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Windows

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(11/06/2007 11:45:19)
Microsoft publie un outil pour vérifier la compatibilité avec Vista en entreprise
Alors que le système d'exploitation Vista est disponible en entreprise depuis novembre 2006, Microsoft vient seulement de publier un outil de diagnostic en bêta pour déterminer si les PC sont compatibles avec Vista. Téléchargeable sur le site de la société - après une inscription préalable à Windows Live ou Passport -, cet outil vérifie le matériel et les pilotes installés sur les PC composant un parc, pour indiquer si un passage à Vista et Office 2007 est possible en l'état, s'il faut améliorer le matériel ou le changer. Ce test arrive une semaine après deux autres outils pour faciliter la migration vers Vista, le Data Encryption Toolkit for Mobile PCs qui permet de définir une politique de cryptage pour les portables de l'entreprise en utilisant BitLocker de Vista, et le Virtual Hard Drive (VHD) Test Drive pour étudier comment se comportent les applications de l'entreprise sous Vista. (...)
(08/06/2007 12:16:21)Des utilisateurs de Vista font état de soucis avec IPv6
L'implémentation d'IPv6 dans Windows Vista semble poser quelques soucis à des utilisateurs, rapporte notre publication soeur américaine Network World. IPv6 est le successeur de la version 4 du protocole IP. Son but premier est de démultiplier le nombre d'adresses disponibles, en codant les adresses non plus sur 32 bits mais sur 128 bits ; on passe donc de 2 puissance 32 adresses disponibles (soit un peu plus de 4 milliards) à 2 puissance 128 (des milliards de milliards). IPv6 prévoit aussi des améliorations fonctionnelles, liées à la qualité de service, à la multidiffusion ou à la sécurité. Windows Vista est conçu de façon à pouvoir fonctionner avec l'ancien comme avec le nouveau protocole IP. Mais il semble que l'implémentation d'IPv6 ne soit pas complète, souligne par exemple Loki Jorgenson, responsable scientifique d'Apparent Networks, un fournisseur d'outils d'audit et d'optimisation de réseaux. Il cite notamment la transparence par rapport au fonctionnement de la couche réseau. « Par exemple, dit-il, Vista n'expose aucune des erreurs [Internet Control Message Protocol] aux applications qui tournent sur Vista. Tout ce que voit une application, c'est que la connexion ne marche pas. C'est un gros problème pour nous. Pourquoi n'est-ce pas proprement implémenté, voilà qui n'est pas clair du tout. » Microsoft n'a pas de souci, mais reconnaît qu'il peut y en avoir Duane Murphy, qui dirige un centre de services hébergés pour des cabinets juridiques en Californie, explique de son côté avoir des soucis avec des impressions en réseau. « Nous envoyons une tâche d'impression à une imprimante IP depuis un ordinateur sous Vista Business ou Ultimate, et le fichier se corrompt. Le problème survient à chaque fois lorsque IPv6 est installé. Dès qu'on l'enlève, le fonctionnement retourne à la normale. » Entre autres problèmes, il cite aussi des pertes de connectivité dès lors que des ordinateurs font tourner à la fois IPv6 et IPv4. « Pour les trois premiers réseaux locaux où nous avons observé ce phénomène, cela nous a pris six heures pour comprendre ce qui se passait. » Depuis, Duane Murphy recommande à ses clients de retirer IPv6 de leurs stations de travail. Chez Microsoft, Ian Hameroff, chef produit senior Windows Server Networking, ne veut pas répondre directement sur ce cas précis, mais reconnaît que « toutes les applications et tous les pilotes n'étaient pas fin prêts au moment du lancement », ce qui pose des soucis de compatibilité. Microsoft fait tourner Vista et IPv6 en interne, explique-t-il, « et à ma connaissance, nous n'avons pas eu ce type de problème ». (...)
(06/06/2007 17:28:51)Pas de virtualisation du poste client sans Microsoft Software Assurance
Pas de technologies de virtualisation du poste client pour ceux qui n'auraient pas encore signé pour une Software Assurance, a prévenu Microsoft. Sûr du rapport de force qu'il entretient avec ses clients, Microsoft confirme là sa volonté d'associer étroitement le volet client de son offre de virtualisation avec sa Software Assurance, nom de son contrat de maintenance logicielle. Outre la version spécifique de Vista (Enterprise, la seule à permettre le cryptage des données), la signature d'une Software assurance donne aussi le droit exclusif d'acheter l'ensemble des outils réunis sous la bannière Desktop Optimization Pack. Ce bundle comprend quatre outils achetés dernièrement par Microsoft : - SoftGrid (virtualisation des applications sur les postes clients, issu du rachat de Softricity en mai 2006). C'est le plus intéressant des quatre, car il permet d'importantes économies ; - Asset Inventory Services (technologie d'AssetMetrix, acheté en avril 2006) ; - Advanced Group Policy Management (meilleure administration des utilisateurs sous Active Directory, fruit du rachat de Desktop Standard en octobre) ; - Diagnostic and Recovery Toolset (très proche des outils de Winternals, racheté en juillet). Seuls deux tiers des grands comptes adhérents comptent renouveler leur Software Assurance La version Microsoft de Softgrid commence à être commercialisée tandis que la disponibilité des versions révisées des autres outils est imminente. Bien sûr, Microsoft n'a pas oublié l'aspect commercial. Alors que SoftGrid coûtait 200$ par poste, il tombe à 10$. C'est tentant, mais à condition de signer pour la Software Assurance. Or, ce système de mise à jour automatique, lancé en 2001, a toujours du mal à séduire les grands comptes. On peut même constater que l'acharnement de Microsoft à la rendre indispensable pour disposer d'outils d'administration spécifiques aux grands comptes est, justement, inversement proportionnel à leur envie de l'adopter. Gartner estime que la moitié des grands comptes (plus de 1000 postes Windows) clients de Microsoft ont signé pour la Software Assurance, mais que seulement 65% d'entre eux veulent la reconduire. Il lui est reproché d'être coûteuse. Selon Forrester Research, alors que la moyenne de l'industrie se situe à 21% du prix d'achat, la Software Assurance place la barre bien plus haut : près de 30% pour un logiciel bureautique et 25% pour un logiciel serveur. Si l'on ajoute à cela les retards dans les sorties d'Office 2007 et de Vista qui ont, de facto, privé les adhérents à la Software Assurance de mises à jour gratuites, les réticences s'expliquent encore plus facilement. Sur le même sujet : - Gestion de postes : Microsoft prépare un add-on payant à la Software Assurance - Gartner : la Software Assurance dévalorisée par le dernier décalage d'Office (...)
(06/06/2007 09:00:02)Google rachète un spécialiste du développement pour puces multicoeurs
Google a racheté l'éditeur californien Peakstream, pour un montant et un objectif tenus secrets. On sait toutefois que Peakstream est une jeune pousse fondée en 2005 par des anciens de Sun, nVidia, VMWare et Network Appliance, qui a réussi à lever 17 M$ l'année suivante pour concevoir des outils d'aide à la programmation pour les processeurs multicoeurs. Le challenge en effet avec les puces à plusieurs coeurs est de pouvoir faire en sorte que les applications Windows tirent parti de leur architecture. Comme le soulignait récemment un cadre de Microsoft, les systèmes actuels ne sont pas - encore - taillés pour l'explosion à venir du nombre de coeurs. (...)
(05/06/2007 11:35:56)TechEd 2007 : Microsoft livre les noms officiels d'Orcas et Katmai
A l'occasion du TechEd 2007 (du 4 au 8 juin à Orlando), Microsoft a levé le voile sur les noms officiels des prochaines mises à jour de l'atelier de développement Visual Studio et du serveur de base de données SQL Server. C'est très logiquement et sans surprise qu'Orcas et Katmai, les noms de code de deux produits phares de l'éditeur, se verront baptiser Visual Studio 2008 et SQL Server 2008. En ligne avec la dénomination Windows Server 2008 (Longhorn) annoncée au WinHec 2007, en mai dernier. "Visual Studio 2008 sera bien livré à la fin 2007", a confirmé Steve Guggenheimer, directeur des plateformes chez Microsoft. D'ici là, une seconde bêta devrait voir le jour cet été, avec notamment l'apparition du module Visual Studio Shell, qui est censé faciliter la distribution et le partage des applications développées à partir de l'environnement de développement. La première bêta est disponible depuis le 26 avril. "Cette version est résolument tournée vers le développement d'applications pour Office et Vista", a expliqué Steve Guggenheimer. SQL Server 2008, de son côté, sera disponible vers la mi-2008. Microsoft a par ailleurs profité de sa conférence pour dévoiler une première version de test (CTP, Community Technology Preview) qui embarque notamment les outils de décisionnel et de reporting de la société Dundas, dont la technologie Data Visualization vient d'être rachetée par l'éditeur. Dundas développe une méthode de visualisation très graphique des outils d'analyse de SQL Server (SQL Server Reporting Services). En parallèle, Microsoft a également fixé la date de sortie de Biztalk Server R2 2006 - actuellement disponible en bêta 2 - au troisième trimestre 2007. Le middleware d'orchestration et de gestion des processus sera orienté RFID et embarquera des outils pour la version 3.0 du framework .Net. Rappelons au passage que Microsoft a récemment annulé l'édition 2007 du PDC (conférence développeurs), invoquant un décalage dans la livraison des versions de tests de ses produits phare comme SQL server 2008 et la date de la conférence. (...)
(04/06/2007 18:18:24)Après Novell, Microsoft signe un accord avec Xandros
A l'heure où la dernière version de la GPLv3 semble entériner le partenariat passé entre Novell et Microsoft tout en bloquant le développement d'autres partenariats, un nouvel accord vient agiter la communauté Open Source. En effet Xandros, qui commercialise la distribution Linux pour desktop du même nom (développée à l'origine par Corel), a signé un accord de collaboration avec Microsoft. Cet accord procure une protection aux utilisateurs de Xandros et les assure qu'ils ne violent aucune des propriétés intellectuelles de l'éditeur de Redmond. Et ceci durant 5 ans à compter d'aujourd'hui. L'accord couvre également le développement de solutions interopérables pour faciliter l'utilisation par les clients de Xandros de logiciels de la marque et de ceux de Mircrosoft. Cette interopérabilité concernera aussi bien les échanges de fichiers (Xandros devrait développer un convertisseur pour passer d'ODF à Open XML et vice-versa), la compatibilité des serveurs et des systèmes d'administration de logiciels. En échange, Microsoft inscrit Xandros sur sa liste de distributions Linux préférées et intègre la société dans son association, Microsoft Interop Vendor Alliance. L'accord serait compatible avec la GPL v3 Toutefois, à la différence de l'accord passé avec Novell en novembre dernier, Microsoft ne distribuera pas Xandros avec ses produits. Le but étant, selon Andreas Typaldos, PDG de Xandros Corporation, de s'adapter aux besoins du marché : « Les salles de serveurs multi-plateformes sont une réalité. Pour couvrir les besoins en évolution de leurs clients, les vendeurs doivent reconnaître les vertus d'une propriété intellectuelle partagée, développer plus de solutions interopérables et fournir des outils de gestions qui soient familiers et faciles d'utilisation. » Au regard des dispositions de la version 3 de la licence libre GPL, pour David Kaefer, directeur général propriété intellectuelle et licence chez Microsoft, cet accord ne devrait pas aller à l'encontre de ses dispositions. « Cet accord a été négocié entre les parties en se basant sur la version courante de la GPL. Microsoft comme Xandros restent flexibles si de nouveaux développements du marché l'imposaient », explique-t-il, tout en rappelant que la GPLv3 n'est pas encore finalisée et est donc toujours susceptible de changement. (...)
(04/06/2007 17:51:50)Philippe Gildas assigne Microsoft pour la paternité de Vista
Philippe Gildas poursuit Microsoft pour « violation de la propriété intellectuelle et préjudice ». L'homme de télévision reproche à l'éditeur l'utilisation illicite de la marque Vista : le nom de baptême du dernier système d'exploitation estampillé Microsoft a en effet été déposé par Philippe Gildas en octobre 2003. Soit deux ans avant que le géant de Redmond ne fasse enregistrer la marque auprès de l'INPI (Institut national de la propriété intellectuelle). Le journaliste avait déposé la marque pour un projet de chaîne de télévision destinée aux séniors, Télé Vista, qui devait voir le jour en 2003. Le chantier s'était enlisé mais semble, selon Philippe Gildas, sur le point d'aboutir. L'animateur compte ainsi lancer sa chaîne à l'automne et s'estime gêné par l'irruption de l'OS de Microsoft sur le devant de la scène. Aussi, il assigne l'éditeur, arguant qu'il a déposé la marque « dans tous les domaines de la propriété intellectuelle de l'entertainment et des médias : en presse, en télé, sur le Web, etc. » De fait, si Philippe Gildas a effectivement enregistré la marque dans les classes 35, 38 et 41, qui incluent les catégories pré-citées, il a omis les classes 9 et 42. Or, ce sont ces dernières qui recouvrent précisément le secteur dans lequel se situe Vista : logiciels, conception et développement d'ordinateurs et de logiciels. Il paraît donc délicat pour l'homme de télévision d'obtenir gain de cause, tant les marques déposées par lui et Microsoft recouvrent des champs d'application différents. (...)
(04/06/2007 16:05:14)Droit de réponse de Microsoft France
Bernard Ourghanlian, responsable technologies et sécurité de Microsoft France, nous a écrit à la suite de la publication de l'article Windows incapable d'exploiter les derniers processeurs. Nous publions ci-dessous, en italiques, son courrier, ainsi que notre réponse. Selon l'article publié par le Monde Informatique il semblerait que Windows serait incapable d'exploiter les derniers processeurs et serait, en particulier, incapable de gérer plus de 16 threads. Fort heureusement, il n'en est rien, ainsi que le démontre un examen rapide de l'affichage du gestionnaire de tâche sur un simple PC portable qui permet de visualiser 67 threads rien que pour le processus OUTLOOK.EXE, 37 pour explorer.exe, etc. Autrement dit, Windows Vista - ainsi que d'ailleurs toutes les versions successives de Windows NT depuis sa version initiale - est un système d'exploitation qui est parfaitement capable de gérer un nombre extrêmement important de threads. En fait, il n'y a pas de d'autre limite au nombre de threads qu'il est possible de créer sur un système Windows que la quantité de mémoire adressable par un processus utilisateur. Ce que veut dire M. Ty Carlson dont le nom est cité dans cet article, c'est qu'avec l'avènement et la généralisation des processeurs multi-coeurs, la plupart des applications qui tournent aujourd'hui sur un PC n'ayant pas été conçues à l'origine pour s'exécuter dans un environnement multiprocesseur, celles-ci ne pourront pas nécessairement profiter de l'ensemble des coeurs disponibles pour s'exécuter plus rapidement car elles n'ont pas été pensées pour s'exécuter en parallèle. Autrement dit, dans la mesure où les processeurs sont en train de devenir massivement multi-coeurs, il va falloir faire évoluer les techniques de programmation pour en tirer parti mais cela n'a absolument rien à voir avec le fait que Windows ne puisse pas tirer parti de 4 processeurs ou utiliser plus de 16 threads. Dernière remarque : l'article fait également référence au fait « qu'en configuration standard, XP est toujours limité à n'exploiter que 128 Ko de la mémoire cache des processeurs Intel » ; fort heureusement, ce n'est pas Windows XP (ni un quelconque système d'exploitation d'ailleurs, qu'il soit d'origine Microsoft ou non) qui gère la mémoire cache des processeurs Intel mais bien les processeurs eux-mêmes. Pour rappel, un cache est le nom donné au premier niveau de hiérarchie mémoire que l'on rencontre lorsque les adresses quittent le CPU. Quand le CPU trouve l'élément demandé dans le case, on a ce que l'on appelle un succès cache. Quand il ne le trouve pas, on parle alors de défaut de cache (ou échec cache). Un ensemble de données de taille fixe, appelé bloc, contenant le mot demandé est obtenu à partie de la mémoire principale et placé par le cache. Le principe dit de localité temporelle nous dit qu'il y a des chances que l'on ait besoin à nouveau de ce mot dans un futur proche : il est donc utile de le placer dans le cache où il peut être obtenu rapidement. A cause du principe dit de localité spatiale, il y a aussi une grande probabilité que les autres données du bloc soient bientôt nécessaire. Le temps d'acquisition lors d'un défaut de cache dépend à la fois de la latence et de la bande passante mémoire : la latence détermine le temps pour récupérer le premier mot du bloc et la bande passante détermine le temps pour récupérer le reste de ce bloc. Un échec cache est traité par matériel et oblige les processeurs avec une exécution dans l'ordre à s'arrêter (suspension) jusqu'à ce que la donnée soit disponible. [[page]] Dans tous les cas, ces dispositifs de cache, qu'ils soient de niveau 1, 2 ou 3, unifiés ou séparés, données ou instructions, associatifs ou directs, etc. sont gérés directement par le matériel (certaines architectures RISC comme l'architecture Alpha permettaient de pré-charger grâce à une instruction machine particulière un cache à partir de données contenues en mémoire mais, même dans ce cas-là, c'était bien au processeur de gérer les remplissages et les extractions depuis le cache sur instruction du programmeur - de telles fonctionnalités n'existent pas sur un processeur x86). En résumé, Windows XP comme n'importe quel autre système d'exploitation est donc parfaitement capable d'exploiter plus de 128 Ko de mémoire cache sur les processeurs Intel (x86, x64 ou Itanium) pour la bonne et simple raison qu'il n'est pas vraiment concerné par la taille de ce cache. Notre réponse, point par point : OS multitâche et processeur multi-threads Dans son droit de réponse (bien plus long que l'article originel...), Microsoft France conteste le fait que Windows soit "incapable de gérer plus de 16 threads". Nous invitons l'auteur de ces lignes à se rapprocher de Ty Carlson, « director of technical strategy » chez Microsoft US afin qu'ils accordent leurs violons. Le 23 mai dernier, Ty Carlson a déclaré que Windows Vista "est conçu pour tourner sur un, deux, trois, voire quatre processeurs" (faisant allusion aux coeurs des processeurs multi-coeurs) avant de préciser que Vista avait été conçu pour tirer profit des threads des processeurs, "mais pas jusqu'à 16". Une citation de Ty Carlson se trouve sur le blog de Tom Krazit. Soyons certains que Ty Carlson embellit plus la réalité des produits Microsoft qu'il ne minore leurs mérites. Nous confirmons donc notre propos et nous étonnons que Microsoft France mélange allègrement les threads propres à Windows - qui existent depuis que cet OS est multitâche - et ceux des processeurs. Dans le premier cas, il s'agit de découpages des processus (les threads se succédant dans le processeur), dans le second, des files d'exécution que les processeurs peuvent gérer. La limitation de la mémoire cache Cette limitation à 128 Ko de mémoire cache est inscrite dans la base de registre de Windows XP, à l'adresse suivante : [HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Control\Session Manager\Memory Management] "SecondLevelDataCache". Mais, effectivement, cette variable fait partie du tribut que Windows paye à la compatibilité ascendante. Elle ne concerne que les processeurs d'ancienne génération. Outlook 2007 et ses 67 threads Contrairement à l'auteur qui se rengorge des 67 "threads" d'Outlook 2007 - soit le record des threads pour les logiciels actifs sur sa machine - nous serions plutôt enclin à considérer cela comme la confirmation d'un problème de conception d'Outlook. Problème qui conduit les utilisateurs de ce logiciel à se plaindre de son extrême lenteur, soulignait en avril dernier notre confrère Computerworld UK. (...)
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