campus Microsoft, à Redmond. Les deux acteurs avaient signé un accord de coopération en avril 2004, aux termes duquel Microsoft s'était délesté d'1,6 Md$ pour effacer différents contentieux l'opposant à Sun. L'annonce de ce 12 septembre prévoit, en outre, la mise en place d'efforts visant à améliorer le support de Solaris par les plateformes de virtualisation estampillées Microsoft, et le fonctionnement de Windows Server dans l'environnement de virtualisation Sun. Enfin, les co-contractants vont étendre leur partenariat autour de la télévision sur IP, qui implique la solution d'IPTV de Microsoft, MediaRoom, ainsi que l'offre logicielle multimédia, les serveurs et les systèmes de stockage de Sun. (...)
(13/09/2007 09:29:05)Microsoft détaille les modifications des fonctions de recherche dans Vista
Microsoft, contraint par Google à modifier les fonctions de recherche de Vista, apporte des détails sur les modifications que le prochain SP1 apportera à l'OS. Selon Google, Vista rend inutilisables les programmes d'indexation et de recherche issus des éditeurs tiers. Après que le moteur de recherche eut déposé une plainte contre l'éditeur, celui-ci acceptait de modifier son système d'exploitation. Microsoft indique qu'après l'installation du SP1, un utilisateur équipé d'un outil de recherche étranger à Vista aura « un accès facile et direct » à celui-ci à partir de l'interface de Windows. « Cela signifie qu'en plus des nombreuses façons dont les utilisateurs peuvent accéder à une solution de recherche tierce dans Windows Vista, ils peuvent désormais obtenir leurs résultats d'indexation préférés à partir de nouveaux points d'entrée dans le menu démarrer et l'explorateur de Vista SP1 », explique Microsoft. Le groupe de Redmond - qui clamait au printemps qu'il était presque impossible de désactiver les fonctions d'indexation de Vista pour installer un produit concurrent sans ralentir le PC - a mis en ligne les spécifications des modifications à l'intention des éditeurs d'applications tierces. (...)
(12/09/2007 16:46:12)Microsoft France axe sa rentrée sur le diptyque logiciels et services
2008 sera l'ère du « Software + Services » chez Microsoft France. En ligne avec le discours huilé de Ray Ozzie, architecte en chef de l'éditeur de Redmond, Laurent Delaporte, directeur général adjoint de Microsoft France, a ré-affirmé la stratégie de l'éditeur pour l'année à venir, à l'occasion d'une conférence de rentrée, ce mercredi 12 septembre. « S+S » permet d'utiliser des applications online et offline quel que soit le mode de communication, rappelle Laurent Delaporte. Dans un contexte très orienté Web 2.0, la problématique des éditeurs est de fournir, pour certains, leurs applications et leurs systèmes en mode hébergé. Alors que certains proposent des offres 100% en ligne (Saas - Software as a service), à l'image de Google, d'autres comme Microsoft mêlent applications desktop et services hébergés associés (S+S). C'est dire l'enjeu que cela représente pour Microsoft : conjuguer ses produits, comme Office 2007 qui vient d'être lancé - et représente un marché de 11 Md$ pour Microsoft-, et Vista, à un ensemble de services. Windows Live, Office Live, MSN Live viennent notamment constituer l'arsenal de l'éditeur. « Microsoft, pour mettre à bien sa stratégie S+S, s'adossera à son réseau de partenaires, explique en substance Laurent Delaporte. Un « accélérateur d'innovation » - c'est ainsi qu'il qualifie S+S - qui met une pression forte sur les infrastructures des systèmes d'informations », poursuit-il. Et qui imposera aux DSI d'adapter leur SI. « Microsoft proposera par ailleurs une méthodologie. » Office Communication Server et Windows Server vont rythmer 2008 Pour 2008, la feuille de route est bien remplie. Outre une version 2.0 d'Office Live prévue entre janvier et mars 2008, les sorties les plus importantes seront celles d'Office Communications Server 2007 (à l'occasion du salon Convergence IP du 3 au 5 octobre, ) et celles très attendues des offres serveurs, Windows Server 2008, SQL Server 2008 et Visual Server 2008, prévues à l'occasion des TechDays en février 2008. Enfin, Microsoft confirme l'arrivée d'un SP1 pour Vista au premier semestre 2008, tout comme le SP3 de XP, en même temps que les SP1 d'Office 2007 et de SharePoint Server. (...)
(10/09/2007 16:44:45)Google, autorisé à conseiller dans le procès antitrust contre Microsoft
Colleen Kollar-Kotelly, la juge fédérale en charge du procès antitrust contre Microsoft aux Etats-Unis, vient d'autoriser Google à intervenir en tant que conseiller (amicus, une particularité en droit américain) dans les débats autour du litige sur les fonctionnalités de recherche intégrées à Vista. En juin 2007, Microsoft prenait la décision de modifier les fonctions d'indexation et de recherche de Vista (qui seront actives avec le SP1), suite à une plainte de Google. Selon ce dernier, Vista détournait les utilisateurs des autres programmes de recherches. Google estimait toutefois ces modifications insuffisantes. Bien que la juge n'approuve toujours pas l'intervention de Google en tant que partie - une position qu'elle soutient depuis juin -, elle donne à Google la possibilité d'agir en tant que conseiller en fournissant notamment un document. Selon elle, le ministère de la Justice « représente suffisamment les consommateurs ». (...)
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